Schwerter zu Pflugscharen!

Sie führen Krieg,

Mord ist eine Frage des Preises.

Halt dich an die Regeln,

keinen wird es stören.

Brichst du die Norm,

wird man dich jagen,

man wird dich fangen

und einsperren.

So will es das Gesetz!

Verkaufst du Waffen,

verdienst du viel Geld.

Du wirst reich,

eine geachtete Person.

Man wird dich ehren!

Mord wird zum Geschäft,

Krieg ist Business!

Du staunst?!

Ja, es ist so!

Keinen stört das.

Milliarden für Waffen,

Abermilliarden für Wiederaufbau.

Begrabe die Toten,

lege dein Geld an.

Dollar, Euro, Yen.

Die Welt kann es nicht,

den Frieden finden,

solange die Gier herrscht.

Sie steht über dem Gesetz.

Wir verschließen beide Augen.

Paragraphen stehen für dich und mich.

Wir sind das Volk!

Das sagen sie immer.

Auf den Thronen da oben

gelten andere Normen.

Wir hören die Erzählung,

es sei ehrenvoll,

das Land zu verteidigen.

Irgendwo, in Asien oder Afrika.

Ganz weit weg …

Immer heißt es:

„Wir haben kein Geld!“.

Ja, weil der Tod es bündelt!

Er ist reich, hat den großen Koffer.

Ein guter Zocker …

Oui, je soutiens totalement ce que le Président de la République a dit au sujet de l’OTAN, n’en déplaise à Madame Merkel. L’Alliance atlantique est moribonde ! Le responsable de ce désastre est Donald Trump, qui n’en fait qu’à sa guise et qui impose à ses partenaires de se soumettre aux USA faute d’être punis. Il en va en particuliers des 2 % du PIB. Et puis il y a encore un problème de taille. Le président américain déteste l’UE et voudrait la voir s’effondrer. On pourrait se passer de tels amis ! Pour moi ce serait une raison de quitter au plus vite cette organisation, qui ne sert strictement plus à rien. Je ne verrais pas d’inconvénients que la France se conduise de la même matière qu’à l’époque de Charles de Gaulle, qui avait mis en veilleuse sa participation, l’époque, où le siège de l’OTAN fut transféré de Paris à Bruxelles. Ceci pour faire comprendre aux Allemands, que le temps des laquais devait être révolu. Je trouve pénible de voir l’attitude de la Chancelière qui comme d’habitude louvoie, n’a pas le pep de dire ses quatre vérités à l’être insensé qui occupe la Maison Blanche. « Je ne pense pas qu’un tel jugement intempestif soit nécessaire, même si nous avons des problèmes, même si nous devons nous ressaisir », a-t-elle déclaré. Voilà ce qu’elle a »pondu » aux côtés du secrétaire général de l’Alliance, M. Stoltenberg. «Les « termes radicaux » de M. Macron ne correspondent pas à « mon point de vue au sujet de la coopération au sein de l’OTAN » Je pense comme Emmanuel Macron, que nous sommes arrivés au point de rupture et que pour sauver ce qu’il y a encore à sauver, il ne faut pas mâcher ses mots. Lorsque les membres font n’importe quoi, comme la Turquie, qui ignore les règles de l’alliance, à quoi bon encore la maintenir en vie. « Vous n’avez aucune coordination de la décision stratégique des États-Unis avec les partenaires de l’OTAN et nous assistons à une agression menée par un autre partenaire de l’OTAN, la Turquie, dans une zone où nos intérêts sont en jeu, sans coordination, a-t-il souligné. « Ce qui s’est passé est un énorme problème pour l’OTAN. »
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Le 30ème anniversaire de la chute du mur de Berlin incite à la réflexion. C’est pour moi la preuve qu’il est vain de mettre les hommes en cage, car à un moment ou l’autre, ils feront la belle, comme certains prisonniers en cavale. Même si les chances d’une fuite sont des moindres, personne ne retiendra quelqu’un qui veut s’échapper, qui veut s’émanciper. L’instinct de la liberté sera toujours le plus fort. Je pense aux migrants, qui d’après la volonté de Donald Trump devraient butter contre un mur séparant le Mexique des USA. Ou tous ces malheureux qui risquent de se noyer en prenant place dans des embarcations vétustes afin de rejoindre par tous les moyens l’UE. La plupart savent qu’ils ne seront pas les bienvenus, qu’il y a de grands risques qu’ils soient poursuivis et pourtant rien ne pourra arrêter cet exode de leur pays natal. Il y a certes les conditions déplorables auxquelles ils ont été soumis, la disette, la répression de régimes bafouillant les droits de l’homme. Mais le fait de se sentir dans l’impossibilité de bouger, est une raison de taille d’essayer de s’échapper de la cage. Cela a été le cas des habitants de la RDA, qui se sentaient mis sous tutelle par un régime, qui par la répression, les a mis sous cloche. Mais lorsque une telle situation se présente, elle fait émerger d’autres sentiments. Une cage peut donner l’illusion qu’on se trouve en quelque sorte en sécurité, ce qui est évidement presque toujours un leurre. En ce qui concerne la RDA, les gens avaient une garantie de l’emploi. Ils pouvaient assurer leur quotidien, même s’il était des plus modestes. Weiterlesen

