Pour quelqu’un habitant près d’une frontière, je ne peux que douter des contrôles effectués au passage d’un pays à l’autre. Maintenir la présence de la police à ces endroits jusqu’à la fin octobre 2018 est plutôt une mesure psychologique, ayant comme but de rassurer les citoyens. Je vis sur le territoire national près de Genève, une ville connue pour ses trafics politiques, frisant souvent ceux de la criminalité, du terrorisme. Comme métropole internationale, il y a des fluctuations importantes au sein de la population appartenant de près ou de loin à la diplomatie. Pour tous ceux disposant de papiers liés à leurs fonctions, de grandes dérogations sont faites. Le fait d’appartenir à cette caste, s’en est une, leur permet une plus grande mobilité. Ils sont à l’abri de trop de contrôles. À la frontière on les fera tout simplement passer. De même pour bon nombre d’infractions, qui dans les plus mauvais des cas se terminent par une expulsion. Ils disposent aussi de la valise diplomatique pour être à l’abri de fouilles. Et j’en passe ! C’est plutôt dans ce milieu que se trouve les ingrédients menant à des attentats. Accès pour ainsi impossible ! Weiterlesen
Le train-train
Il y a de quoi râler lorsqu’on se trouve massé sur un quai de gare et que le train qu’on attend ne vient pas. La grève a été cette fois-ci moins suivie qu’en mars. Les cheminots sont-ils en train de remarquer, que leur mouvement va dans le sens contraire à une évolution, celle du marché libre, que je trouve parfois regrettable lorsque il s’agit du service public. Il y a les prestations que tous les citoyens sont en droit d’attendre. Celles d’être ravitaillés en eau, en électricité et j’en passe. Des besoins vitaux pour assurer la survie de tous et ceci sans exception. Il est indéniable que la mobilité entre aussi dans ce contexte, mais les règles de jeu ont changé. L’UE attend de la libre concurrence une amélioration pour tous ceux qui prennent le train. Mais comme on l’a vu en Allemagne, ce n’est pas forcément le cas et là je donne raison aux cheminots. Mais d’autre part, où est-il écrit, que c’est seulement l’État qui doit avoir le monopole ? Dans ce cas-là c’est une grève politique. Elle voudrait arrêter une évolution, qui à mon humble avis, ne peut pas être stoppée. Il y a le très fort endettement de la SNCF, qui rend toute marge de manœuvre presque impossible. Il est évident que si la compagnie pouvait vendre des licences pour un temps déterminé à des prestataires privés, il serait possible de réduire le passif. Mais ce qui rend le tout si délicat, c’est qu’on se trouve devant des exigences de part et d’autres qui ne peuvent pas être respectées dans ce contexte-là. Les voyageurs sont en droit d’attendre qu’ils aient accès partout, aussi dans les endroits les plus reculés. L’État garantit jusqu’à présent, que mêmes des lignes pas rentables soient maintenues, car elles sont importantes pour l’équilibre territorial de la France. Il s’agit-là d’un réseau subventionné. Et si le train coûte vraiment trop cher, il faut mettre en place un service efficace de bus. Mais il faut reconnaître que cet état de fait, n’est pas toujours respecté. Weiterlesen
Hasen
Ostern, die Auferstehung Christi … Und die Zeit des Hasen. Osterhase, oder auch neuhochdeutsch: Traditionshase! So neu ist dieser Plumpaquatsch aber auch nicht. In der DDR gab es auch die „Jahresendflügelfigur“, weil „Engel“ zu einfach, ja zu christlich war.
Wie kommt der Hase eigentlich in unsere Tradition? Fakt ist, in der Bibel taucht er nicht auf. Wie wurde dieses heidnische Fruchtbarkeitssymbol zum christlich-abendländischen Kulturgut?
Gesichert ist, dass die Vorstellung vom eierversteckenden Osterhasen gar nicht so alt ist – und dass er eine deutsche Erfindung ist. Vor etwas mehr als 300 Jahren wird der Brauch in der Pfalz, am Oberrhein und im Elsass bekannt. Erstmals schreibt 1678 der Heidelberger Georg Franck von Frankenau vom Osterhasen – also drei Jahrzehnte nach dem Ende des Dreißigjährigen Krieges und 16 Jahre bevor der Koran erstmals an einem deutschsprachigen Ort – in Hamburg – gedruckt wurde.
