L’enseignant juif attaqué à coups de machette à Marseille se pose la question de ce qui a pu amener un gosse de 15 ans à vouloir le tuer ? Une question fondamentale pour tous ceux qui veulent lutter contre le terrorisme. Plus j’y pense, plus je me dis qu’il y a manipulation. Il est possible de transformer en bombes à retardement tout individu un peu labile, qui a un sentiment de mal-être. À force de lui bourrer le crâne qu’il a une mission à remplir, il se met à y croire. Mais l’idéologie, même si elle joue un rôle important, n’est pas le seul facteur pour transformer des personnes en des meurtriers. Il y a un grave problème d’identité. Mais aussi le sentiment qu’on ne sert à rien. Dès le plus jeune âge il est possible d’intervenir. La psychologie est essentielle pour que ce soit efficace. C’est donc le fait d’individus qui doivent s’y connaître. C’est à ce niveau que la lutte anti-terroriste doit avoir lieu. Qui a influencé cet adolescent ? Les parents ? Pour l’instant je ne sais pas de quel milieu il est issu, mais la mise en route d’actions dévastatrices sont souvent identiques. On se retrouve dans des milieux frappés par le chômage, où l’autorité du père est profondément entamée. La raison ? Sans travail il est guère en mesure de pourvoir aux besoins de sa famille. Dans bien des cas un financement occulte des ménages a lieu. Des jeunes dealent et volent, rapportant ainsi des sommes inespérées. De l’argent que les familles acceptent par nécessité. C’est là que le bât blesse. Toutes valeurs dictées par la morale sont ainsi bafouées. Lorsque un jeune m’a dit, il y a quelques années dans les quartiers nord de la cité phocéenne, qu’il se considérait comme un travailleur social, qui aide ses proches à subsister grâce au trafic de drogue, il y a un certain pragmatisme dans ses propos. Weiterlesen

Ce matin j’ai de la peine à écrire. Malgré les 120 morts décomptés jusqu’à présent, la vie continue. Ce ne sont pas les terroristes de l’EI qui pourront la déconnecter. C’est le message qu’il faut absolument faire passer. Paris est à sang, Paris est blessé mais Paris ne mourra jamais. Et tout ceci à cause d’un fanatisme soit-disant d’origine religieuse. L‘ Islam dans son ensemble a été visé par ces fous de Dieu. Ils veulent imposer leur fondamentalisme et ceci qu’avec les paroles de la violence. Ils ne veulent pas être compris, mais craints. La dignité de l’homme, comme il en est question dans le Coran, ils n’en ont rien à faire. Ce n’est qu’avec les moyens de l’horreur, qu’ils veulent imposer une forme de société, qui est à l’opposé des vers coraniques. Une énorme majorité de croyants s’opposent à de tels méfaits, mais il sont impuissants face à cette vague déferlante. Ils sont soumis à de plus en plus de méfiance, qui peut se transformer en peu de temps en haine. Ils le doivent à cette jeunesse, dont ils ont souvent perdu la maîtrise. Ils savent d’où viennent les meurtriers, mais ne peuvent pas leur inculquer de la raison, avant que les drames arrivent. La communauté musulmane dans son ensemble est passée otage de ces kamikazes. Weiterlesen

Religion und Politik … Geht das zusammen? Ich habe meine Zweifel! Man hat zunächst zwei Elemente: Die Religion und die Politik. Die Politik, wie der Name schon sagt, beschäftigt sich mit der öffentlichen Sache. Die Angelegenheiten des Staates und der Gesellschaft. Jene gilt es zu regeln, viele Interessen müssen unter einen Hut gebracht werden.

