Avant son départ pour les États-Unis, Emmanuel Macron a donné une interview à la chaîne ultra-conservatrice Fox en Anglais. Il a tout d’abord déclaré qu’il ne reculerait pas d’un centimètre en ce qui concerne les réformes amorcées en France. Qu’il avait été élu pour donner au pays une vigueur nouvelle. Même si le renouveau pouvait faire mal, il serait inconcevable qu’il recule. Il voulait donner ainsi au gouvernement américain la certitude, qu’il était un battant, qui avait l’intention d’assurer le leadership en Europe. Pour l’instant il a partie facile, car Angela Merkel titube en ce début de législature. Elle a été obligée de lui laisser la préséance, non pas par inclination, plus par faiblesse. Cela concerne aussi le SPD, qui a élu à sa tête Andrea Nahles, mais à un score faible. Tant que ce parti ne reprendra pas du poil de la bête, les gouvernants allemands seront à la traîne. Cela avantage évidemment le Président de la République, qui pourra marquer ainsi des points à Washington. Il a ensuite souligné qu’il entretenait de bons rapports avec Donald Trump, contrairement à la chancelière. Il part d’un point de vue pragmatique en se disant que tant que la situation aux USA est telle, il vaut mieux composer avec son président, au lieu de s’enferrer dans un débat contradictoire qui ne changerait rien. Cela peut sembler un peu gênant, mais il veut tout faire pour que l’UE ne perde pas contact avec Trump en ce moment, le moins qu’on puisse dire,tendu. Weiterlesen

Depuis cette nuit, les lieux de production d’armes chimiques ainsi que des laboratoires de recherches en Syrie sont soumis à des attaques de l’aviation américaine, secondée par la France et la Grande-Bretagne. Tant que cette intervention ne dépassera pas les normes nécessaires, je l’approuve. Mais gare, si les Russes s’en mêlaient. Le risque est évidemment grand qu’un accident puisse arriver. Je pense, que malgré les diatribes plus ou moins musclées, le commandement russe dans cette région a été mis au courant des endroits, où les bombardements ou les tirs de missiles se concentreront. Mais à l’heure actuelle il est impossible de prétendre quoi que soit. Il est temps qu’il soit mis à un terme au massacre occasionné par Bachar el-Assad. Il est incroyable quel mal peut commettre un seul homme, imbu de pouvoir. Détruire son pays, mettre à mort des générations entières, ravir aux jeunes toute espérance de vie, il faut le faire et ceci avec la complicité infâme de Vladimir Poutine. Il est évident qu’il ne soutient pas le dictateur syrien par amour pour lui, mais bien plus pour marquer la présence de la Russie dans cette région. L’alliance amorcée il y a quelque jour, entre la Turquie, l’Iran et son pays ne présage rien de bon. Ce serait un premier pas en direction d’une prise d’influence sur les pays du Golf, où les réserves de pétrole sont considérables. Vu sous cet aspect, l’attaque occidentale est tout à fait compréhensible, bien qu’à mon avis elle vient trop tard, si on considère les retombées politiques concernant l’avenir du Proche et du Moyen-Orient. L’Occident a laissé du terrain d’une manière inconsidérée au maître tacticien qu’est Vladimir Poutine. Le fait de réagir était une mauvaise option, si je prends comme exemple le jeu d’échecs. Dans ce cas-là il aurait fallu être bien plus offensif depuis le début de la guerre civile syrienne. Maintenant il est trop tard pour rattraper le temps perdu. La présence de l’armée russe n’arrange pas les choses. Weiterlesen

