Jean Willot, professeur des écoles à Eaubonne en Val d’Oise, a mis le 15 mars fin à ses jours après avoir été accusé de violences sur un élève de 6 ans. Il lui avait demandé de ne pas s’asseoir sur les marches conduisant à l’école. Dimanche plusieurs centaines de personnes ont défilé dans les rues de la petite ville pour rendre hommage au défunt. Sa famille conteste qu’il y ait eu un acte physique. Il ne s’agissait que d’une punition verbale. D’après eux cet homme de 57 ans n’aurait jamais pu s’en prendre à enfant. Ce n’est pas un cas isolé. Pas mal d’enfants sont conscients qu’ils peuvent exercer des pressions sur les enseignants en racontant des légendes, notamment lorsqu’il s’agit d’attouchements. Il est évident que depuis les révélations de plus en plus nombreuses d’actes pédophiles le métier d’enseignant est devenu de plus en plus difficile à assumer. Lorsqu’un adulte console un enfant en le prenant dans les bras, il peut devenir la cible d’accusations erronées, qui peuvent le mener au tribunal. Dans un tel contexte il ne devrait plus montrer d’empathie, être froid comme un iceberg, ce qui rend toute spontanéité obsolète, ce qui est un déni par rapport à tout ce qui touche les rapports humains. Cela a pour conséquence d’isoler les petits. Pour eux il n’y a rien de plus normal que de rechercher un peu de chaleur, lorsqu’ils ont du chagrin. Il ne fait plus aucun doute que le métier d’enseignant est devenu une activité à risques, car à tous moments, des accusations telles que celles qui ont été à la base du suicide de Jean Willot peuvent être lancées. Grégoire Dublineau, le maire d’Eaubonne a déclaré ; « C’est inadmissible, intolérable. Il faut retrouver le sens du respect dans ce pays, celui de nos institutions. Les enseignants sont particulièrement exposés. Cette contestation, pour un oui pour un non, me révolte » Weiterlesen

La campagne électorale bat son plein en Israël. Une fois de plus Donald Trump est intervenu pour soutenir son ami Benjamin Netanyahou, qui à cause d’une affaire de corruption se trouve sans une situation précaire. Il a déclaré que les USA considéraient les hauteurs du Golan comme faisant partie du territoire israélien, ce qui est une hérésie. Cela reviendrait à cautionner toutes interventions armées et lui conférer un aspect légal. Cette attitude est une porte ouverte à tous les excès qu’engendre une politique expansionniste. Le prochain pas serait de déclarer caduque le droit des Palestiniens d’avoir droit à une patrie. J’irai jusqu’à déclaré que ce genre de politique a des accointances avec le fascisme, qui n’accepte que le droit du plus fort. Une attitude qui me déconcerte dans un pays, où grand nombres d’habitants sont les descendants des victimes du nazisme. On aurait été en droit d’attendre d’eux, qu’ils rejettent le totalitarisme dans son ensemble, qu’ils condamnent toute forme de violence. Je trouve scandaleux que Benjamin Netanyahou, ainsi que d’autres politiciens de la droite israélienne, fassent cause commune avec des autocrates comme le président brésilien Jair Bolsonaro, un proche des militaires qui avaient fait de leur pays, une nation fasciste. Ou comme le premier-ministre hongrois Viktor Orban, qui propage des idées dignes d’Adolf Hitler. Ce virus semble avoir aussi atteint Israël. Pour preuve de telles dérives, je prendrais l’exemple d’Ayelet Shaked, la ministre de la justice, qui dans un spot électoral utilise un déodorant auquel elle a donné le nom « Fasciste ». Cela confirme les pires doutes qu’on pourrait avoir au sujet de la montée de l’extrémisme au sein du peuple élu. Weiterlesen

