À Angers un hypermarché met à disposition des clients le dimanche après-midi, des caisses automatiques sans personnel. Il y aura toujours des gens qui diront qu’un tel job n’est pas une panacée et qu’on peut bien s’en passer. Des remarques de bien nantis, mais ont-ils pensé aux conséquences sociales d’une telle initiative ? On n’en restera pas là. Si le pli est pris, il est à craindre que cette pratique se multiplie de plus en plus et que la France toute entière puisse être atteinte. Un syndicaliste de la CGT a dit : « C’est une régression sociale. La ligne de caisse représente des milliers d’emplois en France. Petit à petit, on va vers un basculement pour que le client fasse le maximum le travail d’un salarié » Pour l’instant il est question de mettre en pratique les caisses automatiques le dimanche de 13 à 21 heures. Mais personne n’est dupe. Il s’agit d’un projet pilote qui pourrait bientôt se multiplier pour arriver en fin de compte à un « dégraissage » généralisé et ceci en permanence sept jours sur sept. Le maire de droite, Christophe Béchu, a tweeté : « Qu’une grande surface veuille ouvrir le dimanche après-midi sans son personnel relève d’un non-sens économique et social. Cette décision participe à une surenchère dont personne ne sortira gagnant, car une société déshumanisée n’a pas d’avenir » Ce que la chaîne Casino pratique ici est un acte qui pourrait être dévastateur. En s’attaquant aux plus petits revenus, ce groupe remet en question les petits emplois, qui pour beaucoup de familles sont vitaux pour survivre. Ce Géant Casino emploie à l’heure actuelle 150 personnes. Qu’en serait-il si cette pratique venait à se généraliser ? Certains diront qu’on n’arrête pas le progrès, mais il faudrait s’entendre sur la définition à donner à ce mot. Si cela consiste de mettre en précarité des milliers de personnes, je ne vois pas ce qui pourrait être novateur. Weiterlesen
Monat: August 2019
Der Lauf
Hey Bruder,
hast Du jemals die Geburt
einer Quelle beobachtet?!
Wenn die Erde aufbricht
und das klare Wasser emporsteigt?!
Du fragst nach Kunst?
Die Inder sagen,
das Rauschen der Blätter
in den Baumkronen
sei das erste Gedicht,
das Plätschern des Flusses
der erste Gesang.
Die Sonne spiegelt sich
im Wasser, ein Funkeln,
wie tausend Diamanten.
Lege sie nachts
auf den schwarzen Samt
der Wasseroberfläche.
Du wirst reich sein!
Wassermassen still, warten,
bis ihre Zeit gekommen.
Sie stürzen sich in den Strom,
der alles mitreißt.
Hüte Dich vor der Masse,
sage es nur den Weisen,
sie werden verstehen.
Der Wasserfall,
kannst Du ihn hören?!
Das Spiel der Elemente,
die Luft lädt zum Tanze.
Der Sturz in die Tiefe,
der Lauf der Dinge,
niemand hält ihn auf.
Die Ruhe des Meeres
ist tückisch, glaube mir!
Vergiss die Tempestaden nicht,
in Bergen kehren wir zurück
zum Strand, um dort
tosend zu brechen.
Urgewalten …
Die Sonne wird brennen,
Wasser wird aufsteigen,
um herabzuregnen,
in der Erde zu versickern.
Wenn diese bricht,
kommt es wieder heraus,
sucht seinen Weg.
