Tous les candidats à une élection, qu’elle soit présidentielle comme en France ou législative comme en Allemagne, se préoccupent de la santé de leurs concitoyens. Peu importe quel pays, le système ploie sous les coûts, ce qui se fait au détriment de tous. Pour essayer de donner un peu pus de clarté, je veux tenter de donner un aperçu de se qui se passe outre-Rhin. Il y a deux manières de s’y assurer. On peut passer par des caisses officielles qui feraient un peu office de Sécurité sociale ou par des assurances privées. Les premières sont en principe plus restrictives quant aux prestations qui sont réglées par des conventions au niveau national. Que ce soit les médecins, les hôpitaux ou les pharmaciens, ils doivent se soumettre aux règles négociées. Les tarifs sont plus bas ce qui conduit à des disparités quant aux soins. Les patients doivent être conscients qu’ils sont un peu moins chouchoutés que ceux de la deuxième catégorie, ceux du privé. Dans certains cas ils ne sont pas pris en compte par certains médecins. Ce qui est plus général c’est une attente plus longue au niveau des rendez-vous. Contrairement aux assurances, toutes les factures sont directement payées par les caisses. Les personnes soignées ne les voient pas et ne se rendent pas compte des prix. Cela mène à plus de laxisme quant à l’explosion des coûts de santé. Comme en France, de plus en plus de médicaments ou de soins thérapeutiques sont mal remboursés ou pas du tout. Il est dans l’intérêt de tous de souscrire à une complémentaire en ce qui concerne le remboursement des prothèses dentaires par exemple. Chez ceux qui ont des polices privées le système est différent. Les médecins savent qu’ils peuvent faire du beurre et sont libres d’augmenter le prix de leurs prestations, qui en principe sont couvertes par les assureurs. Il y a certes des contrôles et des refus de paiements, mais finalement c’est une question de négociations, qui peuvent aboutir au tribunal. Chaque patient reçoit les factures et doit les contrôler, Comme les médecins et les cliniques savent qu’ils peuvent faire du beurre, il n’est pas rare que des soins soient facturés qui n’ont jamais eu lieu. Une escroquerie générale qui est passée dans les mœurs. Tout cela mène à une politique de santé à deux niveaux. Il est évident que seuls les assurés privés sont les poules aux œufs d’or et soient soignés en conséquence. La politique aimerait y mettre un terme – c’est tout au moins ce que déclarent les candidats – mais les lobbys des grandes compagnies d’assurance sont tout puissant et freinent toutes initiatives allant dans ce sens. Hier par exemple, il était question en Allemagne de mettre tout le système sous un seul toit. Il y a eu spontanément une levée de boucliers, car la constitution encourage de telles injustices en prétendant que c’est dans l’intérêt de tous qu’il y ait des alternatives. Une chose est sûre : les coûts augmentent de plus en plus et ceci au détriment des patients. Ils doivent de plus en plus payer des factures qui ne sont plus remboursées. Cela amène évidemment de la grogne. Une chose est certaine, que ce soit en Allemagne ou en France, il faudra un jour revoir la copie. On en est encore très loin, croyez-moi !

pm

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/02/21/chaque-candidat-s-adresse-a-une-categorie-de-professionnels-de-sante_5083175_4854003.html

Pierre Mathias

Alle kennen es aus Märchen,

das Zwergenland!

Bei den sieben Bergen,

leben sieben Zwerge am Rand.

Ob Troll, Winzling, Wicht,

sie sind klein, wie ein Kind.

So fremd, dass wir übersehen,

wie ähnlich sie uns doch sind.

Ein Land, tief unter der Erde.

Königreich für ein Mädchen auf der Flucht.

Königin unter kleinen Männern.

Endlich gefunden, lange gesucht!

EUROPA, wie in alten Mythen,

sei in Wahrheit ihr Namen.

Sagte sie, als die grimmen Zwergenmänner

um sie herum zusammenkamen.

Eine Einheit, ein Ziel: Frieden!

Nach der Zeit der Kriege, der großen,

verstanden sie sich prima.