Lorsqu’on a pas d’idées comme c’est mon cas ce matin, je vais me creuser les méninges sur l’heure d’été, qui m’a ravi une heure de sommeil. Je suis allé interviewer une vache pour lui demander, ce qu’elle en pensait. Elle m’a répondu, meuh, meuh et puis elle a fait bouse, comme sil doit chez un bovin qui se respecte. La même question aux hommes, qui sont restés clean. Ils m’ont parlé d’un congrès qui se déroulait en ce moment à Vérone, où se sont réunis des adeptes chrétiens de la famille intacte, une organisation issue des États-Unis et qui est d’extrême-droite. Des anti-IVG qui financent les néofascistes européens. L’invité d’honneur a été Matteo Salvini. Du beau monde… « Mais cela n’a rien à voir avec l’heure d’été ! », leurs ai-je rétorqué. « Vous vous trompez cher Monsieur ! Il ne faut pas ignorer l’air du temps ! » J’essaie de faire la synthèse entre l’heure d’été et les événements dont nous sommes victimes constamment. Qu’est-ce que j’en ai à faire que les Vénézuéliens soient à nouveau dans la rue pour protester contre les coupures de courant. « Vous n’avez qu’à hiberner ! » C’est ainsi que je les ai interpellé. Parfois j’aimerais le faire pour ne plus être en proie à des nouvelles qui m’assaillent chaque matin lorsque je choisis le sujet de l’article de la nuit. Parfois on aimerait jouer à la marmotte, mais ce n’est pas dans notre nature que de roupiller des mois-durant, ceci pour oublier. Comme les manifs des Gilets Jaunes qui n’ont recueilli hier plus que 33.700 personnes en France. Tendance à la baisse. Ont-ils aussi protesté contre l’heure d’été ? Mystère et boule de gomme ! Il y a un fait sur lequel je butte constamment dans le cheminement des mes pensées, c’est que sans cette somme de mauvaises nouvelles, nous nous ennuierons probablement. Ne sommes-nous pas constamment à la recherche de titres ravageurs en ce qui concerne les médias ? Weiterlesen

Eigentlich ist es keine Zeitumstellung … Wir stellen nur die Uhr um. Ja, aber dadurch ändern sich auch die Zeiten. Die „Zeitumstellung“ soll ja jetzt abgeschafft werden.

Eine renommierte deutsche Gazette behauptet nun, ewige Sommerzeit mache dumm (faz,net). Der Mensch werde früher zur Arbeit gezwungen, als ihm guttue.

Es ist jedes Jahr das gleiche Spiel mit der Zeitumstellung: Ende März fragt sich ganz Deutschland – vor oder zurück, wie wird die Uhr denn nun umgestellt zur Sommerzeit?

Und auch dieses Jahr an diesem Samstag, den 31. März, ist es wieder soweit: Die Zeitumstellung 2019 findet statt, die Uhr wird umgestellt auf Sommerzeit. Eigentlich geht es aber erst am Sonntagmorgen los. Das Signal für alle Funkuhren in Deutschland kommt von den ultrapräzisen Atomuhren in der Physikalisch-Technischen Bundesanstalt (PTB) in Braunschweig.

Und zwar: Eine Stunde vorgestellt. Das heißt in der Nacht von Samstag auf Sonntag wird die Uhr von 2 auf 3 Uhr gestellt.

Die EU will die Zeitumstellung 2021 abschaffen. Sie wurde in den 1980er Jahren geschaffen, um ökonomischer arbeiten zu können und Energie einzusparen, da es abends länger hell bliebe.

Nun gibt es die Diskussion, welche Zeit bei einer Zeitumstellung sinnvoll wäre, Sommer- oder Winterzeit.

Forscher haben diese Frage eindeutig beantwortet: Winterzeit!

Denn mit der Sommerzeit würde die Menschheit täglich einen Mini-Jetlag erleben, da unsere biologische innere Uhr am fittesten ist, wenn die Sonne im Zenit steht. Und das ist meistens gegen 12 Uhr der Fall (nach Winterzeit)

Da wir im Sommer aber zur gleichen Uhrzeit aufstehen wie im Winter, der der Zenit der Sonne aber erst um 13 Uhr erreicht wird, hat unser Körper mit diesem Mini-Jetlag zu kämpfen. Denn der Körper richtet sich nicht nach der Uhrzeit, sondern nach dem Bio-Rhythmus. Und das soll lauf Dauer krank machen.