Die Religion befasst sich mit Gott. Nur mit Gott? Wohl nein! Allein wenn man bei den Buchreligionen in den heiligen Büchern nachliest, dann wird man eines anderen belehrt. Schaue ich als Christ beispielweise in die Bibel und in die zehn Gebote, dann fällt folgendes ins Auge:

Die ersten drei Gebote legen Bestimmungen für die Beziehung zwischen Gott und Mensch fest. Die Gebote fünf bis zehn wiederum regeln das zwischenmenschliche Zusammenleben. Eine Mischform stellt das vierte Gebot dar, welches zur Sabbatheiligung aufruft. Einerseits weist der ausführliche Text in 2. Mose 20, 9-11 auf den göttlichen Ursprung des Sabbats in der Schöpfung hin. Der siebente Wochentag ist somit zunächst ein Gedenktag. Doch auch dem Menschen nützt das Arbeitsverbot am Sabbat, weil er sich dadurch erholen kann. Arbeitsmedizinische Erkenntnisse stützen dies, denn ein echter Ruhetag nach sechs Tagen voller Arbeit oder privater Geschäftigkeit stellt die schonendste Form der Lebens- und Arbeitszeitgestaltung dar. Andere Religionen wie Islam und Judentum mögen das ähnlich regeln.

Es gibt also, was den Umgang der Menschen miteinander angeht, eine Überschneidung von Politik und Religion. So weit, so gut! Was aber, wenn in eine bisher liberale Staatsauffassung auf eine streng oder gar radikal ausgelegte Religion trifft? Strenger Hinduismus auf das normale Leben in Indien? Ein offener arabischer Staat und strenge Auslegung des Koran? Die Greueltaten des Islamischen Staates, welcher die Einrichtung eines sogenannten Gottesstaates anstrebt, sind hinlänglich bekannt. In Indien hat vor einiger Zeit ein wütender Mob einen Schied totgeschlagen, weil er angeblich – das Gerücht war noch nicht einmal verifiziert – Rindfleisch verzehrt hat. In Indien gelten (aus religiöser Sicht) Rinder als heilige Tiere. Zu einer ernstlichen Strafverfolgung kam es bisher nicht.

Konflikte sind vorprogrammiert!

Aber auch in Europa wird die Angelegenheit heiß diskutiert. Schon in unserer Präambel zum Grundgesetz steht: „Im Bewußtsein seiner Verantwortung vor Gott und den Menschen, …“.

Nach Ansicht des Staatsphilosophen Josef Isensee ist die Trennung von Staat und Religion nicht sinnvoll, da das Christentum eine historische Grundlage Deutschlands sei. Außerdem führte seiner Ansicht nach die Entfernung von religiösen Symbolen, zum Beispiel aus Klassenzimmern, zu einer „Verödung der Kulturlandschaft“.

Das würde bedeuten, dass in den Schulen die historischen Grundlagen, aus denen unser Gemeinwesen entstanden ist, verschwänden, und es würde eine sterile Welt geschaffen, in der möglicherweise eine Pseudo-Religion einziehen könnte anstelle des Christentums. Unsere Stadtbilder sind geprägt von der christlichen Vergangenheit, die – genau genommen – keineswegs vergangen ist, sondern eben noch ein wesentliches Stück Gegenwart ist. Das Christentum lässt sich als historische Grundlage unseres Landes und ganz Europas begreifen, und der Staat gewährt dem Christentum wie allen anderen Religionen die grundrechtliche Freiheit und Gleichheit.

Man darf aber nicht übersehen, dass einige bekannte Köpfe unseres Landes, unter anderem der frühere Bundeskanzler Helmut Schmidt, der Auffassung sind, dass das Christentum mittlerweile an seine Grenzen stößt. Solange eine mittelterliche Liturgie auf einen postmodernen Staat trifft, wird sich dieser Konflikt auch nicht lösen lassen. Im Gegenteil! Es wird noch mehr Kirchenaustritte geben. Und die Kirche hat schon genug Federn lassen müssen. Die katholische Kirche hätte vor zwanzig Jahren nie und nimmer Geschiedene, Wiederverheiratete oder Homosexuelle in ihren Kreisen geduldet.

