D’après le conseil des prud’hommes de Paris, traiter quelqu’un de PD n’est pas une insulte homophobe. Cette dénomination étant entrée dans le langage courant, les juges la considère comme étant normale. Je trouve ce verdict absolument scandaleux. Que fera-t-on à l’avenir des injures comme « sale juif  ou sale arabe » ? Je pense que tous termes discriminatoires doivent être mis au pilori, qu’il n’y a pas circonstances atténuantes. Personne ne devrait être aussi aveugle de ne pas se rendre compte que l’homosexualité n’est pas encore acceptée par un grand nombre de personnes. Sans aucun doute on peut parler de ségrégation, même si les attaques se sont calmées un peu. Comme le démontre l’encyclique sur la famille et sur la sexualité publié hier par le Vatican, ce problème reste encore tabou. Mais si on prend en considération la Charte des droits de l’homme, l’esprit de la liberté individuelle ne peut pas être remis en question. Ce n’est pas le cas. Certains pays où le fondamentalisme religieux est de mise, vont jusqu’à condamner à mort les homosexuelles ou les lesbiennes. Tant que de telles pratiques sont de appliquées, il faut tout faire pour que dans nos sphères il règne la tolérance. Il en va d’un état d’esprit qui réclame de nous le maximum de respect. Le P et le D ne doivent pas devenir des armes avilissantes. Il n’y a qu’à jeter un coup d‘œil sur ce qui se passe dans les cours des écoles pour se rendre compte des dommages qui peuvent être occasionnés, plus encore sur le net, où des propos et des photos discriminatoires sont souvent publiées. Des attaques qui peuvent mener au suicide. Ce n’est pas de la bagatelle, au contraire ! Weiterlesen

Emmanuel Macron veut avoir le profil d’un rassembleur. Avec son nouveau mouvement « En marche ! », qui devrait tout aussi bien recruter des camarades socialistes et des membres du centre bourgeois, il désire avant tout se profiler. C’est un avis personnel que j’émets là. Le patron du Medef, Pierre Gattaz, s’est empressé de saluer cette initiative ainsi que l’ancien premier-ministre Jean-Pierre Raffarin. Ce n’est pas le premier essai d’attirer dans son giron tous ceux qui sont plus ou moins dégoûtés par la politique politicienne. Il y a de quoi, mais il serait illusoire de croire, que par de tels artifices le système soit réformable. Cela me rappelle la démarche de Valérie Giscard-d’Estaing lorsqu’il a réussi le temps d’une investiture à regrouper un grand nombre de modérés. Les réformes qu’il a voulu mettre en place, ne changèrent en aucune manière la société française. L’électorat l’avait bien compris et hissa ensuite à la présidence François Mitterrand. Son programme avait avant tout le mérite d’être clair. Ce n’était pas du flou, des paroles bien intentionnées qui ne peuvent qu’aboutir dans le néant. Je crains qu’Emmanuel Macron soit otage d’une utopie en croyant ratisser large. Vouloir plaire à tout le monde n’est pas forcément une garantie de succès. Je trouverais bien plus opportun, dans la situation déplorable que nous vivons, de redéfinir la gauche. De revoir notre copie sans à priori, d’être honnête et de reconnaître les erreurs faites. Il est malheureusement évident que la mayonnaise ne prend plus. Ce n’est pas un phénomène typiquement national. Le SPD est en ce moment plus ou moins en chute libre. Nombre d’électeurs traditionnellement de gauche, rejoignent l’AfD, comme c’est le cas chez nous avec le FN. Weiterlesen

Das Leben des John Doe ging im vergangenen Juni zu Ende. Um 04.30 Uhr, als gerade das Tageslicht angebrochen war, wurde er im Zentralgefängnis einer pakistanischen Millionenstadt gehenkt. Wegen einer Tat, die er im September 1992 begangen haben soll: dem Mord an einer Frau und deren zwei Söhnen. Damals war er 15. Als er starb, war er 38. Bis zum Ende beteuerte er seine Unschuld.

Der Pakistaner ist nur einer von mehreren tausend Menschen, die im vergangenen Jahr irgendwo auf der Welt von Staats wegen getötet wurden. Amnesty International nennt im neuesten Jahresbericht zur Todesstrafe eine Mindestzahl von 1.634 vollstreckten Todesurteilen – ohne die Zahlen aus der Volksrepublik China. Die tatsächliche Zahl an Hinrichtungen weltweit liegt vermutlich mehr als doppelt so hoch. Für 2014 hatte Amnesty noch 1.061 Hinrichtungen gezählt.

