C’est le ministre de la justice, Jeff Sessions, qui a annoncé la fin du programme DACA qui permettait à des enfants d’immigrés mineurs d’avoir un permis de séjour temporaire afin de pouvoir étudier et travailler. Ceci à condition d’avoir un casier judiciaire vierge. C’est Barak Obama, qui a en 2012 a instauré cette loi pour des raisons humanitaires. Beaucoup d’élus républicains voudraient garder le statut actuel. Il est loin d’être dit que cette initiative de chasser les « Dreamers » trouve une majorité dans les deux chambres du congrès. Donald Trump s’est bien gardé d’annoncer lui-même cette mesure inhumaine, car elle lui!brise le cœur ». Mais ce qui se passe là n’est pas seulement « un fait américain ». En Allemagne il y a aujourd’hui des cas similaires. Afin d’enrayer le flux migratoire, le gouvernement fédéral a décidé de faire la différence entre des pays dits sûrs et d’autres où les droits de l’homme sont bafoués, que ce soit par les autorités régnantes ou des mouvements insurrectionnels. Aussi étrange que cela puisse paraître, l’Afghanistan figure comme les pays du Maghreb, sur la liste des nations dites sûres. C’est évidemment une aberration. En ce qui concerne les pays de l’Europe de l’Est qui ne sont pas membres de l’UE, les cas sont plus délicats. Bien des Roms ont dû quitter leur patrie, car ils étaient soumis à une discrimination terrible. Ils étaient écartés définitivement de la vie publique et vivaient comme des parias. Beaucoup d’entre-eux se sont établis « sans papiers » en Allemagne. Depuis des décennies ils ont été pour ainsi dire tolérés. Beaucoup d’enfants sont nés au cours de cet exil, dicté par une situation inhumaine dans leurs régions d’origine. La plupart d’entre-eux ont été à l’école, ont pu faire un apprentissage ou aller à l’université. Depuis peu ces personnes, qui parlent couramment la langue de Goethe et qui sont parfaitement intégrées, sont forcées du jour au lendemain de quitter l’Allemagne. Weiterlesen

La Corée du Nord a tiré un missile qui a survolé cette nuit le Japon. Nous arrivons de ce fait petit a petit à point de non-retour. Une situation d’autant plus dangereuse que Donald Trump se trouve sous le feu de la critique et a un cruel besoin de redorer son blason. Lorsque rien ne va plus, les potentats ont recourt à la guerre, afin de démontrer qu’ils sont puissants. De l’autre côté il y a le démagogue Kim Jong-un qui veut montrer de quel bois il peut se chauffer. Sa justification sont les manœuvres en Corée du Sud, où l’armée américaine participe massivement. Il suffit d’un incident et toute la machinerie d’une guerre nucléaire peut être déclenchée. Shinzo Abe, le premier-ministre japonnais a qualifié ce tir comme « une menace sérieuse et grave pour le Japon ». Il a demandé au Conseil de Sécurité intervenir dans la matière. Il est de l’intérêt de la Chine de tout faire afin de désamorcer ce bras-de-fer et d’inciter son allié, qu’est la Corée du Nord, a enfin arrêter ce genre de provocations. Elle a déjà approuvé des sanctions économiques, mais cela ne semble pas suffire. Le tout serait plus facile si les rapports diplomatiques avec les USA étaient meilleurs. Le twitteur qu’est le président américain ne manque pas une occasion de cracher du venin sur les maîtres de Pékin, les accusant directement de nuire à l’économie américaine en pratiquant le dumping. C’est probablement assez exacte, mais dans la situation présent il s’agirait avant tout de réfléchir comment neutraliser Kim Jong-un. Ce dernier sait parfaitement qu’elle est l’ambiance entre les deux pays et continuera à attiser le feu pendant qu’il en est encore temps. Weiterlesen