Der Weg des Hasen zum Osterfest ist diffus. Die Gebrüder Grimm stellten im 19. Jahrhundert die These auf, dass es eine germanische Frühlingsgöttin gegeben habe, die den Märchensammlern zufolge Ostara hieß. Sie soll Namensgeberin für Ostern sein. Das heilige Tier an Ostaras Seite sei der Osterhase gewesen, so steht es in Meyers Großem Konversations-Lexikon von 1908. Das klingt sehr teutonisch, ist aber Mumpitz. Zumindest glaubt kaum ein ernstzunehmender Wissenschaftler diese Vorgeschichte. Die alten Germanen hatten demnach keine Ostara und folglich auch keinen heiligen Osterhasen.
Der Grimm’schen Behauptung widerspricht auch die große Auswahl anderer Eierbringer, von denen Kindern in Mitteleuropa teilweise bis heute erzählt wird: in Westfalen ist es der Fuchs, in Tschechien der Hahn, in Thüringen der Storch, in der Schweiz der Kuckuck, in der Grenzregion zu den Niederlanden der Ostervogel, in manchen Regionen sind es das Osterlamm, das Christkind oder der Nikolaus.
Fast zeitgleich zum christlichen Ostern findet Pessach statt, das Fest, mit dem die Juden jedes Jahr die Befreiung aus der Sklaverei des Pharaos feiern. Der Osterhase hat keine Verbindung zum Judentum, Hasen gelten nach den Speisegesetzen auch nicht als koscher. Christliche Fährten zum Osterhasen gibt es, aber sie klingen ganz und gar nicht abendländisch. So soll der Hase in der byzantinischen Tiersymbolik für Christus gestanden haben – demnach wäre der Osterhase am Bosporus erfunden worden.
Im Frühchristentum wurde in der Bibel vermeintlich der Hase als Synonym für den hilfebedürftigen Menschen identifiziert. Blöd nur, dass dem Kirchenvater Hieronymus damals ein Übersetzungsfehler unterlaufen war: In den Psalmen ist nicht die Rede vom Hasen, sondern vom Klippschiefer (FOCUS 20.04.2014), einem Meerschweinchen ähnelnden Dachsgetier, das dort wohnt, wo heute vor allem Muslime leben: im Heiligen Land, in Arabien und in Afrika südlich der Sahelzone. In der Encyclopædia Britannica ist vermerkt, dass der Glaube an den Osterhasen vor allem in protestantisch geprägten Gegenden entstanden ist – als Kontrastprogramm zu den katholischen Osterriten.
Breitenpopulär wurde die Vorstellung vom Osterhasen erst Ende des 19. Jahrhunderts. Im deutschen Kaiserreich fabrizierten die Zuckerbäcker zu Ostern süße Hasen, in Kinderbüchern tauchte der Osterhase auf, während des Ersten Weltkriegs diente der Hase sogar als patriotisches Postkartenmotiv. Deutsche Auswanderer trugen die Mär vom Osterhasen und seinen versteckten Eiern hinaus in die weite Welt, bis nach Amerika und Australien.
Aber zurück zum schokoladigen „Traditionshasen“, der laut AfD wegen der „Unterwerfung“ des Abendlandes seinen österlichen Beinamen verloren hat. Seit der Wende zum 20. Jahrhundert fertigen Chocolatiers auch Schokoladenhasen. Heute ist das Angebot nur schwer überschaubar. Allein schon zur besseren Unterscheidung tragen die einzelnen Modelle Namen, etwa „Traditionshase“.
Hinter diesem Begriff stecken übrigens keine religiösen oder politischen Motive, sondern logistische: Um verschiedene Waren voneinander unterscheiden zu können, geben Supermärkte in ihren Warensystemen manchen Produkten eigene Namen. Hießen alle Osterhasen „Osterhasen“, käme man ständig durcheinander.