L’ambassadeur américain auprès de l’Union européenne, Gordon Sondland a admis qu’il avait fait pression sur le président ukrainien Volodymyr Zelensky afin que ce dernier fournisse à Donald Trump des informations sur les agissements du fils de Joe Biden en ce qui concerne sa participation à une société qui est reconnue être corrompue. Le but est de salir l’ancien vice-président afin que ce dernier soit mis au pilori par les électeurs lors des primaires démocrates. « Je me souviens maintenant avoir eu une discussion en tête à tête avec [Andreï] Yermak [conseiller de M. Zelensky] pendant laquelle je lui ai dit que le versement de l’aide américaine ne serait sans doute pas débloquée tant que l’Ukraine ne [publierait] pas la déclaration contre la corruption dont nous discutons depuis plusieurs semaines. » Il a donc essayé au nom de son patron de graisser la patte du président Zelensky. Il s’agit d’une enveloppe de 353 euros destinée pour l’aide militaire. C’est lors d’un entretien qui a eu lieu en Pologne que Gordon Sondland a fait cette offre. Des preuves sulfureuses au sujet du fils de Biden, contre la remise des fonds. Une méthode appliquée par les parrains, celle d’intimider certains décideurs. C’est du chantage ! L’ambassadeur s’est donc rétracté par rapport à une première prise de position, où il a nié être au courant, de ce qui s’était passé. Il a envoyé le 5 novembre une lettre à la commission de la Chambre des Représentants appelée à mettre en marche les mesures d’impeachment, pour une destitution du président, affirmant ne pas être si innocent. Weiterlesen

Vorgänge wie diese bringen die Regierung in Peking in höchste Not. Denn bislang gründete sie ihre Legitimität darauf, die 1,3 Milliarden Chinesen mit kontinuierlich wachsendem Wohlstand zu versorgen. Die Menschen bekamen Kleidung, Kühlschränke und Autos. Im Gegenzug ließen sie die Herrscher in Ruhe. Funktioniert dieser Deal nicht mehr, könnte die Partei schnell in Bedrängnis geraten.

Aus Angst, die Wirtschaftskrise könnte das ganze System zum Einsturz bringen, greift in Peking die Panik um sich. Kaum eine Woche vergeht, in der die Regierung nicht neue Maßnahmen zur Ankurbelung der Konjunktur ankündigt. Für mehr als 450 Milliarden Euro will die Regierung in den kommenden Jahren neue Flughäfen, Eisenbahnlinien und Straßen bauen lassen (wiwo.de).

Ja, auch die chinesische Mauer bröckelt.

Der Fall der Berliner Mauer hat zu einer neuen Ära der Freiheit in Europa geführt, während die Herrscher Chinas ein auf Unterdrückung aufbauendes ökonomisches Kraftzentrum schufen.

Inzwischen scheinen die Erweiterung der EU und jene der Nato – ja sogar der Zusammenbruch der Sowjetunion im Jahr 1991 – historisch weit weniger bedeutsam zu sein als Chinas spektakulärer Aufstieg nach 1989. Zur Erinnerung: 1989 betrug das Bruttoinlandsprodukt Chinas 8,2 Prozent des amerikanischen BIP. Heute liegt es laut Internationalem Währungsfonds bei 66 Prozent (nzz.ch).

