Ce sont bien moins des questions théologiques qui posent des problèmes à l’intégration des populations musulmanes en Europe, qu’un certain style de vie, imprégné des traditions des régions d’origines. Les religions monothéistes vénèrent le même Dieu, ont aussi de mêmes prophètes. Ce n’est pas un hasard s’il est question dans le Coran de leaders religieux de l’Ancien Testament ou de Jésus-Christ. Les racines sont identiques et ne devraient pas laisser la place à la haine. Où les choses se détériorent, c’est lorsqu’il s’agit de dogmatisme comme par exemple les règles édictées par la charia. Elles s’inspirent d’un mode de vie, que le siècle des lumières a balayé en principe dans nos pays. Il ne faut pas oublier que la chrétienté a aussi imposé de telles contraintes, mais cela remonte au Moyen-âge et au début de la Renaissance. La rigueur des lois a partiellement laissé la place à plus d’humanisme. Mais comme l’histoire contemporaine l’a démontré, il y eu de terribles retour en arrière. Nous sommes mal placé pour donner des leçons ! Lorsqu’on lit les écrits de Martin Luther, dont en fêtera l’année prochaine le jubilé, il y a de quoi être effrayé de son intolérance. Il réclame ouvertement le génocide des juifs, des femmes de mauvaises mœurs, d’enfants nés avec des tares physiques ou mentales. Sans oublier le massacre de 70.000 paysans qu’il a provoqué. Ce n’est pas un hasard si Adolf Hitler a justifié Auschwitz en se référant au réformateur. Un tel scandale devrait nous inciter à montrer plus de discrétion. Cela ne veut pas dire que l’Islam reste campé, tout au moins sous nos latitudes, dans un certain obscurantisme. Pour éviter que le fossé se creuse encore plus, il devrait redéfinir par exemple la position de la femme. Elle ne peut plus être comparée à ce qui avait incité Mohamed à agir. Elles étaient soumises à de telles discriminations de la part des hommes, que le Coran a été obligé d’édicter certaines règles, qui sont de par leur nature plus égalitaires en comparant leur mise en pratique. Dans les écritures il n’est pas question de les traiter comme des esclaves. Weiterlesen

Die AfD wird als wirtschaftsfeindlich angesehen, ihre Politik soll den deutschen Unternehmen schaden. Das ist das Ergebnis einer Umfrage unter den Mitgliedern des Leaders Parliament von Roland Berger und der „Welt-Gruppe“. 54 Prozent der Befragten in Chefetagen sind der Meinung, dass die Anti-Euro-Haltung ein Risiko für die Wirtschaft ist. Weitere knapp 30 Prozent halten die AfD für eine wirtschaftsfeindliche Partei, da viele ihrer Positionen denen der Linkspopulisten ähneln.

Die Aussagen sind bemerkenswert. Die Partei wurde dazumal von einem Wirtschaftsprofessor mitgegründet, bei dem man von ökonomischer Kompetenz ausgehen kann. Die Umfrage, an der regelmäßig Führungskräfte der ersten und zweiten Managementebene teilnehmen, offenbart aber, dass lediglich eine Minderheit von zwölf Prozent der AfD eine wirtschaftsfreundliche Attitüde attestieren, weil jene eine positive Haltung zur Marktwirtschaft einnehme bzw. sich gegen die Vergemeinschaftung von Euro-Risiken ausspreche.

Anfänglich hatte die Partei Anhänger unter den Firmenlenkern. Insbesondere Familienunternehmer fühlten sich angezogen von einer Partei, die die Euro-Rettungsprogramme geißelte und das Projekt Euro-Zone am liebsten gestoppt hätte. Die Eurokrise war mit der Gründungsstoff, der die AfD groß machte.

Inzwischen haben Flüchtlingskrise und Gefahren des radikalen Islamismus das einstige Thema verdrängt. Die Verschiebung mag in gewissen Bevölkerungskreisen durchaus verfangen. Bei den jüngsten Landtagswahlen im März hat die AfD durchweg zweistellige Ergebnisse eingefahren. Bei der Wirtschaftselite kommt das Programm hingegen weniger gut an.

Viele Manager und Ökonomen fürchten nicht die AfD an sich. Sie allein könnte sicherlich kein ökonomisches Desaster über Deutschland und Europa bringen. Das Problem seien vielmehr die zahlreichen populistischen Strömungen auf dem Kontinent. Sei es die Anti-EU-Partei Ukip in Großbritannien, der in Frankreich stimmenstärkste Front National oder die neue polnische Regierung von Ministerpräsidentin Szydlo.

In Österreich ist Kanzler Faymann zurückgetreten, nachdem der Kandidat der populistischen FPÖ in der ersten Runde der Präsidentschaftswahlen die meisten Stimmen erzielte. Die etablierten Parteien spüren derzeit gewaltigen Druck von rechtslastigen Konkurrenten.