So wurde bei Karstadt und Rewe aus dem Lindt-Osterhasen der „Traditionshase“ – vor 26 Jahren(!) (uebermedien.de 31.03.2018). Zweieinhalb Jahrzehnte lang hat’s niemanden gejuckt, und auf einmal wird der Traditionshase mit Fackeln und Mistgabeln durchs Dorf getrieben.
Frohe Ostern!
Macron à la rescousse ?
Le traité qui avait été signé avec l’Iran risque gros depuis que Donald Trump a été élu président des États-Unis. Au début mai il annoncera que probablement son pays se retirera de cet accord. Depuis que des faucons comme Mike Pompeo, le nouveau ministre des affaires étrangères, et John Bolton, conseiller à la sécurité nationale ont remplacé des plus modérés, l’ambiance n’est pas au beau fixe du côté de Washington. Puis il y a en plusla volonté de soutenir l’Arabie Saoudite, un ennemi juré de Téhéran, qui lutte au Yémen contre les rebelles soutenus par l’Iran. La rivalité de ces deux nations rivales dans cette régions va aussi loin, que le prince hériter de l’Arabie Saoudite a déclaré qu’il était d’avis que l’État hébreux, avait un droit de vie et qu’il était légitime qu’un territoire lui soit imparti. Un revirement complet de la politique anti-juive de Riyad. Emmanuel Macron, qui entretient contrairement à Angela Merkel, des rapports corrects avec le locataire de la Maison Blanche, se rendra à la fin avril à Washington. Il espère pouvoir encore sauver l’accord avec l’Iran. Weiterlesen
Réformes ? Y en a marre !
Emmanuel Macron a-t-il été élu pour mettre en routes des réformes tous azimuts ou pour barrer la route à Marine Le Pen ? Je pencherais plutôt pour la deuxième alternative. Le peuple français est assez complexe. D’un côté il veut que cela bouge, de l’autre il est de sa nature assez conservateur. D’accord pour les chamboulements à condition que cela ne fasse pas de mal et que cela concerne que les autres. Mais il est préférable qu’ils soient plus discrets. La deuxième marotte est de se mettre en grève, de manifester pour se marteler en tête, qu’on vit en toute liberté et que le fait de débrayer en est une ! Le Président de la République est exposé en ce moment à une tourmente. Avec la grève au compte-goutte de la SNCF, il est bien possible que le pays tout entier soit bientôt paralysé. Le gouvernement aura beau répéter, que ce conflit social, si c’en est un, nuit au pays tout entier n’y fera rien. Dans ce cas-là la fierté d’un grand nombre d’agents a été blessée. De leur dire que leur travail semblait vétuste face aux exigences actuelles du marché les ont choqué. On n’aime pas être mis au rancard, d’autant plus que les critiques sont souvent exagérées. Comme je l’avais déjà écrit dans un article ces derniers temps, la privatisation du service publique, n’est pas toujours une panacée, comme on a pu le constater en Allemagne. En ce qui concerne la Deutsche Bahn, il y a des retards constants, le prix des billets n’est pas une sinécure et l’accès aux endroits retirés n’est pas assuré à cause de la rentabilité. Beaucoup de personne se fâchent tout rouge lorsqu’elles entendent parler « chemin de fer ». Il y a un autre domaine, où l’activisme affiché par Emmanuel Macron a de la peine à s’afficher. Weiterlesen
Qui pense à ma place ?