Nicht zuletzt: Hat nicht schon die Wirtschaft uns zu Konsumjüngern gemacht? Wurden hier nicht ähnliche Methoden wie dazumal von der Kirche angewandt? Soviel zu Ersatzreligion!

Le conseil municipal de Chalon-sur-Saône a décidé à une grande majorité d’interdire les menus sans porc dans les cantines scolaires. Jusqu’à présent en tenait compte des lois religieuses qui empêchent les croyants de consommer cette viande. Les juifs et les musulmans sont concernés. Les conseillers municipaux arguent qu’une école laïque n’a pas à tenir compte des dogmes prescrits par les cultes. Une manière perfide de marquer sa haine raciale. Une telle décision démontre à quel point on est prêt à pratiquer l’exclusion. Bien que je sois un adhérent de la séparation entre la religion et l’État, je suis scandalisé par une telle attitude. Elle est discriminatoire et a pour but de provoquer. En clair cela veut dire : « Si cela vous plaît pas, vous n’avez qu’à prendre le large ! » Et n’oublions pas que c’est avant tout les enfants qui sont concernés. Si je pouvais donner un conseil à ces édiles pervertis, je leur dirais d’interdire aux basanés de s’asseoir sur les bancs des parcs publics. Ils seraient ainsi dans la droite ligne de l’idéologie nazie. Ce serait une première mesure avant de barrer l’accès des écoles aux musulmans. Le prochain pas consisterait à les bannir de la vie publique. Et pour couronner le tout, de créer un peu partout des camps d’extermination. Chalon-sur-Saône a perdu à mes yeux toute dignité. Ce qui s’est passé hier soir est une honte. On pourrait préconiser dans de telles condition le boycotte de cette ville. Le vin provenant de la région serait le premier concerné. Mais je ne suivrais pas cette voie, car cela entraînerait un raz-de-marée. L’intolérance souillerait de plus en plus notre pays. Les fossés deviendraient de plus en plus profonds. Weiterlesen

Les actes islamophobes et antisémites ont augmenté d’une manière drastique pendant le premier semestre de 2015. Les racistes semblent s’en donner cœur-joie. Un état de suspicion gagne le pays. On se méfie de tous ceux qui sont étrangers, on les rejette. Une situation analogue en Allemagne où chaque semaine des éléments extrémistes mettent le feu à des centres d’hébergement pour les réfugiés venant d’Afrique ou ailleurs. Il est évident qu’il y a un profond malaise au sein de la société. Les autochtones ne supportent pas la mondialisation, car elle impute plus de solidarité. Plus personne ne peut faire son beurre sans contribuer à la correction de certaines injustices. Cela revient à dire qu’il faut partager, en particulier avec tous ceux que le monde occidental a exploité pendant des décennies. Mais cela ne rentre pas dans les cerveaux de tous ceux qui se considèrent encore comme des colonialistes. Ils sont nombreux ! Il y a aussi la peur de perdre ses acquis, d’autant plus que les communautés musulmanes et juives ne sont plus prêtes à se soumettre. Puis les agissements inadmissibles de l’EI, qui ne contribuent pas à la sérénité. La peur des attentats est perceptible un peu partout. On ne se sent plus en sécurité dans son propre pays ! Ces éléments provoquent des réflexes de rejet. La nostalgie de se retrouver dans un pays idyllique, où « on se sent bien chez nous », ne se réalisera plus. Weiterlesen

Le dialogue avec l’Islam n’est décidément pas une mince affaire. Quels sont les véritables interlocuteurs ? Contrairement au catholicisme, cette religion n’a pas une structure centrale. Elle est composée de diverses tendances qui souvent se livrent une lutte acharnée entre elles. Les négociations avec les membres du culte musulman sont de ce fait compliquées. L’esprit cartésien réclamerait des démarches simples, mais ici cela ne peut pas être le cas. Personne ne peut se faire passer pour un leader, personne ne peut imposer quoi que ce soit ! L’individualisme prime, ce qui à mon avis n’est pas forcément une tare. L’entrevue du ministère de l’intérieur a de ce fait qu’un aspect informateur. Des vœux-pieux qui restent souvent lettre-morte, car ils ne peuvent pas être imposés. Au niveau politique cela rend les choses sacrément compliquées. L‘ État aimerait bien avoir affaire à des responsables qui auraient comme devoir de prendre des décisions au nom d’une communauté. Mais cette dernière est tellement fractionnée, que toutes tentatives d’unité restent factices. Malgré cette réalité je trouve un tel dialogue très positif. Il démontre que l’Islam n’est pas un bloc monolithique. Weiterlesen

