Donald Trump est prêt à donner la naturalisation américaine à 1,8 millions de personnes vivant aux USA illégalement. En contre-partie il veut que le congrès lui accorde 25 milliards de dollars pour construire le mur entre son pays et le Mexique. On croirait se trouver au bazar. Je ne sais pas si on peut négocier la vie des gens contre du béton ? Je trouve ethniquement cette démarche plus que douteuse, même si les personnes concernées en profitent. En tous les cas se serait un précédent, qui devait être juridiquement applicable en ce qui concerne les migrants. Moins dans la question de monnayer de telles actions, par des concessions dans d’autres domaines. La démocratie ne peut pas fonctionner dans la logique du chantage. Mais serait-il raisonnable pour les démocrates de ne pas entrer dans ce deal. Je crains que le président ait marqué ainsi des points. D’un autre côté il y a la population qui a peur que le pays soit immergé par le flux migratoire, ce qui est vraiment exagéré. Pour y parer il faudrait instituer un système plus stricte avec tous ceux qui voudraient s’établir dans un pays, où ils pensent avoir plus de chance de subsister. Je pense que les États-Unis auraient la chance de tout remettre à plat sur les deux continents américains en se concertant avec tous les pays pour rechercher les vrais causes de cette fuite vers le Nord. Weiterlesen
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Steve Bannon out ?
Il pensait être le faiseur de rois, le voilà viré de la plate-forme ultra-nationaliste Breitbart-News. C’est le prix que l’ancien conseiller de Donald Trump doit payer pour les accusations portées contre le fils du président dans le livre « Fire and Fury » du journaliste Michael Wolff. Steve Bannon voulait faire des USA un bastion du néo-fascisme avec lui à sa tête. C’est en recréant un Parti Républicain raciste et discriminatoire qu’il voulait arriver à ses fins. Le voilà privé d’un poste, d’où il pouvait proférer ses diatribes empoisonnées. Il sera dorénavant un homme de l’ombre. Cela ne le rend pas pourtant moins dangereux à mon avis. Je suis malheureusement certain qu’il a de nombreux soutiens au sein de la population, que ses idées continueront à être du goût notamment d’une classe moyenne sur le déclin. Depuis que Trump est devenu président, de telles pensées ne sont plus du domaine de l’impossible. Il serait temps qu’une personnes charismatique s’oppose à cette monté irrésistible de l’extrême-droite aux États-Unis. Oprah Winfrey, la célèbre femme de télévision, qui est l’idole de très nombreuses personnes, pourrait être tentée de se présenter contre Donald Trump en 2020, s’il était à nouveau candidat. Elle est connue pour son talk-show et ses options politiques et serait du point de vue de ses options à l’opposé de ce qui se fait et qui se dit à la Maison Blanche. Ce serait une réponse à donner à Steve Bannon et son idéologie. Il en faudra de la force pour chasser les démons qui hantent malheureusement la vie politique américaine. Weiterlesen
Le génie équilibré
Le grand guignol de la Maison Blanche a toujours une phrase qui fait sourire. Le voilà qu’il se décrit comme un génie équilibré collectionnant les QI comme une directrice de pensionnat les petits pains pour le petit-déjeuner de ses pupilles. Lorsqu’on entend de telles absurdités, on ressent le souhait d’en posséder qu’un minimum. Il est clair qu’il a été rudement mis à l’épreuve dans le bouquin qui fait fureur depuis ce vendredi. « Fire and Fury » dresse un tableau apocalyptique de l’ère Trump et le décrit comme un homme dépourvu de culture, ne sachant même pas déchiffrer un bilan, ce qui n’est pas très glorieux pour un homme d’affaire. Aussi son entourage reçoit au mieux un 5 sur 20. Ce sont parait-il des personnages complètement imbus d’eux-même, comme le patron et n’ayant aucune connaissance politique. Ce que je ne comprends pas, les paons n’ont d’habitude pas le sens du ridicule. Ils détestent être caricaturés et toutes critiques à leur égard. C’est bien pour cela que Donald Trump n’aime pas la presse. Mais s’il ne faisait pas la une des journaux, il serait profondément déçu. D’après Michael Wolff, l’auteur de ce livre sulfureux, c’est lui-même qui ferait passer des informations intimes, afin qu’elles soient éditées. Weiterlesen
Fake News Atomkrieg
Wie nah steht die Welt vor einem Atomkrieg? Können wir den Herren Donald Trump und Kim Jong-Un noch trauen? Die Debatte über die Größe des jeweiligen Startknopfes für die landeseigenen Atomraketen ist beängstigend, schaukeln sich doch beide gegenseitig hoch.
