Comment exprimer ce que je ressens ce 14 juillet 2018. J’ai en moi un profond sentiment de malaise, après ce qui s’est passé lors de la visite de Donald Trump au Royaume Uni. J’aurais dû me réjouir que Theresa May en prenne ainsi pour son grade. Cette femme qui fait de son poste de premier-ministre une calamité. Elle, qui plus par soif de pouvoir, mène les négociations du Brexit, qui sont d’un dilettantisme sans nom Je devrais être dans une colère profonde à cause du comportement, une fois de plus arrogant, de la fière Albion. Elle n’est plus que l’ombre d’elle-même. J’éprouve en ce jour de fête nationale, plus un sentiment de pitié que celui d’une vengeance bien méritée. Une queen, voûtée pas le poids des ans, reçoit un hôte, qui a eu le toupet d’injurier la personne qui l’a invitée. Je devrais chanter la Marseillaise, mais j’ai de la peine à le faire, même si j’en ressens une profonde envie, du fait qu’on a blessé une nation, qui malgré tout fait partie de mon Europe, ceci malgré les démarches de divorce entamées d’une manière inconsidérée. Et ce qui blesse l’Europe, blesse la France. Probablement un paradoxe, mais je ressens la visite de ce Trump, comme un affront pour tous ceux qui luttent contre son attitude plus que discourtoise. Il en est autrement pour l’Allemagne, où Angela Markel a elle aussi été la cible des attaques présentielles. D’après une majorité d’environ 89 %, le peuple dit ne plus considérer les États.Unis comme son allié privilégié, au contraire, comme un adversaire qui finalement n’hésiterait pas à lui faire mal par opportunisme. Malgré le défilé militaire de ce matin sur les Champs-Élysées, la France elle aussi sort affaiblie de ces joutes complètement contre-productives, où le président des États-Unis est sorti de ses gonds, que ce soit à Bruxelles ou à Londres. Une contradiction l’une après l’autre, mais qui avait à mon avis avec une certaine méthode. Weiterlesen

Je ne sais pas quel plaisir j’ai de recevoir ce vieillard acariâtre qu’est le président Trump. Façon de parler, ce n’est pas moi qui lui est dit de venir, mais les boss de l’OTAN ou Madame May, grand bien lui en fasse ! Maintenant, c’est aussi à elle de payer les pots cassés. Pour ne pas avoir suivi ses conseils, elle pourrait éventuellement se mettre un accord commercial entre les deux pays au cul. Où ce dément passe, il crée le désordre, bien plus, il veut coloniser l’Europe. Et si elle ne suit pas les directives émanant de Washington, la voilà reléguée au fin fond de la classe, affublée d’un couvre-chef décoré de longues oreilles d’âne. Sans me mettre dans des moi-je, je ne verrais pas d’inconvénients de faire la sourde-oreille, bref, de lui faire la gueule, comme il était de mise dans le passé. Il est triste que soyons à nouveau prêts à jouer aux serfs, comme Angela Merkel ou Theresa May, qui d’un seul coup de cuillère veulent jouer à la fois aux rebelles qu’elles ne sont pas et aux jeunes filles bien sous tous rapports, qui ne veulent pas décevoir leurs parents. Et voilà qu’elles sont placées dans une situation des plus déshonorantes, celles de vassales, par cet homme grossier qui ne saurait en aucun cas décliner le mot éducation. « Connais-pas ! N’en n’ai rien à foutre ! » S’il en avait les moyens, il introniserait séance-tenante Boris Johnson comme premier-ministre, car au moins lui lui lécherait le cul. Je sais, je ne mesure plus mes mots, mais je trouve l’ingérence de cet homme primitif dans nos affaires, tout à fait indécent. Weiterlesen