Une ville submergée par les eaux, des gens désemparés, la nature est sortie de ses gonds et démontre quels dommages peuvent être causés par la main de l’homme. Ce que les habitants vivent est à mes yeux la conséquence directe du réchauffement climatique. Donald Trump aura beau traiter de fous, tout ceux pour qui la réduction du CO2 est une condition absolue, les faits devraient le faire réfléchir. En est-il capable ? De vouloir sortir de l’accord de Pairs est un acte irresponsable. Lorsque j’entends ses arguments, cela me met tout simplement en colère. J’ose espérer que le martyre de Houston sera le point de référence pour une prise de conscience des habitants de ce grand pays. Il est temps qu’il y ait une résistance populaire. Je ne vais pas rendre responsable Trump de ce qui se passe au Texas, mais bien plus son populisme dans ce domaine. De vouloir faire gober aux Américains que les mesures qui devraient être prises pour enrayer ce processus dévastateur. Je ne sais pas ce que ressentent les habitants de Houston, mais à leur place je me sentirais abandonné. Les bons vœux que le président à twitter de Camp David, seraient à mes yeux plutôt de la provocation. Le grand patriote qu’il croit être, devrait être sur place au lieu de jouer au golf. C’est dans de telles situations qu’il est possible de percevoir vraiment qui on a placé à la tête de l’État. Ce qui se passe dans cette ville, un haut lieu de la technologie, démontre une fois de plus le manque de préparation en cas « d’alerte ouragan ». D’après les experts, comme à la Nouvelle Orléans il y a quelques années, l’infrastructure ne semble pas être adaptée aux coups de boutoir de la nature. Weiterlesen

Unendliche Weiten? Im Internet wird’s eng!

Das US-Justizministerium will an zahlreiche Daten einer Website von Gegnern des US-Präsidenten Donald Trump gelangen. Der Internetanbieter DreamHost soll nach eigenen Angaben einen Durchsuchungsbeschluss erhalten haben, in dem das Justizministerium Informationen zu der Website, den Besitzern und seinen Besuchern fordert. Dabei soll es um Namen, Telefonnummern, E-Mail-Adressen und IP-Adressen von 1,3 Millionen Nutzern gehen. DreamHost habe Widerspruch eingelegt, teilte das Unternehmen mit.

Nach Angaben des Anbieters handelt es sich um die Website disruptj20.org, die zu einer Gruppe von Aktivisten aus Washington, D. C., gehört. Über die Seite sind demnach Proteste und Störaktionen anlässlich der Amtseinführung von US-Präsident Trump am 20. Januar 2017 geplant worden.

In dem Durchsuchungsbeschluss, den DreamHost auf seinem Blog öffentlich zugänglich gemacht hat, verlangt das Justizministerium, dass der Anbieter umfangreiche Informationen weiterleitet. Unter anderem soll DreamHost dem Ministerium alle Daten freigeben sowie Informationen, die helfen können, Menschen zu identifizieren, die sich auf der Seite registriert haben – darunter Adressen, Kontodaten oder Geschäftsinformationen.

Der Anbieter DreamHost schreibt auf seinem Blog, dass der Durchsuchungsbeschluss ihn zwinge, auch die IP-Adressen von Besuchern herauszugeben. Dadurch könnten 1,3 Millionen Menschen identifiziert werden. „Diese Information könnte dazu benutzt werden, jeden zu identifizieren, der die Seite genutzt hat, um politische Äußerungen zu tätigen, die von dem ersten Zusatzartikel der Verfassung geschützt sind“, heißt es in dem Blog. Das dürfte genug sein, dass bei jedem die Alarmglocken läuten.

DreamHost schreibt weiter, dass es mit Strafverfolgungsbehörden zusammenarbeite, wenn es um Kriminalität gehe. Diese Anfrage gehe jedoch weit darüber hinaus. „Das ist, unserer Meinung nach, ein starkes Beispiel für eine zu weit gehende Ermittlung und ein klarer Fall von Machtmissbrauch der Regierungsbehörden“.

