Et nous revoilà à nouveau à l’heure d’été. Je me suis levé à temps pour écrire mon article, qui concernera tout d’abord la jeunesse, que j’aime et respecte. Celle qui nous aide dans la rue, Monique et moi. Des jeunes pleins d’idéalisme que nous décevons constamment par la politique qui est menée un peu partout dans la monde. Non, leur monde n’est pas celui de l’oligarchie, non plus celui du président qui occupe actuellement la Maison Blanche. Ils veulent forger un monde meilleur, où la violence ne domine pas, comme c’est le cas aujourd’hui. Il y a eu le 14 février la tuerie de Parkland en Floride qui a fait 17 morts et de nombreux blessés. L’assassin a pu se procurer une arme semi-automatique pour perpétrer ce crime épouvantable. Ce sont les rescapés de cette école qui se sont engagés les premiers contre les lois plus que laxistes concernant la vente des armes à feu. Donald Trump, qui a toujours fait partie des proches de l’organisation nationale des armes, s’est toujours opposé à ce que des mesures sensées soient prises afin de réguler les ventes. Il voudrait au contraire que plus de gens s’arment, afin qu’ils puissent faire justice eux-mêmes. Du bout des lèvres il a proposé des correctifs, Pas plus. Hier se sont réunis dans les grandes villes de États-Unis des centaines de milliers de manifestants afin d’obliger les autorités à prendre les mesures nécessaire. Bien plus que pour la cérémonie d’investiture de Donald Trump. S’il veut survivre politiquement, ce dernier sera obligé de tenir compte de la jeunesse américaine. Celle qui a élevé sa voix, n’appartient certainement pas à celle qui a voté pour lui. Une jeunesse poussée par le racisme et la violence. Où celle qui détient beaucoup d’argent. Weiterlesen
Le sacrifice d’Arnaud Beltrame
Je m’incline devant Arnaud Beltrame, le lieutenant colonel qui hier à Trèbe, dans l’Aude s’est substitué à un otage, au cours de l’attentat qui a eu lieu au supermarché. Il vient de mourir à l’hôpital à la suite de ses blessures. Je trouve qu’il est essentiel de souligner une telle attitude, qui démontre qu’il y a encore des gens qui sont prêts à se sacrifier pour d’autres. Cela a été l’attitude du Père Maximilian Kolbe qui a pris la place d’un détenu à Auschwitz et qui a été de ce fait tué. Franciszek Gajowniczek, un père de deux fils, devait être exécuté en représailles à un meurtre perpétré contre l’occupant. Kolbe fit la demande au commandant du camp de pouvoir prendre sa place, ce qu’il accepta. Lorsque j’ai lu la triste nouvelle de la mort d’Arnaud Beltrame, je dus penser à cet acte exemplaire de l’histoire. Maximilian Kolbe a été consacré Saint de l’Église, il n’en sera pas le cas du lieutenant-colonel. Je suis toujours étonné que des gens arrivent à ce point de s’oublier eux-même, d’encourir les plus grands sacrifices pour d’autres. Je ne pense pas que je sois en mesure de le faire. Je le trouve regrettable, mais je dois être honnête. La notion du sacrifice est pour moi un pic, qui dans mes conditions actuelles, je n’arrive pas à atteindre. J’en ai honte, mais pour expliquer mon comportement je ressens le besoin de creuser un peu plus ce sujet qui pour moi est épineux. Je ne suis pas dépourvu de courage, je suis prêt à m’engager pour une bonne cause, même si cela présente certains dangers. Je l’ai prouvé au cours de ma carrière. Je n’ai jamais hésité à faire des reportages qui auraient pu nous amener les plus grands ennuis à ma femme, ma fille et moi-même. Je les ai fait, car il fallait bien que quelqu’un ait le courage de se lancer dans tels sujets. Il y avait la volonté politique de faire bouger les choses. Mais de là à suivre le comportement exemplaire d’Arnaud Beltrame, il y a un pas qui me semble inatteignable. Weiterlesen
L’islam dans le feu de la critique