L’OCDE s’inquiète que les salaires stagnent. À l’origine il sont déjà bas, ce qui ne permet pas aux salariés de boucler leurs mois avec une seule source de revenus. Autour de moi je connais des personnes qui doivent faire des tours de passe-passe pour aller d’un boulot à l’autre. Le temps qu’elles peuvent se consacrer à leurs familles s’amenuise comme une peau de chagrin, ce qui donne lieu à un état de crise. Comment s’occuper avec quiétude des enfants, si on est constamment sous pression ? L’agitation continue est une source incessante de conflits, qui vont en dépends des jeunes. Et puis il y a l’état de santé de ceux qui se soumettent à un tel régime. Il est permis de prétendre que les effets collatéraux coûteront en fin de compte énormément d’argent. L’effet social et économique d’un tel manque à gagner, se fait donc au détriment des générations futures. L’exploitation de l’homme par l’homme n’est donc pas une phrase creuse mais bien une réalité quotidienne. Ce manque de liquidités entrave aussi le marché intérieur des pays industriels. L’exemple de l’Allemagne est significatif. D’après l’OCDE la force économique de ce pays pourrait être bien plus intense et pourrait compenser ainsi en partie, la « bonne plaisanterie  que voudrait nous faire Donald Trump en augmentant les taxes douanières, en particulier sur la vente des automobiles européennes ou asiatiques aux USA. La décision au moment, où je vous écris n’est pas encore prise, mais cela ne saurait pas tarder, malgré certaines nouvelles qui pourraient faire croire que ce pas inutile puisse être en dernière minute évité. Il est vrai que les grandes entreprises comme la GM ou Ford sont complètement opposées à de telles mesures, qui pourraient avoir des conséquences désastreuses sur les ventes et sur le marché du travail. Il n’est pas étonnant que Richard Grenell, l’ambassadeur des USA à Berlin, ait convoqué les boss de VW, de BMW et de Daimler-Benz pour leur faire la proposition d’éliminer complètement toutes les taxes douanières dans leur branche. Le taux zéro ! Weiterlesen

La General Motors (GM) a fait savoir à la Maison Blanche, ce qu’elle pensait des taxes douanières que Donald Trump veut imposer en particulier à l’Europe, concernant l’industrie automobile. Sa direction a dit qu’une telle initiative générerait une hausse des prix des véhicules américains, car bien des pièces détachées proviennent du vieux continent, que cela pénaliserait ses exportations, vu que les Européens augmenteraient eux aussi les droits de douane. Finalement il y aurait plus de chômage. Ces entreprises seraient obligées de réduire leurs capacités. Des désavantages dans tous les domaines de la marche des usines ! Donald Trump ne semble pas savoir, ce qu’il en est de la mondialisation, qui est un échange continu des technologies, des produits, des expériences faites dans les laboratoires. L’affaire Harley Davidson aurait du lui faire comprendre, où de telles initiatives peuvent mener, c’est à dire à la ruine. S’il y a un produit qui est vraiment américain, ce sont ses motos avec leurs moteurs ronronnants. Je pense que cela a dû être pour cette entreprise un crève-cœur de devoir délocaliser en toute urgence. Le Président a beau lancer des menaces et des injures en ce qui les concerne, la réalité est une autre que celle d’un patriotisme suranné. Donald Trump a du mal à faire marcher ses méninges, il préfère clamer sa frustration en accusant autrui, au lieu de réfléchir qui est le responsable. Je dois dire que je suis assez satisfait que les lois de la mondialisation parlent le langage de la raison. Il est possible de déplorer une situation, mais de croire qu’il sera possible de la changer à coups de massues est un signe de bêtise. Il n’y en a pas pénurie chez le président et certains de ses sous-fifres. Weiterlesen

