Madeleine Albright a écrit un livre pour mettre en garde les Américains contre la montée du fascisme. L’ancienne secrétaire d’État de Bill Clinton a vécu à ses dépends les méfaits du nazisme et ensuite du communisme. Ses parents ont dû se réfugier aux États-Unis. Elle parle en conséquence de cause, lorsqu’elle met ses compatriotes en garde, contre les actions de Donald Trump. Au cours de l’histoire, ce sont souvent des personnages assez exotiques qui avaient une attitude hors norme avant de devenir des tyrans. Malheureusement je suis obligé de me référer une fois de plus à Adolf Hitler, afin d’essayer de vous faire comprendre, quels sont les ingrédients du fascisme. Habitant dans le quartier, où le future Führer a passé ses années de Bohême, je vais essayer de faire un casting à son sujet. Comme artiste raté, il hantait les tavernes fréquentées par des libres penseurs. Le grand écrivain bavarois Oskar Maria Graf, qui a dû s’exiler à New York a cause de ses textes polémiques contre le nazisme, raconte qu’il a connu personnellement Hitler et a pris parfois ses repas avec lui. Il parle d’un illuminé que personne ne prenait au sérieux, avant tout les artistes et les poètes qui fréquentaient ces lieux. Ce qui est déconcertant, c’est le fait, que ces personnages, qui sont devenus par la suite des monstres, étaient parfois assez peu conventionnels. Parfois ils avaient un caractère assez clownesque. Dans la cas d’Adolf Hitler, sa schizophrénie accentuait encore le caractère des personnages qu’il jouait. D’une part le peintre, comme enfant de Bohême, ne trouvant pas de place dans le milieu, où il voulait tant prendre pied ; de l’autre l’artiste méconnu, qui crachait du venin sur les Juifs, qu’il considérait par leur arrogance comme les responsables de son échec. Un trait de caractère qui est commun à ces tristes sires de l’histoire, c’est leur narcissisme. Weiterlesen

Was gilt der Mensch ohne Attraktivität? Reden nicht alle ins gleiche Rohr pustend davon, wahrer Glanz und Schönheit kämen von innen? Und sind es nicht genau diejenigen, die als erstes ihre Fettfingerchen nach den Leckerbissen ausstrecken? Ist nun der Afghane mit seinem Samtkleid, das im Wind weht, Vorzeigeobjekt oder vielleicht doch die unrasierte Mischung aus Bulldogge und Rehpinscher? Empirische Auswertungen liefern die niederschmetternden Ergebnisse: Chefs stellen tatsächlich lieber gutaussehende und hochgewachsene Menschen ein. Ihnen wird von vorneherein Kompetenz, Intelligenz und Attitude nachgesagt und natürlich stimmt das nicht immer. Wir betonen zwar, dass wir Kopfmenschen sind und Charme, gepaart mit Humor, jeden Menschen attraktiv erscheinen lassen, aber das ist nur die halbe Wahrheit. Schönheit um jeden Preis, lautet das Motto unseres Jahrhunderts und wer der Idealnorm nicht entspricht, wird gerne mal kurzerhand ausgetauscht. Modischer Verschleiß auf Human-Ebene. Die Erwartungshaltung ist sehr groß, die Anforderungen ebenfalls und dafür wird nahezu alles getan, wenn man es sich leisten kann. Spritzen, Spitzen, Notfallplan, alles dran, alles falsch. Wohin bloß mit dem Doppelkinn, wohin nur mit dem Haarausfall? Verdammter Mist, du musst was tun! So will dich doch keiner haben! So gehen wir innerlich deprimiert, höchst verunsichert und ängstlich ins Gespräch und hoffen, dass der Geist wenigstens mitmacht, sonst hinterlässt man eine blasse Spur. Ideale, Idole, Stars und Illustrierte zeigen uns den Blick auf das, was wir nicht sind. So stopfen wir weiterhin den Kuchen in uns rein, kapseln uns ab auf´s Sofa und tun so als ob wir wahre Helden sind. Es ist die Angst, nicht zu genügen. Diese Angst sitzt uns wie ein Dämon im Nacken, der uns zuflüstert, dass wir so unglaublich hässlich sind. Geschafft! Die Medien haben es geschafft, die Filmindustrie, all die Menschen, die von Natur aus beschenkt wurden, die aber beileibe nicht die Allgemeinheit sind. Und so hetzt du weiter…träumst von Schönheit und einem faltenfreien Leben, verarschst dich, indem du stets schlaues Zeug von dir gibst. Damit wenigstens etwas von dir hängenbleibt, am Aussehen kann´s ja nicht liegen. So, du armes Schwein, heb dein Glas und proste dir vor dem Spiegel zu. Die Heilige Fresse ist nicht gelungen, dafür aber dein reines Herz.

