Crier victoire, sauter de joie, non le cœur n’y est pas. L’armée du régime de Bagdad et les Peshmerga kurdes ont réussi après des mois de combats à reprendre la ville à l’EI. Mais que de victimes, de torturés, de violées, de larmes… Tout d’abord une pensée à toutes celles et à tous ceux qui ont subit des horreurs de la part des fous de Dieu. Mais il serait prématuré de parler d’une victoire totale. Le virus totalitaire d’un islam criminel, comme le condamne les imams qui traversent l’Europe pour redonner à la religion ses vraies valeurs, est profondément ancré chez tous ceux qui cherchent une quelconque légitimité pour assumer leurs viles instincts. Le vrai islam meurtris pas eux, se doit de se redresser, de montrer de l’humanité. Hier ces hommes ont déposé une couronne à Berlin, où a eu lieu l’attentat islamiste qui a causer la mort d’innocents qui flânaient sur un marché de Noël. Ils ont eu par la même occasion un dialogue avec les représentants des autres croyances. Le martyre de Mossoul est pour moi le symbole des coups portés contre une religion qui refuse le meurtre comme moyen de mission. Le dommage spirituel restera profondément ancré pendant des décennies, sinon plus, chez tous ceux qui vénèrent Allah pacifiquement. Je ne suis pas d’avis que lorsqu’on parle de l’EI il faille dissocier ce mouvement de la religion. Il s’attaque à elle dans ce qu’elle a de plus noble, la viole certainement, mais se réclame d’elle, même si le but recherché est avant tout le pouvoir. L’EI cherche a manipuler les versets coraniques à ses fins. Et ceci avec une perversité totale. Le temps n’est-il pas arrivé pour les musulmans de se resituer complètement, de se réformer comme l’a fait le christianisme ? Weiterlesen

Seit 20 Jahren gehört Hongkong wieder zu China. Die Hongkonger sind nach wie vor sehr selbstbewusst, lassen sich von Festland-China nicht alles gefallen.

Hongkong wurde während des Ersten Opiumkrieges 1841 durch das Vereinigte Königreich besetzt und durch den Vertrag von Nanking 1843 zur britischen Kronkolonie erklärt. Für viele Chinesen war die britische Kolonie Zufluchtsort vor dem Chinesischen Bürgerkrieg 1927 bis 1949 und der daraus hervorgegangenen kommunistischen Volksrepublik China. Im Jahr 1997 erfolgte die Übergabe der Staatshoheit an die Volksrepublik China. Seitdem ist Hongkong eine chinesische Sonderverwaltungszone unter Beibehaltung freier Marktwirtschaft und hoher Autonomie.

Als sich Chris Patten – der letzte britische Gouverneur – am 30. Juni 1997 ein letztes Mal an die Hongkonger wandte, lagen in seinen Worten Wehmut und Zuversicht zugleich. Er wusste schon bei Amtsantritt, was auf ihn zukommen würde. Patten spielte auf diese fruchtbare Mischung an, als er von den Werten Hongkongs sprach, welche die Zukunft in Asien wie auch anderswo auf der Welt prägen würden. Zwanzig Jahre später sind diese Werte, die der Brite hoffnungsfroh „universell“ nannte, unter Druck geraten – in Hongkong, aber auch anderswo.

Seit Hongkong in Chinas Schoss zurückgekehrt ist, befindet sich die Sonderverwaltungszone im permanenten Tauziehen mit Peking. Hongkong war zwar unter britischer Herrschaft mitnichten ein Hort der Freiheit und Demokratie. Doch Peking versucht, die Grenzen der Freiheit enger zu setzen, als sie im „Basic Law“ von 1997, einem von Briten und Chinesen gemeinsam ausgearbeiteten Grundgesetz für die Sonderverwaltungszone, festgeschrieben wurden. Ein „Anti-Subversions-Gesetz“, das Meinungs- und Versammlungsfreiheit massiv einschränken würde, Patriotismus-Unterricht als Pflichtfach und eine fingierte Wahlrechtsreform – all das wurde von den Hongkongern in den vergangenen Jahren abgewehrt.