Für die internationalen Bemühungen um eine Abschaffung der Todesstrafe bedeutet dies einen herben Rückschlag. Für ein paar Jahre gab es tatsächlich Hoffnung, dass es mit dem grausamen Geschäft der Henker bald ein Ende haben würde. Aber weit gefehlt! Dies hat unter anderem mit dem Erstarken des islamistischen Terrorismus zu tun.
Pakistan zum Beispiel beendete im Dezember 2014 ein sechsjähriges Moratorium für die Todesstrafe, nachdem Taliban-Milizen beim Angriff auf eine Schule 150 Menschen ermordet hatten. Zunächst wurden mutmaßliche Terroristen wieder gehenkt, dann auch andere Verurteilte. Insgesamt waren es im Lauf des Jahres 326 Menschen. In der Henkerstaaten-Statistik 2015 liegt Pakistan damit auf Platz drei.

Den Spitzenplatz als „Top-Henker der Welt“ hält laut Amnesty International weiterhin China. Die genaue Zahl an Hinrichtungen wird von der Volksrepublik nach wie vor als Staatsgeheimnis unter Verschluss gehalten, weshalb auch Amnesty seit einigen Jahren keine Zahlen nennen kann. Die Menschenrechtler schätzen aber, dass sie immer noch „in die Tausende“ gehen. Ein Amnesty-Experte vermutet, dass China 2015 mehr Menschen hinrichten ließ als der gesamte Rest der Welt zusammen.
Andere Experten gehen für das vergangene Jahr von schätzungsweise 2.400 Exekutionen im Reich der Mitte aus.

Weltweit würde dies eine Mindestzahl von circa 4.000 Hinrichtungen bedeuten. Das hält auch Amnesty International für realistisch. Nicht überall hat der Anstieg allerdings seinen Grund im Kampf gegen den Terrorismus. Die Todesstrafe wird in manchen Ländern neben Kapitalverbrechen wie Mord auch wegen Korruption (China), Beleidigung des Propheten (Iran) oder Ehebruch (Malediven) verhängt.

Der Iran liegt 2015 mit mindestens 977 Hinrichtungen – die meisten davon wegen Drogen-Delikten – auf Platz zwei der Liste. Saudi-Arabien ließ 158 Menschen exekutieren. Diese Zahl wurde seit 1995 nicht mehr erreicht. Neben öffentlichen Enthauptungen gibt es dort auch die öffentliche Ausstellung von Leichen.

Selbst bei den großen Industrienationen gibt es erschreckende Zahlen. Die USA ließen 2015 28 und Japan 3 Leute exekutieren. Zu den insgesamt 25 Staaten, die hinrichten ließen, gehörten unter anderen auch Indien, Afghanistan, der Irak, Nordkorea und Ägypten. Weltweit sitzen derzeit mehr als 20.000 Menschen in der Todeszelle.

Gute Nachrichten für die Gegner der Todesstrafe: vier weitere Staaten schafften die Strafe endgültig ab: Surinam, die Demokratische Republik Kongo, die Fidschi-Inseln und Madagaskar. Von den 193 UN-Mitgliedern verzichten also jetzt 102 Staaten komplett auf die Todesstrafe – mehr als die Hälfte der Welt!
In Deutschland liegt die letzte Exekution rund 35 Jahre zurück: Im Juni 1981 ließ die DDR einen Stasi-Hauptmann rechtswidrig wegen angeblicher Spionage und versuchter Fahnenflucht hinrichten.

