Sahar Khodayari avait 30 ans lorsque elle s’est immolée par le feu au tribunal de Téhéran après avoir été condamnée à six mois de prison pour avoir assisté à un match de football de son équipe préférée, le Esteghlal FC. En Iran les femmes n’ont pas le droit d’entrer dans les stades, pour les préserver de l’atmosphère masculine et de la vue d’hommes à moitié nus. Elle est morte à la suite de ses brûlures à l’hôpital, ce qui a déclenché un raz-de-marée sur les réseaux sociaux. La FIFA a été sollicitée de boycotter dorénavant l’Iran, de l’empêcher à participer à des tournois internationaux. Je m’associerais volontiers à de telles mesures, trouvant la discrimination des femmes contraire à la convention des droits des hommes. Le ministère de la justice s’est empressé de tout démentir. Il n’y aurait pas eu de procès, encore moins de sentence. Les images de Sahar Khodayari à hôpital ont attisé les émotions. Mourir pour avoir tenté d’entrer dans le stade en se déguisant en homme, « tel a été le terrible  délit » perpétré par cette jeune femme ! La légende du football iranien Ali Karimi a demandé à ses 4,5 millions d’abonnés sur Instagram. de boycotter les stades jusqu’à nouvel ordre. « Les femmes de notre terre sont meilleures que les hommes ». Mais aussi le club favori de Sahar Khodayari a publié un communiqué : « Le décès tragique de notre enfant bien-aimée, Mlle Sahar Khodayari, a causé une grande tristesse et un profond regret chez l’Esteghlal FC » Philipp Luther d’Amnesty international a affirmé : « Sahar Khodayari serait toujours vivante s’il n’y avait pas eu cette interdiction draconienne et le traumatisme subséquent de son arrestation, de sa détention et des poursuites », Sa mort (…) doit provoquer un changement en Iran pour éviter de telles tragédies à l’avenir ». Weiterlesen

L’ancien premier-ministre David Cameron, à l’occasion de la sortie de ses mémoires, a donné pour la première fois une interview au journal The Times depuis son départ. Celui que je considère comme étant l’apprenti-sorcier qui a mis sur les rails la déchéance de la Grand-Bretagne, en se pliant pour des raisons électorales à la pression de l’aile droite de son parti, a déclaré que le résultat du référendum avait été faussé par les mensonges de son ex-ami Boris Johnson. « J’y pense tous les jours (…) et le fait que nous ayons perdu et les conséquences (…), et je m’inquiète désespérément de ce que réserve l’avenir » a dit Cameron. 52 % du peuple britannique avait voté pour, en grande partie à cause des fake-news émises par Boris Johnson, comme celle que le Royaume Uni devait s’acquitter chaque mois d’une fortune, pour « avoir l’honneur » de devoir se plier aux quatre volontés de Bruxelles. Une invention de toutes pièces. Il eut aussi la perfidie d’attiser la xénophobie, tout cela pour faire carrière. Les attaques de David Cameron en direction de son ancien camarade d’école sont du vitriol et pourraient être un élément supplémentaire pour acculer encore plus l’actuel premier-ministre. Il n’est pas coutume qu’en Grande-Bretagne un prédécesseur comme Cameron émette une critique envers la politique d’un premier étant au pouvoir, mais la situation déplorable du pays l’a forcé de le faire. « Certaines personnes ne me pardonneront jamais d’avoir organisé un référendum. D’autres de l’avoir organisé et de l’avoir perdu », admet-il. Mais il y a aussi« tous ces gens qui voulaient un référendum et qui voulaient sortir (de l’UE), qui sont contents qu’une promesse ait été faite et tenue ». Weiterlesen