In den neunziger Jahren stand „Made in China“ für billiges Kinderspielzeug und allerlei Plastikplunder. Inzwischen tippen wir auf in China gefertigten Laptops und Smartphones. Einige davon tragen chinesische Markennamen. Das Know-How holen sich Unternehmer und Staatsbetriebe in Amerika und Europa. Sie haben europäische Unternehmen übernommen, die qualitativ hochstehende Produkte oder Dienstleistungen anbieten – wie etwa in den Bereichen Roboter, Banking oder Agrochemie. Während die Investitionen ausländischer Firmen in China zurückgehen, sind jene des Reiches der Mitte in Europa letztes Jahr auf ein Rekordhoch gestiegen, sind im Vergleich zum Vorjahr um 77 Prozent gewachsen. Noch halten sich die neuen Eigentümer und Teilhaber im Hintergrund. Doch das Fundament, auf dem Chinas Machtanspruch steht, wird immer breiter.

Die Geschichte zeigt, dass sich Gewichte in der Weltpolitik verschieben. Chinas Aufstieg lässt sich nicht aufhalten. Er wird unsere Zukunft prägen und bringt uns viele Möglichkeiten und Chancen. Das wird unser Leben mehr verändern, als uns lieb ist. China ist kein Rechtsstaat, sondern ein autokratisches System, in dem das Recht dazu dient, die Macht der Kommunistischen Partei zu schützen. Das Regime zeigt uns immer wieder, dass es nichts von den Fundamenten einer freien Gesellschaft hält, nicht nur im Umgang mit Hongkong. Zuletzt machte es beim Gipfeltreffen zur „Neuen Seidenstraße“ deutlich, dass es sich nicht belehren lässt.

Im Gegensatz zur Bevölkerung Hongkongs fällt es dem Westen immer schwerer, für diese Werte einzustehen, je größer der chinesische Fußabdruck wird. Hongkong führt seit zwanzig Jahren einen Kampf für seine Werte. Die wenigsten denken dabei an Unabhängigkeit; sie wissen, dass dies angesichts von Pekings Übermacht utopisch ist. Aber die Hongkonger wollen nicht, dass ihre Stadt zu einer weiteren chinesischen Metropole wird, in der das Recht im Dienst der Partei steht und die Meinungsfreiheit noch mehr eingeschränkt wird.

Das Festland profitiert nach wie vor von der Offenheit und dem Ruf des Hongkonger Finanzmarktes. Die Region um das Delta des Perlflusses ist nicht zuletzt durch die Nähe zu Hongkong zu einer der dynamischsten des Landes geworden. Trotzdem wäre es Peking am liebsten, das Verhalten der Bevölkerung genauso zu kontrollieren wie auf dem Festland. Allerdings haben die letzten Jahre gezeigt, dass diese Versuche in Hongkong einen unerwünschten Effekt haben: Die Peking-kritischen Stimmen sind lauter geworden, und ein Teil der jungen Generation hat sich radikalisiert. Mehr Repression ist möglich, aber sie hat ihren Preis.

Noch ist Hongkong Chinas Fenster zur Welt!

Je me souviens de la chanson de Line Renaud que j’écoutais lorsque j’étais enfant. Elle l’a enregistrée une année après ma naissance en 1947. C’est dire que cela remonte à loin. Mais aujourd’hui il n’est pas question de chanson français, bien plus de la mise en application du CETA, l’accord de libre-échange entre le Canada et l’UE. Il sera appliqué provisoirement à partir du 21 septembre 2017, les parlements des pays-membres ne l’ayant pas encore ratifié. Justin Trudeau, le premier-ministre, insiste qu’il soit mis en application, car il est pour son pays une réponse apportée à l’isolationnisme que Donald Trump voudrait mettre en place aux USA. Même si dans le communiqué final du G20, les participants, dont l’Amérique, s’engagent à combattre le replis sur soi-même dans le domaine des échanges internationaux, il est probable que le Président ne se tiendra pas au traité. Pour le Canada une telle attitude est en tant que voisin un problème. Dans une interview que le jeune premier a donné hier au « Spiegel », il déclare, que tout au moins dans le domaine du climat et de l’écologie il négocie avec des État d’Amérique sans passer par Washington. Un peu ce qui s’est passé avec Pékin. Il est évident que cette manière de faire s’accentuera les prochains mois. À la longue cela pourrait paralyser la Maison Blanche. Elle a beau se retirer du traité de Paris, il est loin d’être dit, qu’aux États-Unis la pollution de l’air augmente. Weiterlesen