Die Bundesrepublik hingegen hatte schon im Grundgesetz von 1949 auf die Todesstrafe verzichtet. In dessen Artikel 102 heißt es knapp: „Die Todesstrafe ist abgeschafft.“

Le peuple des Pays-Bas a rejeté dans un référendum l’aide à l’Ukraine, que l’UE voulait accorder à ce pays. Plus de 61% d’électeurs ont voté non. Même si le taux de participation était très faible, c’est une victoire pour les populistes. Ne désirent-ils pas rompre avec l’Europe ? C’est aussi un signal assez fatal à ceux qui en Grande-Bretagne se sont engagés pour le Brexit. Cette évolution est dangereuse car elle pourrait précipiter l’Union dans la désintégration, ce qui ferait revivre des temps, que nous rejetons, ceux des conflits nationaux. Avec le chacun pour soi, il n’y aurait que des perdants. Mais il serait aveugle de ne pas se poser la question du pourquoi ? Qu’elle est la nature de ce rejet, qui semble se répandre comme une traînée de poudre sur tout le continent ? La plus grande tare de l’UE est qu’elle prend des décisions qui ne sont pas démocratiquement ratifiées par les peuples. Le processus parlementaire laisse encore à désirer. Les bureaucrates ont une puissance exagérée. Mais il n’y a pas que cela. Ce qui fait cruellement défaut est l’Europe sociale. Bien des personnes ont l’impression que Bruxelles ne sert que les lobbys du business au lieu de se creuser les méninges en ce qui concerne le bien-être de tous. Peut-être qu’une impression, mais elle prévaut dans les esprits. On ne peut pas s’attendre dans un tel cas de figure à un engouement populaire. Il serait donc plus qu’urgent de mettre le système européen sur l’établi et essayer de corriger le tir. Mais n’est-il pas trop tard ? Non, trois fois non, si on agit avec une telle mentalité on peut mettre immédiatement la clef sous le paillasson. Il ne faut en aucun cas abdiquer, au contraire. Il faut convaincre en faisant un sérieux pas en avant et en acceptant enfin les critiques fondamentales qui sont faites par une partie non-négligeable des citoyens. Weiterlesen

Fakt ist: Wer kein Talent hat, wird es auch durch die Internetpräsenz und eine Website, die vieles verbirgt und vertuscht, nicht bekommen. Fakt ist: Wer arbeiten nicht gelernt hat, wird die Kurve nicht kriegen. Verwöhntes Söhnchen, verwöhntes Töchterchen, die beim kleinen Aufschrei und Engpass tot gestreichelt und mit Moneten zugestopft werden. Tatsache, das sind unselbständige Personen, die niemals gelernt haben, auf eigenen Füssen zu stehen und Verantwortung zu tragen. Fakt ist: Wer hässlich und dick ist, ist kein Sympathieträger, denn es passt nicht in unsere Lifestyle-Welt. Dick ist nahezu asozial, egal wie man es drehen will und egal, wie tolerant und wohlwollend wir nicken. Dick ist schwerfällig und dick ist einfach nicht schick. Fakt ist: Wenn keine Ruhe in der Familienstruktur herrscht und geregelte Abläufe, wird es auch nichts mit dem beruflichen Erfolg, denn der ist eng daran geknüpft, wie man sein privates Leben organisiert. Geht’s zu Hause drunter und drüber, ist es im Job meistens auch so. Wer mit 40 noch nicht die Kurve gekriegt hat, sollte ernsthaft den Kurs korrigieren oder sich am Riemen reißen und endlich einmal die Stärken und Schwächen rausarbeiten und nicht auf allen Hochzeiten tanzen wollen. Polarisation heißt das Zauberwort. Jeder hat eine Stärke, es gilt, sie zu finden und zu nutzen, aber bitte quälen sie nicht die Menschheit mit oberflächlichem Scheißdreck oder völlig daneben liegendem Behavior. Fakt ist: Eine schlechte Qualität kann durch nichts schöngeredet werden. Es sei denn, man hat gerade einen sozialen, emotionalen Moment, in dem man Gnade walten lassen möchte (mehr die Mitleidsschiene). Niemand kann etwas hoch pushen und auf die Bühne zerren, was grottenschlecht ist und erwarten, dass das Publikum Beifall klatscht. Entweder der/ die Person hat das Zeug, die Menschen zu faszinieren und anzusprechen oder man geht besser hinter die Theke und verkauft Allgemeingut und hält ganz einfach die Klappe.