Wachsender Populismus ist ein weltweites Phänomen. Auch Donald Trump, Kandidat der Republikaner bei den US-Präsidentschaftswahlen, betreibt eine populistische Politik. Die Programme ähneln sich länderübergreifend. Die volksnahen Newcomer kämpfen und stehen für geschlossene Grenzen, ein Ende des Freihandels – einige wollen sogar ein Ende der Europäischen Union!

Die meisten Ökonomen sind sich einig, dass solche Einschränkungen der wirtschaftlichen Freizügigkeit extrem schädlich sind. Etwa 100 Milliarden Euro könnte die Wiedereinführung von Grenzkontrollen Europa bis 2020 kosten, so das holländische Wirtschaftsforschungsinstitut CPB. Das entspricht 0,7 Prozent der EU-Wirtschaftsleistung! „Prognos“ erwartet für die kommenden zehn Jahre eine Belastung von 470 Milliarden Euro wegen höherer Importpreise.

Nicht Tsipras oder Griechenland, nicht die Schulden sind das größte Risiko für Europa. Das sind Populismus und Nationalismus.

Die wirtschaftliche Elite bangt um den Kontinent. Jeder zweite Vorstandschef fürchtet, dass Europa politisch und ökonomisch auseinanderdriftet.

Das Beispiel Polen macht deutlich, dass populistische Parteien schnell ökonomischen Schaden anrichten können. Die polnische Wirtschaft ist im ersten Quartal 2016 um 0,1 Prozent geschrumpft, erstes Quartalsminus seit 2012. Ein Grund für das Minus sind schwächere Investitionen aus dem Ausland und die generell niedrigere Kreditnachfrage.

Der Wahlsieg der nationalkonservativen Partei „Recht und Gerechtigkeit“ im Herbst 2015 hat das Vertrauen in die Ökonomie geschwächt. Anfang des Jahres haben führende Ratingagenturen mit Blick auf die politischen Risiken Polen das A-Rating aberkannt und die Bonität auf BBB+ zurückgestuft. Die Kreditwürdigkeit ging runter von „stabil“ auf „negativ“ (Moody´s).

L’Allemagne va dépenser jusqu’en 2020 93 milliards pour les migrants. C’est une somme énorme. Lorsqu’on sait qu’en 2015 un millions de réfugiés ont été accueillis, ce n’est guère étonnant. Mais à la longue ce ne sera pas possible. D’où la nécessité de freiner l’immigration, comme cela se passe actuellement. Une majorité de personnes sont favorables à cette aide humanitaire, mais des signes inquiétants se dessinent à l’horizon. De plus en plus de foyers sont incendiés. La ratonnade n’est pas non plus à exclure. De toutes parts des menaces, en particuliers pour tous ceux qui apportent leur soutien aux étrangers. L’AfD, d’après les derniers sondages, se situe à 15% des votes, si le Bundestag devait être renouvelé dimanche prochain. Une déferlante populiste risque d’entraîner le pays dans la haine. Le climat s’est malheureusement détérioré. Que faire ? Les autorités s’évertuent à intégrer le plus rapidement possible les immigrés. Tout d’abord il s’agit de promouvoir l’apprentissage de la langue, ce qui n’est pas une maigre affaire. Un grand nombre de volontaires donnent tout ce qu’ils peuvent. Mais il y a aussi l’insertion dans le monde du travail qui attire toute l’attention. Comme le chômage en Allemagne est au plus bas depuis des années, cela facilite évidemment les choses. Il ne faut pas oublier non plus que la démographie de ces prochaines années est en chute libre. Si on veut préserver la prospérité, il faut trouver de nouveaux employés. L’espoir persiste que bon nombre de migrants pourront compenser ces carences. Cela explique en partie aussi cet accueil considérable. Weiterlesen

wenn das Leben dich gefickt hat

und du alles getan hast, um es richtig zu machen

es fickt dich zu Tode

an jeder Ecke Hyänen, die lauernd ihre Eier lecken

hab dich, hab ich dich?!

hab ich dich endlich platt geritten?

du machst alles richtig, oder wie?

Ist es der Bumerang deiner eigenen Scheiße,

der zu dir kommt

und dich erschlägt?

Eines Tages, wenn du denkst,

du bist aus dem Gröbsten raus

fickt es dich ohne Ende.

Verdammt nochmal, warum erwischt es dich?

Karma lässt grüßen.

Ach, diesen Quatsch gibt es nicht

nur Widersacher, Querulanten, raffgierige Mördermonster,

die dich aussaugen bis kein Tropfen Blut mehr in dir ist

und du vor Frust fett gefressen alles verloren hast.