Le président Trump a dû faire marche-arrière en ce qui concerne sa politique migratoire. Les enfants ne seront plus séparés de leurs parents. Il a été obligé de faire ce pas, car même au sein du parti Républicain, la pratique appliquée depuis peu, fut considérée comme étant cruelle, inhumaine. Dorénavant les gosses iront avec leurs parents dans des camps de rétention. Un pas, qui pour l’administration est loin d’être résolu. Cela démontre que la volonté populaire peut avoir le dessus, si on ne tient pas compte de la sensibilité du peuple. Est-ce.que nous sommes revenus à la case de départ. Cela ne veut en aucun cas dire qu’il y aura des dispositions laxistes quant à l’immigration. Ce sera au Congrès à faire des propositions à l’exécutif. Je suis bien sûr content que Donald Trump ait entendu raison. Le solstice d’été est pour moi une date importante pour faire un bilan. Si je vois ce qui se passe outre-atlantique, je suis en droit de me de demander de qu’elle manière tout ce qui se passe actuellement pourra continuer. J’ai beaucoup de mal à écrire ce matin. C’est comme si j’avais reçu un coup de massue sur la tête. J’essaie de rassembler mes idées mais ai l’impression de tapoter dans du noir. Une fatigue assez ravageuse semble vouloir me tenir en échec, mais je lutte. Comment glaner des idées dans une telle situation? J’ai ouvert tout grand la porte menant au jardin et me demande, si moi aussi je ferai bien de revenir sur certaines décisions, qui semblent êtres indésirables dans l’état dans lequel je me trouve. Qu’ai-je comme alternative? Où céder, me remettre au lit, mettre mon oreiller sur ma tête et m’évader, peu importe dans quel univers; je sais aussi que cela déroulerait contre ma volonté, contre la discipline que je me suis imposé. C’est la raison pour laquelle je peux assez bien m’imaginer dans quel situation se trouve le président. D’une part il croit toujours à ses chimères, celles de construire un mur suivant la frontière mexicaine, empêchant physiquement toutes tentatives d’intrusion aux USA. Ce sera au Congrès de décider, si là aussi il suivra ce projet, qui a priori semble fou. Je pense avant tout que Trump fait beaucoup de tapage, mais n’a pas pour autant réfléchi aux conséquences. S’il est comme moi dans l’incapacité de mettre une idée derrière l’autre, nous entrerons de plus en plus dans une époque de valse-hésitation, où le président ne saura pas où mettre sa tête? Cela démontre que le volontarisme sur lequel il se repose est en train de s’effriter. Je pense pouvoir dire aujourd’hui que nous nous trouvons sur un chemin rocailleux, d’où nous ne pouvons pas voir les cimes. Et pourtant c’est une bonne nouvelle, que ce pas en arrière. Je ne sais pas où cela pourra aboutir? Quand un homme de sa trempe est atteint comme il l’est actuellement, il sera difficile de voir, où il veut en arriver. Ce qui semblait simpliste devient tout à fait subtile. Voir un homme comme Donald Trump se rétracter, changera-t-elle la manière d’écrire sur lui? Je ne l’espère pas. C’est la leçon que je viens de recevoir dans l’état comateux dans lequel je me trouve ce matin. Mon corps réclame un peu de paix, ma tête s’y oppose. Peut-être ferais-je bien de demander conseil au locataire de la Maison Blanche. 

https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/06/21/les-principaux-points-du-decret-trump-mettant-fin-aux-separations-des-familles_5318593_3222.html