Fakt ist: Wir haben enormen Konkurrenzdruck und die Zeit des Mittelmaßes ist vorbei. Wir wollen aussagekräftige, authentische Leute, die etwas zu sagen haben und entweder tun sie das laut, verrückt oder absurd – aber sie tun es irgendwie „anders“ und oft mit großem Talent. Es schreit die Zeit nach guten Leuten. Fatalerweise ist unsere Gesellschaft so übersättigt und behäbig, dass sie sich in sehr wenigen Fällen aus dem Fenster lehnen oder – sofern das beabsichtigt ist – auch wirklich ernsthaft unterstützen oder kaufen. In den Social Media Communities herrscht reges Treiben. Dort sind sie alle und geben Beifall oder Blödsinn von sich, aber entscheidend ist, wie sich das alles im realen Leben rechnet. Ob sich Qualität wirklich durchsetzt, entscheiden am Ende immer die Konsumenten und Käufer. Aber was ist, wenn sie selbst schon abgestumpft und oberflächlich sind und – durch die mediale Konsumgesellschaft – eher auf „Zweitklassiges“ und Trivial-Dinge gepolt sind? Oftmals wird mehr geplappert als entschieden und am Ende sind wer die Verlierer in dem Wust? Richtig. Wir selbst! Es ist am Ende tatsächlich der Mensch, der Verbraucher und der Konsument, der mehr und mehr an Qualität und Anspruch verlieren wird, wenn er die Perlen nicht schätzen lernt. Und die Erschaffer müssen großes Talent, Kontinuität und Qualität beweisen, wenn sie bestehen wollen. Es ist nicht immer einfach, die Spreu vom Weizen zu trennen, aber es lohnt sich. Für uns alle, die ein interessantes und lebenswertes Leben mit Werten und Anspruch leben wollen und nicht eine banale Nachwelt von Modepuppen, Betrügern, Narzissten, Terroristen, Ausbeutern und medien-weichgespülten Robotern hinterlassen wollen, die das Denken verlernt haben.

Fakt ist: Dazu gehört es, dass sich jeder auf den Hintern setzt und sein Bestes dazu beisteuert und auch dem gegenüber Respekt und Wertschätzung entgegenbringt, der es verdient hat. Und zwar nicht nur virtuell mit einem dummen Däumchen nach oben, der so unwichtig ist wie künstliche Fingernägel.

 

© Petra M. Jansen

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Le Parti Républicain se trouve dans une crise sans égale depuis sa création. Avec la candidature de Donald Trump, il est en train d’imploser. Même si ce dernier n’a pas gagné cette nuit la primaire du Wisconsin, il est un élément perturbateur, qui même s’il n’était pas nommé, causerait un dommage durable. Ted Cruz, le challenger n’est pas mieux. Il a des idées ultra-conservatrices et serait politiquement également nocif pour les USA. On est à des années lumières d’un Abraham Lincoln qui a délivré les noirs de l’esclavage. Le « old grand party » représentait à l’époque une autorité morale. La guerre de sécession a été avant tout menée pour sauvegarder les droits de l’homme. Quel contraste avec les propos racistes d’un Trump ou sectaires d’un Cruz ! Sans aucun doute l’éléphant boite. Les États-Unis se trouvent à la croisée de deux chemins. Il en va des libertés, de la démocratie et avant tout d’assurer un leadership dans un monde de plus en plus agité. Même si je ne suis pas un inconditionnel de Madame Clinton, je ne vois pas d’autres solutions que de voter pour elle. Rien contre Bernie Sanders, qui ose enfin mettre la justice sociale au premier plan, mais peut-il assurer la présidence ? Il faut être aujourd’hui des plus pragmatiques et tout faire pour éviter l’élection d’un incompétent à la tête de la Maison Blanche. Nous avons un urgent besoin aujourd’hui de chefs d’États qui regardent plus loin que leur bout du nez, qui arrivent à maîtriser les crises. Et comme nous pouvons nous en apercevoir, elles sont entrain de nous submerger, que ce soit au Proche-Orient, à la bourse ou dans les pays émergeant. Il y a malheureusement beaucoup de pain sur la planche. Nous avons vu avec Vladimir Poutine, où un autoritarisme mal placé peut mener. Il en serait de même avec un Trump ou un Cruz. Weiterlesen

Joseph Medicine Crow, an acclaimed Native American historian and last surviving war chief of Montana’s Crow Tribe, died at the age of 102.

Medicine Crow passed away on Sunday.

As a member of the Crow Tribe’s Whistling Water clan, Medicine Crow was raised by his grandparents in a log house in a rural area of the Crow Reservation near Lodge Grass, Montana.

His Crow name was „High Bird“. In times of his childhood he was listening to stories about the Battle of Little Bighorn from those who were there, including his grandmother’s brother, White Man Runs Him, a scout for Lieutenant Colonel George A. Custer.

