Non, Angie n’est pas habituée qu’on la contredise. Les jeunes loups de son parti lui reprochent d’avoir cédé trop de terrain en faveur du SPD, ceci dans le but de redevenir chancelière. Qu’elle ait apporté sur un plateau d’argent le ministère-clef des finances a été très mal pris. Aussi d’avoir cédé le ressort de l’intérieur à la CSU. C’est un problème bien allemand que de s’agripper au pouvoir. Helmut Kohl a été aux commandes pendant 16 ans. Angela Merkel atteindra aussi ce nombre d’années au bout de son mandat. Il est normal que la nouvelle génération de politiciens piaffe des pieds et jette à un moment l’éponge. C’est une des raisons pour laquelle ce parti est sclérosé. Des militants qui auraient été capables de reprendre les rennes, sont retournés dans la vie privée et font aujourd’hui carrière dans l’économie. Une hémorragie qui a conduit le pays dans un certain immobilisme intellectuel. Weiterlesen

Liebe Petra,

in den bewegten Zeiten, die wir durchmachen, hier ein Problem was mich sehr bewegt. Ich werde nicht so weit gehen wie damals Altkanzler Schmidt, der vor Menschen mit Visionen seine Scheu hatte, aber  so Unrecht hatte er nicht.

Vor einigen Tagen führte ich mit einem sehr engen Freund eine Debatte über das Dogma. Er geht vom Prinzip aus, dass es im Leben Regeln gibt, die unbedingt eingehalten werden müssen, vor allem bei der Religion. Als gläubiger Mann akzeptiert er das Dogma, ohne es zu hinterfragen, da es ein Gesetz Gottes ist und da er immer Recht hat, darf man daran nicht zweifeln. Ich bin immer erstaunt, dass so ein intelligenter und kultivierter Mensch solch eine Ansicht vertritt und antwortete ihm, dass es mein gutes Recht sei zu hinterfragen, aber das schien ihn nicht zu begeistern. Als nicht gläubiger Mensch könnte ich das nicht verstehen, sagte er mir. „Ich glaube an Gott und an Christus“, antworte ich ihm. Soll das bedeuten, dass ich meine Neugierde abschalten soll und jede Frage außer Acht lassen, mit dem Argument, dass sie nicht zulässig sei? Solch eine Auffassung erschreckt mich schon, denn in ihr steckt der Geist des Totalitarismus, der keinen Widerspruch akzeptiert. Ich denke, dass solch eine Denkart den Religionen schadet, weil sie durchaus in der Lage sind zu argumentieren – nur in der Debatte können sie lebendig sein. Alle Fragen über das Dogma zu unterlassen, ist brandgefährlich, denn das würde bedeuten, dass das Christentum zum Beispiel, nicht in der Lage sei, gesellschaftliche Entwicklungen zu berücksichtigen. Sie werden ganz einfach verworfen, weil sie unangenehm sind. Als ich ihn fragte, ob Gott selbst das Dogma festgelegt hätte, wurde es ihm unangenehm. Er sprach von den Vätern der Kirche, die schon wüssten, was sie angeregt hätten. Also war es nur eine Interpretation, eine von den Menschen festgelegte Regel, die natürlich auch einen politischen Hintergrund hatte, die vor allem das Ziel hatte das Volk ruhig zu stellen und die Menschen zu Knechten zu machen. Es ist erschreckend, wie viel Blut im Namen der Dogmen geflossen ist und schon aus diesem Grund, kann ich sie nicht dulden, da sie oft dem Evangelium widersprechen und das ist für mich die alleinige Referenz. Übrigens… mein Freund plädiert vehement für die Demokratie, für die Freiheit der Völker, für die Emanzipation durch die Kultur, für das Wissen, aber da denkt er anders. War es seine Erziehung? Ein Zeichen der Unterwerfung? Ich habe Mühe es zu glauben, aber wenn es ihm hilft, soll er daran sich halten!