Islamischer Staat

Der „Islamische Staat“ ist kein Staat im staats- oder völkerrechtlichen Sinne. Ein Staat kennzeichnet sich durch Staatsgebiet, Staatsgewalt und Staatsvolk. So die Drei-Elemente-Lehre von Georg Jellinek.
Eine Staatsgewalt im Sinne einer Führung mag rudimentär vorhanden sein. Einen ausgebauten Verwaltungsapparat gibt es nicht. Auch an einem Staatsgebiet mangelt es. Der IS hält einige dünn besiedelte Wüstenregionen im Osten Syriens und im Westen des Iraks, wie der Spiegel zu berichten weiß. Faktisch leben dort Menschen, die aktuellen, tatsächlichen Grenzen sind völkerrechtlich nicht anerkannt und werden dies auch in Zukunft nicht werden. Ein Staatsvolk gibt es nicht. Die Staatsbürgerschaft „Islamischer Staat“ oder wie auch immer sucht man vergeblich. Die in vorgenannten Gebieten lebenden Einheimischen sind nach wie vor irakische beziehungsweise syrische Staatsbürger. Der IS braucht also Bürger!
Laut Spiegel Online arbeitet man seitens der Miliz daran. Im besetzten Teil Syriens versucht man, mögliche Bürger unter dem Motto „Flitterwochen im Kalifat“ in die Region zu locken. Man bietet Sex und Geld. Die Kämpfer des IS haben aus militärischen Gründen kaum Zeit, sich eine Braut zu suchen. Auch fehlt ihnen das Geld für die Mitgift, viele sind bettelarm. Und der Region fehlt es an heiratswilligen Frauen. Mit Versuchungen à la „Tausend und eine Nacht“ sollen intelligente junge Frauen, gegebenenfalls mit entsprechender Bildung, ins Kalifat gelockt werden. Geht es nicht freiwillig, werden die Frauen versklavt. Der IS braucht Nachwuchs! Und das lässt er sich etwas kosten. So wurde die Hochzeit eines 28-jährigen Milizionärs mit einer 24-jährigen Tunesierin gesponsert. Flitterwochen in Rakka, Spaziergänge am Euphrat. Hiernach war die Ehefrau schwanger und der Kämpfer musste wieder an die Front. Nach letzten Berichten ist er noch am Leben.
Die Versorgung der Kämpfer und deren Familien ist nach wie vor schlecht. Indem man die Kriegsbeute an die Milizionäre verteilt versucht man, diese bei Laune zu halten. Unter anderem leben IS-Kader in Villen, die einst Angehörigen des syrischen Regimes gehörten. Nach Recherchen des Nachrichtenmagazins Siegel Online erhält ein Soldat der Miliz eine monatliches Salaire von umgerechnet 50,– Dollar. Die Ehefrau zu Hause eine ähnliche Summe.
Es ist mager, was nach den Flitterwochen bleibt. Wer einen Staat aufbauen will, braucht Männer und Frauen für die Gründung und den Erhalt des Staatsvolkes. Zudem, in den von dem IS gehaltenen Gebieten herrscht Armut und entsprechend schlechte Bildung, muss man mit den Neubürgern auch Know-How und berufliche Qualifikation importieren. Bildung kostet, und das Geld hierfür hat der Islamische Staat nicht. Als Miliz ist die Gruppierung eine der reichsten, vielleicht die reichste der Welt. Als Staat wäre sie schlichtweg arm. Ein Steuersystem fehlt völlig, Geld wird über Kriegsbeute und Kriminalität – wie Zwangsprostitution und Drogenhandel – beschafft.
Bringen wir es auf einen Nenner: Einen Islamischen Staat im eigentlichen Sinne gibt es nicht.
Das Ziel, einen von weltlichen Einflüssen freien Gottesstaat zu gründen, dürfte unerreichbar sein. Schon in der Gründungsphase bedient man sich profaner, krimineller Mittel wie Prostitution, Mord, Drogenhandel und Zerstörung von Kulturdenkmälern.