Schlaue Sprüche –

klar, du machst alles richtig

wo ist der Anfang, wo das Ende?

Es ist dort, wo dir deine ausgelaugte Fresse

den Schmodder des Todes zeigt

die Zunge rausstreckt

und dir zeigt

wie ungerecht das Leben ist.

 

© Petra M. Jansen

http://jansen-marketing.de

Une fois de plus une initiative de paix au Proche-Orient. Jean-Marc Ayrault est aujourd’hui en Israël et demain en Palestine, où il essayera de convaincre les belligérants qu’une conférence à Paris, dont la date est encore ouverte, serait une bonne chose. Mais le hic dans tout cela, est le fait que Benjamin Netanyahou y est opposé. Tant qu’il sera au pouvoir, il n’est pas à prévoir qu’il y aura des négociations. Et ceci malgré un remaniement ministériel qui aurait pour but d’instituer une nouvelle coalition. Pour l’instant il est dépendant des partis conservateurs religieux, qui empêchent toute ouverture. Lorsque les dirigeants se cabrent à ce point, il peut paraître vain de prendre des mesures pouvant promouvoir la paix. Mais ne rien tenter serait encore plus néfaste. L’échiquier mondial a évolué, Le monde ne se compose plus de deux blocs, qui à eux seuls peuvent régir la planète. Les petits chefs prennent de plus en plus de poids, ce qui n’arrange pas les choses. Ils ont tout loisir pour faire enrayer la machine. Le régionalisme prend de plus en plus d’importance, malheureusement aussi un nationalisme de mauvais aloi. On se resserre de plus en plus autour de son clocher, tout en voulant ignorer ce qui se passe autour. L’égoïsme prend de plus en plus de poids, ce qui n’arrange évidemment pas les choses. Les protagonistes oublient alors à quel point ils sont dépendants les uns des autres. Toute notre vie est comme un engrenage. Si une pièce est défectueuse, la panne est au programme. En ce qui concerne le conflit autour de Jérusalem, je ne peux que constater que les esprits s’échauffent de plus en plus. La politique coloniale d’Israël est un frein massif à toute ouverture. C’est de la provocation ! Il en est de même du mur, qui a pour but de barrer la route au terrorisme palestinien. Les esprits sont chauffés à bloc et aucunement prêts à laisser échapper de la vapeur. Weiterlesen

Ce n’est pas nouveau que certaines religions entretiennent des rapports tendus en ce qui concerne les femmes. Notamment les catholiques, qui mettent l’homme au premier plan. C’est pourquoi l’initiative du Pape François de faire entrevoir la possibilité pour elles d’être nommées diacres est un premier pas. Il est connu que l’église primitive donnait aux femmes plus d’importance. Elles pouvaient exercer la prêtrise. Il était alors évidant qu’on ne pouvait pas les discriminer, d’autant plus que Marie, la madone, joue un rôle essentiel dans les rites et dans les dogmes. C’est au cours du Moyen-Âge que s’est accentué le machisme qui perdure jusqu’à aujourd’hui. Comment analyser de tels faits ? Dans l’Ancien Testament le péché originel est avant tout imputé à Eve, celle qui a tenté Adam, ce qui a provoqué leur exclusion du jardin d’Éden. D’en faire la principale pécheresse était l’expression de la volonté de disculper les hommes et de leur accorder une suprématie dans la société. Cela démontre que la politique a fortement influencé cette manière de concevoir le quotidien. C’était de l’antiféminisme avant l’heure. Les remarques hostiles aux femmes jalonnent l’écriture sainte. Seul Jésus a eu le courage de s’en prendre à de telles pratiques. Son attitude vis-à-vis de Marie-Madeleine est significative. Elle est pleine de respect pour une femme, qui devrait être reléguée aux portes de la société. Ce qui se passe encore aujourd’hui au sein de l’Église, se répercute dans la vie civile. Tant que les femmes seront défavorisées par rapport aux hommes au travail ou ailleurs, on peut prétendre sans se blâmer, que c’est un réflexe qui n’a plus rien à voir avec notre époque. Il n’y a qu’à voir que la plupart des postes de responsabilité au sein de l’économie, sont pourvus pas des hommes, ce qui est une injustice flagrante. L’idée que la femme n’a sa place qu’au foyer est obsolète. Quel ménage pourrait survivre matériellement sans son apport matériel ? Il n’y a qu’à ouvrir les yeux afin de s’apercevoir, qu’elle est constamment désavantagée. Weiterlesen

The drugs to execute criminals cost hundreds of thousands of US-Dollars. This is a lot of money!

Internal California prison agency records suggest the state might have to pay hundreds of thousands of US-Dollars to buy execution drugs for lethal injection, according to documents released by a civil liberties group.