Darum hat die Seite nach Erhalt des Durchsuchungsbeschlusses Widerspruch eingelegt. Wie der US-Sender CNN berichtet, schrieb das US-Justizministerium daraufhin in einer bei Gericht eingereichten Erklärung, dass die Meinungen von DreamHost keine Grundlage bieten, dem Durchsuchungsbefehl zu widersprechen. Laut CNN ist nicht klar, ob das US-Justizministerium weiter bei seinen Forderungen bleiben wird. Die Staatsanwaltschaft in Washington, D. C. äußerte sich dahingehend, dass über die beim Gericht eingereichte Erklärung hinaus keine weiteren Angaben machen werde.

In dem veröffentlichten Durchsuchungsbefehl fordert das Justizministerium auch Informationen zu Personen, die an den January 20 riots teilgenommen, diese geplant oder zu diesen angestiftet haben sollen. Vor und während der Amtseinführung von Donald Trump am 20. Januar 2017 hatte es in Washington gewalttätige Proteste gegeben. Mehr als 200 Demonstranten waren festgenommen worden, darunter einige Journalisten.

Ähnliches in Russland. Auch die dortige Regierung versucht beständig, das Internet stärker zu kontrollieren und mehr Nutzerdaten zu erfassen. Präsident Putin unterzeichnete Ende Juli zwei Gesetzesänderungen, welche den Spielraum für anonymisierende Internetdienste einschränken und die Überwachung von Kommunikation über Nachrichtenanwendungen ausweiten. Dies sind nur die jüngsten Schritte in einer Reihe von Verschärfungen, die Parlament und Kreml in den vergangenen Jahren vorangetrieben haben.

Neu erhält die Medienaufsicht ab November diesen Jahres das Recht, Anbieter sogenannter Proxy-Dienste zu sperren, wenn Nutzer mit deren Hilfe auf in Russland verbotene Websites zugreifen. Zu den Diensten gehören virtuelle private Netzwerke (VPN), mit denen ein Computer den Eindruck erweckt, er befinde sich im Ausland statt im reglementierten Inland. Die zweite Änderung betrifft mobile Nachrichtendienste, darunter auch Facebook Messenger und Whatsapp. Sie sollen ab Januar 2018 die Mobiltelefonnummern und Identitäten der Nutzer erfassen und bei Bedarf zur Verfügung stellen. Ein anonymer Gebrauch ist verboten. Auch sollen die Anbieter Nutzer blockieren, wenn die Obrigkeit es verlangt.

Donald Trump se croit en mesure de défier le soleil, car il se prend pour lui. L’autre qui se fait éclipser par la lune est un faible reflet, de ce qu’il est lui, le roi-soleil. Il n’est pas du genre à prendre des lunettes de soleil pour se protéger les yeux. Non, il regarde fixement cet usurpateur qui ose le mettre en question. Lui qui devrait montrer l’exemple à la nation toute entière, ne tient aucun compte des recommandations des ophtalmologues qui ont mis en garde la population contre les risques d’aveuglement qu’une observation sans protection peut occasionner. Je trouve cette attitude assez symbolique pour le personnage. Il se met au-dessus de toutes les lois naturelles. C’est lui qui décide ce qui est bon ou pas. Le réchauffement de la planète n’existe pas. Ce sont les communistes qui ont inventé de telles lubies. Des saboteurs ! Ses amis cagoulés ne le contrediront pas. Lorsqu’on est blanc, on n’aime pas les ténèbres. C’est bien la raison pourquoi ils témoignent tant de reconnaissance au roi-soleil. Le pire dans tout cela est de voir le président sur un balcon de la Maison Blanche en compagnie de son plus jeune fils, qui suit l’exemple de son père, et essaie de fixer l’astre sans lunettes pour braver le destin. C’est vraiment là qu’il est permis de se demander si le papa a tout son esprit ? Ce qui se passe-là explique assez bien la démarche insensée de ce démagogue. À force de se regarder dans un miroir, il oublie qui il est : un être assez inculte qui semble parfois perdre sa raison. Une personne qui se met personnellement en danger pour jouer aux machos. Tant que cela n’engage que lui, cela regarde. Mais comme il est à la tête des USA, il risque d’attirer des millions de gens dans le malheur. Weiterlesen

