Le FPÖ, le parti d’extrême-droite autrichien, a gagné près de 5% des voix à Vienne, mais n’a pas pu remporter les élections, comme il avait été prévisible. Cela aurait été une catastrophe politique pour la république alpine. La question plus qu’épineuse de l’immigration massive était au centre des débats. N’oublions pas que des milliers de réfugiés transitent par le pays, venant avant tout de Hongrie. Les scènes tragiques à la frontière resteront gravées dans les esprits. Ce qui s’est passé hier me rassure. Cela veut dire que l’humanité a encore une majorité en Autriche. Mais il ne faut pas se leurrer, sans une solution pouvant régulariser l’arrivée des migrants, le nombre des opposants augmentera. Il faut à tout prix éviter que des « parasites » se fassent passer pour des victimes de guerre, que les pays Balkans soient en mesure d’offrir un minimum économique à leurs ressortissants. Que seul dans un tel cas il sera possible de réinstaurer un équilibre sur le continent. Il est prioritaire que ceux qui arrivent en Europe puissent être intégrés à part entière. Si ce n’était pas le cas, il y aurait danger de remous au sein des populations. Des partis comme le FPÖ, qui dans bien de ses revendications ressemble au FN, auront de plus en plus le vent en poupe. Je trouve néanmoins remarquable que Madame Merkel ait réitéré hier soir, qu’elle restait sur ses positions et que l’accueil décent des réfugiés avait la priorité. C’est un pied de nez envers les nostalgiques populistes qui voudraient revenir en arrière. Que « la blanche » Nadine Morano en prenne la graine. Weiterlesen

95 morts et 246 blessés, c’est le bilan provisoire de l’attentat perpétré par deux kamikazes, qui s’est déroulé hier à Ankara au cours d’une manifestation pour la paix organisée par la gauche (HDP) et le mouvement kurde démocratique. Et ceci après une déclaration de trêve armée de la part du PKK. Le président Recep Tayyip Erdogan a condamné « fermement cette attaque haineuse contre notre unité et la paix dans le pays. » Cela n’a pas empêché le gouvernement de prétendre que c’étaient « les terroristes kurdes » qui étaient à l’origine de ce massacre et ceci pour nuire aux forces conservatrices du pays, soit au président lui-même. De tels propos sont hors-propos ! Même plus, ils soulignent le caractère haineux qui se déroule aujourd’hui en marge des élections qui auront lieu en novembre. Erdogan n’a pas supporté que ses supporteurs aient perdu la majorité absolue au parlement, la raison pour laquelle il a provoqué cette nouvelle votation. L’autocrate qu’il est ne supporte pas que le pouvoir puisse être partagé. En provoquant des conflits intérieurs et en prenant le risque d’attiser une nouvelle guerre contre le peuple kurde, il espère instaurer un climat de peur dans son pays, voulant ainsi recueillir les voix des indécis. Un coup de poker pouvant aller dans le sens contraire à celui qu’il espère. Au lieu d’être un garant pour la paix, Recep Tayyip Erdogan est passé maître dans l’art de la confrontation. Pour assouvir ses envies de pouvoir, il n’hésite pas à faire couler du sang. Weiterlesen

Les rebelles de l’EI se trouvent aux abords d’Alep. Ils ont effectué une percée grâce aux Russes. Un paradoxe de plus dans cette guerre fratricide qui déchire la Syrie. En effectuant des bombardements sur les positions des opposants plus modérés au régime de Baschar Al-Assad, ils les empêchent de résister aux hordes fondamentalistes des fous de Dieu. Pour l’instant il n’y a pas de coordination, ce qui devrait être corrigé au plus vite. C’est une des causes, mais il y en a une autre qui me semble être plus essentielle. Lutter contre la guérilla avec des armées classiques a toujours été délicat. D’autant plus qu’il n’y a pas de troupes au sol. Mais il est aussi reconnu que sans un soutien populaire il ne peut y avoir de rébellion. Que l’on veuille ou pas, il doit exister en ce qui concerne l’EI. Dans un tel cas il faut faire une analyse politique et se demander ce qui peut amener une partie de la population à se soumettre à un tel régime de terreur. D’une part nombre de citoyens veulent échapper à l’influence du gouvernement félon de Damas, de l’autre le scénario de la répression se remet en marche sitôt que l’armée syrienne lâche du terrain. J’appuie tout à fait les vues de François Hollande, pour qui une entente avec Al-Assad est du domaine de l’insupportable. Soutenir d’une manière ou d’une autre un chef d’État qui n’hésite pas à tuer ses compatriotes est quasi impensable, même si la tactique sur le terrain pourrait en profiter. Vladimir Poutine ne le lâchera pas tant qu’il fera l’affaire de la Russie. Ses troupes ont reçu son aval, ce qui rend officiel toutes interventions. Weiterlesen