Vladimir Poutine et Donald Trump se sont rencontrés pendant deux heures et demi hier au cours du sommet du G20 à Hambourg. Une demi-heure avait été prévue. D’après les dires des observateurs les deux chefs d’États se sont bien entendus. Même un cessez-le-feu dans le Sud de la Syrie a été convenu. Ce dialogue était de part et d’autre d’une grande importance. Le président américain se devait de redorer son blason. En particulier la question de l’aide apportée par le Kremlin au candidat des Républicains n’a pas encore trouvé de réponse. Il est à prévoir que cela restera le cas pour longtemps. Il était objectivement nécessaire de donner aux relations bilatérales un coup de fouet. Barack Obama n’a jamais pu cacher l’aversion que lui témoignait le maître du Kremlin. Les rapports avaient atteint le point zéro. Il est évident que Trump devait se saisir de cette chances pour marquer des points. Deux hommes qui se considèrent comme étant supérieurs, n’ont visiblement pas eu trop de difficultés à se rapprocher. Avec son « America first », le président est très proche de la position de la Russie, celle du nationalisme. N’ayant pas la prétention de vouloir gouverner le monde, Trump n’a pas de visées hégémoniques. Au risque de s’isoler, il suit une politique de repli sur soi-même. Exactement ce que fait Poutine. L’un par conviction, l’autre parce qu’il y est forcé par la communauté internationale, qui lui reproche l’annexion de la Crimée et la guerre à l’Est de l’Ukraine. Weiterlesen

76 blessés légers, tel est le bilan de la grande manifestation contre le G20. La colère du peuple, peu importe de quelle origine il soit, est tout à fait compréhensible. Les chefs d’États et de gouvernements en font à leur guise, sans tenir compte de l’avis des citoyens, que ce soit pour l’environnement ou pour le commerce international. Ce que beaucoup de gens réclament, j’en fais partie, est une réflexion profonde au sujet de la vie en général. Au cours de ce sommet la misère qui sévit en Afrique et le calvaire de ses habitants seront à l’ordre du jour, mais j’ai des doutes qu’il en sorte autre chose qu’un nouveau modèle d’exploitation de l’homme pas l’homme. Cela démontrera, à moins d’un miracle, que la politique est souvent impuissante quand il s’agit de destins personnels. Dans un communiqué final, dont en aura filtré tous les points de litiges, il sera question de phrases creuses voulant démontrer un peu de décence, rien de plus. On ne peut pas reprocher à ceux qui défilent la rage au cœur, de pas être lucides. Ils savent parfaitement bien que de tels « tape-culs » n’ont qu’un but, celui de faire de belles photos de personnes se donnant la main et souriant dans la caméra. Peut-être est-ce demander trop de réclamer du concret. « Bienvenue en enfer ! », tel était le nom que ceux qui protestèrent ont donné à leur manifestation. Cela devrait faire réfléchir les gouvernants, ceux qui promettent à profusion le jardin d’Éden ou ce qui pourrait lui ressembler. Mais ceux-ci se calfeutrent derrière des vitres blindées afin de ne pas être pris pour cible pour un attentat. De la sécurité à outrance démontrant que beaucoup d’entre-eux sont mal-aimés. Weiterlesen

Katar droht, Trump telefoniert. Ein kleines Land – selbst auf der Landkarte – am Persischen Golf.

Kurz vor Ablauf des Ultimatums hatte Katar die Liste mit 13 Forderungen von Saudi-Arabien und seinen Verbündeten zurückgewiesen. Die Forderungsliste sei „unrealistisch und unzulässig“, sagte Katars Außenminister Mohammed bin Abdulrahman al-Thani nach einem Treffen mit Außenminister Sigmar Gabriel (SPD) in Doha.