Et oui, les USA quittent le Conseil des droits de l’homme de l’ONU. Pour un pays qui ne les respecte pas, ce n’est guère étonnant. La séparation, dans le cas des clandestins, des parents et de leurs enfants, s’ils se font attraper à la frontière mexicaine, est une violation des droits élémentaires concernant les familles. Mais le ministre de la justice, Jeff Sessions, ne reviendra pas sur cette décision inhumaine, car il faut respecter les lois… Si c’était si simple que cela, il y aurait de quoi être surpris. Comme on le sait, il est toujours possible de manipuler le sens à donner à une législation. Le rôle du CDH est de contrôler toutes interventions juridiques et de les condamner le cas échéant. Un organe très important afin d’assurer à chaque individu un droit à la parole. L’argument mis en avant pour le retrait des États-Unis, est l’engagement pris par cet organisme de critiquer la situation dans les territoires occupés par Israël et dans la bande de Gaza. Pour moi il ne fait aucun doute que l’État hébreux blesse les droits élémentaires des Palestiniens en les discriminant. Je pense aux représailles, par exemple, qui amènent la destruction de leurs maisons, même si les personnes concernées ne sont pas directement liées à des actions de guérilla. Aussi au massacre des gosses près de la ligne de démarcation de la bande de Gaza. Le droit d’opinion doit être respecté. Et j’en passe ! Malgré tout je crois que cet argument ne correspond pas tout à fait à la réalité. Ce retrait laisse aux USA plus de marges de manœuvre lorsqu’il s’agit de combattre les adversaires de Donald Trump. Ce dernier ne croit pas être dans l’obligation de donner des explications lorsqu’il s’agit de soumettre de soi-disant ennemis à la question. Je pense en particulier à la torture. Ou de laisser des personnes incarcérées sans aucune forme de procès, en prétendant que ce sont des terroristes. Weiterlesen

Das wusste man schon vorher. Doch die Art und Weise, wie Donald Trump per Tweet alles zunichte machte, was vorher mühsam ausgehandelt worden war, ist in der Geschichte der modernen Diplomatie ohne Beispiel.

Seit 42 Jahren gibt es die G7, der Club stammt also aus einer Zeit, in der die Welt noch anders aussah. Seit 42 Jahren trifft man sich einmal im Jahr. Die Gipfel wurden immer größer und trotz ihres informellen Charakters zum geopolitischen Instrument. Der Preis dafür war, dass sie in den vergangenen Jahren nur unter massiven Sicherheitsvorkehrungen an möglichst abgelegenen Orten stattfinden konnten. Im besten Fall lieferte man schöne Bilder, aber kaum konkrete Ergebnisse. Gleichzeitig hat sich mit den G20-Treffen ein Format etabliert, das den heutigen Kräfteverhältnissen auf der Welt besser gerecht wird.

Wie man angesichts dieser Schwächen einen Gipfel perfekt für seine Zwecke instrumentalisieren kann, hat der frühere italienische Ministerpräsident Silvio Berlusconi als Gastgeber vorgemacht. Er verlegte den Gipfel 2009 ins Erdbebengebiet der zerstörten Stadt L’Aquila. Doch im Rückblick wirkt selbst dieses Treffen wie ein Relikt aus einer besseren Zeit, als die alte Weltordnung noch halbwegs intakt war. Der US-Präsident hieß damals Barack Obama, auch Russland war dabei und selbst einer wie Berlusconi hielt sich gelegentlich an die Regeln der Diplomatie.

Trump hingegen hat den Multilateralismus, der die vergangenen Jahrzehnte westlicher Politik geprägt hat, aufgekündigt. Seine Alleingänge im Handelsstreit oder beim Iran-Abkommen waren nur Vorboten der größtmöglichen Brüskierung seiner Verbündeten, die er hat folgen lassen.

Es geht dabei nicht nur um Stilfragen. Die alten Regeln, so das klare Signal, gelten nicht mehr. Das ist umso gefährlicher, als die Welt heute bevölkert ist mit verdrehten Populisten vom Schlage Trumps. Nicht nur autoritäre Regime und die USA, auch die europäischen Demokratien sind dafür anfällig geworden. Die starken Männer heißen Donald Trump, Wladimir Putin oder Kim Jong Un, und es ist kein Zufall, dass Trump das Gespräch mit ihnen wichtiger ist als die Runde der G7 mit ihren Debatten.