Wachstum bringt gewöhnlich eine Mittelklasse hervor, und diese Mittelklasse will mehr als hohle Phrasen – selbst wenn sie keine Demokratie erwartet. Auch im heutigen China gibt es solche Leute – man denke an den Künstler Ai Weiwei – und ihre tiefe Unzufriedenheit mit dem Einparteistaat ist im Grunde wesensgleich mit der ihrer mitteleuropäischen Vorläufer.

Als Lehre aus 1989 sollte man nicht auf ein Regime wetten, das im Wesentlichen immer noch auf Lenins und Stalins Einparteistaat beruht. Gut – 70 Jahre nach ihrer Gründung ist die Volksrepublik zweifellos in besserer Verfassung als die Sowjetunion 70 Jahre nach der bolschewistischen Revolution. Zudem sind ihre Führer fest entschlossen, die Fehler der Sowjetunion nicht zu wiederholen. Deshalb wird es in China keine politische Transparenz („Glasnost“) geben – nicht einmal in Hongkong, und entsprechend in nicht allzu ferner Zukunft auch nicht in Taiwan.

Die chinesische Regierung ermutigt Banken, mehr Kredite zu vergeben. So will man den Folgen des Handelskrieges mit den USA entgegenwirken – eine riskante Rechnung. Denn mittlerweile wächst der Schuldenberg auf über 300 Prozent der Wirtschaftsleistung an.

Ökonomen warnen immer wieder vor einem explosiven Gemisch aus hoher Verschuldung und Preisblasen am Immobilienmarkt, an dem sich die nächste große Krise entzünden könnte. Die Regierung in Peking betont dagegen, dass die Schuldenrisiken insgesamt überschaubar seien.

Chinas Wirtschaftswachstum war im zweiten Quartal mit 6,2 Prozent so schwach ausgefallen wie seit 27 Jahren nicht mehr (n-tv.de, 18.07.2019), da die Nachfrage im In- und Ausland angesichts des Handelsstreits mit den USA nachließ. Um Investitionen anzukurbeln und Arbeitsplätze zu sichern, hat die Regierung Banken ermutigt, mehr Kredite zu vergeben, insbesondere an kleine Unternehmen. Sie hat auch Milliarden von Dollar an Steuersenkungen und Infrastrukturausgaben angekündigt.

Der Masterplan „Made in China 2025“, der die Volksrepublik zur technologischen Weltmacht erheben sollte, findet keine Erwähnung mehr. Dafür stehen jetzt die wirtschaftlichen Probleme der Volksrepublik im Vordergrund. Denn die chinesische Wirtschaft ist im Jahr 2017 noch um 6,9 Prozent gewachsen. Im vergangenen Jahr ging die Wachstumsrate auf 6,6 Prozent zurück, und für 2019 visiert die Regierung nur noch einen Zuwachs von 6 bis 6,5 Prozent an.

Woran erkennt man die Blase in China?

Es gibt dort seit 40 Jahren einen Boom ohne jegliche Preiskorrektur. In den Geisterstädten Chinas sind 50 bis 60 Millionen leerstehende Wohneinheiten gebaut worden. Es gibt Autobahnen ohne Autos, Flughäfen ohne Flugzeuge. Nur weil es 40 Jahre funktioniert hat, heißt es nicht, dass es normal und gut ist.

Noch wächst China mit 6 bis 6,5 Prozent. Offiziell! Aber wir wissen seit Jahren, dass die chinesischen Zahlen nicht stimmen. Auch die damaligen 15 Prozent haben nicht gestimmt. Das spielte aber keine Rolle, es war Boom, da macht man bei zehn oder zwanzig Prozent keinen Unterschied. Aber ob es sechs Prozent oder nur zwei sind, macht einen Unterschied. Noch dazu, wenn das die Investoren sehen: Es geht nicht mehr nach oben, es geht nach unten. Es kommt nicht nur kein neues Geld herein, es wird das alte abgezogen.