Stephen Bannon a dû prendre son chapeau. Il ne sera plus le conseiller stratégique de Donald Trump. Cela ne veut pas dire à mon avis que l’extrême-droite quitte la Maison Blanche. Ce sera dorénavant le patron lui-même qui sera aux commandes. Il ne faut donc pas triompher. Je suis persuadé que ce n’est pas l’attitude du président envers la Corée du Nord qui aura été déterminante. Bannon s’est toujours déclaré contre l’interventionnisme. C’était le grand défenseur d’un replis des USA sur eux-mêmes, ce qui n’est pas contradictoire avec les visées isolationnistes du boss. Je pense que ce sont les événements de Charlottesville qui ont été l’étincelle qui a mis le feu aux poudres au sein de l’équipe gouvernementale. Stephen Bannon l’a incité en son temps à faire route commune avec des gens pour qui le nazisme et le racisme étaient une qualité. Maintenant le président remarque que cette prise de position est un boulet à son pied. Mais est-il capable de le comprendre ? Sa valse-hésitation a démontré qu’il ne maîtrisait en aucune manière l’analyse politique. Heureusement que Trump n’est pas un Hitler. Il n’a pas son cynisme et même s’il fait des ronds-de jambe dans cette direction, il n’a pas la stature nécessaire pour jouer à Satan. Il a plutôt l’envergure d’un larbin, d’un opportuniste qui par les moyens de la provocation cherche à gagner du panache. Et Stephen Bannon ? Il aurait peut-être voulu être son Josef Goebbels, mais il a choisi le faux maître. Puis il y a à mes yeux quelque chose d’essentielle, je ne pense pas qu’au fond de lui-même Trump soit d’une nature discriminatoire. Aurait-il accepté que sa fille Ivanca épouse un juif, qu’elle se convertisse et que ses enfants soient de confession mosaïque ? Son gendre Jared Corey Kushner est un de ses principaux conseillers. Avec sa femme ils représentent l’aile plutôt libérale. Weiterlesen

Un suprémaciste blanc a été arrêté à Oklahoma City, la ville où a eu lieu en 1995 un attentat qui a fait 168 morts. Jerry Varnell, âgé de 23 ans, voulait s’en prendre à la banque centrale fédérale à Washington, afin de s’attaquer au gouvernement américain et l’intimider. Ceci deux jours après les émeutes de Charlottesville. Il est évident que nous assistons à une recrudescence du racisme et de l’intolérance. Il est déconcertant que l’idéologie nazie revienne en force, que cela soit aux États-Unis ou en Europe. Sans vouloir sombrer dans la panique, il faut se poser des questions pour en connaître la raison ? Je peux m’imaginer, tout au moins aux USA, qu’il s’agit d’un problème démographique. D’ici quelques années les blancs seront minoritaires dans ce grand pays multiculturel. Il en va de l’influence ethnique des descendants des migrants venant de l’Europe. Une population qui a dû quitter le vieux continent à cause de la précarité ou parce que certains individus n’étaient pas considérés comme honorables dans leurs pays d’origine. On se débarrassait d’eux en les incitant à s’exiler. Parmi eux les arrières-grands oncles de ma mère, qui n’avaient pas forcément une chemise blanche. Ils se sont établis à Détroit, où ils ont été à l’origine de la fondation des prédécesseurs de la GM à la fin du 19ème siècle. Mais il y a les autres qui n’ont pas vraiment trouvé chaussure à leur pied et qui ont végété plus ou moins « dans la terre promise du capitalisme ». Ceux qui sont aujourd’hui issus des couches défavorisées de la petite bourgeoisie. Des frustrés qui cherchent à redorer leur blason en semant la haine raciale. Des personnes envieuses, aigries par leur mauvais sort. Weiterlesen

Raketen-Experten zufolge rechnet man nicht mit einer echten militärischen Auseinandersetzung zwischen Nordkorea und den USA (Robert Schmucker, Deutschland).

Nordkorea könne einige Raketen in Richtung Guam schießen, sogar eine Rakete in Richtung USA starten.

Solch eine Rakete könne aber nicht mehr als eine kleine Nutzlast tragen; mehr könne es auch nicht sein.