Le vainqueur inattendu de toute cette affaire morbide de la FIFA, est indéniablement le principal acteur : Sepp Blatter. Il s’était mis en tête d’avoir la tête de Michel Platini, qui aspirait à prendre sa place, il l’a eu. La commission indépendante de l’éthique les a mis tous les deux en veilleuse pour trois mois, ce qui équivaut à un blâme. Pendant tout ce temps ils ne devront avoir aucune activité en rapport avec le football. Pour le président de l‘ UEFA une giffle monumentale. En révélant à la justice qu’il avait fait virer en février 2011 une somme de 2 millions de francs suisses pour des travaux effectués entre 1999 et 2002, Blatter a jeter le doute sur l’intégrité du légendaire numéro 10 de l’équipe de France. Malgré le dépôt de sa candidature pour le poste suprême de la FIFA, on voit mal comment, dans le contexte actuel, il pourrait convaincre ses supporteurs à voter pour lui. La raison pour laquelle le président du Comité olympique international, l’allemand Thomas Bach, a revendiqué qu’une personnalité neutre, d’une extrême intégrité, reprenne le flambeau. En résumé, par un membre actuel du comité directeur des instances du foot. Un vœux que je ne peux qu’approuver. Il n’est pas dit que Michel Platini ait mal agi, la raison pour laquelle il va en révision. La justice suisse l’a fait citer en temps que témoin. Il n’a pas été mis en examen. Juridiquement parlant il a encore une veste immaculée, en est-il de même moralement ? Weiterlesen

Angela Merkel et François Hollande se sont retrouvés hier devant le parlement européen afin d’évoquer le problème de l’immigration des réfugiés politiques et économiques. Il est évident qu’il faudra renforcer les frontières extérieures de l’UE pour réduire le flux incessant de demandeurs d’asile. La chancelière a insisté que les modalités de l’accord de Dublin étaient à ses yeux obsolètes. Le fait que tous pays où se pointent en premier ceux qui fuient leurs terres soient obligés de s’en occuper, est injuste. Elle pense tout particulièrement à la Grèce et à l’Italie. Ne vaudrait-il pas mieux répartir les contingents ? Ce qui semble juste, est pour quelques nations une pilule impossible à avaler. « Qu’ils aillent se faire voir ailleurs ! » Un manque évident d’humanité et de solidarité, que ce soit envers les intéressés ou les partenaires européens. C’est plus que décevant. On s’est malgré tout mis d’accord de répartir 120000 réfugiés de part et d’autre de l’UE afin de soulager les deux pays méditerranéens. Une goutte d’huile dans le feu lorsqu’on regarde la réalité. Les chiffres sont de loin plus effrayants, des millions ! Pour être juste, il est à prévoir qu’un grand pourcentage d’entre-eux ne pourront pas rester parce qu’ils ne remplissent pas les critères nécessaires. Il serait bien sûr bon de faire un tel choix en-dehors de nos frontières, en Turquie ou en Libye par exemple. Cela impliquerait de la part de l’UE qu’elle subventionne des camps d’accueil et qu’elle délivre des visas à ceux dont le cas est évident. Le nombre accru de requérants d’asile pour des questions économiques devrait être ainsi réduit. Une mesure qui me semble arbitraire, mais malheureusement nécessaire. Il est évident que nous ne pouvons pas recevoir tout le monde, que notre système politique s’effondrerait. Cela ne serait dans l’intérêt de personne, car ce qui s’ensuivrait serait la division au sein de l’Europe, le totalitarisme dans toutes ses formes viles. Non, nous avons un patrimoine politique à sauvegarder, celui de la démocratie. Weiterlesen