Miteinander voran, keiner verstoßen!

Bis sie nicht mehr auf EUROPA

hörten. Und es fing zu bröckeln an.

Zwei waren schon lange fort.

Das Zwergenland geriet aus der Bahn.

Der Fünfte ging im letzten Jahr.

Suchte das große Glück gar,

in der Welt der Menschen.

Vergaß, dass er ein Zwerg war!

Die letzten Vier, versuchten zu halten,

das Zwergenland.

Tränen in den Augen,

Visionen in der Hand!

Geht das Zwergenland unter,

werden die Zwerge uneins sein.

Lange bleibt es dunkel,

Kummer und Pein!

Vergessen wir die Zwerge nicht!

Ohne sie sind wir nichts.

Sie sind älter, drum lernen wir!

Vom Schicksal des kleinen Wichts.

D’après Monsieur Trump, l’Allemagne et la Chine représentent un plus grand danger que la Russie de Vladimir Poutine. Cet homme qui veut se donner des airs de macho est en fait très peu sûr de lui. Il voit partout des complots contre lui. C’est la raison pour laquelle il fustige la presse dans son ensemble, ce qui le rend ridicule. Et lorsqu’il essaye de donner des arguments, ses données sont erronées comme c’était le cas au sujet des incidents de Suède qui n’ont pas eu lieu. Et lorsqu’il parle de la cohésion de son gouvernement, nous nous trouvons en pleine contradiction. Le vice-président qui est en voyage en Europe a déclaré l’attachement de Donald Trump à l’Otan ainsi que son respect pour l’UE, avec qui les USA veulent continuer à avoir des liens privilégiés. Mike Pence dit exactement le contraire de ce que déclare son patron. Il n’est pas étonnant que ses interlocuteurs ne sautent pas encore de joie. En ce qui concerne l’Allemagne, la diplomatie américaine ferait bien de faire très attention à ce qui se dit. Elle a toujours été loyale envers les États-Unis, mais n’a pas été toujours soumise comme l’attendait à l’époque la Maison Blanche. Gerhard Schröder a dit non à la guerre en Irak et il a gardé jusqu’à ce jour raison. Depuis ce pays n’a pas cessé de se développer. Le commerce extérieur de la République Fédérale a été et est encore un grand succès. Je pense qu’il y a de la jalousie chez ce descendant de l’Allemagne qu’est Donald Trump. Il ne peut que constater qu’une nation qui était à genoux à la fin de la guerre, a pu rattraper d’une manière extraordinaire le terrain perdu. Du vaincu elle est devenue la gagnante, sans pour autant sombrer dans l’arrogance. Il ne fait aucun doute que l’économie américaine aurait de quoi apprendre de cette nation, qui ne se laisse pas aller. Je pense déceler dans l’attitude de Trump au sujet de l’Allemagne des complexes d’infériorité. Weiterlesen

Sein letzter Wille sei „Idylle“, steht da in Falcos Tagebuch-Exzerpt, er wolle „in Rua gelassen werden“. Da sei ein Vakuum, „fehlender Antrieb“ in ihm. Ein Erschöpfter auf der Suche nach innerem Frieden: „No a Interview und I flipp aus, Burschen.“

Rudi Dolezal hat einen Film über Falco gemacht: zum 60. Geburtstag, einem fiktiven Termin, denn Falco ist seit 19 Jahren tot. Jedes Jahr, seit der Sänger 1998 in der Dominikanischen Republik nach einer durchzechten Nacht in seinem Wagen mit einem Bus kollidierte, bricht im Februar dieser Wirbel los. In diesem Jahr ist der halt besonders wirbelig.

Wenn er morgen seinem Gott gegenüberstehe, könne er ihm sagen, er sei unschuldig. Er habe niemanden betrogen, er habe niemandem wehgetan, außer sich selbst. Und das werde Gott ihm verzeihen. – Mit solchen Gedanken hat sich Hans Hölzel – alias Falco – in Tagebucheinträgen dem Unvermeidlichen entgegenphilosophiert. Hölzel, weiß Dolezal, „war ein witziger, zuvorkommender, intelligenter, belesener, netter, kollegialer Mensch“. Und dann gab es Falco: „Der war meistens a Arschloch: angesoffen unerträglich“.