Jene Debatte dient in sozialen Medien als Beleg für die Unzurechnungsfähigkeit des jeweiligen Staatsführers. Sachlich betrachtet handelt es sich um eine Falschnachricht. Weder Trump noch Kim verfügen nach aller Erkenntnis über diesen symbolischen Startknopf, mit dem sich ein Nuklearkrieg auslösen ließe.
Der Schlagabtausch der beiden erreichte seinen Höhepunkt, als Trump feststellte, dass er einen Nuklearknopf habe, der „viel größer und machtvoller“ sei als der Kims.
Trump reagierte damit auf die Neujahrsansprache des nordkoreanischen Diktators, in der Kim gesagt hatte: Es sei keine leere Drohung, sondern Realität, dass er einen Nuklearknopf auf seinem Schreibtisch in seinem Büro habe. Das gesamte Festland der Vereinigten Staaten könne durch seinen Nuklearschlag erreicht werden.
Auch wenn dieser Austausch weltweit Ängste verbreitet, der Streit ist ohne Substanz. Der US-Präsident verfügt zwar über die Macht, jederzeit einen Atomschlag auslösen zu können. Allerdings drückt er dazu nicht auf einen Knopf auf seinem Schreibtisch. Warum sich diese Fantasie so stark in den Köpfen festgesetzt hat, ist unklar.
In Filmen und dramatisierten Darstellungen über den Kalten Krieg kommt immer wieder ein „roter Knopf“ zum Einsatz. Dahinter steht wohl die Vorstellung, dass eine Sprengung selbstverständlich per Zündbefehl ausgelöst werden muss. Als die USA und Russland während der Obama-Regierungszeit ihre Beziehungen auf Neuanfang stellen wollten, drückten die jeweiligen Außenminister gemeinsam und symbolisch auf einen solchen roten Knopf.
Der Kommandoweg für den Einsatz des amerikanischen Nuklearwaffenarsenals ist hingegen mehrstufig. Der Befehl wird ausdrücklich nicht per Knopfdruck gegeben, sondern per mündliches Kommando erteilt. Dazu müsste sich der POTUS zunächst mithilfe einer Codekarte als Befehlshaber gegenüber seinem Verteidigungsminister oder einem kommandierenden General identifizieren. Anschließend müsste er einen Startcode freigeben, der in einem Kommandostand seine Entsprechung fände.
Wer auch immer den Befehl des Präsidenten entgegennimmt könnte ihn auch verweigern. Einen direkten Zugriff Trumps auf die Startvorrichtung eines der etwa 900 amerikanischen Nuklearsprengkörper gibt es nicht. Auch gibt es keinen Knopf auf dem Schreibtisch, wie Trump behauptet. Vielmehr werden Codes und Richtlinien für das Einsatzverfahren immer in der Nähe des Präsidenten in einem Koffer aufbewahrt, in der Fachsprache „Football“ genannt.
Die Startprozedur für eine nordkoreanische Rakete ist nach westlichen Erkenntnissen nicht standardisiert. Unabhängig von der Frage, ob das Land bereits über einen einsatzfähigen Sprengkopf für eine Langstreckenrakete verfügt, ist auch hier kein plötzlicher Angriff per Knopfdruck möglich. Sämtliche Langstreckenraketen des Landes werden mit Flüssigtreibstoff befüllt, was Stunden an Vorbereitung vor einem Start erfordert. Dauerhaft kann keine mit Flüssigtreibstoff betriebene Rakete startbereit gehalten werden, hört man aus Expertenkreisen.