Bin ich ein alternder weltfremder Akademiker? Vieles, was so vor sich hinpassiert, passt nicht mehr in mein Denkschema … In die Jahre gekommener Spinner?! Was soll das denn, Tagebuch?! Na ja, vielleicht liegt es auch wirklich am fortgeschrittenen Alter. Man kommt sich vor, als sei der Waggon, in dem man sitzt, gerade vom weiterfahrenden Zug abgekoppelt worden. Aber Spinner ist nicht fair, ja!

Der Europäische Gerichtshof hat gestern – hauptsächlich die Amerikaner – zurechtgewiesen. Konsorten wie Facebook, Google und auch die NSA haben einen Rüffel bekommen. Viele fanden ihn zu brav, aber in der Sache hat er gesessen. Das zwischen der Europäischen Union und den USA abgeschlossene Safe-Harbor-Abkommen ist ungültig, weil es gegen das Grundrecht auf Achtung des Privatlebens verstößt. Das ist in Artikel 7 der Europäischen Grundrechtecharta festgehalten. Einfach gesagt heißt es in der Safe-Harbor-Vereinbarung, dass US-Unternehmen wie amerikanische soziale Netzwerke, sich nicht an deutsche Datenschutzregeln halten müssen, wenn sie ganz dolle versprechen, die Daten pfleglich zu behandeln und dieses Versprechen von US-Kontrollstellen auch überprüfen zu lassen, die es gar nicht gibt. Der Kniefall Europas vor der Ausbeutung der Daten seiner Bürger durch einen anderen Kontinent. Hallelujah! Was haben die sich damals eigentlich gedacht?! Ohne Rechtsgrund den Zugriff auf private Daten zu erlauben? Nach dem Motto: Onkel Sam guckt schon, dass das ordnungsgemäß abläuft … Klar, für die amerikanische Wirtschaft auf jeden Fall! Die Amerikaner haben eine Heidenangst, dass sie wirtschaftlich ins Hintertreffen geraten. Deswegen spionieren sie alles und jeden aus. Auch Freunde! Das ist sich jeder selbst der Nächste, wenn´s um die Kohle geht. Wenn man bedenkt, dass bei uns selbst dann, wenn es um Straftaten geht, ein hinreichender Verdachtsgrad vorliegen muss, um Zugriff auf Telefon- und Internetdaten zu bekommen, dann ist es hanebüchen, denen in Übersee den Zugriff ohne irgendetwas zu erlauben. Ist ja gerade so, als ob jeder in deine Wohnung spazieren und irgendwelche Möbelstücke hinaustragen kann. Ich übertreibe?! Nee, Tagebuch, tu ich nicht!

„Merkel ordnet Kompetenzen in der Flüchtlingspolitik neu“, so zu lesen bei tagesschau.de. Wir müssen den Menschen helfen! Das sind wir ihnen im Rahmen der Mitmenschlichkeit schuldig, unabhängig von irgendwelchem juristischen Kram. „Mutti“ sagt „Willkommen!“, breitet die Arme aus und die Ministerpräsidenten bzw. –präsidentinnen laufen Amok. Wohin mit den Leuten? Viele sitzen immer noch in Zelten. Der Herbst ist da, nach Herbst kommt Winter! Dieser Krieg in Syrien tobt nicht erst seit gestern. Wir sind doch immer so gut über das Weltgeschehen informiert. Hat denn niemand gemerkt, was sich da zusammenbraut?! Das Ganze läuft seit 2010! Es ist nicht nur die Masse, die da auf Europa zuströmt, man muss auch an die Menschen denken. Wie viele sind in lumpigen Kähnen von Schleppern auf dem Mittelmeer ertrunken? Und welche Traumata bleiben bei den Betroffenen, hauptsächlich den Kindern? „Willkommen!“, hinter der nächsten Ecke wartet schon der nächste Neonazi … Die Regierung regelt das? Tagebuch, dein Vertrauen möchte ich haben … Wir setzen das Wohlergehen von Tausenden von Menschen aufs Spiel, wenn nicht sogar deren Leben. Der ganze Ablauf ist vollkommen unorganisiert. Man hätte sich in den letzten fünf Jahren besser vorbereiten können. Oder in Syrien zum Beispiel vor Ort eingreifen. Was weiß ich … Ja, Du hast recht, ich habe auch keinen Plan!