« La marche sur Rome »
Le 28 octobre 1922 Mussolini organisa « La marche sur Rome » afin de faire pression sur le gouvernement libéral qui était encore en place et sur le monde politique en général. C’était une étape décisive de la prise de pouvoir des fascistes qui a eu lieu 30 octobre. C’est une démarche qui semble inspirer Matteo Salvini qui exige qu’il y ait séance-tenante des élections. D’après les sondages il se verrait crédité de 36 à 38 % des voix et serait ainsi en mesure de former un nouveau gouvernement avec l’aide du petit parti de l’extrême-droite, Fratelli d’Italia. Il y a feu à la maison, depuis que le Mouvement cinq étoiles a voté non contre le projet de la construction de ligne de chemin de fer à grande vitesse entre Turin et Lyon, en dépit du oui de la Ligue. « Quelque chose s’est brisé dans la majorité ces derniers mois. » La Ligue a affirmé qu’elle ne voulait « ni davantage de fauteuils ministériels, ni un remaniement du gouvernement ». « Inutile de continuer comme ça, entre les “non”, les reports, les blocages et les batailles quotidiennes. Chaque jour qui passe est une journée de perdue, pour nous la seule alternative à ce gouvernement est de redonner la parole aux Italiens. » Il est évident que Matteo Salvini attendait cette occasion pour retirer son épingle du jeu. La situation pour la Ligue est si avantageuse, qu’il ne pouvait pas attendre. Guiseppe Conte, la marionnette qui occupe le poste de premier-ministre, a déclaré : « Ce n’est pas du ressort du ministre de l’intérieur de convoquer le parlement, ce n’est pas à lui de dicter les étapes de la crise politique ». Le chef du gouvernement a intimé à M. Salvini l’ordre de « venir expliquer aux électeurs qui croyaient à la possibilité d’un changement les raisons qui l’ont amené à interrompre brutalement , l’expérience du gouvernement, alors que la Ligue a obtenu pratiquement tout ce qu’elle voulait. » Weiterlesen
Brexit, la vie en rose ?
Le gouverneur de la banque centrale du Royaume Uni, Mark Carney, a prédit le pire pour son pays, s’il quittait l’UE sans un accord préalable. Un grand nombre d’entreprises ne seraient plus en mesure de fonctionner normalement. Sans le souligner particulièrement, il a mis en garde le gouvernement, qu’un grand nombre de faillites pourraient en résulter. Il n’a pas manqué de dire, que la grand distribution pourrait en être affectée, que cela pourrait aller jusqu’à des réductions importantes de l’offre, en particulier des produits provenant de l’UE. Comme dans d’autres pays, l’agriculture locale ne peut pas subvenir à la demande, qui est bien plus élevée. Pour pouvoir nourrir tout le monde, il faut importer des denrées. Ce ne sont pas seulement des produits exotiques, mais aussi l’alimentation de base. Sans demander au peuple de restreindre la consommation d’une manière drastique, je ne vois pas comment cela pourrait se dérouler. Il me paraît être évident que les prix vont augmenter considérablement, ce qui fera vaciller le marché et remettra bien des emplois en question. Du point social, l’État ne sera plus en mesure de donner des aides efficaces, vu la baisse des entrées fiscales. Boris Johnson et les adeptes d’un divorce violant, accusent Mark Carney de sinistrose. Il ne faut pas être un ponte en économie pour reconnaître que son analyse a du vrai. Je sais, j’ai déjà écrit pas mal d’articles à ce sujet, mais j’ai de la peine à comprendre que des politiciens jettent ainsi leur patrie en pâture, vont à contre-sens du bon sens. Ce qui se passe ici est en quelque sorte un suicide. Lorsque l’affectif prend le dessus, il ne peut plus y avoir un raisonnement logique. Weiterlesen
Plus d’eau au robinet
Près d’un quart de la population mondiale est menacée de pénurie d’eau. Lorsqu’on observe ce qui se passe dans la zone du Sahel ou dans les pays arabes, où il y a de moins en moins de pluie, il y a de quoi être des plus inquiets. Les populations meurent parfois littéralement de soif. « La pénurie en eau est la plus grande crise dont personne ne parle. Ses conséquences prennent la forme d’insécurité alimentaire, de conflits, de migrations, et d’instabilité financière », a déclaré Andrew Steer, PDG du World Resources Institute. Il y a pénurie lorsque l’eau à disposition des gens est inférieure à 1700 mètres cubes par an et par personne. L’Égypte et la Libye se trouvent pas exemple dans une situation dramatique avec 500m3. Pour pouvoir survivre, l’eau est pompée dans les nappes phréatiques, où les réserves s’épuisent de plus en plus. On s’attaque ainsi « au capital ». Il faut dans bien des cas s’attendre qu’elles seront bientôt à sec. « L’agriculture, l’industrie, et les municipalités absorbent 80 % de la surface disponible et des eaux souterraines lors d’une année moyenne », écrit l’institut. Cela mène, que nous le voulions ou non, à une mort certaine occasionnée par la soif et la disette. « Le monde devrait faire face à un déficit hydrique global de 40 % » dès 2030. Weiterlesen
Little Britain
Die EU wird uns einen super Deal geben, es wird uns hinterher besser gehen. Eben das war die Natur des populistischen Kreuzzugs, genannt Brexit: Lügen, Verführung, Muskelspiele. Das rächt sich nun.