Si j’étais superstitieux je cacherais ma tête sous ma couette en attendant que la journée se passe. Le vendredi 13 n’est pas pour moi une hantise, mais plutôt un jour de bonheur. Pourvu qu’il en soit ainsi aujourd’hui. Peut-être aussi de quoi faire un bilan, comme il serait de mise au cours du salon international de l’automobile à Francfort. Il y a des premiers nuages à l’horizon de l’économie allemande, notamment dans ce secteur. Les exportations sont en net ralentissement, notamment au cours de ce trimestre. Il est question du retour du chômage partiel dans l’industrie afin de sauver des emplois fixes. C’est à dire de freiner la productivité jusqu’à une reprise des affaires. Mais cette fois-ci ce n’est pas seulement une question de conjoncture, bien plus celles des hésitations en ce qui concerne la voie à suivre. Le secteur de l’automobile notamment, qui était enferré dans le scandale du diesel, a mis la main à la pâte en ce qui concerne les véhicules propulsés par des moteurs électriques bien trop tard. Il y a eu des carences tout d’abord au niveau de la recherche. Les fabricants traînent encore des pieds, tablant avant tout sur l’acquis, ce qui à mes yeux est irresponsable. Ils n’ont pas encore vraiment anticipé, ont voulu ignorer ce qui pourrait se passer dans un avenir rapproché. La construction d’un moteur électrique est bien plus simple, que celui propulsé avec des carburants fossiles. Le nombre des pièces nécessaires est bien plus bas. Sa manutention demandera fatalement bien moins de personnel. Weiterlesen

Le site Suavelos prône le nationalisme blanc. Une fois de plus ses créateurs ont utilisé toutes la panoplie d’insanités, considérant la couleur de la peau comme une preuve d’excellence, lorsque elle est claire. Une fois de plus un lot de bêtises. Lorsque on sait que génétiquement il n’y a qu’une race humaine, peu importe les caractéristiques extérieures, il y a de quoi bondir. Après les attentats de Christchurch et d’El Paso, perpétrés par des suprémacistes blancs les réseaux sociaux comme FaceBook sont devenus plus prudents et exerce une certaine censure comme l’a fait remarquer Suavelos. Il est question de répandre de fake-news dans le but de faire de l’agitation. Il est souvent question des migrants qui se font du beurre sur le dos des autochtones, qui n’ont qu’à se croiser les bras en attendant que l’argent entre. Le blanc n’a pas seulement le droit de se sentir bien chez lui, c’est pour les publicateurs de ce site un droit génétique. Yann Merkado et Daniel Conversano sont les responsables du site Suavelos et utilisent toute la panoplie d’inepties que les racistes propagent à tous vents. Lorsque Conversano déclare :  Je ne conteste pas être raciste. J’ai toujours trouvé la civilisation européenne supérieure aux autres, je préfère Mozart au djembé. Chez nous, la question ethnique est centrale.  Il faudrait « mettre dans la Constitution que la France est un pays blanc et doit le rester majoritairement ».(source Le Monde).

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Ziegen meckern,

Bienen summen.

Pan spielt die Flöte.

Gut so!

Mädchen tanzt,

Hund schaut zu.

Fotograf fängt Sonnenstrahlen.

Gut so!

Mutter jätet Unkraut,

Kind plantscht in Becken.

Blauer Himmel wolkt.

Gut so!

Bunte Autos passieren,

Schüler spielen auf Hof.

Alter Mann balanciert Erinnerungen.

Gut so!

Frau schaut aus Bürofenster,

Mann trägt Einkaufstaschen.

Krähe auf Kirchturm zieht Fäden.

Gut so!

Rentnerin auf der Bank,

Läufer zieht vorbei.

Kind schaut aus dem Zeitfenster.

Gut so!

Gräser wiegen im Wind,

Sonne streichelt Gesichter.

Heute und Morgen grüßen sich.

Gut so!

Hund bellt,

Katze miaut am Fenster.

Völkerverständigung im Ort.

Gut so!

Antritt der Reise,

spontan wartet Irgendwo.

Zeit schüttelt den Kopf.

Gut so!

Frosch quakt,

Seerose meditiert.

Wind trägt Geräusche.

Gut so!

