Il fêtera aujourd’hui le 14 juillet en compagnie d’Emmanuel Macron. Il verra défiler les troupes aux Champs-Élysée puis il ira déposer une gerbe sur la tombe du soldat inconnu. Voici en partie le programme auquel Donald Trump devra se soustraire. L’invitation de venir à Paris lui fera oublier, tout au moins pour un moment, ses déboires à Washington. Le Russiagate semble l’atteindre plus profondément que ce qu’il voudrait avouer. Il ne fait aucun doute que le premier homme des USA est affaibli, qu’il cherche toutes diversions afin de se soustraire à ses soucis. Malgré les critiques, il est bon que le Président l’ait accueilli en France. Il est bien connu que Donald Trump aime le faste et qu’il doit se sentir honoré de faire partie de la fête. Peut-être l’occasion pour lui de se modérer un peu. Emmanuel Macron lui a bien fait savoir, que dans le domaine de la protection du climat, leurs positions étaient très éloignées. Lors de sa réponse au cours de la conférence de presse, sa réponse n’a pas été aussi cassante que ce qu’on aurait pu attendre. Il s’efforça d’être diplomatique afin de ne pas blesser son hôte. J’ai l’impression que Donald Trump s’est roulé dans la farine. Je ne pense pas qu’il soit revenu sur ses positions, comme le mépris qu’il porte à l’OTAN, à l’UE qu’il voudrait voudrait voir éclater. Son intervention à Varsovie a montré son vrai visage. Tout cela Macron le sait, la raison pour laquelle il veut lui montrer que la position de la France restera immuable en ce qui concerne avant tout l’Europe. Je pense que son homologue américain a une certaine estime pour cet homme encore jeune, qui l’aborde à égalité, qui lui fait sentir qu’il ne se fera pas intimider par lui. Pour Trump un battant qui correspond parfaitement à ses vues de ce que devrait être un adversaire qu’il respecte. Un homme qui n’a pas de complexes de le contredire, qui lui tient tête. Des qualités indéniables pour lui, qui a toujours été habitué à se battre, que ce soit dans ses affaires – plus ou moins nauséabondes – ou dans la politique, où la provocation fait partie de sa panoplie de combat. Weiterlesen

Der Prolet am Platz,

Nähe des Hafens der

großen Stadt.

Wir zeigen´s der Welt,

wir sind auf der Höhe der Zeit.

Hab Hölderlin, Friedrich

und Schumann um mich.

Frage, was so romantisch war.

Zucken mit den Schultern,

glotzen blöd in die Gegend.

Sehen wir in den Spiegel,

erkennen die Fratze des Hasses.

Zorn auf die Anderen, wen sonst?!

Für uns selbst haben wir vor Langem

jeglichen Maßstab verloren.

Kinder des Computerzeitalters,

haben alles, können alles.

Verblöden! Blätter im Wind!

Wer sie zusammenfegt wird sie brauchen

… und benutzen.

Die Zeit geistiger Atemnot

ist angebrochen.

Schickt die Tauben, vielleicht

erreichen sie den Horizont.

Nun fremde Gefilde …

Le légendaire président Lula, l’icône de la gauche brésilienne, a été condamné à 9 ans et demi de prison pour corruption. Ceci dans un pays secoué par les affaires plus ou moins sulfureuses. L’actuel chef d’État, Michel Temer, l’homme qui a fait destituer Dilma Rousseff, se voit aussi reproché de combines plus ou moins correctes. C’est dire qu’il est difficile pour tout observateur de faire la part des chose concernant le procès Lula. Il a fait appel en prétendant que les accusations dont il était la victimes, étaient un tissu de mensonges. Tout est possible au Brésil à l’heure actuelle, mais une chose semble néanmoins être sûre, c’est que le régime est pourri, quel que soit le parti au pouvoir. Pour un pays émergeant ayant connu de graves revers économiques, cette situation est le moins qu’on puisse dire bancale. Pour sortir de l’ornière, ce grand pays aurait besoin de quiétude. Mais comment y arriver lorsque la haine semble avoir pris le dessus ? Mais malgré mes doutes, j’ai toujours un sentiment désagréable quand des gens de gauche sont mis en rapport avec de telles doutes, eux qui devraient prôner la correction et ceci au nom des plus dépourvus. Mais une chose est claire, l’appât du gain ne connaît pas de frontières. Je suis toujours à nouveau sidéré de l’importance que le matérialisme prend aussi chez ceux qui prônent la moralité. Et c’est là que la notion de l’excellence, pour Emmanuel Macron l’étalon incontournable, est à peine applicable, car elle ne tient pas compte de la vénalité humaine. Est-elle pour autant utopique ? Peut-être, mais cela devrait être le but recherché. Dans un monde où tout ne s’obtient qu’à coups de coudes, il est difficile de dissocier la volonté d’arriver avec les méthodes plus ou moins musclées appliquées par ceux qui veulent faire carrière. Weiterlesen