Weil das Kalkül nicht aufging, droht Premier Boris Johnson mit No Deal. Dass der Crash am 31. Oktober kommt, wird immer wahrscheinlicher, und die Rhetorik, mit der die neue Tory-Regierung das Land überzieht, wird immer martialischer und orwellhafter. Letzte Woche tagte gar das „Kriegskabinett“, das den vertragslosen EU-Ausstieg vorbereiten soll.
Die Wirtschaftsministerin lud Unternehmer, die den Brexit „begrüßen“ sollen, zu einem „optimistischen“ Gespräch. Der Finanzminister gab Milliarden Pfund für die Vorbereitungen frei, mit denen, unter anderem, die „größte Informationskampagne seit dem Krieg“ (dpa) finanziert werden soll. Ein Not-Haushalt im Herbst wird nicht ausgeschlossen.
Der neue britische Premierminister Johnson will die EU Ende Oktober verlassen – notfalls auch ohne Scheidungsabkommen. Das dürfte die Wirtschaft schwer belasten. Das Pfund fiel zuletzt schon auf den niedrigsten Stand seit 30 Monaten. Im britischen Parlament gab es bislang keine Mehrheit für einen No-Deal-Brexit. Einige Parlamentarier aus Johnsons konservativer Partei haben signalisiert, im Zweifel gegen den Premierminister zu stimmen, um einen Chaos-Brexit zu verhindern.
Die EU-Kommission hat den ausgehandelten Austrittsvertrag mit Großbritannien als „bestmöglichen“ (reuters.com) Deal bezeichnet und Nachverhandlungen ausgeschlossen.
Ein Brexit ohne Deal dürfte die britische Wirtschaft schwer belasten, hätte angesichts der engen Wirtschaftsbeziehungen zu dem bisherigen EU-Land aber auch Auswirkungen auf den Kontinent. Wohl aus diesem Grund hatte das britische Parlament einen No-Deal-Brexit abgelehnt.
Boris Johnson trommelt mit allen Mitteln für einen EU-Austritt ohne Vertrag. Doch die Kampagne geht nach hinten los. Vielen Briten wird jetzt erst bewusst, was der Brexit sie wirklich kostet.
Denn zusammen mit den blumigen Versprechen für eine gloriose Zukunft und der kriegerischen Sprache werden, wiewohl ungewollt, Informationen mitgeliefert, die das Bild vom „easy peasy“ (sueddeutsche.de) Brexit plötzlich trüben.
Farmer in Wales, die 2016 die „Kontrolle zurück haben“ wollten, wie der Slogan der Leave-Kampagne lautete, werden nervös. Zum ersten Mal realisieren die Schafzüchter, dass ihnen ein riesiger Markt wegbrechen, dafür aber hohe Zölle ins Haus stehen könnten. Zum ersten Mal wird den Bauern klar, dass die Subventionen vermutlich nicht, oder nur kurzfristig, von London übernommen werden. Sie lernen: Es geht um ihr Geld, um Existenzen.
Plötzlich wird im Königreich diskutiert, wie hoch der Preis wäre, wenn es zum äußersten käme. Bisher war das eine vage Möglichkeit, jetzt wird es realer. Und die Angst wächst.
Es war der Traum, Großbritannien zu alter Größe zurückzuführen, genährt von der Erinnerung an die vermeintlich guten Zeiten, als die Kolonialmacht die halbe Welt beherrschte. Und mit dem Slogan von „Global Britain“ (welt.de), das an die Stelle der Mitgliedschaft in der EU folgen sollte, appellierten viele konservative Politiker genau an diese Sehnsucht.