Da mancher Politiker sich für Gott hält, baut er sich ein Dogma, an dem sich das Volk halten soll, sonst ab mit der Rübe. Was ich so salopp beschreibe ist leider die Regel in zahlreiche Nationen, aber auch der Terrorismus lässt sich davon beflügeln. Wer sich zum Beispiel nicht an die, von den Islamisten interpretierten Versen hält, gehört zur Schar der Ungläubigen und wird als Freiwild bezeichnet. Das bedeutet, dass diese Menschen „im Namen Allahs“ eliminiert werden können und das ist ein eklatanter Missbrauch des Korans. Dies zeigt wie ein Dogma entstehen kann und dass er feindliche Hintergründe verbirgt. Das war auch der Fall bei der Inquisition, die vor allem einen politischen Hintergrund hatte. Es ist eine sehr effiziente Methode, Macht mit Hilfe der Religion auszuüben. Eigentlich sind Dogmen ein Widerspruch zur Demokratie, das passt einfach nicht zusammen und ist auch ein Gegensatz zur Aufklärung. Dogmen schüren den Fanatismus. Es ist ein Trug zu glauben, dass sie menschlich sein können. Die schreckliche Blutspuren, die der Terrorismus hinter sich lässt, sollten uns nachdenken lassen, ob wir sie wirklich brauchen, um ein Zusammenhalt der Gesellschaft zu garantieren. Ich denke, keineswegs. Das bedeutet nicht, dass ich für eine gesetzlose Gesellschaft plädiere, aber ich verlange, dass mir das Recht eingeräumt wird, sie in Frage zu stellen. Die Französische Revolution hat gezeigt, wie weit es gehen kann, wenn das Volk geknechtet wird und die Wut, die daraus entstanden ist, hat den Terror geschürt. Die Dogmen des alten Regimes hatten die Untertanen wie Vieh behandelt und das mit Duldung der Kirche, die sich im Gegensatz zum Evangelium, den Pharisäer ergeben hatten. Wer vor 1789 religiös eingestellt war, musste den König als Halbgott betrachten und jeder Widerspruch wurde als Sünde eingestuft. Mit diesem Beispiel kann man gut sehen, wie der Missbrauch durchgeführt wurde und das hat – mit Verlaub – nichts mit der Passion Christi zu tun. Das ist schierer Absolutismus und daher nicht annehmbar. Man sieht hier, dass nicht alleine der Islam in solch eine Rolle gestupst worden ist, die theologisch nicht vertretbar ist. Das gilt auch für die rechtsextremistische Evangelikale in den USA, die die Schwarzen als minderwertige Rasse empfinden. Das hat zu einer Lynchjustiz geführt und das im Namen der Dogmen. Verwerflich!

In diesem Sinn, liebe Petra. Die Politik und die Schmerzen quälen mich zurzeit sehr.

Ich umarme dich.

Alles Liebe,

 

Pierre

//pm

 

La sœur de Kim Jong Un, le dictateur de la Corée du Nord, a transmis aux président sud-coréen l’invitation de son frère à se rendre d’ici peu dans le Nord pour le rencontrer. Moon Jaye-in Kim Yo-jong se sont salués chaleureusement dans la tribune officielle des jeux Olympiques d’hiver de Pyenongchang, où étaient aussi assis le vice-président des USA, Mike Pence. Il ne manqua pas de montrer sa désapprobation en observant ce qui se passa. Il est évident que Donald Trump ne verrait pas d’un bon œil que les deux Corées de rapprochent. Il en est de même pour le Japon. Sinzo Abe n’aurait pas intérêt s’il y avait, comme c’était le cas pour l’Allemagne, une réunification. Cela aurait dès conséquences économiques et politiques pour le Japon, qui ne seraient pas favorables. Il faut dire que les souvenirs de la seconde guerre mondiale, quant à l’attitude de ce pays, sont restés encore très ancrés chez les peuples de toute la région. Aussi la Chine est concernée, qui a été très frappée par les troupes nippones en Mandchourie. Il est évident qu’on ne peut pas oublier facilement les massacres qui ont eu lieu. D’autant plus qu’une vague nationaliste est à nouveau perceptible au Japon. Le refus complet de se doter un jour d’armes atomiques n’est plus si perceptible qu’il y a encore des années. Le nationalisme laisse des traces, qu’il sera difficile d’effacer. Il ne sera pas possible de négocier quoi que ce soit en Corée, sans la participation de la Chine, du Japon, des USA et peut-être aussi de la Russie. Weiterlesen