Am Anfang der Sommerzeit-Debatte steht Benjamin Franklin (weser-kurier.de, 26.03.2016). Er war 1784 als eine Art US-Botschafter in Paris und entsetzt über die Kosten, die das ausgiebige Nachtleben der Pariser schon rein beleuchtungstechnisch verursachte. Er schlug in einem sehr amüsant zu lesenden „Leserbrief eines Abonnenten“ im Journal de Paris den Parisern vor, statt Kerzen und Öl lieber Sonnenenergie zu nutzen. Für jedes gegen das eindringende Sonnenlicht verdunkelte Fenster wäre eine Steuer von einem Louis zu bezahlen. In den Wachshandlungen sollten Polizisten darauf achten, dass niemand mehr als ein Kilo Kerzen pro Woche kaufe. Eine sehr vergnügliche Satire, wohin es führt, wenn man die private Tugend – in diesem Fall die der Sparsamkeit – zu einer öffentlichen machen möchte.

Tatsächlich ist die Winterzeit die „normale“ Zeit. Dass wir uns den ganzen Sommer lang eine Stunde früher aus dem Bett quälen, wurde uns behördlich verordnet und geschieht so alljährlich seit dem 06. April 1980. Nach der Ölkrise 1973 hatte man gehofft, Energie einzusparen, indem man das Tageslicht besser ausnutzt. In dieser Hinsicht hat sich die Neuerung MESZ allerdings nicht ausgezahlt.

Franklins derber Scherz ist hierzulande seit nunmehr 39 Jahren Realität, doch die von ihm herbeifantasierten Einspareffekte bleiben Wunschdenken. Zu diesem Resultat kam eine Vergleichsstudie des Büros für Technikfolgenabschätzung des Deutschen Bundestags SPON 26.03,2016). Belastbare Zahlen gebe es leider kaum, aber wahrscheinlich liege die Einsparung beim Energieverbrauch bei unter 0,03 Prozent. Das ist „vernachlässigbar“.

Also nicht vergessen: Wir müssen nochmal an der Uhr drehen! Das klappte nicht immer:

Im niedersächsischen Bad Gandersheim standen im November 2011 (express.de) knapp zwei Dutzend Mitarbeiter vor den verschlossenen Türen des Finanzamts. Der Eingang ließ sich nicht öffnen.

Den verantwortlichen Computer hatte offensichtlich die Umstellung auf Winterzeit nicht auf dem Schirm. Statt um 6 Uhr kamen die Angestellten erst um 8 Uhr an ihre Arbeitsplätze, nämlich als der erste Kollege mit einem richtigen Schlüssel eintraf.

Vous me direz avec raison qu’il en y a marre du Brexit, que le spectacle que nous offre Theresa May et le parlement est en dessous de tout. Je suis de votre avis, mais je ne peux pas m’empêcher de jeter un regard sur le Royaume-Uni qui nous met dans l’embarras par son indécision. Dans l’état actuel des choses, toutes décisions en dehors de celle du peuple, ne peuvent que provoquer plus de désordre. Je trouve incroyable que des gens qui ont failli à un tel point puissent s’arranger à se maintenir au pouvoir. Il faudrait d’urgence rappeler les citoyens aux urnes, mais comment y arriver ? Même si toutes interventions politiques de la reine d’Angleterre sont interdites, je trouverais bien qu’elle intervienne pour rappeler à l’ordre le monde politique. Sans s’impliquer politiquement pour un camp ou pour l’autre, rien à mon avis l’empêcherait de revendiquer une nouvelle votation. Mais une chose est sûre, le seul point qui a recueilli une grande majorité à Westminster, c’est d’empêcher un divorce sans accord préalable. Donc pas de Brexit dur qui plongerait le pays dans une crise économique sans précédent. La livre sterling a dévissé une fois de plus après le 3ème échec de Theresa May. Cela n’augure rien de bon si le pays se retrouvait rejeté de la zone douanière le 12 avril. Il se trouverait non-préparé dans une situation qui pourrait le mener à la ruine. Ce serait un suicide a malgré tout reconnu une majorité de députés. Donald Tusk après le troisième échec de Madame May, où 286 députés contre 344 ont voté pour, Donald Tusk, le président du conseil européen, a convoqué pour le 10 avril les chefs d’État de l’UE à Bruxelles pour une conférence extraordinaire. Weiterlesen