Katars Außenminister sagte, auf der Liste gehe es nicht um Terrorismus, sondern darum, „der Meinungsfreiheit ein Ende zu setzen“. Saudi-Arabien und seine Verbündeten werfen der Regierung in Doha die Unterstützung von Terrorgruppen vor und verlangen von Katar unter anderem die Schließung des Nachrichtensenders Al-Dschasira, den sie der einseitigen Berichterstattung bezichtigen.

Al-Thani forderte, die derzeitige Krise am Golf müsse über den Dialog und auf der Grundlage der Nichteinmischung sowie der Achtung der Souveränität einzelner Staaten überwunden werden. Katar lehne eine Bevormundung, durch welchen Staat auch immer, ab, sagte al-Thani im Beisein von Sigmar Gabriel, der angesichts der Krise derzeit mehrere Golfstaaten besucht.

Die aktuellen Spannungen haben ihren Ausgang in einem politischen Affront genommen – oder einer Hackerattacke, je nach Sichtweise. Die staatliche Nachrichtenagentur Katars hatte am 24. Mai Meldungen veröffentlicht, in denen Katars Emir Positionen vertrat, die Saudi-Arabiens Interessen diametral entgegenstehen. In dem Text hieß es, das Staatsoberhaupt habe Iran als „islamische Macht“ gepriesen (Spiegel Online).

Die von Iran unterstützte Palästinenserorganisation Hamas wiederum sei „der legitime Repräsentant des palästinensischen Volks“, wurde der Emir zitiert. Im Übrigen unterhalte Katar „starke Beziehungen“ zu Iran, einem Land, das zur „Stabilisierung der Region“ beitrage. Ein Affront für die Saudis: Iran ist ihr Erzfeind und langjähriger Widersacher im Ringen um die Vorherrschaft in der Region. Das Problem: Katar dementierte die Aussagen umgehend.

Gabriel rief zum Dialog auf. Derartige Konflikte seien „nur am Verhandlungstisch lösbar“, sagte der Außenminister. Sie seien nicht lösbar durch die Fortsetzung von Konfrontation. Man habe den Eindruck, dass die Möglichkeit bestehe, „bei gutem Willen jedenfalls in einen Prozess einzutreten, bei dem man die strittigen Fragen klären kann“. Der Außenminister warnte, es bestehe auch die Möglichkeit einer Verschärfung des Konflikts. Trotzdem hoffe die Bundesregierung, dass die Versuche, gerade von Katar, den Konflikt nicht eskalieren zu lassen, fair beantwortet würden.

Katar habe in seinen Reaktionen auf die diplomatische Krise nicht mit Gegenmaßnahmen begonnen und nicht überlegt, wie es anderen Staaten ökonomisch oder politisch attackieren könnte, hob Gabriel hervor. Stattdessen habe die Regierung in Doha versucht, „zum Dialog“ aufzufordern.

Deutschlands Außenminister Gabriel hielt sich als erster ranghoher westlicher Politiker in der Katar-Krise am Golf auf.

US-Präsident Donald Trump schaltete sich bereits am Sonntag in den Konflikt ein und rief mehrere Staatschefs am Golf an. Dem Weißen Haus zufolge telefonierte er mit dem saudi-arabischen König Salman, dem Kronprinzen von Abu Dhabi, Scheich Mohammed bin Sajed al-Nahjan, sowie dem Emir von Katar, Scheich Tamim bin Hamad al-Thani. Er habe betont, dass die Einheit in der Region wesentlich sei, um das Ziel eines jüngsten Gipfels in Riad, den Terrorismus zu besiegen und Stabilität in der Region zu fördern, zu erreichen.

Ziel einer diplomatischen Lösung muss sein, dass jede Form von Terrorfinanzierung eingestellt wird. Die Bundesregierung und ihre Verbündeten hätten Hinweise, dass von einzelnen in der Region Extremisten finanziert würden, nicht nur von Katar.

Saudi-Arabien, Ägypten, Bahrain und die Vereinigten Arabischen Emirate werfen Katar neben der Unterstützung von Terrorgruppen auch eine zu große Nähe zu Saudi-Arabiens Erzrivalen Iran vor. Anfang Juni brachen sie ihre diplomatischen Beziehungen zu dem kleinen, aber reichen Golfemirat ab und verhängten eine Verkehrs- und Handelsblockade.