Belanglos …

Benjamin Nétanyahou a promis une semaine avant les élections en Israël, que s’il arrivait au pouvoir, il annexerait la vallée du Jourdain. Une attitude que les Allemands ont eu envers le pays des Sudètes en 1938, celle de blesser les conventions internationales, celles de ne pas respecter l’intégrité des territoires. Il y a donc un peu « d’Hitler » dans tout cela ! Il va s’en dire que personnellement je ne peux pas accepter une telle attitude, qui peut être génératrice de guerre. Le bon ami de Jair Bolnosaro démontre ainsi qu’il va la main dans la main avec l’internationale des fascistes. Ceux qui sont aussi responsables de la recrudescence de l’antisémitisme dans le monde entier. Je trouve l’attitude de cet homme abjecte, mais encore plus qu’il risque d’être élu. Ce qui se passe ici est de la provocation. Je pense que si Néranyahou devait être plébiscité dans de telles conditions, il faudrait remettre en cause les relations que l’Europe entretient avec Israël. Et n’allez surtout pas dire que je suis antisémite ! Je ferais de même pour tous pays agissant de même, comme la Russie avec la Crimée et la sécession du Donbass. Dans un tel cas il faut être conséquent et ne pas accorder son blanc-seing à tous ceux qui réclament un traitement privilégié. Ce qui se passerait si le premier-ministre mettait en marche un tel processus, serait un crime contre l’humanité, car il mettrait en effervescence tout le Proche et Moyen-orient. C’est la raison pour laquelle cela nous regarde, n’en déplaisent aux extrémistes de la droite israélienne. J’ose espérer que la majorité de la population ne suivra pas ce démagogue qui risque de mener le « peuple juif » dans l’abîme, que la démocratie en fin de compte reprendra le dessus par rapport aux fascistes. Je suis plus que déçu que des gens, dont les familles ont souffert sous le joug hitlérien, puissent suivre l’exemple de celui qui a été leur bourreau, de se mettre au diapason avec extrémisme néonazi. Non, je ne peux et veux pas comprendre une telle attitude. La raison une fois de plus, que je soutiendrai par tous les moyens la cause palestinienne. Weiterlesen

Et les voilà en vacances forcées. Je veux parler du parlement anglais. Pendant cinq semaines il se tournera les pouces malgré tout le boulot qui reste encore à faire. Boris Johnson a pris une mesure antidémocratique en court-circuitant Westminster. Je ne reviendrai pas sur l’arbitraire qui semble l’habiter. Mais une chose est certaine, il a échoué sur toute la ligne. En rejetant des élections anticipées pour une deuxième fois cette nuit, je ne sais pas trop quelles cartes lui restent à disposition. Il sera forcé de faire des propositions contre son gré à l’UE, mais peu importe, il a dorénavant perdu la face. Tout cela démontre que l’Union est une des mécaniques des plus complexes. Tout s’imbrique l’un dans l’autre. Dès qu’un engrenage prend la grippe, tout s’enraye. D’où le proposition de Tony Blair qui prônerait un nouveau référendum. Une remise en question du Brexit aurait bien des avantages, car il semble parfaitement impossible de ménager la chèvre et le chou. Ne serait-il pas préférable qu’en fin de compte le peuple soit rappelé aux urnes ? Il est clair que la Grande-Bretagne se trouve dans une impasse, car le mensonge prima en 2016. Les électeurs furent mis à faux, car les contres-vérités évoquées déjà par le fougueux Boris Johnson, ont bien dissimulé les difficultés dans lesquels le pays était engagé. Que ce soit les droits douaniers ou la distribution des produits vitaux pour la population, il est des plus complexes de vouloir organiser des alternatives pouvant garder à flot l’économie d’un pays. Il en va aussi de questions administratives comme les lois d’immigration. Vouloir d’un trait tout éliminer d’un coup de trait, c’est de la démence. Je ne sais pas, où tout cela pourra mener, mais je suis sûr d’une chose, j’en ai plein les basques de ces coups de gueule qui caractérisent des opportunistes comme Boris Johnson. Il serait souhaitable qu’il quitte au plus vite l’échiquier politique, mais cela semble pas encore être le cas. Tout cela est bien connu, bien moins l’attitude que pourra aborder l’UE ? Weiterlesen

Kurz vor einem erwarteten Abkommen zwischen den USA und den afghanischen Taliban hat Präsident Donald Trump Friedensgespräche mit Vertretern der islamistischen Miliz abgesagt. Trump gab völlig überraschend auf Twitter bekannt, dass ein Treffen mit den Taliban am Sonntag in Camp David hätte stattfinden sollen. Separat waren auch Gespräche mit dem afghanischen Präsidenten Ashraf Ghani geplant gewesen. Als Grund für die Absage nannte Trump den tödlichen Anschlag in der afghanischen Hauptstadt Kabul, bei dem am Donnerstag auch ein amerikanischer Unteroffizier ums Leben gekommen war. Ob dies das endgültige Aus für die Verhandlungen beider Seiten ist oder die Gespräche nur ausgesetzt sind, ist unklar.