J’ai souvent un malaise lorsque j’entends parler de la méritocratie. C’est absolument positif de vouloir faire le mieux possible, de vouloir se hisser tout en haut de notre société, et ceci non pas par des intrigues, mais par le travail. Mais cela ne doit pas devenir une obsession comme c’est souvent le cas en France. Les concours sont la clef indispensable pour ouvrir la serrure des écoles. Mais par leurs propagations ils dévalorisent le bac. Pour ma part je serais plutôt enclin à le revaloriser. Puis, ne nous faisons pas d’illusions, c’est pour les jeunes une perte de temps, pleine d’angoisses et souvent marquée par la désillusion. Il faut avoir des nerfs solides pour supporter tout cela. Il est difficile de reconnaître la réalité. Quand seul un dixième ou moins des candidats qui se présentent, seront pris, cela équivaut à une loterie. Je connais la mère d’un jeune homme qui a fait plusieurs concours pour faire une école de kinésithérapie ou de nutrition naturelle. Les frais occasionnés ont été élevés. Sans de l’aide extérieure il est difficile de réussir. Et cela coûte beaucoup d’argent. Puis ce n’est pas tout. Si la réussite d’une école représentait une option effective pour l’avenir, je m’y opposerais moins. Ce n’est évidemment pas le cas. Weiterlesen

« La police de sécurité du quotidien » a été lancée hier par le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb. Il part du principe qu’il faut revaloriser la police communale et lui donner plus de prérogatives. Je pense qu’en opérant ainsi on s’achemine vers un système citoyen, qui consiste à rapprocher l’agent des gens du quartier. Lorsque je m’insère bien dans une cité, je peux créer un climat de confiance qui va bien au-delà d’un serrement de mains. En connaissant bien les personnes chargées de la sécurité, il est possible de faire de la prévention. Mais je suis malheureusement sûr, que cela ne pourrait passer que par la délation. C’est un point qui me gêne et qui pourrait déboucher sur des émeutes dans les cités. C’est justement ce qui doit être évité. J’essaie de m’imaginer, ce qui pourrait arriver au cas d’une mise en pratique, si des bruits obligeraient la patrouille d’intervenir, il serait très difficile pour eux de se taire. Les visées de la police de quartier est avant-tout sécuritaire. Parler de liens profonds et solides depuis des décennies, est une chose ; les mettre en pratique sans garantie de survie, me semble être une option trop chère pour les policiers. Je ne veux provoquer personne. mais je pense que la police de proximité aura des problèmes de trouver des collègues pouvant regarnir leurs rangs. Pour faire un travail utile, il faut avoir une formation qui dépasse de loin les normes actuelles. L’agent devra prendre des mesures qui sont celles des travailleurs sociaux. Weiterlesen

„Das Werk ist vollbracht, der Koalitionsvertrag steht“, schreibt Spiegel Online.

Einer der Punkte des 177 Seiten schweren Papiers ist die Digitalisierung. Inhaltlich zu diesem Thema erfahren wir Folgendes:

Bis 2025 soll es flächendeckend schnelles Internet mit Gigabit-Netzen geben, dafür soll ein Fonds von 10 bis 12 Milliarden Euro sorgen. Das Recht auf schnelles Netz soll gesetzlich verankert werden. Im Internet sollen weiter alle Inhalte mit gleichem Tempo transportiert werden – die Netzneutralität bleibt. Zudem soll es unter anderem eine Daten-Ethikkommission geben.