 

© Petra M. Jansen

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Non, les casseurs du premier mai à Paris n’ont rien à voir avec la gauche. 1200 autonomes du bloc noir, encagoulés, ont attaqué la police, ont renversé des voitures et y ont mis le feu, ont brisé des devantures de magasins et jeté des pierres sur tous ceux qui s’interposaient. Plus d’une centaines de voyous ont été interpellés. Cette manifestation qui avait rassemblé 20.000 syndicalistes et sympathisants de l’action ouvrière, a été ainsi torpillée par des éléments perturbateurs, qui se disent être révolutionnaires. Une chose est certaine, la violence ne peut qu’arranger la droite conservatrice et ses éléments d’extrême-droite. Je ne suis pas, et cela de loin, un adepte de Jean-Luc Mélenchon, mais je peux assez bien m’imaginer que les casseurs ont été manipulés par des éléments radicaux de l’extrême-droite. Il s’avère un peu partout en Europe, que les extrêmes se rejoignent lorsque il s’agit de détruire la démocratie. Souvenons-nous des méfaits occasionnés par le bloc noir au G20 à Hambourg le 7 et le 8 juillet 2017. La ville hanséatique a été prises deux jours en otage, ce qui a profité à l’AfD aux élections fédérales. Il en est de même chaque année le 1er mai à Berlin, où ce genre de délits sont entrés dans « les mœurs ». Vouloir en faire des déductions politiques, me semble périlleux. Ces gens n’ont qu’une chose en tête, se faire du plaisir en se prenant pour des militants communards comme dans les années 20 en Allemagne. Il est évident que le Président de la république ne pouvait que condamner ce comportement. Vouloir le mettre au pilori à cause de cela, est injuste. Weiterlesen

Trump a de quoi pavoiser, car il est entrain de marquer des points un peu partout. Il accorde à l’UE un nouveau répit d’un mois afin de pouvoir continuer à négocier un nouvel accord commercial. C’est évident qu’il joue avec nous au chat et à la souris. Il est à prévoir qu’il obtiendra satisfaction, car nous ne pouvons guère nous permettre d’entrer dans une guerre économique, qui désavantagerait tous les protagonistes, aussi les USA. Il est évident que le Président américain joue au poker et semble réussir un coup après l’autre. S’il obtient un traité de paix entre les deux Corées, ce sera la cerise sur le gâteau. Quelle est la leçon à en retirer ? Ce n’est qu’en entrant dans son jeu, fait de menaces et d’embrassades, qu’il sera possible pour l’UE de marquer des points. Il est à des années lumières d’un comportement diplomatique. Ce sont plutôt des débats de saloon, où il s’agit d’aller directement au but, sans vouloir mettre partout de la crème chantilly. Nous sommes évidement à des années lumières du clair-obscure des salons feutrés, qui ont fait l’histoire de l’Europe. C’est un langage sans détour, comme il est de coutume dans les western, où tout se règle sous la menace des armes. Et vlan ! C’est évidemment un jeu dangereux, où la moindre étincelle peut embraser le tout. Dans ce genre de joutes nous ne sommes pas exercés, ce qui n’est pas notre avantage. Weiterlesen