Der Traum ist geplatzt. Jetzt kommt der Knaller: In diesem Jahr wird die indische Volkswirtschaft aller Voraussicht nach die britische abhängen – ausgerechnet eine einstige Kolonie überrundet damit die frühere Kolonialmacht, die damit in der Liste der größten Volkswirtschaften einen weiteren Platz absteigt (focus.de). Das wirft ein Licht auf die wahren Kräfteverhältnisse in der Welt, eine Welt, in der Großbritannien allein um seinen Platz kämpfen muss.
In Wales, Nordirland und Schottland wächst der Widerstand gegen den Bexit. In Schottland wurde bereits vor einiger Zeit der Satz geprägt, schlimmer als aus Brüssel regiert zu werden sei aus London.
Wird die Queen nach einem harten Brexit einen Teil ihrer Untertanen verlieren, weil die Schotten, Nordiren oder Waliser unabhängige Staaten anstreben? Diese Frage ist im Moment schwer zu beantworten.
„Die Mehrheiten für diese Entwicklung sind am Horizont noch nicht sichtbar, aber nach einem harten Brexit ist sicherlich alles im Fluss. Die Dynamik wächst“ (Katy Hayward, Soziologin an der Queen’s University in Belfast/Nordirland gegenüber dem Sender France 24).
L’arroseur arrosé !
« Les médias ont une grande responsabilité quant aux vies et à la sécurité dans notre pays. Les “fake news” ont contribué à la colère et à la rage qui se sont développées durant de nombreuses années. La couverture des informations doit commencer à être équitable, nuancée et non partisane, sinon ces terribles problèmes ne feront que s’aggraver ! » C’est-ce que vient de dire Donald Trump après les drames de El Paso au Texas et de Dayton dans l’Ohio qui ont fait 32 morts. Tout en condamnant le racisme et le suprématisme blanc, il cherche comme d’habitude un bouc émissaire. Il a ignoré que c’est lui qui attise constamment la braise. Par ses propos belliqueux, en particulier contre des gens de douleur, il a contribué à la mauvaise ambiance qui règne actuellement aux États-Unis. Si il y a un individu qui n’est guère nuancé, c’est bien lui. Son programme électoral se base sur l’exclusion. C’est la raison pour laquelle je considère son discours comme étant avant tout de la rhétorique ayant pour but qu’il ne soit pas pris dans la foudre de la critique de ses adversaires politiques. Il ne fait aucun doute, qu’il peut marquer ainsi des points chez ses partisans. Casser du sucre sur le dos des médias est un moyen efficace chez les conservateurs pour détourner l’attention du peuple, qui implique tous les maux au journalisme. Les gens oublient que la presse ne peut que partir de faits concrets. Donald Trump lui livre quotidiennement la munition. Dans ce cas-là il n’est pas erroné de parler de l’arroseur arrosé. « Quelque chose de bon, sinon de GRAND, doit résulter de ces deux événements tragiques », a-t-il poursuivi. « Nous ne pouvons pas laisser ceux qui sont morts à El Paso, au Texas, et à Dayton, dans l’Ohio, mourir en vain. De même pour ceux qui ont été sérieusement blessés. Nous ne pourrons jamais les oublier, ainsi que les nombreux autres avant eux. » Weiterlesen
Kaschmir
Indien will die Autonomierechte der Region Kaschmir beschneiden, um die das Land sich mit Pakistan streitet. Innenminister Amit Shah brachte am Montag im Oberhaus des Parlaments ein Gesetz ein, das die Aufhebung des in der Verfassung festgeschriebenen Sonderstatus für Jammu und Kaschmir vorsieht (nytimes.com).
Artikel 370 der Verfassung (wikipedia.org) garantiert dem indischen Teil Kaschmirs unter anderem eine eigene Verfassung, eine eigenen Flagge und weitgehende Kompetenzen mit Ausnahme namentlich der Außen- und Verteidigungspolitik. Der Staat Jammu und Kaschmir werde umorganisiert, sagte Amit Shah.