Mon cerveau artificiel me commande de vous souhaiter une bonne Pâques. Je le fais, puis pousse le bouton « OK ». Tout à coup je me mets à chanter une complainte russe, d’une tristesse presque étouffante. D’un seul coup je m’arrête subitement de le faire. « Je te demande pardon. Avec cette fichu d’heure d’été je m’y retrouve plus ! » Pris de colère je téléphone au représentant qui m’a vendu cet appareil. « Vous verrez, la machine prendra des décision pour vous, rien de plus pratique ! » Vous avez deviné, il est question ici de l’intelligence artificielle. Elle devrait nous assister, non nous dominer. C’est ce qui pourrait nous arriver si nous n’observons pas une certaine retenue. En parlant de ces fêtes de Pâques, il peut être plus aisé de comprendre les réticences d’Emmanuel Macron, qui a donné une interview pour le magazine « Wired » Si je l’ai bien compris, il serait pour sans l’être du tout. Vous dites oui et êtes entraînés par le GPS dans un étang marécageux. Comme le font beaucoup d’hommes, qui se fient complètement à la technologie de pointe, les réactions sensées ont été déconnectées. Cette évolution nous rends de plus en plus vulnérable par rapport à nos faits et gestes. Vouloir stopper une évolution, qu’elle soit bonne ou non, n’est pas du ressort de mon clone de cerveau. Ce dernier est embarrassé que cela puisse me mettre dans l’embarras. Aussi étonnant qu’il aborde ici un aspect émotionnel. Ce serait un comble si un ordinateur pouvait avoir des sentiments. Qu’il remplisse des fonctions annexes, je veux bien, mais qu’il puisse devenir amoureux, cela me dépasse. Je sais qu’il me manipule, mais si je l’éteignais, je me mettrais en danger. Que se passerait-il s’il ne se remettait plus en marche ? Le Président de la République a aussi évoqué le sens qu’il faut donner au mot progrès. Il a fait remarquer, que ce dernier était en premier lieu technologique, mais que bien peu de choses évoluent quant il s’agit de l’âme, de l’éthique, de notre intégrité mentale. Weiterlesen
Kalter Krieg
Kalter Krieg
Wir erinnern uns alle an John le Carrés Buch „Der Spion, der aus der Kälte kam“ und an US-Präsident John F. Kennedy, der 1963 vor dem Rathaus Schöneberg ausrief: „Ich bin ein Berliner!“. China brach mit der Sowjetunion und schlug einen Weg ein, der ins Grauen der Kulturrevolution führen sollte. Es war die Zeit, in der Kennedy sein Land in den verheerenden, falschen Krieg in Vietnam trieb. Dieser Feldzug sollte dem Kommunismus Einhalt gebieten – und erschütterte das Vertrauen des Westens in die eigene moralische Überlegenheit zutiefst. Wir reden vom „Kalten Krieg“.
Die Furcht ist heute groß, dass die Kälte zurückkehrt. Werden wir – analog zu den Weltkriegen – bald vom „2. Kalten Krieg“ sprechen?! Die New York Times spricht angesichts des mutmaßlich von Moskau verschuldeten Giftanschlags auf den Doppelagenten Skripal in Salisbury einen „cold war flashback“. Furcht war ein Wesensmerkmal der Blockkonfrontation; die Furcht, aus dem Kalten Krieg könne ein heißer, gar ein nuklearer werden.
Auch darum besitzt das Wort vom neuen Kalten Krieg einen solch suggestiven Sog: Es lädt die Konflikte der Gegenwart historisch auf. Und erinnert nicht wirklich vieles daran? Da ist die Kriegsrhetorik Putins, der kürzlich mit seinen Atomraketen prahlte, und jene Donald Trumps, der im Konflikt mit Nordkorea nichts anderes tat. Es gibt verbales „Säbelrasseln“ hüben wie drüben, Spionageaffären, gegenseitige Bezichtigungen der Einmischung in innere Angelegenheiten – und nun offenbar sogar Auftragsmorde.
Bei all diesen Parallelen gerät jedoch leicht in Vergessenheit, wie grundlegend sich der echte Kalte Krieg von den Spannungen der Gegenwart unterschied, so bedrückend diese auch sind. Er begann bald nach dem Sieg über Hitlerdeutschland 1945, als der Eiserne Vorhang, wie Winston Churchill beklagte, das verwüstete Europa teilte; als im Kreml noch Stalin herrschte und das eben erst durch die Rote Armee befreite Osteuropa brutal sowjetisierte. Mitten in Europa standen dann jahrzehntelang ungezählte Atomwaffen und gewaltige Armeen.