Ende September kamen erste Meldungen aus den Niederlanden. Waschbären aus Deutschland haben illegal die Grenze übertreten! Die dortigen Biologen sind in Aufruhr! Man erwartet Flüchtlingsmassen aus der Tierwelt, die den kleinen Staat überrennen. Hast Du gewusst, Tagebuch, dass der Waschbär eigentlich kein Deutscher, sondern Amerikaner ist?! Nee, nicht gewusst? Die hier vorkommenden Waschbären gehen auf Tiere zurück, die im 20. Jahrhundert aus Pelztierfarmen und Gehegen ausgebüxt sind oder ausgesetzt wurden. Sie gelten als Gefangenschaftsflüchtlinge. Da staunste, was?! Sollen sich nicht so haben, die Niederländer!

Wie immer viel los, heute am siebten Oktober 2015.

© Thomas Dietsch

Vouloir sauver un être cher à tout prix, est un réflexe tout à fait naturel. Nous voulons repousser la mort, lui donner de moins en moins d’emprise, mais c’est une illusion car en fin de compte elle vaincra toujours. Les médecins feront tout pour combattre la maladie, remettre en état des organes malades. Le serment d’Hippocrate leur dicte de tout tenter dans l’intérêt du patient, de ne pas laisser passer la moindre chance de sauver un être humain. Jusqu’où peuvent-ils aller ? Ont-ils le droit de manipuler ce que la nature ferait d’elle-même ? Avec les progrès de la médecine il est possible de repousser l’échéance normale d’un décès. Les moyens techniques le permettent. Mais est-ce une solution humaine ? Peut-on ainsi remettre en question le destin ? C’est un des points d’interrogations les plus délicats de l’éthique médicale. Est-ce aux thérapeutes à décider ce qu’il y a lieu de faire ? Même si la personne concernée a expressément émit le souhait qu’on ne lui prolonge pas la vie inutilement, c’est l’instant qui dictera toujours la manière d’agir. Le moindre espoir devra être pris en considération, faute d’erreur grave. Toute la question de l’euthanasie est liée à une telle décision. Qu’on le veuille ou non, il est quasi impossible de prendre une mesure équitable. Est-ce au médecin de le faire ? Ou aux parents ? Il ne peut pas y avoir de réponses satisfaisantes. Il est vrai que beaucoup de praticiens ne veulent pas se déclarer impuissants face au destin. Pour être efficaces, ils ne peuvent pas le considérer comme une fin en soi. S’il n’en était pas ainsi, il n’y aurait eu aucun progrès dans le domaine thérapeutique. Il est évident que les progrès repoussent de plus en plus les limites du possible. Weiterlesen

05.10.2015

Ich weiß nicht, warum ich den Gedankenkram eigentlich hierein schreibe. Tagebuch … Früher, zumindest unsere Jugendsprache: Ausquetschbuch. Das waren auch die Poesiealben der Mädels. Und da war der Begriff schon alt. Ausquetschbuch klingt mistig! Was soll ich ausquetschen? Etwa mich selbst?! Ich bin mir nicht so sicher, ob meine eigenen Gedanken momentan Sinn machen …