Non, les relations entre les USA et la Russie ne sont pas au beau fixe, loin de là. Il en va en premier lieu, de l’utilisation d’armes chimiques par Bachar el-Assad sur les dernières poches de résistance à Douma en Ghouta, où il y a eu au moins 85 morts. Pour la communauté internationale, une attaque qu’on ne peut pas ignorer, car elle enfreint à toutes les conventions signées au sujet de l’interdiction absolue de l’utilisation de telles armes. À ce sujet la France et les États-Unis sont d’un même avis. S’il s’avérait que les doutes se confirmaient, Emmanuel Macron envisagerait de bombarder les dépôts, où sont entreposés ces bombes. Les USA suivraient probablement son exemple et ceci au grand dame de Vladimir Poutine qui reprend la thèse du dictateur de Damas, prétendant que le tout est du leurre, une invention maudite des rebelles, pour provoquer une recrudescence du conflit. Je suis dans ce cas-là pour la méthode musclée et approuverais une telle opération. Je prendrais ce risque, car si on laisse tout simplement passer tout cela pour des raisons diplomatiques, d’autres potentats se croiront autorisés de procéder de même. Il y a bien des années, j’ai pu m’apercevoir que contrairement aux dires de la politique, il y avait bien de des armes chimiques et biologiques en Europe occidentale. C’était au cours d’un tournage d’un film sur la stratégie nucléaire de la France, que dans une base de l’aviation, un officier a dit au cours de la visite des lieux, que tel entrepôt était prévu à cet effet, la preuve que la version officielle ne correspondait pas à la réalité. C’est la raison pour laquelle il faut rester intransigeant à ce sujet. Je ne comprends pas que la Russie continue à s’enferrer dans son soutien sans appel à Bachar el-Assad. Le Kremlin ne voit-il pas qu’on le tire par le bout du nez ? Il a été même question que des avions russes aient utilisé de telles armes. Weiterlesen

Wie oft haben wir in den letzten Jahren – die wir in westlichen Demokratien leben – uns gefragt, ob es überhaupt Sinn macht, auf die Straße zu gehen und Missstände anzuprangern. Das Recht der Demonstration, eine legalisierte Form der Revolution. Oft fragt man sich, ob es überhaupt Sinn macht, sich den Bewegungen anzuschließen. Danach ist eh wieder Ruhe. Oder gibt es einen schmalen Grad zwischen Demonstration und Revolution? Ein Blick über den Teich:

„March For Our Lives“ überschreiben Schüler der Marjory Douglas Stonemann Highschool in Parkland in Florida die Kundgebung. Aufgerufen hatten sie dazu, nach dem ein Massaker mit 17 Toten ihre Schule erschüttert hatte. In Los Angeles, Seattle, New York, San Francisco und vielen anderen Städten Amerikas gingen insgesamt mehr als eine Million Menschen auf die Straße, viele weitere verfolgten das Geschehen an den Fernsehschirmen. Prominente machten mit oder spendeten Geld: Oprah Winfrey und das Ehepaar George und Amal Clooney gaben zusammen eine Million Dollar.

Es zeugt von einer ungewöhnlichen Zähigkeit im von rasend schnell wechselnden Nachrichtenzyklen geprägten Amerika, dass sich die Überlebenden von Parkland über einen langen Zeitraum Gehör bei einer breiten Öffentlichkeit verschaffen konnten. Einige der Schüler kommen selbst auf die Bühne, sie geben inzwischen dem Kampf gegen Waffengewalt in den USA ein Gesicht. Tränen fließen, Stimmen überschlagen sich.

Rhetorik und Emotion lassen keinen Zweifel daran: Diese jungen Leute haben einen festen Willen. Ein Umdenken beim Umgang mit Schusswaffen muss her. „Willkommen zur Revolution“, sagt der Wortführer der Schüler aus Parkland, unter dem euphorischen Jubel Hunderttausender. „Diese Demonstration ist nicht der Höhepunkt, sondern der Beginn unserer Bewegung“, sagt er entschlossen.

Täglich werden in den USA Menschen mit völlig legal beschafften Pistolen und Gewehren umgebracht, täglich kommt es auch zu dem, was die Amerikaner als „Mass Shooting“ bezeichnen, als Schusswaffeneinsatz mit mehreren Opfern. Fast jeden Tag kommt es auch zu Unfällen mit Schusswaffen, bei denen etwa Kleinkinder ihre Eltern oder sich selbst erschießen, weil eine geladene Waffe irgendwie in ihrer Griffweite lag.