Public records obtained by the American Civil Liberties Union (ACLU) of Northern California, show that prison officials were busy in 2014 trying to find suppliers of execution drugs, which many manufacturers have refused to sell to authorities for the purpose of lethal injection.

At the time, court rulings had blocked executions, and the state planned to propose a new single-drug execution method. The last execution in California took place ten years ago.

An email, received in May 2014, obtained in the public records by the ACLU said a compounding pharmacy agreed to provide Pentobarbital, one of four proposed execution drugs, at an initial cost of 500,000,– US-Dollars – and only if the company’s name was not released to the public.

Another email said the state had found a different source for buying Pentobarbital. That email noted that 18 inmates had exhausted their appeals and about 324 grams of the drug would be required to execute them all.

The email said the costs would raise up to 1,109,– US-Dollars for 500 milligrams in addition to fees to cover “service costs” and pay for lawyers.

“This is likely a one-time window to acquire this drug because of pharmaceutical anti-death penalty activity,” wrote Kelly L. McClease, identified as an attorney in the legal division of the California Department of Corrections and Rehabilitation.

There was no indication that the state purchased the drug, which would have cost about 718,632,– US-Dollars for 18 executions, in addition to the unspecified fees. The email said the drug had a shelf life of 24 months.

A Department of Corrections and Rehabilitation spokeswoman said she could not comment on the documents because of “ongoing litigation.” The protocol may be challenged in court if approved by the state.

California unveiled a new single-drug execution method last November. The ACLU sued the state to obtain internal records about how the new method was chosen. Public comment on the proposed lethal injection protocol, which was supposed to end in January, has been extended to July this year.

Ana Zamora, who is criminal justice policy director for the ACLU chapter, said the emails about the drug costs contradicted statements in the department’s proposed lethal injection regulatory package. It estimated the drugs would cost about 4,193,– US-Dollars for each execution, based on what the state spent during past executions.

Zamora said the documents suggest that drugs for a single execution could cost between 133,080,– US-Dollars and 150,000,– US-Dollars.

The president and CEO of the pro-death penalty Criminal Justice Legal Foundation, Michael Rushford, said the corrections department could obtain the drugs at even less than 4,000,– US-Dollars for each execution, if it used prison compounding pharmacies to make them.

The question is whether death penalty is still justified. In times of ailing state budgets, the US national debt amounts currently over 19 trillion US-Dollars. That is 60,060, – USDollars per capita! Instead of discussing which drug kills people at best conditions, one should think about how to reform the health system. After ObamaCare there is still a lot to do. In fact: The responsibility for one´s own health is not enough. You also have to have the money!

La tolérance ne se relativise pas. Les droits de l’homme non plus. C’est la raison pour laquelle je veux exprimer dans cet article ce que je pense de l’homophobie. Elle est parfaitement inacceptable. Lorsqu’on sait que c’est la nature qui régit notre sexualité, il est impossible de s’y opposer. Les personnes concernées sont ainsi génétiquement conçues et ceci dès leur naissance. Ce n’est donc à priori pas une affaire d’éducation. C’est ce que prétendent tous ceux qui les poursuivent de leurs sarcasmes. Un agissement que je décrirais comme étant criminel. Mais la liberté individuelle ne se discute pas ! Même si les raisons n’étaient que d’ordre affectif, ce ne serait pas une raison de discriminer qui que ce soit. Cela fait partie du domaine privé et c’est à mes yeux une sphère qui devrait être inviolable. Tout autant que chez les hétérosexuels. Il est tout à fait inconcevable qu’on puisse à ce point fourrer son nez dans leurs affaires. L’article 175 de la loi allemande interdisait jusqu’en 1994 l’homosexualité. Le ministre de la justice Heiko Maas a déclaré hier qu’il voulait inciter le gouvernement d’indemniser les victimes. Beaucoup d’entre-elles ont fait de la prison et se sont retrouvées dans la précarité. Des faits tragiques qui ne pouvaient plus être ignorés. Le gouvernement italien a décidé de donner la possibilité aux couples homosexuels de se marier à la mairie. On voit que cela bouge, ce qui est rassurant. Mais malgré tout cela, le rapport concernant l’homophobie en France reste inquiétant. On se souviendra encore, que des milliers d’intégristes ont voulu stopper le mariage pour tous. Il est permis d’avoir une opinion défavorable à ce sujet, mais en aucun cas de mettre les couples homosexuels, quelque soit leur sexe, au pilori. Ce que je trouve abjecte ce sont les remarques désobligeantes proférées à leur encontre. Traiter quelqu’un de pédé n’est pas une bagatelle, comme l’a prétendu un tribunal. Weiterlesen