Wie kam es zu diesem unglücklichen, ach so frühen – ja, zu frühen – Tod? Die Faktenlage sieht so aus. „Es war ein Unfall – Hans Hölzel ist von der Kupplung abgerutscht und fuhr mit seinem Wagen voll in diesen Bus rein. Die Selbstmordtheorie ist vom Tisch“ (Rudi Dolezal).

Falco sei, so soll es der Film erzählen, damals in einem desolaten Zustand gewesen sein. „Er hatte nicht nur diese eine Nacht durchgemacht, er hatte vorher drei Nächte nicht geschlafen“, berichtet Dolezal, noch immer wütend, wenn er an die damalige Zeit zurückdenkt. Falco sei lange Zeit trocken gewesen in der DomRep, sozusagen clean. Dann sei er rückfällig geworden mit Alkohol und Drogen. Thematisiert wird im Film von Dolezal, dass sich Falco wenige Wochen vor seinem Tod unsterblich in eine junge Frau, Selina, verliebt habe. Doch dann habe sie sich wieder von ihm getrennt, was ihm das Herz gebrochen habe. Die Wahrheit sei jedoch auch, so Dolezal: „Sein Rückfall wurde aus der Heimat importiert. Das Kokain wurde von vermeintlichen Freunden aus Österreich auf die Insel geschleppt, zum Teil im Gitarrenkoffer geschmuggelt, und Falco hatte plötzlich wieder Gefallen gefunden an diesem Leben, das er eigentlich schon hinter sich gelassen hatte.“

Das Fatalistische der großen, meist jungen Stars: Sie sterben im Rausch, jung und plötzlich! Und die Kette ist lang: Jim Morrison, Janis Joplin, Elvis Presley, Marilyn Monroe … Das sind nur einige. Dieser Unfall, die Kollision mit dem Bus; erinnert sie doch an ein anderes Ereignis: einen Septembertag 1955, fast 43 Jahre vor Falcos Tod. An der Kreuzung der California State Route 41 mit der California State Route 46 bei Cholame in der kalifornischen Wüste kam James Dean und seinem Beifahrer Rolf Wütherich – einem deutschen Rennfahrer – ein Pkw Ford entgegen. Dessen Fahrer, der Student Donald Turnupseed, bog mit seinem Wagen unvermittelt nach links ab und nahm Dean die Vorfahrt – er habe Deans Porsche nach seiner Aussage nicht kommen sehen. Dean hatte die Scheinwerfer trotz Abenddämmerung nicht eingeschaltet und keine Zeit, auszuweichen, sodass er ungebremst in die Breitseite des alten Ford Tudor fuhr. Der silberne Porsche Deans soll nach Schätzungen bis zu 170km/h gefahren sein. Turnupseed und Wütherich überlebten den Unfall, James Dean verstarb auf dem Weg ins Krankenhaus.

Die Gefilde des Ruhms, sind sie doch ein „Land voller Schlaglöcher. Nur Tote sind unsterblich – und es war Donald Turnupseed, der James Dean unsterblich machte.“ (Süddeutsche Zeitung, 19.11.2010). War es jene ominöse Selina, die Falco, alias Hans Hölzel, unvergessen machte?! Wir reden heute noch von ihm, rund zwanzig Jahre nach seinem Tod, feiern gar seinen 60. Geburtstag. Seinen Tag, jemandes Tag, der zu einem Meilenstein der Musikgeschichte wurde. Wir feiern eine Ikone, Hans Hölzel hingegen ist ein österreichischer Allerweltsname. Kaum einer kennt ihn. Das legt eigentlich nur einen Schluss nahe: den Menschen Falco hat keiner gekannt. Und das Wenige, das wir von ihm wissen, zeigt uns: er muss gelitten haben! Das Schlimme daran: Kaum einer hat es gemerkt! Vielleicht war es uns egal … Hauptsache, er sang! Unsere Gesellschaft kommt hierbei nicht gut weg. Was bleibt, ist eine Ansammlung konsumierender Individuen. Nicht fähig zur Empathie. Eigentlich traurig!