Die mächtige Waffenlobby, angeführt von der Schusswaffen-Organisation NRA (National Rifle Association), und ihr Einfluss auf die Politiker machen es möglich, dass der gesunde Menschenverstand bei politischen Entscheidungen völlig ausgeblendet werden kann. Der Zugang zu Schusswaffen ist in den USA so lax geregelt wie in keiner anderen westlichen Demokratie. Die Zahl der Todesopfer durch Schusswaffen ist in den USA so hoch wie in keiner anderen westlichen Demokratie. Dennoch kommen immer wieder Politiker mit Argumenten durch, die Waffen würden für die Jagd gebraucht und außerdem sei das Recht auf Selbstverteidigung in der Verfassung festgeschrieben.

Parkland könnte etwas verändert haben. Man ist an einer Art Wendepunkt. Die Amerikaner nehmen mit ganzen Familie an der Protestkundgebung in der US-Hauptstadt Teil. „Niemand zuvor hat soviel Enthusiasmus zum Thema Schusswaffen und Sicherheit geschaffen – obwohl es Hunderttausende Tote gegeben hat“, so die Statements der Schüler von Parkland.

Die im November bevorstehenden Zwischenwahlen für den US-Kongress hat die Bewegung als willkommenen Hebel für die Umsetzung ihrer Ziele ins Visier genommen. „Vote them out!“, tönt es als Sprechchor aus den Reihen der Demonstranten, sobald ein Redner auf der Bühne eine Pause einlegt.

Die Märsche übertrafen die Erwartungen vieler Beobachter. Die Schätzungen für Washington reichen von knapp 400.000 bis zu über 700.000 Teilnehmern – offizielle Zahlen liegen noch nicht vor. Donald Trumps Weißes Haus gratulierte den Protestierenden, vage genug, zu ihrem „Mut“ für die Sicherheit an ihren Schulen aufzustehen. Die Vereinigten Staaten haben einen Präsidenten, der angesichts einer Tragödie wie in Parkland vorschlägt, dass Lehrer sich bewaffnen sollen. Während der Protestbewegungen selbst weilte er, wie an vielen Wochenenden, in seinem Golfclub in Florida – dort soll seine Autokolonne einen Umweg gefahren sein, weil auch hier ein „March for our Lives“-Protest stattfand.

Revolutionen beginnen schleichend!

Et nous revoilà à nouveau à l’heure d’été. Je me suis levé à temps pour écrire mon article, qui concernera tout d’abord la jeunesse, que j’aime et respecte. Celle qui nous aide dans la rue, Monique et moi. Des jeunes pleins d’idéalisme que nous décevons constamment par la politique qui est menée un peu partout dans la monde. Non, leur monde n’est pas celui de l’oligarchie, non plus celui du président qui occupe actuellement la Maison Blanche. Ils veulent forger un monde meilleur, où la violence ne domine pas, comme c’est le cas aujourd’hui. Il y a eu le 14 février la tuerie de Parkland en Floride qui a fait 17 morts et de nombreux blessés. L’assassin a pu se procurer une arme semi-automatique pour perpétrer ce crime épouvantable. Ce sont les rescapés de cette école qui se sont engagés les premiers contre les lois plus que laxistes concernant la vente des armes à feu. Donald Trump, qui a toujours fait partie des proches de l’organisation nationale des armes, s’est toujours opposé à ce que des mesures sensées soient prises afin de réguler les ventes. Il voudrait au contraire que plus de gens s’arment, afin qu’ils puissent faire justice eux-mêmes. Du bout des lèvres il a proposé des correctifs, Pas plus. Hier se sont réunis dans les grandes villes de États-Unis des centaines de milliers de manifestants afin d’obliger les autorités à prendre les mesures nécessaire. Bien plus que pour la cérémonie d’investiture de Donald Trump. S’il veut survivre politiquement, ce dernier sera obligé de tenir compte de la jeunesse américaine. Celle qui a élevé sa voix, n’appartient certainement pas à celle qui a voté pour lui. Une jeunesse poussée par le racisme et la violence. Où celle qui détient beaucoup d’argent. Weiterlesen