His grandfather, Yellowtail, raised Medicine Crow to be a warrior. The training began when Medicine Crow was just 6 or 7 years old, with a punishing physical regimen, included running barefoot in the snow to toughen feet and spirit.

In 1939 Medicine Crow became the first of his tribe to receive a master’s degree in anthropology. For decades he served as a historian, cataloging his people’s nomadic history by collecting firsthand accounts of pre-reservation life from fellow tribal members.

Herman Viola, curator emeritus at the Smithsonian Institution’s National Museum of American Indians once said, that meeting Joe Medicine Crow meant shaking hands with the 19th century.

During World War II, Medicine Crow earned the title of war chief after performing a series of daring deeds, including stealing horses from an enemy encampment and hand-to-hand combat with a German soldier whose life Medicine Crow ultimately spared.

„Warfare was our highest art, but Plains Indian warfare was not about killing. It was about intelligence, leadership, and honor“, Medicine Crow wrote in his book Counting Coup in 2006.

Soon after returning from Europe, Medicine Crow was designated tribal historian by the Crow Tribal Council.

With his memory being prodigious, Medicine Crow could accurately recall decades later the names, dates and exploits from the oral history he was exposed to as a child. Those included tales told by four of the six Crow scouts who served at Custer’s side at Little Bighorn and who Medicine Crow knew personally.

Medicine Crow embraced the changes that came with the settling of the West. He worked to bridge his people’s cultural traditions with the opportunities of modern society. His voice became familiar to many outside the region as the narrator for American Indian exhibits in major museums across the country.

He walked in both worlds, the white one and the Indian world, and he was aware of the fact that education was the key to success.

Steve Bullock, governor of Montana, said Medicine Crow was an inspiration to his tribe and others.

President Barack Obama awarded Medicine Crow the Presidential Medal of Freedom in 2009.

During the White House ceremony, Obama referred to Medicine Crow as „a good man, a ‚bacheitche‘ in Crow.“

„ … (his) life reflects not only the warrior spirit of the Crow people, but America’s highest ideals,“ Obama said.

He was nominated for the Congressional Gold Medal and was awarded honorary doctoral degrees from the University of Southern California and Montana’s Rocky Mountain College.

Even after his hearing and eyesight faded, Medicine Crow continued to lecture into his 90s on the Battle of Little Bighorn and other major events in Crow history.

His wife died in 2009.

With the death of Medicine Crow an era comes to an end. May he rest in peace!

 

Non, je ne veux pas parler d’un duel entre Nadine Morano et François Hollande mais entre Nadine, notre Jeanne d’Arc du 21ème siècle, et le Pape François. Depuis que cette politicienne du Parti Républicain s’est mise en tête de sauver la France des griffes, notamment de l’islam, elle s’est mis en touche de sa formation. D’autant plus qu’elle a mis en avant l’aspect racial en parlant de la civilisation blanche. Elle est la démonstration même de la prise en otage du catholicisme en particulier par des milieux intégristes. Aussi le FN subit leur influence. Des personnes n’ayant rien d’autre de chrétien, que leur fanatisme et la nostalgie d’un temps révolu. Si révolu que ça ? Parfois je me pose la question en lisant les nouvelles internationales concernant aussi les évangélistes américains, qui marquent des points en propageant des idées les plus restrictives possibles. Pas l’ombre de l’amour du prochain, d’une tolérance qui est la condition absolue pour comprendre l’Évangile. Le Pape François devrait être dans les yeux de notre super-catho la personnification même du diable. Comment ose-t-il prétendre que la France n’est pas assez laïc ? De soutenir les frères et les sœurs pratiquant le culte musulman, leur assurer sa sympathie? À ma connaissance il n’a pas appelé les croyants à partir en croisade contre le croissant rouge. Il voit plutôt la possibilité pour tous ceux qui croient au même Dieu de vivre en pleine harmonie, les juifs inclus. Mais aussi ses rapports avec d’autres mouvements spirituels comme le Bouddhisme, sont caractérisés par le respect. De même par rapport à tous ceux qui se déclarent être non-croyants. Et de surcroît il entretient des relations avec tous ceux, qui a priori sont rejetés par Nadine Morano, comme les homosexuels. Il leur tend la main, ce qui n’est pas forcément conforme à la doctrine vaticane. Weiterlesen