En principe je supporte bien la chaleur, mais je dois malgré tout avouer que je la trouve parfois étouffante. Il est cinq heures. Je me suis assis devant l’ordinateur et respire l’air de l’aube. Ayant ouvert tout grand ma fenêtre, je me soustrais à un bain de fraîcheur. Un moment privilégié, où je n’ai pas besoin de la climatisation pour me sentir soulagé. Je suis parfaitement conscient que nous sommes les artisans de ce coup de chaud. En gaspillant ainsi les ressources qui nous sommes mises mises à disposition, notre planète plane dangereusement dans la direction d’une côte ardue, qu’il s’agirait d’éviter. Nous voyons parfaitement.où cela peut mener, mais sommes complètement dépourvu d’énergie afin de remédier à cela. Les routes de France en début du mois de juillet 2018 ont en été une preuve de taille. Des bouchons cumulés sur plus de 700 kilomètres, des records de canicules, des gens dans la peur de ne pas supporter la canicule sans leurs véhicules. Et tout cela pour mettre les pieds dans la mer. Il faut s’en armer de patiences ? Interruption ! Je me suis recouché un quart d’heure n’en pouvant plus. J’espère que je pourrais mener à terme cet article, de parler mentalement avec vous, même si j’ai parfois du mal à vous entendre. Et lorsque je suis couché, mon dos proteste. Il veut me faire comprendre, que toute guérison est en fait un leurre. Causes et effets, je dors sur du dur ! Au fait, je voulais vous parler de quoi ce matin ? Évidemment de la canicule et ses effets pervers. En particulier des efforts technologiques que nous devrions faire. Je déteste qu’on me mette ainsi sous pressions. Je sens la fatigue qui une fois de plus m’envoie mille salutations. Je devrais pourtant faire la gaudriole, chanter à tue-tête, et supporter sans coups férir ce régime. Black out ! De quoi voulais-je parler ? Des prix-forts ! Autant aller chercher un peu de repos. Weiterlesen
Schlagwort: lassitude
Solstice d’été
Le président Trump a dû faire marche-arrière en ce qui concerne sa politique migratoire. Les enfants ne seront plus séparés de leurs parents. Il a été obligé de faire ce pas, car même au sein du parti Républicain, la pratique appliquée depuis peu, fut considérée comme étant cruelle, inhumaine. Dorénavant les gosses iront avec leurs parents dans des camps de rétention. Un pas, qui pour l’administration est loin d’être résolu. Cela démontre que la volonté populaire peut avoir le dessus, si on ne tient pas compte de la sensibilité du peuple. Est-ce.que nous sommes revenus à la case de départ. Cela ne veut en aucun cas dire qu’il y aura des dispositions laxistes quant à l’immigration. Ce sera au Congrès à faire des propositions à l’exécutif. Je suis bien sûr content que Donald Trump ait entendu raison. Le solstice d’été est pour moi une date importante pour faire un bilan. Si je vois ce qui se passe outre-atlantique, je suis en droit de me de demander de qu’elle manière tout ce qui se passe actuellement pourra continuer. J’ai beaucoup de mal à écrire ce matin. C’est comme si j’avais reçu un coup de massue sur la tête. J’essaie de rassembler mes idées mais ai l’impression de tapoter dans du noir. Une fatigue assez ravageuse semble vouloir me tenir en échec, mais je lutte. Comment glaner des idées dans une telle situation? J’ai ouvert tout grand la porte menant au jardin et me demande, si moi aussi je ferai bien de revenir sur certaines décisions, qui semblent êtres indésirables dans l’état dans lequel je me trouve. Qu’ai-je comme alternative? Où céder, me remettre au lit, mettre mon oreiller sur ma tête et m’évader, peu importe dans quel univers; je sais aussi que cela déroulerait contre ma volonté, contre la discipline que je me suis imposé. C’est la raison pour laquelle je peux assez bien m’imaginer dans quel situation se trouve le président. D’une part il croit toujours à ses chimères, celles de construire un mur suivant la frontière mexicaine, empêchant physiquement toutes tentatives d’intrusion aux USA. Ce sera au Congrès de décider, si là aussi il suivra ce projet, qui a priori semble fou. Je pense avant tout que Trump fait beaucoup de tapage, mais n’a pas pour autant réfléchi aux conséquences. S’il est comme moi dans l’incapacité de mettre une idée derrière l’autre, nous entrerons de plus en plus dans une époque de valse-hésitation, où le président ne saura pas où mettre sa tête? Cela démontre que le volontarisme sur lequel il se repose est en train de s’effriter. Je pense pouvoir dire aujourd’hui que nous nous trouvons sur un chemin rocailleux, d’où nous ne pouvons pas voir les cimes. Et pourtant c’est une bonne nouvelle, que ce pas en arrière. Je ne sais pas où cela pourra aboutir? Quand un homme de sa trempe est atteint comme il l’est actuellement, il sera difficile de voir, où il veut en arriver. Ce qui semblait simpliste devient tout à fait subtile. Voir un homme comme Donald Trump se rétracter, changera-t-elle la manière d’écrire sur lui? Je ne l’espère pas. C’est la leçon que je viens de recevoir dans l’état comateux dans lequel je me trouve ce matin. Mon corps réclame un peu de paix, ma tête s’y oppose. Peut-être ferais-je bien de demander conseil au locataire de la Maison Blanche.