L’empire Facebook a les plus grands ennuis de son histoire. Son cours en bourse a chuté hier de 6,8 %, soit plus de 30 milliards de dollars. Le congrès exige que Mark Zuckerberg s’explique devant une commission du congrès, sur l’utilisation abusive des données de « ses amis », dont je fais partie. Cela s’est fait par le biais de la société britannique « Cambridge-Analytica en ce qui concerne en particulier les élections présidentielles américaines de 2016. Sans l’assentiment des personnes concernées, leurs noms ont été utilisés dans ce contexte politique. Ce qui est très rare aux USA, nombre de personnes influentes réclament que les grandes plate-formes sociales soient plus contrôlées à l’avenir. Pour ma part j’étais parfaitement au courant en m’engageant sur Facebook que mes données personnelles n’étaient pas à l’abri de la discrétion qu’on est en droit d’attendre d’une telle organisation. Je savais que toutes révélations sur ce qui concerne mon environnement familial, mes comptes en banque ou ma biographie privée et professionnelle, seraient employées à mes dépends, si cela pouvait apporter un avantage à la compagnie dont il est question. J’ai fait ce pas, car ce qui était positif dans ma démarche, dépassait de loin un dommage hypothétique concernant mes données. Mais n’allez pas croire que je ne condamne pas de tels faits. Je réclame plus de transparence de Facebook. Je ne veux pas que mon nom soit mêlé à des actions politiques, comme l’avènement au pouvoir des populistes par exemple, à mes dépends. Je sais, le business a dans ces cas-là la priorité absolue, mais il y a des limites à ne pas dépasser. Weiterlesen

Rex Wayne Tillerson, Jahrgang 1952, gebürtiger Texaner, ist eigentlich beruflich Manager. Er war Präsident und Geschäftsführer des Erdölkonzerns Exxon Mobil. Am 1. Februar 2017 wurde er zum Außenminister der Vereinigten Staaten in Trumps Kabinett berufen.

Gut ein Jahr ist Donald Trump Präsident der Vereinigten Staaten; trotzdem haben etliche Amtsträger und Berater ihren Job schon wieder verloren. Teils unter kuriosen Umständen. Manche stellten sich als unfähig heraus, anderen wurden gravierende Vergehen vorgeworfen. Und manchmal kam auch alles zusammen.

Rex Tillerson wirft man vor, er habe einen schlechten Außenminister abgegeben. Ob er ein solcher war, mag die Geschichte entscheiden. Fakt ist, innerhalb eines Jahres hat man kaum die Chance, sich annähernd zu beweisen. Bemerkenswerterweise war Tillerson als „Jobversager“ noch immer nützlich als Korrektiv für den möglicherweise schlechtesten Präsidenten, den die USA je gesehen haben. Die Kurzformel im Außenministerium in Washington hieß: ABT, „Anything, but Tillerson!“. Gebt uns einen anderen, egal wen! Wenigstens aber hat dieser Tillerson das Iran-Nuklearabkommen am Leben gehalten, eine kritische Eskalation zwischen der Türkei und den USA verhindert und den richtigen Instinkt bewahrt im Umgang mit Nordkorea. Und das ist doch schon etwas, oder?!

Das wild rotierende Personalkarussell Trumps hat nun das Außenamt erfasst, was erwartet wurde und dem Amt nicht schaden muss. Der neue Minister wird sich einen hoffentlich funktionierenden Apparat aufbauen und der durchaus potenten US-Diplomatie wieder ein bisschen Leben einhauchen. Was kommt dann?

Wenn Präsident Trump eine Form der Insubordination erkennt, wehrt er sich dagegen, so wie er auch in seiner Baufirma durchgreifen würde, wenn er das Gefühl hätte, seine Untergebenen tanzten nicht nach seiner Pfeife.