Édouard Philippe a déclaré dans une interview dans les « Échos » la baisse de la pression fiscales de 11 milliards en 2018. Il y aura moins de prélèvements obligatoires, la première phase de la suppression de la taxe d’habitation pour 80% des ménages sera effectuée, l’impôt sur la fortune remplacé par un impôt sur la fortune immobilière, etc. Afin de pouvoir assurer un taux d’endettement de 3% du PIB, comme Bruxelles l’exige il faudra faire des économies, notamment dans les budgets de la défense et du ministère de l’intérieur, ceci sans entraver la sécurité du pays. Il est toujours assez attractif lorsqu’un gouvernement annonce de telles mesures. Mais l’espoir de faire ainsi redémarrer la consommation n’est pas assurée automatiquement. Afin de donner de l’oxygène à l’économie il faudrait être sûr, que l’argent dépensé soit investi dans des produits français ce qui est loin d’être sûr. Ce qui compte pour assurer la relance ce sont les investissements. Et c’est là que le bât blesse, car nombre d’entreprises n’ont pas la trésorerie nécessaire pour effectuer des réformes. Il y aussi l’attitude restrictive des banques qui veulent éviter tous risques. Je me demande s’il ne serait pas plus opportun de placer les 11 milliards dans un fonds destiné à l’aide de l’industrie ? Donc de ne pas effectuer des baisses, mais de placer l’agent dans des initiatives qui à long terme assureront plus de chances sur le marché international. Il ne faut pas oublier dans ce contexte que les économies étatiques se feront aussi sentir sur les carnets de commandes des entreprises. Weiterlesen

Die Kanzlerin und CDU-Chefin als auch der sozialdemokratische Erste Bürgermeister Hamburgs brauchen nach dem G20-Gipfel eine schnelle, gemeinsame Botschaft: Sie loben die Polizei für den Schutz des Gipfels, verurteilen die Randale und versprechen schnelle Hilfe. Die Christdemokratin und den Sozialdemokraten verbindet durch G20 eine Schicksalsgemeinschaft. Sie wissen: Nach dem Gipfel ist vor der Krise, sowohl in der Innen- wie der Außenpolitik. Und gefährlich werden kann der G20-Gipfel auch nach seinem Ende.

Eine negative G20-Bilanz trifft vor allem Olaf Scholz. Der SPD-Politiker wird derzeit von allen Seiten attackiert: Hamburg sei der falsche Ort für einen G20-Gipfel, wird kritisiert; die Polizei hat für die einen zu weich, für die anderen zu hart reagiert. Und in Berlin fiel ihm just vor Gipfelbeginn SPD-Außenminister Sigmar Gabriel in den Rücken, als er vorschlug, Treffen der wichtigsten Industrie- und Schwellenländer nur noch in New York abzuhalten. Scholz hatte gerade betont, welche große Chance die weltweite Berichterstattung für die norddeutsche Metropole bedeute.

Aber auch für Merkel ist die Arbeit mit dem G20-Gipfel mit der Abschluss-Pressekonferenz nach endlosen Sitzungen und bilateralen Absprachen nicht getan. Denn im Wahljahr kann sich die CDU-Vorsitzende nicht leisten, dass das Treffen in Hamburg als Misserfolg in Erinnerung bleibt. Schließlich profitiert sie derzeit in Umfragen von der Einschätzung vieler Wähler, dass sie als Kanzlerin eine ordnende Rolle in der Welt spiele.

Dazu kommt, dass Merkel immer ein doppeltes Urteil aushalten muss – was teilweise widersprüchlich ausfällt. In der Innenpolitik fordern SPD, Grüne und Linkspartei von ihr die reine Lehre etwa in der Umweltpolitik – auch gegenüber Trump. Außenpolitisch musste sie aber die kompromissbereite Gastgeberin spielen. Dass US-Präsident Donald Trump beim Klima nicht einlenken würde, war dabei seit seiner Ankündigung letzten Monat klar, aus dem Pariser Klimaschutzabkommen auszutreten. Scherzhaft sprach Merkel vor dem Gipfel davon, dass sie vor einer „Quadratur des Kreises“ stehe.