Une nouvelle statistique démontre en France que l’Islam est dans le feu de la critique. À première vue il est facile de comprendre cette prise de position de bien des citoyens. Les attentats sont pour beaucoup étroitement liés à la religion musulmane, même si cela est un avis erroné, vu que beaucoup de ses adeptes en sont les victimes. Une grande partie des réfugiés de Syrie ont fui non seulement le dictateur de Damas, mais aussi les fondamentalistes qui ont exercé sur eux des méfaits, qui en fait sont avant tout une histoire de pouvoir politique et économique. Il est fatal qu’un grand mouvement de pensée comme l’islam se soit laissé manœuvrer dans un tel recoin. La première erreur consiste de croire que l’islam est un bloc monolithique. Nous avons affaire à un grands nombre de tendances, qui théologiquement se combattent entre elles et ceci souvent avec beaucoup de haine. J’ai souvent repris l’exemple de la guerre de trente ans, où le christianisme était en proie à des luttes intestines provoquées par la réforme. Il en a fallu du temps pour que les plaies guérissent. Je me souviens encore bien de l’atmosphère qui régnait dans mon village près de Genève. Il y avait encore deux clans bien distincts : celui des protestants et celui des catholiques. Les deux communautés avaient guère de rapports entre elles. Cela a depuis changé. Je cite cet exemple pour expliquer que lorsqu’il est question de religion, il faut des centaines d’années pour calmer les esprits. L’œcuménisme fait presque figure de miracle, lorsqu’on revient en arrière dans le temps. Comment exiger de l’islam que cela se fasse en un tour de main ? Pour tous ceux qui sont indirectement concernés, cet état de fait est difficile à comprendre. Mais aussi pour les croyants qui ne s’y retrouvent plus. À la base de ces tensions il y a le coran qui rassemble des versets de toutes les tendances. Cela explique qu’il contient des interprétations diamétralement opposées les unes par rapport aux autres. Weiterlesen
Generation
CDU/CSU und SPD haben es ja nun geschafft. Der Bundespräsident hat die neuen Minister und Ministerinnen nunmehr für 3 1/2 (!) Jahre ernannt. Kaum zu glauben, dass das Gezackere um Sondierungen und Koalitionen ein halbes Jahr in Anspruch nahm. Vordergründig könnte man glauben, man sei in einer „Bananenrepublik“ …
Der neue Sozialminister Hubertus Heil (SPD) kann kurz nach Amtsantritt gleich positive Nachrichten für die Rentner verkünden. Die Altersbezüge der über 20 Millionen Rentner in Deutschland steigen im Juli um mehr als drei Prozent. Man gönne den Rentnern jeden Cent! Die Angst vor steigenden Rentenbeiträgen im kommenden Jahrzehnt geht allerdings um. Die derzeitige Stärke solle genutzt werden, „um das Rentensystem enkelfest zu machen“. Rentenplus und gute Lohnentwicklung können nicht darüber hinwegtäuschen, dass wir uns in einer Ausnahmesituation befinden. Wer soll das in Zukunft stemmen? Die Schar der Rentner wächst stetig, Die Zahl der Beitragszahler sinkt. Versorgten 1962 noch sechs Beitragszahler einen Rentner, waren es 2015 nur noch zwei (demografie-portal.de). Generationenkonflikt, Generationengerechtigkeit. Die derzeitige Bundesregierung lässt, wie leider schon einige Regierungen vor ihr, vernünftige Lösungsansätze für die Sicherung der zukünftigen Rente vermissen.
Die Frage sei gestellt: Gibt es die Generation eigentlich noch? Müssen wir uns von ihr verabschieden? Wie wird diese überhaupt definiert?
Schon vor 15 Jahren war in der Onlineausgabe der WELT zu lesen: „Nie zuvor in der Geschichte der Bundesrepublik hat sich die Lebenswirklichkeit von Jung und Alt so weit voneinander entfernt. Während die meisten Rentner finanziell abgesichert sind, müssen vor allem Familien mit Kindern jeden Monat kämpfen, um über die Runden zu kommen“. Die damalige Bundesfamilienministerin Renate Schmidt warnte in diesem Zusammenhang bereits vor einem „Krieg der Generationen“ – ein geflügeltes Wort, das in den letzten Jahren immer wieder in der öffentlichen Diskussion in sozialpolitischen, insbesondere rentenpolitischen, Zusammenhängen zirkuliert.
Der Generationenbegriff ist mehrdeutig, da er je nach Zusammenhang unterschiedlich gefasst ist. In dem obigen Kontext dient der Generationenbegriff der Abgrenzung von Altersgruppen in der Gesellschaft. Die Bezeichnung Generation kommt aus dem Lateinischen und meint alle Menschen, die innerhalb eines bestimmten Zeitabschnitts geboren wurden. Der Abstand zwischen den Generationen ist der durchschnittliche Zeitraum zwischen den Geburtsjahren von Großeltern, Eltern und Kindern. Landläufig wird hierunter eine Zeitspanne von 30 Jahren verstanden.