Es war eines von Trumps großen Wahlkampfversprechen, Amerikas „endlose Kriege“ zu beenden. Zunächst bewilligte er allerdings im Sommer 2017 eine Verstärkung der Truppen in Afghanistan, nachdem das Pentagon wiederholt gewarnt hatte, dass bei einem Abzug nicht nur die Taliban die Kontrolle über Afghanistan zurückerobern würden, sondern auch der IS das Machtvakuum nutzen könnte, um sich im Land einzunisten.

Die Taliban müssten für für eine Fortführung der Gespräche aber ihre Haltung ändern und insbesondere einmal gemachte Zusagen dann auch einhalten (US-Außenminister Mike Pompeo, cnn.com). Die USA würden ihre Soldaten nur dann aus Afghanistan abziehen, wenn die Bedingungen dafür angemessen seien. Präsident Trump hatte ein geplantes Geheimtreffen mit Taliban-Anführern und dem afghanischen Präsidenten Ghani kurzfristig abgesagt und dies mit einem Bombenattentat in Kabul begründet, bei dem zwölf Menschen getötet wurden, darunter ein US-Soldat. Als Reaktion kündigten die Islamisten neue Gewalttaten an.
Das Ende der Gespräche werde unter anderem dazu führen, dass noch mehr US-Soldaten ihr Leben verlieren würden.

Trump verfolgt nach wie vor den Plan, die amerikanischen Truppen nach Hause zu holen. Damit der Truppenabzug nicht nach einer Niederlage aussieht und der militärische Einsatz der letzten 18 Jahre nicht umsonst gewesen ist, wollen die USA die Taliban mittels eines Abkommens zwingen, mit den Regierungstruppen über Frieden zu verhandeln.

Die Taliban wollen die Amerikaner aus dem Land haben. Sie verlangen zudem ein Ende der Nato-Operation „Resolute Support“. Im deren Rahmen versuchten Ausbilder, unter anderem 1.300 Deutsche, die Kampfstärke der afghanischen Armee zu erhöhen.

Trump ist wie ausgewechselt. Ging es ihm seit fast einem Jahr um den schnellstmöglichen Truppenabzug, heißt es plötzlich: „Wir sind nicht in Eile“ (SPON). Einen Zeitplan gäbe es nicht, versichert Trump jetzt. Die Hast der Amerikaner, einen schnellen Erfolg zu produzieren, hatte ihre Verhandlungsposition stark geschwächt. Die Taliban dagegen hatten Zeit und schienen ihre Forderungen durchzukriegen.

Trump muss aus den eigenen Reihen Druck erhalten haben, Afghanistan nicht im Chaos zu verlassen. Steuerzahlern und Veteranen ist es schwerlich zu erklären, wenn das Land künftig wieder von den Taliban regiert würde und damit quasi der Zustand von 2001 vor dem Einmarsch der USA wieder hergestellt sei. Der Verlust von Tausenden gefallenen Soldaten und einer Billion Dollar Steuergelder allein für militärische Ausgaben in diesem längsten Krieg der US-Geschichte (wikipedia.org) wären vergebens gewesen.

Dass Trump aus dem aggressiven Verhalten der Islamisten Konsequenzen zieht, stößt in Washington durchaus auf Zustimmung: Als Details des Vertragsentwurfs bekannt wurden, sahen Kritiker ihre Befürchtungen bestätigt, dass Trump Afghanistan im Zweifelsfall den Taliban überlassen würde, wenn er sich im Präsidentschaftswahlkampf 2020 nur als derjenige hinstellen könnte, der den mittlerweile seit 18 Jahren andauernden Einsatz der US-Truppen beendet hat. Sowohl auf Seiten der Demokraten als auch in Trumps Regierung befürchten viele, dass die Kabuler Regierung nach einem Abzug der US-Truppen nicht lange überleben würde (sueddeutsche .de).

Erschwert werden die Verhandlungen dadurch, dass auf keiner Seite des Tisches letztgültige Versprechungen abgegeben werden können. Die afghanische Politik wird von einem Team aus 15 Repräsentanten vertreten – rivalisierende Lager um starke Vertreter ethnischer Gruppen, Parteien, neue gesellschaftliche Repräsentanten. Allein ihre Auswahl kam einer Quadratur des Kreises gleich.