Tatsächlich lenkte Trump zwar bei Themen wie Handel und Entwicklung weitgehend ein, blieb aber beim Klimathema hart – und beförderte die westliche Supermacht nach Ansicht auch anglo-amerikanischer Medien wie dem Guardian oder der Washington Post ins politische Abseits. Dass Trump am Ende sogar auf die Pressekonferenz in Hamburg verzichtete, unterstrich diesen Eindruck noch. Der innenpolitischen Konkurrenz kann Merkel jetzt entgegenhalten, dass sie keine Verwässerung der Klimaschutzpolitik zugelassen habe – der Konflikt mit den USA ist in der Abschlusserklärung jetzt vielmehr klar benannt.

Letztlich reiht sich der G20-Gipfel nur in eine Serie von Treffen ein, mit denen Merkel und internationale Partner Trump klar machen wollen, dass sein „America-First-Kurs“ nicht erfolgreich sein kann – und dass es bei einem schrumpfenden Anteil der USA an der Weltbevölkerung keine dumme Idee wäre, auch die Interessen der anderen mit zu beachten. Das Wort „Einhegung“ machte in Hamburg mit Blick auf den US-Präsidenten die Runde: Der Begriff beschreibt den Versuch, Trump mit immer neuen Verabredungen etwa zum Handel, zu Migration oder dem Finanzsektor schrittweise Grenzen zu setzen, die er nicht wieder überschreiten kann.

Die USA sind zufrieden. Das Treffen sei sehr konstruktiv gewesen, sagte der US-Außenminister: Die beiden Staatspräsidenten hätten schnell Kontakt zueinander finden können. Jedermann wisse, dass die Beziehungen zwischen den Vereinigten Staaten und Russland derzeit sehr belastet seien – deshalb sei es gut gewesen, sich in diesem ersten Gespräch nicht in der Aufarbeitung der Vergangenheit zu verheddern.

Die Chemie zwischen Trump und Putin hat offenbar auch insoweit gestimmt, als der Zusammenprall der beiden Elemente der Macht auch in einer der heikelsten Fragen nicht zur Explosion führte. Für die amerikanische Öffentlichkeit dürfte jener Teil des Gesprächs von besonderer Bedeutung gewesen sein, der sich mit der russischen Rolle während des amerikanischen Wahlkampfes auseinandersetzte. Denn die Intervention Moskaus zugunsten Trumps und zulasten Hillary Clintons hat zu der sogenannten Russland-Affäre geführt, die das ganze Land in Atem hält, mittlerweile einen Sonderermittler beschäftigt und wie eine dunkle Wolke über der Präsidentschaft Donald Trumps liegt. Er habe versucht, den russischen Präsidenten zu einer klaren Antwort zu nötigen: Was hat Russland da wirklich getan?

Putin habe darauf nach Beweisen verlangt. In dieser Situation habe sich der amerikanische Präsident entschieden, die Aufklärung dieser Affäre anderen zu überlassen – und lieber nach vorne zu schauen.

Das tun wir auch!

 

 

Lieber Pierre,

Gewalt ist kein akzeptables Mittel für politische Auseinandersetzungen und hier gilt null Toleranz! Niemand braucht niemandem die Schuld zuzuschieben oder gar Herrn Scholz verantwortlich zu machen und auch sonst niemandem. Wer hier einzig und alleine die Schuld trägt, sind radikale Extremisten und gewalttägige Randalierer, die jeden Anlass genommen hätten, um ihre blanke Wut loszuwerden. „Welcome To Hell“ lautet der Schlachtspruch derer, die nur blind zerstören wollten, ohne konstruktiv zu sein. Verwerflich und verabscheuungswürdig! Und es gibt kein „aber“ oder „oder“ – es gibt n u r ein klares Nein zu jeglicher Form von Gewalt. Wir konnten alle beobachten, dass in keinem der aufgetauchten Videos oder Live-Übertragungen Polizisten als erstes Gewalt ausübten, im Gegenteil. Dieses Ausmaß an linksgerichteter Krakele, die selbstverständlich auch rechtsradikales Gesocks und den kriminellen Pöbel anlockt, ist nicht hinnehmbar und stellt die demokratische Ordnung in Frage. Dagegen muss ein eindeutiges, schmerzliches Signal gesetzt werden. Absolut lächerlich von einer Provokation seitens der Polizei zu sprechen – diese Menschen haben für unsere Sicherheit ihr Leben riskiert. Das muss man mal klar sagen und die Schuldigen sind alle, die sich bewusst unter friedliche Demonstranten gemischt haben, um den G20 Gipfel zu einem Ort des Terrors zu machen. Anders kann ich es nicht nennen, was da angerichtet wurde und ich schäme mich, wenn das unsere eigenen Landsleute waren.