Der Terminus „Generation“ findet heute inflationäre und plakative Verwendung, oftmals um einzelnen Alterskohorten stereotype Zuschreibungen anzuheften. Während Labels wie „Nachkriegsgeneration“ oder „68er“ noch zeithistorische Bezüge herstellten, sollen Begriffspaare wie „Generation @“ oder „Generation Y“ eine soziale Lebensauffassung ausdrücken, wirken aber eher kryptisch und sind somit wenig aussagekräftig. Das inhaltliche Gegenstück zu einem vermeintlichen „Krieg der Generationen“ ist die „Generationengerechtigkeit“, die dann erreicht ist, wenn nachrückende Generationen ihre Bedürfnisse ebenso erfüllen können wie ihre Vorgänger-Generation.
In den Fokus rücken dabei die Sozialsysteme. Umlagefinanzierte Sozialsysteme funktionieren nur, solange ein relativ ausgewogenes Verhältnis zwischen Nettozahlern und Nutznießern besteht. In den kommenden Jahrzehnten wird die Zahl jener steigen, die Leistungen aus Renten-, Kranken- und Pflegeversicherung erhalten. Gleichzeitig sinkt die Zahl jener, die den Wohlstand erwirtschaften. Sozialsysteme geraten dadurch in Schieflage.
Es wird argumentiert, dass das deutsche Umlage- und Sozialversicherungssystem Gefahr laufe, durch den demografischen Wandel ausgehebelt zu werden, da immer weniger junge Menschen die Leistungen für immer mehr ältere Menschen finanzieren müssten.
(Alters-) Armut, Arbeitslosigkeit, prekäre Beschäftigung, Ausbeutung, Diskriminierung, Ausgrenzung, schlechte Arbeitsbedingungen und weitere Missstände sind in unserer Gesellschaft existent und zeichnen intragenerationelle Konfliktlinien in der jetzt lebenden Generation nach. Die Frage bleibt allerdings, ob diese vordringlich zwischen Alterskohorten verlaufen.
Sollte das Argument „Generationengerechtigkeit“ genutzt werden, um Sozialabbau zu betreiben, verstärken sich die intragenerationellen Konflikte. Dass sich dabei die Verteilung der Ressourcen zwischen Alterskohorten verändern mag, ist unerheblich. Entscheidend ist, dass dies insgesamt, über alle Altersgruppen hinweg, die Umverteilung von unten nach oben zur Folge haben wird.
In Deutschland ist die Forderung nach mehr Gerechtigkeit zunehmend berechtigt. Die soziale Schieflage nimmt zu, die Sozialsysteme sind unter Druck.
„Es gibt keine demografische Katastrophe. In einer modernen Arbeitsgesellschaft gibt es keine Generationen. (…) Gerechtigkeit ist kein biologisches Problem. Es ist vielmehr – auch wenn das schrecklich unmodern klingt – das uralte Problem der gerechten Verteilung zwischen Reich und Arm“ (Friedhelm Hengsbach, STERN 48/2003).
Macron sous pression
Aujourd’hui les sept syndicats de la fonction publique (CGT, FO, FSU, CFTC, Solidaires, FA-FP et CFE-CGC) ont demandé aux 5,4 millions de fonctionnaires de battre le pavé en signe de protestation contre le projet de supprimer 120.000 postes dans l’administration, comme Emmanuel Macron s’était engagé à le faire lors des présidentielles. Viennent s’ajouter à ce mouvement protestataires les chemineaux de la SNCF. Ce que je nommerais le printemps chaud, sera un test essentiel pour le Président de la République. Il s’avérera s’il tiendra bon ou non. Tout en étant certain, que sa démarche de moderniser le service public est primordiale pour la situation économique de la France, le fait d’imposer ces nouvelles lois par ordonnances me gêne. J’aurais préféré qu’il y ait un débat plus approfondi au sujet de mesures qui pourraient révolutionner la marche du pays. Ce qui est prévu, touchera la nation entière. Il s’agira de réduire les privilèges, en particulier à la SNCF, et de mettre toute la masse salariale au diapason. Personnellement je ne vois pas la raison de privilégier les uns par rapport aux autres. Les normes salariales et sociales ne doivent pas être à mes yeux différentes. Bien sûr que je concède à tous ceux qui ne sont pas d’accord, de débrailler. Peut-être même que si j’étais concerné j’irais défiler. Moins pour le fond des revendications, mais plutôt pour le principe, car je considère le droit de grève comme un droit essentiel. Les fonctionnaires se dressent contre l’intention du gouvernement d’engager à l’avenir des contractuels à leur place pour effectuer le travail qui jusqu’à présent était dévolu aux serviteurs de l’État. Si on plaide pour l’égalité, comme je le fais depuis des décennies, je n’ai jamais pu avaler pourquoi les uns avaient un statu préférentiel et les autres pas. L’important pour le citoyen, est que ses démarches administratives soient résolues plus efficacement que jusqu’à présent. Peu importe qui est habilité à prendre les mesures nécessaires. D’un autre point de vue, il veut que les services concernés soient efficaces. Je pense aux enseignants, à la police et j’en passe. Weiterlesen
Sans logement, sans espoir !