Kurz vor der Anordnung wurden führende Politiker in der Region unter Hausarrest gestellt, sowie Internet- und Telefonverbindungen unterbrochen (SPON). Dies ist der weitestgehende Vorstoß einer indischen Regierung zur Veränderung des Status quo in der Region in nahezu sieben Jahrzehnten. Er dürfte die Spannungen mit dem Nachbarland Pakistan erhöhen, das wie Indien Anspruch auf die gesamte Region Kaschmir erhebt.
Die beiden Atommächte Indien und Pakistan beanspruchen Kaschmir jeweils für sich und haben seit ihrer Unabhängigkeit vom Vereinigten Königreich im Jahr 1947 dreimal Krieg gegeneinander geführt. Die Regionalregierung von Kaschmir warnte letzte Woche vor einem bevorstehenden Angriff durch eine in Pakistan beheimatete Gruppe. Das Außendepartement EDA rät bereits seit längerer Zeit von Reisen in den indischen Teilstaat Jammu und Kaschmir ab.
Der seit 72 Jahren schwelende Konflikt zwischen Indien und Pakistan um das Grenzgebiet Kaschmir erreicht eine neue Spitze der Eskalationsstufe. Die indische Armee soll im Neelum-Tal, ein Teil Kaschmirs im pakistanischen Hoheitsgebiet Streumunition gegen unschuldige Zivilisten eingesetzt haben, so die pakistanische Armee neulich (merkur.de). Kurz darauf wurde im indischen Teil Kaschmirs eine Terrorwarnung ausgerufen. Touristen und Anwohner flüchten derzeit in Massen aus der bedrohten Region.
Historisch ist im Grunde genommen ein Konstruktionsfehler in der Trennung von Pakistan und Indien im Jahr 1947, der bis ins 19. Jahrhundert hineinreicht. Es geht um geopolitische Interessen zweier Länder (eigentlich dreier Länder, wenn man China mitrechnet), es geht um ethnisch/religiöse Zugehörigkeiten. Und neben dem Tauziehen zwischen Pakistan und Indien gibt es noch Unabhängigkeitsbestrebungen Kaschmirs. Ein Pulverfass!
Das Neelum-Tal liegt entlang der sogenannten Kontrolllinie, der faktischen Grenze zwischen Indien und Pakistan. Der Konflikt besteht, seitdem die indische Kolonie Großbritanniens im Jahr 1947 unabhängig wurde. Im Zuge dieser Unabhängigkeit wurde die Kolonie in Indien und Pakistan geteilt. Seitdem besteht der Konflikt um die Herrschaft über das Himalaya-Gebiet. Auch die Volksrepublik China erhebt Anspruch auf Teile des Gebiets.
Indien verdächtigt Pakistan, islamistische Kämpfer im indischen Teil Kaschmirs zu unterstützen. Die pakistanische Regierung in Islambad bestreitet dies (nzz.ch).
Vor einigen Monaten hatte Indien Angriffe auf pakistanisches Gebiet geflogen – erstmals seit dem Krieg 1971. Die Luftangriff hatte nach Darstellung der Regierung in Neu-Delhi einem Ausbildungslager einer Islamistengruppe namens Jaish-e-Mohammad gegolten, die einen Anschlag mit 40 Toten im von Indien kontrollierten Teil Kaschmirs für sich reklamiert hatte. Pakistan reagierte mit dem Abschuss zweier Luftfahrzeuge der indischen Luftstreitkräfte und bat jetzt die USA um Vermittlung in dem Konflikt.
Es bleibt nur zu hoffen, dass die Menschen verstehen, wie sehr das Eskalieren der jetzigen Indien-Pakistan-Krise auch ihr Leben in Amerika oder Deutschland beeinflussen könnte. Bis jetzt sind es „nur“ Tausende von Urlaubern die festsitzen bzw. schon in Panik abreisen.
Doch schon ein Krieg mit 100 Atomsprengköpfen zwischen Indien und Pakistan würde der Erde einen nuklearen Winter bescheren.
Noch gibt es nur diese eine Erde und ihr Erhalt ist durchaus sinnvoller als der Verkauf von Waffen zur Steigerung des Bruttosozialprodukts.