© Thomas Dietsch

Venedig

Venezia … Wenn der Muezzin vom Turm zum Gebet ruft, zieht es den gläubigen Muslim in die Moschee. Auch in Venedig! Man glaubt es kaum, aber es ist Wahrheit. Zumindest für die sieben Monate der Biennale in Venedig wurde die seit 46 Jahren ungenutzte Kirche Santa Maria della Misericordia an einem Kanal im Stadtteil Cannaregio von einem Künstler angemietet und mit Hilfe islamischer Gemeinden zur ersten Moschee der Serenissima umgerüstet. Venedig hat eine große islamische Gemeinde von rund 20.000 Gläubigen. Dem Künstler Christoph Büchel ging es darum, ein Zeichen zu setzen. Und er möchte provozieren! Über Jahrhunderte war Venedig das Tor zum Orient, man tauschte Stoffe, Gewürze und auch Wissen mit Persern, Türken und Arabern. Mit dem Wohlstand kam auch die Bildung des Nahen Ostens nach Europa. Aber auch in einer weltoffenen Stadt wie Venedig gibt es Kritik, Anwohner gehen auf die Barrikaden, Touristen glotzen betende Muslime während der Besichtigung unverhohlen an. Die Anwohner wollen „ihre“ Kirche, welche seit 1973 in Privatbesitz ist, nicht hergeben. Dies, obwohl sie sie seit Jahrzehnten nicht nutzen. Man motzt auf die Anderen. Schleichende Islamisierung! Das ist der Begriff, der auch in Deutschland die Gemüter erregt und der nun Venedig in Aufruhr versetzt. Gerade hierauf kommt es dem verantwortlichen Künstler an: Er will, dass sich Christen und Muslime austauschen, Barrieren abbauen. Fremdes und Ungewohntes führt zu Ablehnung, Ablehnung führt zu Hass. Und Hass führt zu Gewalt und Krieg. Zeit etwas zu ändern! Büchel will den Dialog der Religionen. Aber er stößt auf harte Opposition. Jetzt erhebt auch die katholische Kirche ihre Stimme. Für jede Nutzung außerhalb des katholischen Kultes müsse eine Genehmigung erteilt werden, erklären die Kirchenoberhäupter. Diese sei aber nie beantragt worden. Laut Kirche muss ein sakraler Ort erst amtlich entweiht werden, um diesen einer profanen Nutzung zuzuführen. Bürokraten vor Ort fordern einen Nachweis über die amtliche Entweihung. Die Stadt Venedig stellt ein Ultimatum: Wenn bis 20. Mai keine entsprechenden Nachweise vorlägen, werde die Moschee geschlossen.
Wenn man bedenkt, wie viele Kirchen in Europa leerstehen, früher als Pferdestall und Lazarett, heute als Restaurant, Autowerkstatt oder Kunsthalle genutzt werden, dann liegt eine religiöse Nutzung doch am nächsten. Leider gilt vorliegend der Grundsatz: „Wir nutzen es zwar nicht, aber …“. Irgendwie schade!
Altpräsident Wulff sagte vor einigen Jahren in einer Rede, der Islam gehöre zu Deutschland. Auch er musste harte Kritik einstecken.
Es wird Zeit, dass wir uns den Realitäten stellen!

 

© Thomas Dietsch