In den gestrigen US-Talkshows verteidigten Trumps Berater den Präsidenten. Man erklärte, Trump habe dem kanadischen Premierminister Trudeau einen Gefallen getan, indem er zum G7-Gipfel gekommen sei. Er sei sogar bereit gewesen, das sozialistische Kommuniqué zu unterschreiben. Dann sei der kanadische Regierungschef Trump jedoch in den Rücken gefallen. Wirtschaftsberater sagen, Trump vermute, dass Trudeau ihn vor dem Gipfeltreffen mit dem nordkoreanischen Staatschef Kim Jong Un politisch schwächen wollte.

Der US-Präsident kritisierte explizit Deutschland, das zu wenig in die Sicherheit der Verbündeten investiere. Das Land zahle ein Prozent des Bruttoinlandsproduktes in Richtung NATO, während die USA vier Prozent von einer weit größeren Wirtschaftsleistung zahlten, twitterte Trump. Man beschütze Europa (was gut sei) zu großen finanziellen Kosten, und dann werde man beim Handel auf unfaire Weise geschröpft, so Trump.

Bundeskanzlerin Merkel entgegnete hierzu, auch die EU werde Gegenmaßnahmen gegen die US-Zölle ergreifen: „Wir lassen uns nicht eins ums andere Mal über den Tisch ziehen. Wir handeln dann auch“, sagte sie. Die EU werde sich dabei aber an die Regeln der Welthandelsorganisation (WTO) halten. Ein Ende der G7-Gipfel sieht Merkel nach dem Eklat durch Trump jedoch ebenso wenig gekommen wie das Ende der transatlantischen Beziehungen (tagesschau.de).

Trump hat aus seiner Abneigung gegen die auf Zusammenarbeit und Regeln gegründete Nachkriegsordnung nie ein Geheimnis gemacht. Beim G7-Gipfel in Kanada rieb er es allen noch einmal unter die Nase. Er fand nettere Worte für Putin und Kim als für Trudeau und Merkel. Für Europa geht es ums Eingemachte. Mehr noch als für Kanada stehen die Sicherheit und der Wohlstand des europäischen Kontinents auf dem Spiel.

Wer vor Trump die Hacken zusammenschlägt, wird nur noch mehr gedemütigt. Der US-Präsident kennt nur das Prinzip Unterwerfung. Auf der anderen Seite ist gerade die deutsche Export-Wirtschaft auf die Vereinigten Staaten angewiesen.

Blindes Zurückschlagen verbietet sich darum. Es hilft nichts: Wenn sich der Gipfel-Rauch verzogen hat, muss weiter verhandelt werden.

Alfred Jarry aurait eu du plaisir à observer le Roi Ubu du 21ème siècle, qu’est la girouette Donald Trump. Au sujet du G7, il est entré dans un magasin de porcelaine comme le légendaire éléphant qui a tout cassé ce qui était à portée de vue. Il a réussi ce qu’aucun président depuis la guerre a pu faire, se mettre à dos les anciens alliés des États-Unis. Assez écris à ce sujet. Pour redorer le blason, le voilà à Singapour, où il vient de rencontrer le petit dictateur de la Corée du Nord, Kim Jong Un. Il a gonflé ce ballon de baudruche, qu’est cet événement, comme il n’est pas permis de le faire. Regardez-donc dans votre Atlas. Vous vous rendrez-compte de la démesure de cette rencontre. Bien sûr, Pyongyang dispose actuellement de l’arme atomique, ce qui lui donne évidemment de l’importance. Mais vouloir comparer ce qui s’est passé au Canada avec cette première rencontre, serait insensé. Comme coup médiatique c’est assez réussi, mais il faut espérer que les journalistes sauront placer cette rencontre dans son vrai contexte. À l’instant, où je vous écris, il y a séance plénière entre les deux délégations. Je pense qu’au terme de cette conférence, il sera possible de rédiger un communiqué assez lyrique, mais qu’en sera-t-il du contenu ? Il est encore trop tôt pour le savoir, mais je peux m’imaginer que ce seront de belles déclarations d’intention, mais il est impossible d’entrer dans les détails, car la préparation de ce face-à-face a été plutôt bancale. Weiterlesen