Wie viele Gewalttäter, die solche fürchterlichen „Protestaktionen“ machen, kann eine Demokratie vertragen? Die Frage stellt sich mehr denn je, wenn man Revue passieren lässt, was in den vergangenen Tagen in Hamburg ablief. Der Staat muss ganz eindeutig für Ordnung sorgen, um den Bürger zu schützen und sie taten ihre Arbeit gut. Das Vermummungsverbot ist der Schritt in die richtige Richtung und ein striktes Durchgreifen unabdingbar. Niemand würde etwas sagen, wenn Demonstranten ihrem Unmut friedlich Ausdruck verleihen, aber Gewaltakte dieser Kriminellen sind verboten. Das ist blanker Hass von Leuten, die sich selbst hassen! Ich fordere ein noch härteres Durchgreifen, die Linksradikalen/ Rechtsradikalen nehmen ihrerseits auch keine Rücksicht. Bürgerkrieg mitten in Deutschland? Soweit ist es noch nicht, aber wenn nicht ein klares, kompromissloses  Durchgreifen gegen diese Form von freigesetzter Gewalt garantiert wird, sind wir am Arsch…  und das bedroht unsere Demokratie mehr als uns lieb ist.

Harte Strafen für Terrorakte dieser Art – anders kann ich das, was beim G20 abgelaufen ist, nicht nennen. Es wäre an jedem anderen Ort auch damit zu rechnen gewesen und hier sind Radikale am Werk, die rücksichtslos zerstörerisch sind. Ob etwas vertuscht wird, kann ich ohne eingehende Recherche nicht sagen, lieber Pierre – wenn aber eines deutlich geworden ist, dann, dass wir in eine unruhige Zeit schlittern und mehr denn je zu Frieden und Wahrung unserer freiheitlichen, demokratischen Interessen aufrufen müssen. Was einem friedlichen Zusammenleben im Wege steht, sofort platt machen und in die Schranken verweisen – und zwar wesentlich konsequenter als bisher. Hut ab vor den Polizisten in Hamburg, die gute Arbeit geleistet haben!

 

Herzlichste Grüße aus der weltoffenen Stadt am Main,

 

Petra

© Petra M. Jansen

http://jansen-marketing.de

Toucher à la vache sacrée qu’est le nucléaire n’est pas tout repos en France. Nicolas Hulot, le ministre d’État de la transition écologique et solidaire, parle de fermer 17 centrales atomiques d’ici 2025 afin de réduire leur part à 50%. Elle est d’environ 76% de la production électrique à l’heure actuelle. Il veut réaliser les objectifs que s’étaient fixés François Hollande. Une mesure nécessaire, tant du point de vue sécuritaire que de celui de l’économie. Il s’agira d’ouvrir le marché à d’autres technologies, l’occasion pour la France de montrer de la créativité. Lorsqu’on sait que le nucléaire était jusqu’à présent synonyme de progrès technologique, un pan entier de la fierté nationale est en train de s’écrouler. Il est de ce fait absolument nécessaire de faire démarrer en parallèle des chantiers de hautes technologies dans le domaine des énergies renouvelables. Il ne s’agira pas seulement de gérer, mais de créer. Un certain retard a eu lieu, car il est difficile sans contraintes extérieures de se réinventer. Contrairement à l’Allemagne, où Angela Merkel a décidé au lendemain du drame de Fukushima de fermer successivement toutes les centrales atomiques. Aujourd’hui la part des éoliennes et du solaire augmente continuellement. Le but sera aussi de se passer de centrales thermiques dépendantes du charbon. Il faut noter, qu’Emmanuel Macron, au cours de la campagne électorale, était assez réticent lorsqu’il s’est agit de faire cette transition écologique. Il craignait que cette cure d’assainissement puisse donner un coup de grâce à la relance qui s’amorce timidement. Il y a dû avoir réflexion chez lui pour l’amener à soutenir la démarche de Nicolas Hulot. Je trouve bon qu’il ait cité des chiffres, de tenter l’essai de nous sortir du flou, comme l’avait fait Ségolène Royal. Weiterlesen