Katar hatte vorgestern den Krisen-Vermittlern in Kuwait seine Antwort auf die Forderungen seiner Gegner vorgelegt. Das Ultimatum zur Erfüllung der Forderungen sollte in der letzten Nacht auslaufen. Im Falle der Nichteinhaltung wollten die anderen Golfländer in Kairo über mögliche Konsequenzen beraten. Der UN-Sicherheitsrat hatte am Montag entschieden, sich vorerst nicht in die Katar-Krise einzuschalten.

Inmitten der diplomatischen Krise kündigte Katar am Dienstag eine kräftige Steigerung seiner Erdgasproduktion an. Bis 2024 werde Katar rund 30 Prozent mehr Erdgas produzieren.

 

 

Angela Merkel a dorénavant donné sa réponse à Monsieur Trump avant le G20. Elle a reçu aujourd’hui Xi Jimping, le président de la Chine. Les deux leaders ont décidé de développer encore bien plus leurs relations économiques et commerciales qui sont déjà au plus haut niveau. L’Empire du milieu est le principal partenaire de l’Allemagne en ce qui concerne les échanges. Les Américains sauront à quoi s’en tenir. Quand remarqueront-ils qu’ils risquent d’être ruinés. Je pense que la Californie et son industrie de pointe se démarquera de la politique complètement absurde de la Maison Blanche. D’après la constitution elle est en droit de négocier des accords avec des pays tiers, ce qu’elle a déjà fait avec Xi Jimping. Jerry Brown, le gouverneur, est prêt à se démarquer de l’État fédéral. L’État de New York et d’autre suivront, en particulièrement en ce qui concerne l’écologie. Cela reviendrait à dire que la même démarche pourrait se faire avec l’UE. Les fleurons de la technologie se démarqueraient ainsi des vues dépassées d’un président dépassé. Si j’étais américain je me ferais beaucoup de mouron en ce qui concerne l’avenir des enfants et des petits-enfants. Aussi l’accord de libre-échange entre le Japon et l’Union devrait être considéré comme une gifle donnée à tous ceux qui dénient nos valeurs, celle de l’amitié transatlantique. Mais attention, nous n’étions pas à l’origine de ces tensions. Weiterlesen

Et vlan ! Le virus Merkel a atteint le gouvernement français. Sa caractéristique sont les économies. Il ne faut pas vivre au-dessus de ses moyens, mettre des sous dans les bas de laine, pour rembourser les dettes. C’est effectivement une nécessité, mais il faut se poser la question si cela n’est pas mieux de générer plus de profit afin de stabiliser le budget. Je crains que des mesures d’austérité puisse tuer la poule aux œufs d’or. Il y a effectivement des activités dont on peut se passer, des administrations qui font du travail à double, peut-être trop de laxisme dans l’aide sociale. Dans ma région des gens touchent des allocations dont il n’aurait pas droit, si on refaisait un audit. Il y a effectivement beaucoup de gaspillage et là il faut être sans merci, utiliser le crayon rouge. Mais il faut aussi faire bien attention de ne pas dévaluer notre patrimoine comme cela se passe en République Fédérale. Nombre de bâtiments publics sont dans un état vétuste, parce que depuis des années rien n’a été investi. En particulier les écoles sont dans un état déplorable. Sans parler des autoroutes, qui sont actuellement en pleine restauration. Des centaines de kilomètres de chantiers et cela car on a négliger les travaux à faire. Les citoyens ont aussi appris qu’une majorité de ponts ne sont plus très surs. Par contre le budget est équilibré, mais à quel prix ! Le modèle allemand ne brille pas seulement par son efficacité. Édouard Philippe n’a pas évidemment pas pu ignorer la dette actuelle de 35.346 € par personne, soit un total de 2020 milliards d’euros. Pendant le quinquennat il est question d’économiser 60 milliards.;Les chiffres en disent long. Comme pour la Grèce il sera impossible de trouver avant longtemps des chiffres moins inquiétants. Weiterlesen