Union und SPD wollen dafür sorgen, die Löcher im Mobilfunknetz gemeinsam mit den Anbietern zu schließen.

Ab 2022 sollen die Bürger alle dafür geeigneten Verwaltungsdienstleistungen auch online ausführen können.

Deutschland ist, was die Kapazität des Internets und dessen Ausbau angeht, Entwicklungsland.

Man braucht Glück, um ordentliches Internet zu haben. Während Bewohner vieler Ballungsgebiete über Breitband-DSL-Anschlüsse mit passablen Übertragungsraten oft ruckelfrei ins Netz kommen, ist der ländliche Raum stellenweise digitale Provinz. Knapp ein Viertel der deutschen Haushalte kriegt nicht einmal 50 MBit pro Sekunde. In Regionen wie dem östlichen Bayern, Thüringens Südwesten oder Sachsens Südosten sind es weniger als die Hälfte. So der Stand im September letzten Jahres.

Deutschland hinkt hinterher, ist abgehängt von der Spitze.

Der dazumal zuständige Bundesminister Alexander Dobrindt (CSU) versprach, dass Deutschland nach dem versprochenen Ausbau zur Weltspitze in Sachen Breitbandinfrastruktur gehören werde. Im Moment sind wir aber noch weit davon entfernt. Jahrelang hatte man auf die Wirkmächtigkeit des Marktes vertraut und keinerlei finanzielle Anreize für einen Ausbau der Infrastruktur geboten.

Anders als in den Ländern mit der weltweit besten digitalen Infrastruktur, wie Südkorea oder Skandinavien, gab es hierzulande weder Subventionen, noch steuerliche Anreize für infrastrukturelle Investitionen. Erst seit 2014 bessert sich die Situation. Ab da werden jährlich Milliardensummen bereitgestellt, um den Rückstand aufzuholen.

Dass es höchste Zeit für einen Ausbau der Digitalinfrastruktur ist, bestreitet kaum jemand. An der Frage, wie dieser Ausbau vonstattengehen sollen, entbrennt aber ein Streit. Zwar gibt die Bundesregierung strategische Ziele vor, die erreicht werden sollen, doch gibt es keinerlei Vorgaben, auf welchem Wege man diese erreicht.

Unser Kupferkabelnetz ist nicht ausreichend! Glasfaserkabel ist zukunftsträchtiger, aber kostenintensiver als Kupferkabel. Glasfaser erlaubt Übertragungsgeschwindigkeiten von mehreren Gigabit pro Sekunde, der zu erwartende Anstieg der Gesamtdatenmenge durch die zunehmende Digitalisierung der Wirtschaft und immer datenintensivere Freizeitangebote wie unter anderem Virtual-Reality-Applikationen sind mit Glasfaserkabeln problemlos möglich.

Während andere europäische Länder, wie beispielsweise Spanien, den Netzausbau mit Glasfaserkabeln vorantreiben, lag Deutschland beim Glasfaser-Ausbau weltweit 2016 auf dem vorletzten Platz. Die Zielvorgaben der Bundesregierung werden deshalb ohne den nötigen Ausbau des Glasfaser-Netzes nur mittelfristig für die Verbesserung der Situation sorgen. Man hält sich immer noch mit der Frage auf, ob wir überhaupt mehr Geschwindigkeit brauchen (DIE WELT).

Die Datenmengen werden weiter steigen. Schlagwörter wie Industrie 4.0, Internet der Dinge und Virtual Reality gelten als Zukunftstechnologien und haben eines gemeinsam: Sie sind extrem hungrig nach Daten. Auch die Einführung des neuen Mobilfunkstandards 5G ist nur möglich, wenn die Funkmasten über Netzanschlüsse mit entsprechender Übertragungsgeschwindigkeit versorgt sind.