Die Türkei fängt einen russischen Jet an der türkisch-syrischen Grenze ab. Gefahr für den türkischen Luftraum? Keine Ahnung! Könnte mich einlesen; aber mal ehrlich: was interessiert es mich? Ist die Information wichtig, gar lebenswichtig? Nein! Ist morgen schon wieder überholt. Allein die Diskussion: Gegen den Islamischen Staat. Yeap! Alle sind sich einig. Ob mit Assad oder ohne? Keiner ist sich einig! Erste Stimmen kommen schon wieder auf, er wäre ja an sich ganz „nett“ – salopp ausgedrückt – Zusammenarbeit also nicht ausgeschlossen! Die Putin-Anhänger klatschen, die Amerikaner und der Westen reagieren verschnupft. Wen oder was bombardiert Putin? Den IS oder auch Rebellen, die gegen Assad kämpfen? Und was ist mit dem Krankenhaus in Kundus, im Hinblick auf den amerikanischen Angriff? Alles nur Propaganda … Wessen? Der Russen? Was ist mit unserer? Haben wir keine? Wem soll ich glauben? Blickst Du noch durch, Tagebuch?! Schüttelst auch den Kopf, kann ich verstehen!

Es gibt einen Film. Der ist neu! „Leberkäseland“. Die Problematik, die darin geschildert wird ist die, wie ich eine fortschrittliche türkische Familie in einer rückständigen Kleinstadt integriere. Integrieren heißt nicht assimilieren. Gut so! Aber integrieren bedeutet doch, einfügen eines Fremden in das Bestehende. Mal grob gesagt … Heißt das jetzt auch, dass man sich degenerativ entwickeln muss, um sich zu integrieren? Nach dem Motto: Zurück ins Mittelalter?! Alter, das halte ich für eine ganz schöne Zumutung. Man stelle sich den integrationswilligen Flüchtling vor. Der hat doch Anspruch darauf, dass ich ihm erkläre, wie das bei uns funktioniert. Wenn die Person jetzt einen Universitätsabschluss hat: Kann ich die dann in irgendein Kuhdorf setzen? „Internet kommt in 5 Jahren …“. Die müssen doch denken, wir haben sie nicht mehr alle. Integration gut und schön, aber hat schon jemand einmal über die Definition nachgedacht? Wenn viele an der Integration scheitern, dann eventuell, weil ihnen der Maßstab fehlt. An was soll man sich anpassen?! Nee, Tagebuch, die Frage muss man mal stellen …

Henning Mankell, der geistige Vater von Kommissar Wallander, ist tot. Seine Bücher bewegten nicht nur Schweden, er wurde weltweit verlegt. Ich hab nicht alle seine Bücher gelesen. Die, die ich gelesen habe, waren super. Die Wallander-Filme kenne ich alle. Die sind auch spitze! Ich denke, wir sind kulturell ein Stück ärmer geworden. Dabei sagte er noch letzten Monat in einem Interview, es ginge ihm soweit gut. Das Leben und die Zeit können grausam sein. Er möge in Frieden ruhen! Jedes Mal, wenn ich ein Buch von ihm aufschlage oder wenn Krimitime ist, wird er im Gedanken dabei sein. Tagebuch, verneigen wir uns vor einem großen Geist!

Hast Du die Bilder in den sozialen Netzwerken gesehen, Tagebuch? Aus England und Italien, Piemont? Dort hatte es schon geschneit! Alter, ich glaube, wir gehen einem langen und harten Winter entgegen. Im August war noch heißer Sommer … Über 40° Celsius. Was heißt hier: „Ach, nee“?! Ja, die Zeit, sie rinnt einem wie Sand durch die Finger. Ich habe einfach noch keine Lust, mich für den Winter einzumotten. Aber die Pflicht ruft! Nicht mehr lange und es heißt morgens wieder Eiskratzen, im Schnee zur Arbeit, Stau wegen Glätte, und, und, und.

Ein Vierteljahrhundert Wiedervereinigung. Radio, Fernsehen, Zeitung, Internet. Wo du hinguckst! Die Reise in die Konsumwelt! Ich glaube, es steckte nicht immer das Paradies dahinter … Jedenfalls nicht für jeden.

Die Jugendlichen sind uns, was gendergerechte Sprache angeht, voraus. Im Radio hab ich neulich aufgeschnappt: „Äi, Du bist voll die Opferin!“. Na, Ihr Sprachwissenschaftler!? Das ist doch mal was! Ohne viel Gedöns und Regelgeschnörkel …

Heute, an diesem fünften Oktober diesen Jahres.

© Thomas Dietsch