L’Allemagne a engagé un bras de fer envers les pays, dont la France, avec qui elle produit des armes et qui se plaignent amèrement qu’il y ait pour l’instant un stop en ce qui concerne l’exportation d’engins de guerre, notamment à l’Arabie Saoudite. Le gouvernement a prolongé hier de six mois cet embargo. Il est en vigueur depuis le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi. Cela a provoqué l’ire, notamment du ministre des affaires étrangères britannique, qui dans une lettre à Heiko Maas en février, a accusé Berlin de manque de loyauté. Mais aussi la France est irritée. Anne-Marie Descôtes, l’ambassadrice de France en Allemagne, a aussi critiqué l’aspect imprévisible de la politique à ce sujet. Le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seifert a déclaré : « L’Allemagne va s’employer dans ses consultations avec ses partenaires à ce que les équipements militaires produits en commun ne soient pas utilisés dans la guerre au Yémen  et ce pendant neuf mois », jusqu’au 31 décembre 2019. Depuis 2015 il y a plus de 10.000 morts au Yémen, dont un nombre considérable d’enfants. La disette fait ce que les armes ne font pas, elle tue quotidiennement un nombre non négligeable de personnes. Vouloir empêcher que les engins de guerre ne soient pas utilisés dans des conflits tient de l’utopie. À quoi bon acheter des armes qui ne serviront pas ? Ne seraient-elles que présentées dans des défilés ? Ridicule ! Weiterlesen

Depuis la mi-mars les tziganes de la région parisienne sont les victimes d’attaques injustifiées comme cela a toujours été le cas depuis la nuit des temps. Il leur est reproché le rapt d’enfants, une légende qui leur colle à la peau. Ceci pour les tuer et prélever des organes. La préfecture de police de Paris s’est empressée de dire, que ces accusations étaient complètement infondées. Il en est de même chez les Juifs. Ce genre d’injures est typique d’une époque, où les gens ne se sentent pas en sécurité, où toutes les assises semblent s’évaporer. Il faut des boucs émissaires afin de pouvoir montrer le mal du bout du doigt. Le soit-disant enlèvement des enfants fait partie de la panoplie discriminatoire qu’est le racisme. Les tziganes ont toujours été traqués. Ce n’est pas par amour du voyage, qu’ils ne sont pas sédentaires. Il faut prendre sous la loupe ce qui se passe encore aujourd’hui dans les pays de l’Est européen, d’où beaucoup d’entre-eux sont originaires. Ils sont chassés d’un endroit à l’autre, jugés indésirables par ce qu’ils ne sont pas comme les autres. On en a fait des traqués à qui les biens-pensants remettent en question leur droit de vivre. Comme pour les Juifs et les homosexuels, les nazis ont essayé de les exterminer à tout jamais. Des centaines de milliers d’entre-eux ont été exécutés, gazés à Auschwitz ou ailleurs. Et dire qu’actuellement le calvaire de ces malheureux est à nouveau d’actualité. C’est la preuve que nous nous trouvons en pleine régression en ce qui concerne l’esprit et l’intégrité intellectuelle. Weiterlesen

Wieder einmal wird deutlich, wie große der Abstand zwischen EU und Bürgern ist. Und ist wurde deutlich, wie alte Bürokraten und die junge Generation der Internetnutzer in zwei verschiedenen Welten leben.

Seiten mit leeren Suchergebnissen auf Google, die „YouTube wird gelöscht“-Panik, „Artikel 13“ und der „Merkelfilter“ oder „Upload-Filter“: Die geplante Urheberrechtsreform der EU ging eine verschärfte Debatte voraus. Doch was ist der „Artikel 13“ überhaupt und was soll dieser regeln?

Bei der neuen Regelung der Europäischen Union (EU) geht es um das geitige Eigentum und das Urheberrecht. Beides soll besser geschützt werden. Deshalb wird die Regelung auch Urheberrechtsreform genannt. Am gestrigen Dienstag fiel die Entscheidung, ob diese gültig werden soll. Politikerinnen und Politiker stimmten im Europäischen Parlament dafür. Kritikerinnen und Kritiker befürchten, dass sich das Internet dadurch sehr verändern könnte.