Aber es geht nicht nur um Übertragungsgeschwindigkeit. Die neuen Technologien benötigen auch Leitungen mit möglichst niedriger Reaktionsgeschwindigkeit. Zudem gilt es die Sicherheit der übertragenen Daten und die Energieeffizienz der Datenübertragung zu gewährleisten.

Nehmen wir an, die Koalitionäre hatten all diese Aspekte im Blick: der derzeitige Entwurf zum Netzausbau in Deutschland ist auf lange Sicht unzureichend. Und jetzt große Versprechungen, die bis in sieben Jahren realisiert werden sollen. Kann sich eine der stärksten Marktwirtschaften der Welt einen solch vergleichbar langen Zeitraum überhaupt leisten? Zudem darf man gespannt sein, ob die hochgesteckten Ziele bis 2025 überhaupt erreicht werden können.

Ist das druckfrische Koalitionspapier vielleicht schon jetzt überholt?!

Ouf… Nous n’avons pas affaire à l’homme de Cro-Magnon dont le nom aurait pu être Groko, mais bien à la formation d’un nouveau gouvernement allemand. Après 5 mois de perturbation, peut-être un retour à la normalité. Le CDU-CSU et le SPD se sont mis d’accord sur un programme et sur la répartition des ministères entre les partis de la coalition. Mais il y a encore un obstacle à surmonter, celui du plébiscite des membres du SPD. 460.000 militants seront appelés à donner leur avis. Il est question d’un feu vert. Comme nous le savons tous, le parti a toujours perdu des plumes lorsqu’il se trouvait dans une telle constellation, même si ses ministres ont effectué du bon travail. Les électeurs considèrent les sociaux-démocrates plutôt comme une formation dont le rôle est de se mettre de travers. C’est à dire de faire partie de l’opposition. Cet avis est si ancré dans les esprits, qu’une grande frange des camarades réagit de même. Ils croient que le SPD ferait mieux de se régénérer dans l’opposition au Bundestag, ce qui est à mon humble avis une illusion. Que puis-je tirer comme conclusion de ce qui s’est passé hier ? Je crois que la sociale-démocratie a été bien servie. Elle obtient les plus importants ministères, comme celui des finances, des affaires étrangères et celui du travail et des affaires sociales. Viennent s’ajouter celui de l’environnement, celui de la famille, celui de la justice et j’en passe. Puis il y a les correctifs au sein même du programme qui dans bien des points est plus social que celui du gouvernement précédent. Weiterlesen

Les jeunes consomment moins d’alcool, de tabac et de drogues. Ce sont les dernières statistiques qui l’indiquent. Je ne vais pas décortiquer tous les chiffres, qui sont encore assez élevés, mais plutôt essayer de me faire une idée de la situation en général, où se trouvent actuellement les jeunes adultes. Beaucoup d’entre-eux étaient de forts consommateurs, car ils craignaient que leurs perspectives d’avenir soient compromises. En ce qui concerne la formation, les jeunes Français se trouvent dans une situation plus difficile que celle des Allemands par exemple. Une fois de plus je veux parler des innombrables concours qu’ils doivent passer après par le bac, afin de pouvoir entrer dans une école professionnelle. Il est vrai que les places à pourvoir, sont assez réduites. Parmi mes connaissances, je connais un grand nombre de jeunes qui sont depuis des mois, sinon des années, en file d’attente et ceci avec une perspective réduite de réussite. Se trouvant dans une telle situation, il n’est pas étonnant qu’ils aient des doutes quant à leur avenir. Beaucoup d’entre-eux ont eu recours à la dive bouteille ou à de l’herbe afin d’atténuer leurs craintes. Il ne sert à rien de faire de la répression en ne tenant pas compte des raisons de telles dérives. Je pense que c’est du devoir de nos édiles de corriger certaines traditions, qui sont à mon avis obsolètes. Comme de vouloir trop tenir compte de la théorie au dépend de la pratique. Weiterlesen