Machthaber Kim ist zwar immer wieder auf Bildern zu sehen, unter anderem in einem eigens gebauten, mobilen Kommandostand. Eventuell gibt er dort tatsächlich den Startbefehl per Knopfdruck. Fachleute halten es für unwahrscheinlich, dass er eine automatisierte Startvorrichtung in einem Büro unterhält. Dazu bedürfte es einer sicheren Datenleitungsinfrastruktur, des Weiteren müssten Kommunikationseinrichtungen aufgebaut werden.
Wie üblich bei nordkoreanischen Festen und der entsprechenden Ansprache Kims: die Nulearknopf“-Mär ist blanke Aufplusterei und Provokation. Und wie gewohnt verfängt sie bei US-Präsident Trump. Man kann nur hoffen, dass sich die beiden Streithähne auf verbaler Ebene austoben.
Remous et grogne en Iran
Les manifestations, qui jusqu’à ce jours ont fait plus de 20 morts en cinq jours, sont inquiétantes, car je ne peux pas me départir qu’il y derrière tout cela de la provocation. D’après ce qu’on sait, ce mouvement est d’après certains dires parti de rien. Il était avant tout question de la hausse du prix de l’essence et des œufs, de la baisse de l’aide sociale pour les retraités. Ces mesures nouvelles n’ont pas fait l’unanimité, ce qui me semble tout à fait normal. Je ne suis certes pas un adhérent d’un État mené par des religieux, mais je suis assez lucide pour me faire une idée des conséquences que peut avoir une telle montée de colère. D’après ce qu’on sait, le soutien au dictateur syrien est mis aussi en cause. Depuis 2009, lors des manifestations contre Mahmoud Ahmadinejad, l’Iran n’a jamais connu une telle ambiance de révolte. Pour se faire une idée, à qui ce « désordre » peut profiter, il me vient tout d’abord l’Arabie Saoudite en tête, qui est mêlée dans un conflit armé au Yémen contre le régime iranien. Il s’agit d’une guerre ouverte qui avant tout a comme arrière-fonds la guerre que se livre les sunnites contre les chiites, deux branches de l’islam qui se haïssent depuis la nuit des temps. Il est question de la suprématie d’une de ces deux tendances dans la région. Évidemment que cela peut arranger les Saoudiens lorsque cela marche mal chez leurs rivaux de Téhéran. Mais ils feraient mieux de ne pas se réjouir trop top. Naturellement Donald Trump s’est empressé de twitter son appui à ceux qui tentent d’occuper la rue. Ce qui est désolant dans tout cela, que l’impression règne, que tous ceux qui revendiquent avec raison plus de justice sociale paraissent être téléguidés. Weiterlesen
Pensées à minuit trois !
Tout d’abord tous mes souhaits pour l’année 2018. Je m’efforce cette nuit d’être gais, mais le cœur n’y est pas forcément. Comme je vois avec incertitude ce qui risque de nous tomber dessus, si la politique continue de s’emballer comme elle le fait, j’aimerais parfois prendre la poudre d’escampette. Pendant que Thérèse et son mari sont allés voir les feux d’artifices dans les rues de Berlin, nous avons l’intention de sabler le champagne dès qu’ils reviendront et ceci non pas pour 2018, mais pour fêter l’anniversaire de notre fille. Ce sont peut-être mes douleurs qui me rendent un peu mélancolique, mais je pense que ce n’est pas tout à fait hors propos lorsqu’on lit les journaux. Par contre je trouve positif qu’Emmanuel Macron ait déclaré qu’il poursuivrait ce qu’il a entamé et promis à ses électeurs, en présentant ses vœux à la nation, qu’il continuerait de réformer la France, ce qui ne peut pas aller sans accrocs. Mais il est rassurant d’avoir un président ayant la suite dans ses idées, ce qui n’est pas le cas du côté de la Maison Blanche. Il a essayé d’effacé les critiques qui le qualifiaient de président des riches. Je pense que cela a été une erreur de le faire. Il est évident que tout l’appareil se mette à grincer, lorsqu’on essaie de modifier sa mécanique. Il sera possible d’émettre un jugement dès l’instant, pour parler par exemple de la loi du travail, lorsqu’elle aura pris sa vitesse de croisière, ce qui prendra encore un certain temps. Emmanuel Macron sait parfaitement qu’il ne pourra que réussir, que s’il prend dans son sillage tous les citoyens. L’expérience politique qu’il a entamé, consiste à ne pas faire de clientélisme. Il ne peut pas, même s’il était tenté de le faire, de laisser une partie de l’opinion publique de côté. C’est une des raisons essentielles pour laquelle je place de l’espoir en lui. Et s’il devait dévier de route, le peuple de France serait assez adulte pour le lui faire comprendre. Pour moi il est, à l’orée de cette nouvelle année, la seule lueur d’espoir. Weiterlesen