Das ist glücklicherweise Geschichte (allein die Bundeswehr war damals mit 4.500 Kampfpanzern gerüstet. Heute gilt die Aufstockung auf 300 Panzer als Zeichen wachsender Blockkonfrontation). West und Ost führten in der Dritten Welt zahllose mörderische Stellvertreterkriege und hofierten psychopathische Tyrannen wie unter anderem Pinochet – „Unser Schurke“, nicht der der Gegenseite.
Es konnte Entspannung geben, friedliche Koexistenz durch Gewaltverzicht, Wandel durch Annäherung wie unter Willy Brandt. Ein grundsätzlicher Ausgleich der Systeme und Ideologien aber war niemals möglich. Als Michail Gorbatschow dies von 1985 an versuchte, implodierte das rote Imperium; es war nicht überlebensfähig ohne Feindbild und den Anspruch, für die bessere Welt zu stehen.
Der Westen wurde seit 2014 immer wieder mit russischen Lügen konfrontiert. Wollen wir einmal in Erinnerung rufen: Auf der Krim gab es keine russischen Soldaten – danach wurden sie sogar ausgezeichnet für die Krim-Annexion. Russland hat die malaysische Boeing nicht abgeschossen. In der Ukraine gab es keine regulären russischen Streitkräfte. Es gab keine Einmischung in den US-Wahlkampf. Es gab kein Doping bei der Sotschi-Olympiade. Es gab auch keine Hacker-Angriffe auf den Deutschen Bundestag. Nichts von dem ist bewiesen, außer der russischen Präsenz bei der Krim-Annexion, der Militärtruppen – aber man hat politische Schlussfolgerungen gemacht. Gut, Doping ist bewiesen, obwohl die russische Seite auch da sagt, da ist nichts bewiesen.
Ja, es gibt eine Bedrohung für Freiheit und Demokratie; aber sie lässt sich nicht mehr einfach in einem gegnerischen Block oder System verorten. Diese Bedrohung ist der neu erwachte Nationalismus, geschürt von Populisten; destruktiv, hasserfüllt, aggressiv will er Eigeninteressen auf Kosten anderer durchsetzen. Nationalismus treibt Wladimir Putins Politik ebenso an wie jene Donald Trumps.
Der Egoismus, der Mangel an einer verbindenden Vision wie einst der weltlichen Heilslehre des Sozialismus, ist freilich auch die Schwäche des Nationalismus. Wer dem normativen Projekt der freien Welt – den Ideen der Menschenrechte, der Volkssouveränität, des Rechtsstaates – angebliche großrussische, neuasiatische oder uramerikanische Werte entgegensetzt: Er kann nie mehr sicher sein, dass sein Volk sich auf Dauer mit diesem Etikettenschwindel abfindet.
Le calvaire palestinien
Chaque année les Palestiniens manifestent afin que les familles qui ont été chassées en 1948 de leurs maisons et leurs terres, qui se situent aujourd’hui en Israël, puissent retourner chez elles. Afin que l’État Juif puisse être créé après les horreurs du génocide, une grande injustice remplace l’autre. Sans vouloir mettre sur les plateaux d’une balance ces deux méfaits de l’histoire, il est évident que ces mesures d’expulsions, même si les familles concernées ont été payées pour l’achat de leur avoir, resteront une grande tare, en ce qui concerne la paix. Hier la presse a relaté que lors des manifestations entre la bande de Gaza et Israël, il y a eu 17 morts, dont des enfants, du côté palestinien. Lorsque les manifestants jetèrent des pierres sur les soldats, ceux-ci ripostèrent avec leurs armes à feu. Auparavant « les forces de l’ordre » lancèrent des grenades de gaz lacrymogène au-delà de ligne de démarcation à l’aide de drones. David contre Goliath, à la seule différence que David était dans ce cas un Palestinien. Mais contrairement à la légende, c’est le géant qui gagne. Comme on le voit nous sommes très loin d’un compromis dans cette partie du monde. Je pense qu’il est impossible de continuer ainsi. Le représentant palestinien au siège de l’ONU parle d’un massacre. De toute parts il n’y a que de l’inquiétude. Mais à part de telles déclarations, une fois de plus rien. Weiterlesen