Liebe Petra,

es wird mir Angst und Bange, wenn ich sehe, was sich in Hamburg im Schanzenviertel abgespielt hat. Brennende Autos, verwüstete Geschäfte, das war das Ergebnis der Terrorwelle des Schwarzen Blocks. Vielleicht ein wenig mehr als tausend Randalierer gegen eine Übermacht an Polizei – es war die Rede von 20.0000 Männern und Frauen. Wenn ich sehe, dass die Ordnungskräfte so hilflos da stehen, frage ich mich, ob in Deutschland die Sicherheit garantiert ist. Nein, ist meine eindeutige Antwort. Wenn der Staat sich derart blamiert, kann man sich zu Recht die Frage stellen, ob er seine Verpflichtungen gegenüber den Bürgern erfüllt. Was in Hamburg geschah wird die Bundesrepublik erschüttern, weil die Effizienz ihrer Institutionen in Frage gestellt werden muss. Was geschah kann nicht rückgängig gemacht werden, aber es muss gehandelt werden. Es war im Prinzip richtig, die Demonstrationszüge zuzulassen, weil dieses Recht im Grundgesetz verankert ist, aber es müssen Lösungen gefunden werden um die Ordnung zu erhalten. Zuerst hätte die Polizei sehr viel härter gegen die vermummten Gestalten vorgehen sollen, aber die Angst vor einer Eskalation war der Ursprung der Zurückhaltung. Der Bürger hat ein Anrecht auf Sicherheit, denn dafür zahlt er Steuern! Im präzisen Fall der mich hier beschäftigt, denke ich, dass dies Thema des Wahlkampfes werden wird. Es werden Stimmen laut werden, die nach mehr Polizei rufen werden, denn es ist wahr, dass aus Sparmaßnahmen die Zahl der Beamten verringert wurde. Aber wie viele zusätzliche Beamte müssten eingesetzt werden, wenn tausende unter ihnen es nicht fertig bringen den Mob schachmatt zu setzen? Liegt es vielmehr an den Methoden und an der Taktik, die angebracht wird? Es wäre an der Zeit, sich zu fragen, wie man mit der Sicherheit umgeht. Es musste damit gerechnet werden, dass es im Schanzenviertel – eine Hochburg des Linksextremismus in Deutschland – nicht ruhig zugehen würde. Und jetzt, ohne die Verschwörungstheorie in den Vordergrund stellen zu wollen, gibt es Kräfte, die unsere Gesellschaft gewalttätig zerstören wollen. Sie gehören keineswegs nur einer bestimmten Richtung an, und doch geben sie mir den Eindruck – so unterschiedlich sie sind – an einem gleichen Strang zu ziehen. Ich möchte von den Rechtspopulisten, den Islamisten und den Extrem-Linken sprechen. Sehe ich einen Zusammenhang mit den Straßenschlachten der letzten Tage in Hamburg? Soweit würde ich vielleicht nicht gehen wollen, aber ganz ausschließen kann ich es nicht. Was mich stört, ist die Tatsache, dass man uns etwas vorenthalten will. Wer sind die Drahtzieher? Ist dieses Chaos nur im Kopf von Kleinkriminellen entstanden oder wurden sie dazu gelenkt? War nicht die Absicht, Angst zu verbreiten und die Hilflosigkeit des demokratischen Staates zu beweisen? Das geschieht keineswegs anders mit den Islamisten und ihren blutigen Attentaten. Sie erwischen uns im Tiefsten, was wir empfinden. Das zettelt die Neonazis – und all diejenigen, die die Nostalgie eines willkürlichen Staates hegen – an, die Fundamente der Demokratie anzugreifen. Ich kann nur feststellen, dass sich alles wie in einem Räderwerk abspielt und habe den fahlen Nachgeschmack von konzertierten Aktionen, die mehr oder weniger abgesprochen sind. Wenn wir an die Botschaft des 14. Juli glauben, müssen wir auf die Barrikaden steigen, mit dem Ziel unsere Werte zu verteidigen. Um effektiv zu sein müssen wir die Hintergründe kennen, aber das wird kaum geschehen, weil zu viele Menschen mitmischen, wenn es darum geht, das Etablierte zu zerstören. Es kommt bei uns Unsicherheit auf und wir haben Mühe, zu definieren. Das Beispiel der NSU-Affäre zeigt, wie verdunkelt wird. Kurzum: Ich verlange als Weltbürger, dass der Ursprung der Krawalle beim G20 untersucht wird, auch wenn – aus welchem Grund auch immer – alles verschleiert bleiben soll. Gegen Schatten zu kämpfen ist total frustrierend und bringt nichts.

 

In diesem Sinne.

Alles Liebe, Umarmungen

 

Pierre

//pm