Wir wollen Falco zum 60. recht herzlich gratulieren. Sind wir dankbar für manchen Ohrwurm. Einen hat er schließlich auch von den Toten erweckt. Jemanden, der auch viel zu früh ging, ein Genie! Wolfgang Amadeus Mozart! Das Revival des Amadeus.

Im Olymp der Musik klingen die Schampus-Gläser.

„Alles klar, Herr Kommissar?!“

Jean-Luc Mélenchon veut dépenser en cinq ans 173 milliards pour l’infrastructure et le fonctionnement de l’État. Dès qu’il sera à l’Élisée il veut prendre un crédit de 100 milliards afin de financer ses projets. Il espère faire redémarrer ainsi l’économie en assurant des recettes supplémentaires de 55 milliards provenant avant tout des impôts. Il veut réduire le chômage actuellement de 10% à 6%, augmenter le taux de croissance de 2% à partir de 2018 et baisser en conséquence la dette publique. Avec un nombre accru des places de travail, il croit pouvoir faire entrer bien plus de revenus dans les caisses de l’État. Pour assurer un équilibre plus grand des finances, il luttera contre la fraude fiscale, augmentera le taux des prélèvements obligatoires de 45% à 49,2 % du PIB en 2022, mettra en place un impôt sur le revenu plus progressif qu’il fusionnera avec CSG, dont la tranche supérieure de 33.000 Euros sera taxée à 100%. Une fois de plus il saignera tous ceux qui gagnent le plus, dont les industriels. Les investissements dans la construction de logements sociaux est importante et donnera pour un temps limité du travail aux entreprises de construction. Mais dans ce que j’ai lu jusqu’à présent, il n’est pas question de l’essor des entreprises, du financement de leur infrastructure. En voulant augmenter de près de 6% les salaires et le Smic net de 173 Euros par mois et d’accorder l’indemnisation chômage dès le premier jour, ce qui concernerait 500.000 personnes, il y aurait des dépenses supplémentaires de 2 milliards. Sans parler de l’allocation d’autonomie pour les jeunes (21 milliards) et de la revalorisation de l’agriculture écologique en créant plus de 300.000 nouveaux emplois jusqu’en 2022 (9,1 milliards). Weiterlesen

Je ne reviendrai pas sur la question fondamentale du colonialisme, dont j’ai débattu il y a peu. Si vous vous souvenez je suis de l’avis d’Emmanuel Macron dans la critique qu’il a apportée à ce sujet. Il aura derrière lui le peuple de gauche, qui ne peut accepter une quelconque mainmise de l’homme sur l’homme. Il y a eu levée de boucliers de la part des pieds-noirs, des anciens combattants, des vieux de la vielle de l’OAS, dont Jean-Marie Le Pen était très proche. Je pense qu’une campagne électorale a pour but d’encourager une remise en question d’une nation toute entière, aussi dans des domaines issus de l’histoire. Certains problèmes que nous connaissons aujourd’hui proviennent probablement du colonialisme que nous avons pratiqué jadis. Il faisait partie de l’identité du pays. Il était à côté de ses effets inhumains aussi un signe de pluralisme, celui dont il fait si cruellement défaut à la droite de l’échiquier politique. Une ouverture sur le monde, aussi pervers que cela puisse paraître, qui est en totale contradiction avec le principe isolationniste du FN. Macron a bien fait d’aborder ce problème, même s’il fait mal, car il n’est pas encore « digéré » ! Je pense qu’il est juste d’en débattre afin de remettre les horloges à l’heure. Afin d’esquisser des projets d’avenir, il faut revenir à la théorie des causes et des effets. Pour construire une maison, il faut que ses fondations soient solides. Cela demande beaucoup de lucidité en ce qui concerne la politique. Nous avons un socle que nous ne pouvons pas tout simplement éradiqué, car il est essentiel pour ce que nous sommes : une nation fière de son passé, même s’il y a des zones d’ombre, qu’il s’agit d’analyser. Weiterlesen