En ce premier jour de printemps, je regarde par la fenêtre et vois de la neige, de la grisaille et sens un froid de canard, dont je suis épargné. Je suis bien au chaud pendant que j’écris ces lignes et ne peux pas m’imaginer devoir passer mes nuits dans la rue. La Fondation Abbé-Pierre et la Fédération européenne travaillant avec les sans-abris, ont publié le chiffre suivant : sur 220 millions de ménages sur notre continent, 11 millions n’ont pas de logement. Je me frotte les yeux, ne pouvant pas croire que c’est vraiment le cas. La préfecture de l’île-de-France a créé un observatoire francilien, qui déclare que chaque soir qu’il faut trouver un toit pour 100 000 personnes, une augmentation de 50 % en trois ans. Lorsqu’on se dit, que d’avoir de quoi se loger est un droit élémentaire, on doit constater que celui-ci est bafoué. Ces statistiques expliquent en grande partie pourquoi il y a un peu partout au sein de l’UE de la grogne et l’envolée de l’extrême-droite en signe de protestation. Aussi les réticences contre tous ceux qui cherchent un asile sur nos territoires. Comme un journaliste soutenant depuis le début de la migration une politique généreuse d’accueil pour tous ceux qui se sentent politiquement menacés, je dois reconnaître que nous nous trouvons devant un problème de taille. Pour les nôtres qui vivent dans le dénuement presque complet, il doit être difficile d’accepter la générosité que certains États montrent aussi pour ceux qui fuient la misère, sans pour autant être poursuivis politiquement. Que je le veuille ou non, il y a des priorités à respecter. Il faut avant tout essayer de régler le plus rapidement possible le cas de ces 11 millions de sans-abris. Une chose est certaine, le fossé entre les riches et les plus pauvres s’approfondit de plus en plus. Il ne s’agit pas de faire l’aumône, loin de là, mais de donner les mêmes chances aux uns et aux autres Weiterlesen
Männerfreunde
Dass Gerhard Schröder und Wladimir Putin seit Jahren Freunde sind, ist hinreichend bekannt. Im Zuge der „Neuwahl“ Putins und der immer noch gegen Russland laufenden Wirtschaftssanktionen werden mittlerweile andere Stimmen laut. Schröder sei der „weltweit wichtigste Lobbyist für Putin“. So nennt der ukrainische Außenminister Klimkin den deutschen Altkanzler. Dieser soll nach Ansicht Klimkins auch auf die Sanktionsliste.
Neben russischen Unternehmen und Regierungsmitgliedern könnte bald auch der Name des ehemaligen Bundeskanzlers Gerhard Schröder auf der Liste der Sanktionen gegen Russland stehen. Das hat der ukrainische Außenminister nun angeregt. „Es ist wichtig, dass es Sanktionen (…) auch gegen diejenigen (gibt), die im Ausland Putins Projekte vorantreiben“ (BILD). Schröder sei für Putin weltweit der wichtigste Lobbyist. Es solle deshalb geprüft werden, wie die EU hier handeln könne.
Auch in der US-Zeitung WALL STREET JOURNAL war Schröder vor wenigen Tagen als „der wichtigste Oligarch Putins“ bezeichnet worden. Der SPD-Politiker war nach Ende seiner Kanzlerschaft 2005 zu dem Unternehmen „Nord Stream“ gewechselt, das eine Gasfernleitung von Russland durch die Ostsee direkt nach Deutschland plant. „Nord Stream“ gehört mehrheitlich dem russischen Energiekonzern „Gazprom“. Schröder sei ein „luxuriöses, bezahltes, prahlerisches Instrument Putins“, doch in Deutschland rege man sich kaum darüber auf, ärgert sich der Autor.
Das Pipeline-Projekt wird von Kiew heftig kritisiert, weil es Russland ermöglichen soll, Gas direkt nach Westeuropa zu exportieren, ohne dass die Ukraine und Polen als Transitländer darauf Zugriff haben. 2017 wurde Schröder zum Chef des Aufsichtsrats des russischen Energiekonzerns Rosneft gewählt.