Nach Ansicht von Kritikern führt Artikel 13 zwangsläufig zum Einsatz sogenannter Uploadfilter, denn anders könnten Plattformen die Inhalte gar nicht auf Verstöße überprüfen. Sie befürchten, dass diese Filter auch legale Inhalte wie Parodien oder Zitate blockieren – und so die freie Meinungsäußerung einschränken. „Algorithmen können nicht unterscheiden zwischen Urheberrechtsverletzungen und der legalen Weiterverwendung wie zu Parodiezwecken“, sagt etwa Piraten-Politikerin Julia Reda (welt.de). Dieser Meinung hatten sich zuletzt Politiker aus fast allen Parteien angeschlossen.

Auch Google – und damit Youtube – hatte gegen die Reform mobil gemacht. Artikel 13 könne „unbeabsichtigte Folgen haben, die Europas Kreativ- und Digitalwirtschaft schaden könnten“, schrieb Youtube am Dienstag (twitter.com).

Gegner des Leistungsschutzrechts sehen insbesondere für kleine Verlage Nachteile. Diese seien darauf angewiesen, von Suchmaschinen gelistet zu werden und hätten eine schwache Verhandlungsposition gegenüber Google & Co. Zudem verweisen sie auf Deutschland: Hier gibt es schon seit 2013 ein Leistungsschutzrecht – doch es führt nicht zu nennenswerten Geldzahlungen an die Verlage. Außerdem wäre die Medienvielfalt im Netz nach Ansicht der Kritiker eingeschränkt.

Die großen deutschen Verlegerverbände begrüßten das Ergebnis. „Die Zustimmung zur Reform ist ein Ja zur digitalen Zukunft von Kultur und Medien und zu einer lebendigen und vielfältigen Kreativlandschaft in Europa“, teilten der Bundesverband Deutscher Zeitungsverleger und der Verband Deutscher Zeitschriftenverleger mit.

Artikel 13 der neuen Copyright-Richtlinie nimmt alle kommerziellen Onlineplattformen (sogenannte „Online Content Sharing Service Provider“) in die Pflicht, die im Jahr mehr als zehn Millionen Euro Umsatz machen, mehr als fünf Millionen Besucher im Monat haben und schon länger als drei Jahre existieren – also Plattformen wie YouTube, Facebook und Google.

Momentan verdienen solche Plattformen viel Geld damit, dass sie Material zugänglich machen, das eigentlich urheberrechtlich geschützt ist: zum Beispiel Musik, Fotos und Texte. Die Urheber – der Fotograf, Musiker oder Journalist – sehen von dem Geld meistens nichts.

Die gigantischen Netzkonzerne sollen nun also Geld dafür zahlen, dass sie Inhalte von anderen verbreiten dürfen. Das Geld soll dann auf die Urheber umverteilt werden und somit auf dem Konto der Fotografen, Maler oder Musikern landen. Wie sichergestellt werden soll, dass das Geld nicht bei den großen Plattenfirmen und großen Verlagen hängenbleibt, ist noch offen.

Uploadfilter sind, soweit überhaupt schon verfügbar, unausgereift und fehleranfällig. Ob rechtswidrige Verbreitung eines geschützten Werks oder zulässiges Zitat, erlaubte Satire oder eigener künstlerischer Beitrag – das können die Algorithmen nicht unterscheiden. „Zensur“ fürchten daher die Gegner der Filter. Außerdem greife die Vorabfilterung in die Privatsphäre der Nutzer ein und beschränke das Grundrecht auf Meinungsfreiheit.
Aber von Filtern stehe nichts in der Richtlinie, halten die Befürworter von Artikel 13 – jetzt Artikel 17 – dagegen. Die angestrebte Lizenzierung käme finanziell den Urhebern zugute. Sie würden endlich angemessener an den Einnahmen der Plattformen beteiligt. Und Nutzer seien künftig vor Abmahnungen geschützt. Auf den Vorwurf, man zerstöre die lebendige Netzkultur, entgegnen sie, dass Memes, Blogs, Start-Ups und nicht-kommerzielle Webseiten ausdrücklich ausgenommen seien.