Le grand guignol de la Maison Blanche a toujours une phrase qui fait sourire. Le voilà qu’il se décrit comme un génie équilibré collectionnant les QI comme une directrice de pensionnat les petits pains pour le petit-déjeuner de ses pupilles. Lorsqu’on entend de telles absurdités, on ressent le souhait d’en posséder qu’un minimum. Il est clair qu’il a été rudement mis à l’épreuve dans le bouquin qui fait fureur depuis ce vendredi. « Fire and Fury » dresse un tableau apocalyptique de l’ère Trump et le décrit comme un homme dépourvu de culture, ne sachant même pas déchiffrer un bilan, ce qui n’est pas très glorieux pour un homme d’affaire. Aussi son entourage reçoit au mieux un 5 sur 20. Ce sont parait-il des personnages complètement imbus d’eux-même, comme le patron et n’ayant aucune connaissance politique. Ce que je ne comprends pas, les paons n’ont d’habitude pas le sens du ridicule. Ils détestent être caricaturés et toutes critiques à leur égard. C’est bien pour cela que Donald Trump n’aime pas la presse. Mais s’il ne faisait pas la une des journaux, il serait profondément déçu. D’après Michael Wolff, l’auteur de ce livre sulfureux, c’est lui-même qui ferait passer des informations intimes, afin qu’elles soient éditées. Weiterlesen