Lorsque Jean-Luc Mélenchon parle d’annexion en ce concerne la réunification de l’Allemagne , je ne suis pas aussi catégorique que Daniel Cohn-Bendit, qui prétend que ce que le leader der La France Insoumise dit est de la bêtise. Mes arguments ne sont pas seulement théoriques. Ils se basent sur ce que j’ai vu en RDA peu après la chute du mur de Berlin. Dès le mois de janvier 1990 je parcourais le pays afin de constater comment les relations entre l’Ouest et l’Est se déroulaient. Cela n’était pas du gâteau dans bien des cas. Je me suis rendu dans des fabriques, qui étaient, quelques semaines après le évènements, désaffectées, qui n’avaient aucune chance de survie, car ce qu’elles produisaient n’était pas à la hauteur des exigences qu’on attendait d’elles, qui travaillaient à pertes pour maintenir le plein-emploi qui existait jusqu’alors. J’ai vu un grand nombre d’anciens employés et ouvriers dans le désarroi, qui ne savaient pas comment il feraient pour survivre. Le 1er mars 1990 le conseil des ministres de la RDA sous la présidence de Hans Modrow décida de créer la Treuhand, une organisation chargée d’adapter l’économie aux normes de la politique sociale de marché. Son verdict fut impitoyable. La plupart des entreprises d’État n’étaient pas rentables et devaient être fermées. Du point de vue strictement mercantile une nécessité, humainement un désastre. Beaucoup d’entre-elles furent démantelées par les nouveaux acquéreurs, pour qui l’apport immobilier avait la priorité. J’ai vu des gens qu’on jeta littéralement à la porte, pour qui l’accès de leur ancien lieu de travail était interdit. Il y avait bien un filet de retenue dans le social, mais il ne correspondait en aucune manière à ce que les gens avaient connu en RDA. Il était impossible d’en vivre. Weiterlesen

Eine halbe Milliarde Jahre hat die Natur gebraucht, die irdischen Lagerstätten an fossilen Brennstoffen zu schaffen. Darin sind enorme Mengen Kohlenstoff gebunden und somit dem Kreislauf des Lebens und des Klimas entzogen. Seit 150 Jahren bricht der Mensch immer tiefer in Kohleflöze, Öl- und Gasfelder ein, verbrennt jährlich Milliarden Tonnen fossiler Energieträger und verwandelt sie in Gas. So verändert er die Zusammensetzung der Atmosphäre. Seit Beginn der Industriellen Revolution ist der Anteil von Kohlendioxid (CO2) in der Atmosphäre bereits um ein Drittel gestiegen, auf derzeit rund 380 ppm (part per million, ein Molekül unter 1.000.000 anderer Moleküle) (aachener-stiftung.de). Die Atmosphäre ist zur größten Müllkippe in der Geschichte der Menschheit geworden.

Regierungsparteien und die üblichen Experten fordern immer mehr Wirtschaftswachstum. Jedes Jahr, und immer möglichst viel. Denn sonst bricht das Wirtschaftssystem zusammen. Ohne ständiges Wachstum sind die Konsequenzen verheerend: Massenarbeitslosigkeit, Massenarmut, Kollaps von überschuldeten Staaten.

Der Club of Rome stellte bereits 1972 in seiner Studie „Die Grenzen des Wachstums“ fest, dass das Ende endlosen Wachstum nur eine Frage der Zeit ist. Regierungsparteien in aller Welt ignorieren das Problem entweder mit der Begründung, dass der Kollaps „noch nicht“ eingetreten sei, oder dass man ohnehin nichts dagegen unternehmen könne. Was die Regierungsparteien nicht begriffen haben: Die Grenzen des Wachstums sind längst erreicht. Der Kollaps läuft in Zeitlupe.

Raubbauökonomie und Ökologie sind immer noch unvereinbare Gegensätze, auch wenn immer wieder fälschlicherweise und vielstimmig das Gegenteil behauptet wird.

Immer wieder werden in der öffentlichen Debatte andere Länder benannt, die ein stärkeres, „vorbildhaftes“ Wachstum haben. Vor dem Jahr 1990 wurde Japan als das „große Vorbild“ dargestellt (bund-rvso.de, 13.04.2019). Die boomende japanische Wirtschaft wurde idealisiert und den deutschen Arbeitnehmern sagten Medien und Politik, sie sollten sich die Japaner endlich als Vorbild nehmen. Dann platzte 1990 in Japan (als Folge exponentiellen Wachstums) die Immobilienblase, die Börse ging in den Keller und von einem Tag auf den anderen war in Deutschland das „Vorbild Japan“ kein Thema mehr. Aufgearbeitet wurde dieser Medienflopp nie. Und die Staatsverschuldung mancher Länder, die uns heute als Vorbild dienen sollen, ist für die Medien wieder kein Thema.
Gerade die krisenverursachenden Immobilienblasen in Japan und noch vor wenigen Jahren in Spanien sind die klassischen Beispiele für zerstörerischen Endphasen exponentiellen Wachstums, aber gelernt wurde aus diesen Krisen nichts.