Nun sind die USA keine Baufirma, und das Zusammenwirken der Ministerien und des Weißen Hauses ist schon in normalen Zeiten kein Zuckerschlecken. Für Trump wird der Regierungsalltag – mit oder ohne Tillerson – gleichbleiben: Impulsives und instinktives Handeln, und solange sich sein Gespür für die amerikanische Lebensrealität deckt mit dem Gefühl einer beachtlichen Zahl seiner Landsleute, wird er Applaus bekommen für Handelskriege, für Steuergeschenke und die Mexiko-Mauer. Unterschiede macht es allerdings, ob seine Minister ihm für diese Instinktpolitik Applaus spenden, oder ob sie einen Teil des alten Amerikas aus der Vor-Trump-Zeit zu retten versuchen.

Tillerson war ein Novum im Washingtoner Betrieb: Ein Außenminister ohne jede politische Erfahrung. Dafür verfügt der 65 Jahre alte Texaner als langjähriger Chef des weltgrößten Ölkonzerns Exxon Mobil Corporation über Kontakte rund um den Globus. Das war wohl der Grund, warum ihn der frisch gewählte Präsident Donald Trump als Außenminister in sein Kabinett holte. Seine Begründung für Tillerson, die er – wo sonst? – über Twitter verbreitete, lautete: Der Mann habe „große Verhandlungserfahrung mit allen möglichen ausländischen Regierungen“.

Ein Ölmanager als oberster Diplomat der Supermacht USA? Das galt vielen als undenkbar. Doch Rex Tillerson arbeitete sich in seinen neuen Job ein, so wie er sich in jeden neuen Job eingearbeitet hatte: akribisch und ehrgeizig. Der gelernte Bauingenieur begann 1975 bei Exxon als Produktionsingenieur und stieg stetig in der Hierarchie des Konzern auf – bis ganz nach oben. 1999, als die beiden Konzerne Exxon und Mobil fusionierten, wurde er stellvertretender Vorstandsvorsitzender der Exxon Mobil Development Company. Anfang 2006 übernahm Tillerson von seinem Vorgänger Lee Raymond schließlich den Posten des Geschäftsführers von Exxon Mobil.

Für die Zukunft alles Gute, Mister Tillerson! Gott schütze Amerika!

Erik Hagermann, 53 ans, un ancien cadre de chez Nike, a depuis l’élection de Donald Trump décidé de ne plus rien savoir au sujet de la politique. Il s’est retiré dans un vase-clos et a pris le parti de tout ignorer. Pour un homme qui suivait auparavant l’actualité avec le plus grand intérêt, une forme de protestation ? Ou d’abnégation pour tout ce qui se passe en politique. Il vit dans une ferme située au Sud-Est de l’État de l’Ohio. Toute sa vie est maintenant axée à tout faire pour ne rien apprendre par inadvertance, ce qui est dans un monde hyper-médiatisé est une gageur. Si on prend les actualités de ces dernières vint-quatre heures, Erik Hagermann ignore que le gouvernement Trump se radicalise de plus en plus. Avec l’éviction de Rex Tillerson, le secrétaire d’État aux affaires étrangères et son remplacement pas le directeur de la CIA, nous allons au-devant de temps encore plus glaciaux. Mike Pompeo a la réputation d’être un faucon et fera tout pour faire capoter l’accord nucléaire avec l’Iran. Je me demande ce que le reclus de l’Ohio en aurait tiré comme conclusion ? Plus encore, quelles incidences cela pourraient avoir sur sa vie personnelle ? Il n’a évidement pas suivi les élections partielles qui ont eu lieu hier dans son État, pour nommer un nouveau député à la chambre des représentants. Je me demande comment Erik Hagermann, qui se rend chaque matin dans une petite ville située à 30 minutes de son domicile pour boire son café, ait pu ignorer les affiches louant les mérites de tel ou tel candidat ? Ferme-t-il constamment les yeux ? Weiterlesen