L’artiste germano-syrien Manaf Halbouni a dressé au centre de la ville martyre de Dresde trois bus, comme ceux qui servaient de barricade contre les tirs des snipers à Alep. Cela n’a pas été du goût de l’extrême-droite, qui chaque lundi a pris part aux cortèges xénophobes du Pegida. Les länder de l’ex-RDA ont un problème néonazi. Avant la chute du mur der Berlin, il existait en République populaire des éléments qui vénéraient le 3ème Reich. Le Stasi était au courant ; même plus il les soutenaient voulant prouver ainsi, qu’ils étaient téléguidés par le gouvernement fasciste de Bonn. On était en pleine guerre froide et tous les moyens étaient bons pour dénigrer l’adversaire. Dès 1990 j’ai tourné dans ce milieu et ait pu m’apercevoir à quel points certains jeunes étaient endoctrinés. Après l’effondrement du régime de la RDA, ils étaient comme perdus. Plus d’organisation de jeunesse qui les prenaient en charge dans les quartiers stériles que le régime avait érigé. Ils étaient un peu comme les cités-dortoirs autour de Paris. Très rapidement ces éléments, qui étaient constamment sous contrôle, étaient comme perdus. Ils étaient au fond d’eux-mêmes tout à fait incapable de gérer eux-même leur existence. Ils avaient la nostalgie du totalitarisme, peu importe la couleur, qui d’après-eux leur donnait un certain sentiment de sûreté. Ces personnes sont devenues adultes et ne sont pas délestées de leur idéologie. Dresde n’est sûrement pas dans son ensemble néonazie, mais les hordes brunes qui la hantent, lui confèrent une mauvaise réputation. Du 13 au 15 février 1945 l’aviation américaine et anglaise détruisit presque entièrement la ville. Les assaillants utilisèrent principalement des bombes incendiaires ou à fragmentation entraînant le mort de près de 25.000 habitants. Le but était de toucher la population civile que les alliés rendaient responsables d’avoir soutenu aveuglément Hitler.

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Il y a la ligne Macron et celle d’un Trump. L’une est libérale, peu rigide et donnant aux citoyens une part de liberté d’agissement, l’autre rigide et dirigiste. Ce que nous voyons pour l’instant aux USA est un président perdant toute assise et pour se disculper des nombreuses erreurs, attaque la presse en la traitant de malhonnête. Cette fuite en avant ne réussira pas à l’émanciper. Le modèle Trump est voué à l’échec car il plonge le pays dans une sorte de campagne électorale sans fin. Il est évident que nous sommes plus guère réceptifs à une gouvernance qui applique sans cesse des décrets plus ou moins sensés. Le système d’Emmanuel Macron, quant à lui, cherche à nous inciter à montrer plus d’initiative et ne craint pas la controverse. L’autoritarisme, comme le conçoivent Marine le Pen et François Fillon, plongerait le pays dans une plus grande crise qu’actuellement. Même s’il est difficile de porter le fardeau des responsabilités, il est impossible dans une société du 21ème siècle de déléguer tout simplement son droit de décision à une seule personne, peu importe son profil. L’administration Trump démontre à quel point elle se déconnecte de la réalité. D’après les sondages le peuple , dans sa majorité , craint le désordre occasionné par un amateur en politique. Il y a un programme et sa réalisation. Une fois au pouvoir on attend d’un président sa faculté à s’imposer. Il a commis l’erreur de croire qu’il pouvait tout simplement braver tous ceux qui le critiquent. Il doit s’apercevoir que tout cela le mène dans l’ornière. C’est sous cet aspect là que Macron mène sa campagne. Pour que l’économie redémarre, il fait appel à de l’initiative. Les patrons doivent se sentir libres afin d’être efficaces. Mais ce n’est que la pointe de la pyramide. Sans l’appoint des salariés, tous progrès seraient caduques. Il faut qu’il fasse la démonstration que c’est dans leur intérêt à se mouvoir sans être ligotés par des lois restrictives. Weiterlesen