La démocratie à la Russe
Alexeï Navalny, le principal opposant de Vladimir Poutine aux élections présidentielles de 2018, n’aura pas le droit de se présenter, car la justice l’avait condamné pour une question de détournement de fonds. D’après lui, une affaire montée de a à z, afin de ne pas mettre en danger le président actuel. Il serait, d’après le verdict, inéligible jusqu’en 2028. L’éviction arbitraire de ce juriste de 41 ans est à mon avis montée de toutes pièces. Il est difficile de comprendre cette démarche du Kremlin, d’autant plus que le président semble être assuré de la victoire. Il serait en tous les cas bon, que la Russie se dote enfin d’un système vraiment démocratique. Des élections truquées ne sont dignes que des républiques bananières. Vladimir Poutine gagnerait de la grandeur en se soumettant à un vote équitable. Il est étrange que la peur domine dans ce cas-là. Alaxeï Navalny demandera à ses adeptes de boycotter ces élections. Que lui reste-t-il d’autre à faire. L’impression prévaut que cette démarche du pouvoir ne gênera qu’une partie infime des citoyens. Ce sera avant tout l’élite intellectuelle qui sera touchée. La question qui se posera pour nous, c’est de savoir jusqu’à quel point un tel régime sera crédible ? Ce ne sera pas à nous, les nations démocratiques de l’Occident, à donner des leçons à cette grande puissance. Cela ne m’étonnerait pas que Donald Trump ne protesterait que du bout de ses lèvres. Je pense que nous sommes entrés dans une époque, où un certain totalitarisme prendra de plus en plus d’importance. La recherche d’un leader charismatique, pouvant régler les problèmes d’un coup de baguette magique, augmentera avec le temps. Est-elle due à un rejet d’un système dominé par la technologie ? D’une technologie qui n’a pas de visage ? L’homme n’a-t-il pas le besoin de s’agripper à du concret ? Weiterlesen
Trump, tout en diplomatie !…
Le père Noël a mis sous le sapin de la Maison Blanche un paquet joliment emballé dans du papier rose. Il a tout d’abord suscité de la méfiance, car il était anonyme. Personne aurait pu dire qui avait eu une telle attention.. Le FBI et la garde approchée de Donald Trump ont fait vider tout d’abord les lieux, car ils craignaient que c’était l’EI qui avait envoyé ses bons vœux en l’honneur de la naissance du Christ Roi. Un agent démineur rampa du côté de l’envoi suspect. Son chien le huma et lui dit : « Chef, cela doit être un livre ! » Lorsque le chef de bureau du Président apprit la nouvelle, il devint blême. « Ne saviez-vous pas que le boss des boss n’aime pas lire ! » Il avait dévoilé un secret d’État, mais pris de curiosité, il fit ouvrir le présent. C’était effectivement un volume portant le titre « Tout en diplomatie ! » En le feuilletant on apprit, que l’art de gouverner, était de savoir jusqu’où on pouvait aller. Cela consistait à jauger exactement le pouvoir qu’on a et d’agir en conséquence. Les conseillers de Donald Trump, se réunirent dans une petite salle de conférence, au lieu de chanter des cantiques de Noël. Ils comprirent immédiatement qu’il s’agissait de menaces proférées contre les autres nations, si elles se permettaient d’émettre un autre avis que le président concernant la question de Jérusalem. Pour elles il n’y avait pas lieu de reconnaître cette ville comme capitale de l’État hébreux, car cela équivalait à un rejet de la Palestine, d’un acte de guerre. Personne ne se laissa intimider. La résolution fut rejetée par 128 voix contre 9 ; 56 pays s’abstinrent. Weiterlesen