Der Grünen-Abgeordnete Cem Özdemir kritisierte, Schröder sei zum „Propagandisten von Putin mutiert“. Ein Ex-Kanzler habe auf der Gehaltsliste „eines autoritären Herrschers wie Putin nichts verloren“. Putin wolle Europa „spalten und schwächen“, lasse „Wahlen manipulieren“ und halte „Teile der Ukraine völkerrechtswidrig besetzt“.
Der russische Gaskonzern Gazprom liefert der Ukraine seit Monatsanfang kein Gas mehr. Das Land wollte für März erstmals seit zwei Jahren wieder Gas aus Russland zum Eigenverbrauch kaufen, doch der russische Staatskonzern Gazprom verweigerte die Lieferung und überwies eine ukrainische Vorauszahlung zurück. Es fehlten die nötigen Zusatzverträge, argumentierte Gazprom.
Gazprom kündigte zudem an, alle Verträge mit dem ukrainischen Versorger Naftogaz zu kündigen, und zwar vor dem Internationalen Schiedsgericht in Stockholm.
Die Führung in Kiew schloss vorläufig Kindergärten, Schulen und Hochschulen. Die Unternehmen rief Energieminister Nassalik auf, Gas zu sparen und die Produktion notfalls herunterzufahren.
Die EU-Kommission bot an zu vermitteln, wenn beide Seiten dies wollten. Dies blieb fruchtlos.
Ende Februar hatte ein internationales Schiedsgericht in Stockholm Gazprom zur Zahlung von umgerechnet mehr als zwei Milliarden Euro an den ukrainischen Konzern Naftogaz verpflichtet. Russland habe weniger Gas durch das Nachbarland geleitet als vereinbart. Der Ukraine gab das Gericht auf, 2018 mindestens fünf Milliarden Kubikmeter russisches Erdgas zu kaufen.
Russland hielt sich mithin weder an seine Lieferverpflichtungen gegenüber der Ukraine, noch folgt es dem Spruch des Schiedsgerichtes. Zwei weitere Verstöße des Landes, was seine internationalen Verpflichtungen angeht.
Was bleibt, ist die bittere Erkenntnis, dass die russische Regierung entgegen internationalem Recht und Verpflichtungen die eigenen Interessen aggressiv zu Lasten anderer durchsetzt. Es werden Fakten geschaffen, die wie im Falle der Krim und der Ost-Ukraine, ausgesessen werden sollen.
Russland führt Krieg mit seinen Nachbarn. Nicht auf dem Schlachtfeld, aber in moderner Form. Über „Nord-Stream“ soll Deutschland jetzt auch alternativlos abhängig gemacht werden von russischem Gas. Was uns in Zukunft blühen kann – in puncto Zuverlässigkeit Russlands – zeigt der geschilderte Fall der Ukraine. Die deutsche Politik, vor allem die Regierung Schröder, hat es versäumt, Alternativen zu russischen Energielieferungen zu schaffen.
Dem nicht genug, unterstützt ein Altkanzler in einem russischen Unternehmen die Pläne der russischen Regierung.
Die Freundschaft der beiden Männer hin und her – der Bruderkuss kann teuer werden!
L’affaire Cambridge Analytica
L’empire Facebook a les plus grands ennuis de son histoire. Son cours en bourse a chuté hier de 6,8 %, soit plus de 30 milliards de dollars. Le congrès exige que Mark Zuckerberg s’explique devant une commission du congrès, sur l’utilisation abusive des données de « ses amis », dont je fais partie. Cela s’est fait par le biais de la société britannique « Cambridge-Analytica en ce qui concerne en particulier les élections présidentielles américaines de 2016. Sans l’assentiment des personnes concernées, leurs noms ont été utilisés dans ce contexte politique. Ce qui est très rare aux USA, nombre de personnes influentes réclament que les grandes plate-formes sociales soient plus contrôlées à l’avenir. Pour ma part j’étais parfaitement au courant en m’engageant sur Facebook que mes données personnelles n’étaient pas à l’abri de la discrétion qu’on est en droit d’attendre d’une telle organisation. Je savais que toutes révélations sur ce qui concerne mon environnement familial, mes comptes en banque ou ma biographie privée et professionnelle, seraient employées à mes dépends, si cela pouvait apporter un avantage à la compagnie dont il est question. J’ai fait ce pas, car ce qui était positif dans ma démarche, dépassait de loin un dommage hypothétique concernant mes données. Mais n’allez pas croire que je ne condamne pas de tels faits. Je réclame plus de transparence de Facebook. Je ne veux pas que mon nom soit mêlé à des actions politiques, comme l’avènement au pouvoir des populistes par exemple, à mes dépends. Je sais, le business a dans ces cas-là la priorité absolue, mais il y a des limites à ne pas dépasser. Weiterlesen