Bei den jüngsten Tests der Nordkoreaner sind die Raketen nicht weit, sondern nur hoch geflogen .

Die Militärs um Machthaber Kim Jong Un hätten sie hochgeschossen, damit sie in seiner Nähe runterkommen, denn wenn man eine Rakete weit schieße, und der Wiedereintrittskörper runterkomme, dann müsse man ihn beim Testen aus dem Meer holen und untersuchen.

Die Nordkoreaner haben aber keine Marinekräfte zur Bergung von Raketenteilen aus dem Meer. Derartige Maßnahmen sind nicht erfolgt. In einem solchen Fall besteht Gefahr, dass das Kriegsgerät in die Hände anderer Nationen fällt. Nordkorea versucht hingegen durch Steilschüsse zu vermeiden, dass man erkennt, zu was das Land in der Lage ist. Und das ist nicht allzu viel.

US-Präsident Donald Trump lässt den Konflikt vor allem mit Worten eskalieren. Warum sollte er einen Atomkrieg anfangen?! Es bringt keinem etwas, hätte im Endeffekt die atomare Verseuchung der Region für mehre hunderttausend Jahre zur Folge, unabhängig von den weltweiten Auswirkungen eines solchen Konfliktes.

Die USA müssen aber reagieren. Politik bedient sich des Werkzeuges des Wortes. Sagt Kim, er schicke Raketen gegen die USA oder deren exterritoriale Gebiete, dann muss die amerikanische Regierung reagieren.

Es gibt aber auch andere Alternativen. Eine wäre – von Amtsvorgänger Barack Obama praktiziert -, die Provokationen des nordkoreanischen Machthabers Kim Jong Un zu ignorieren. „Unartige Kinder“ machen Dinge, um Aufmerksamkeit zu erhalten. Bei Kim ist das genauso: Er will Aufmerksamkeit! Präsident Trumps Reaktion ist also falsch. Zumal sie, betreffend den Tweet, nicht mit seinem Stab abgesprochen war.

Die Region Korea wird in Zukunft nicht stabiler werden. Südkorea will sich nicht mit Nordkorea vereinen, China und Russland wollen Nordkorea erhalten. Die Frage bleibt, ob eventuell ein interner Umsturz gelingen könnte; hierfür gibt es momentan keine Anhaltspunkte.

Sollte das Regime in Pjöngjang fallen, könnten viele Nordkoreaner nach China und Südkorea flüchten. Zudem würde die Einflusszone der Vereinigten Staaten, die eng mit Südkorea verbündet sind, dann bis an die Grenzen Russlands und Chinas heranreichen. Dies steht überhaupt nicht im Interesse Chinas, das vor einiger Zeit schon Truppen an der Grenze zu Nordkorea aufgefahren hatte.

Es kam neulich zu einem Telefonat der Staatschefs Chinas und der USA. Hier wurde betont, beide Seiten seien sich einig, dass Nordkorea seine Provokationen und Eskalationen beenden müsse. China und die USA hielten an ihrem Ziel einer atomwaffenfreien Koreanischen Halbinsel fest, heißt es in einer Verlautbarung.

Chinas Präsident Xi Jinping hat US-Präsident Trump in dem Telefonat zur Mäßigung im Atomstreit mit Nordkorea aufgefordert. Trump müsse „Worte und Taten“ vermeiden, welche die ohnehin angespannte Lage auf der Koreanischen Halbinsel verschlimmerten.

China ist der engste Verbündete Pjöngjangs. Vergangenes Wochenende hatte Peking allerdings im UNO-Sicherheitsrat einer Verschärfung der Sanktionen gegen Nordkorea zugestimmt. Das chinesische Außenministerium rief die USA und Nordkorea gestern zur Zurückhaltung auf. Trump hatte China in der Vergangenheit hingegen mehrfach vorgeworfen, zu wenig zur Lösung des Konfliktes beizutragen.

Wegen des sich zuspitzenden Atomstreits hat Japan Medienberichten zufolge mit der Stationierung eines Raketenabwehrsystems begonnen.

Jenes werde derzeit in mehreren Städten im Westen des Landes installiert.