Muss denn alles immer größer, schneller, weiter werden? Eigentlich nicht! Wir müssen Fortschritt nach langem einmal wieder neu definieren.

Es geht in den meisten Fällen nicht um ein Immermehr, sondern um ein „Immerbesser“: um neues Wissen, das zu effizienteren oder energiesparenden Herstellungsverfahren, zu sichereren Produkten und deren leichterer Handhabung führt. Selbstverständlich kann man Briefe auch mit der Schreibmaschine statt mit dem Computer tippen. Aber eine E-Mail ist schneller. Und wer einmal einen Autounfall gehabt hat, weiß, dass der Airbag sehr wahrscheinlich Schlimmeres verhindert hat, und war dankbar dafür, dass das Auto dem Rettungsdienst die exakte Position der Unfallstelle automatisch übermittelt hat.

Wachstum zerstört die Umwelt! Länder wie China und Indien stoßen allein aufgrund ihrer hohen Wachstumsraten, die die OECD bis 2030 auf durchschnittlich 6,4 beziehungsweise 5,6 Prozent schätzt (brandeins.de), sehr viel Kohlendioxid (CO2) aus. Die stärksten CO2-Emittenten aber sind die dynamischen OECD-Nationen. Die amerikanische Energy Information Administration (EIA) schätzt den Ausstoß für das Jahr 2030 auf 10,5 Tonnen CO2 pro Einwohner, für China gibt sie einen Wert von 8,2 Tonnen an. Keines der schnell wachsenden Länder wird sein Wirtschaftswachstum aufgrund ökologischer Erwägungen bremsen wollen, noch immer ist dort die Grundversorgung der Bevölkerung mit Gütern des täglichen Bedarfs nicht gewährleistet.

Aber sind wir zuversichtlich: Je höher der Lebensstandard, desto höher das Umweltbewusstsein! Die westlichen Industrieländer haben die Ökologie seit den 1970er Jahren auf der Agenda. Unternehmen setzen umweltschonendere Verfahren ein und versuchen, bei der Produktion Energie zu sparen und Ressourcen zu schonen. Vieles davon ist längst noch nicht so weit entwickelt, so konsequent umgesetzt, wie es sein könnte. Aber der Anfang ist gemacht.

Es ist die Idee der Lebensveränderung, die bei den meisten Menschen nicht gut ankommt. Der Mensch ist ein Gewohnheitstier – aber Evolution heißt, sich neuen Gegebenheiten anzupassen.

Emmanuel Macron est en Chine, où il s’agira avant tout de donner un coup de fouet au commerce bilatéral. Il ne fait par pour moi aucun doute, qu’il faudra bien que l’UE se résolve à approfondir les liens avec Pékin, le cas échéant participer à la Route de la soie, que Xi a mis en route. Il y poursuit l’idée de Marco Polo qu’il faut à tout prix créer des liens plus profonds entre la Chine et l’Europe. Que c’était là que se trouve l’avenir. Il est clair que la démarche du gouvernement chinois qui investira des milliards est de créer des points de chutes en l’UE. Ce n’est pas sans raison que des ports italiens comme ceux de Gêne ou de Trieste ont été littéralement achetés par des trusts chinois, que ce pays s’approprie des entreprises de haute technologie comme Kuka à Augsbourg. Une société spécialisée en robotique. Il est clair si l’Europe ne réagit pas, il se peut bien que le patrimoine technique de l’UE passe en leur main. C’est sûrement avec cette épée de Damoclès campée sur sa tête qu’Emmanuel Macron tente de rééquilibrer la situation. Mais ce n’est pas simple, car dans l’optique du peuple chinois, La France est avant tout une nation caractérisée par« la littérature, le vin, le fromage », en oubliant que « c’est aussi un pays avec de grandes capacités industrielles et des entreprises présentes dans le monde entier » Après la commande passée au mois de mars de 300 appareils Airbus, il aimerait développer la filière nucléaire ce qui explique ses réticences de réduire le parc des centrales de ce type en France. Le tout avec en arrière.plan la guerre commerciale entre Pékin et Washington. Weiterlesen