Jacques Chirac vient de mourir à 86 ans, une certaine France aussi. Celle où la politique avait malgré tout encore un aspect bon enfant. Malgré les antagonismes, il y avait encore encore un certain respect mutuel au sein de la classe politique. François Hollande, avec qui il entretenait des rapports amicaux, dit de lui : « Il avait pu être dur, féroce même avec ses adversaires. Il était parti à l’abordage tant de fois, dans des campagnes jamais faciles. Et pas toujours victorieuses. Mais il avait tenu. Il avait voulu aller jusqu’au bout d’un destin qu’il n’avait pas forcément conçu avant que la politique ne s’emparât de lui. » Je pense que cette description le défini bien. Il était un homme passionné, même si nous étions d’un autre avis politique. Il était un patriote, dans tout ce que cela comporte de positif. Malgré tous les antagonismes qu’il pouvait provoquer, il est resté humain. On est à mille lieues du fondamentalisme d’une politique exiguë, repliée sur soi-même. Il était avant tout un homme, dans toutes ses contradictions. Une attitude portée sur l’humanisme le caractérisait. Je regrette que cette époque fasse partie du passé, car elle était moins stérile que ce que nous vivons aujourd’hui, où l’esprit technocrate semble avoir pris le dessus, Celui de personnes interchangeables, qui ne laisseront pas de traces derrières elles. Weiterlesen
Monat: September 2019
Le bakchich ukrainien !
« Je te passe 400 millions de dollars comme aide pour Kiev. Tu me refiles des renseignements au sujet de Joe Biden et de son rejeton ! » L’ancien vice-président avait été le responsable de l’administration Obama pour tout ce qui touchait aux rapports entre les deux pays. Hunter Biden, le fils, a été membre de 2014 à 2019 du comité de surveillance du groupe gazier ukrainien Burisma, Il planait sur ce trust des bruits de corruption, ce qui rendit la position de Joe Biden assez délicate, car il pouvait servir de cible à des attaques orchestrées pouvant favoriser les intérêts électoraux d’un des candidats républicains. Quelques jours avant l’appel du 25 août 2019 entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, la Maison Blanche avait gelé cette somme comme moyen de pression. Après que les fuites au sujet de cet appel avaient été révélées au grand public, le président fut forcé de publier le protocole écrit de cette conversation « si amicale ». Cela le mit hors de lui : Il prétendit qu’il a été la victime de « la plus grande chasse aux sorcières de l’histoire américaine ». Volodymyr Zelensky a pour sa part dit : « Personne ne peut faire pression sur moi, car je suis président d’un pays indépendant », dans une interview à une chaîne de télévision russe. Le protocole prouve que le sujet épineux a été évoqué. « On parle beaucoup du fils de Biden et du fait que Biden ait arrêté l’enquête et beaucoup de gens veulent en savoir plus sur le sujet, donc cela serait formidable si vous pouviez vous pencher dessus », a dit Donald Trump. Cela contredit le comportement diplomatique qui doit être de mise en ce qui concerne des questions relatives à des faits de politique intérieure. Il est tout à fait inusité qu’une telle demande soit faite, car elle a un relent de chantage. « Si tu ne t’exécutes pas, cela pourrait faire mal ! », c’est ce que sous-entend la missive du président. Weiterlesen
Meinungsfreiheit
Wo liegen die Grenzen der Meinungsfreiheit?
Bei der Meinungsfreiheit geht es eigentlich um die Meinungsäußerungsfreiheit, genauer: um die Freiheit, Meinungen auch dann äußern zu dürfen, wenn sie den Mitmenschen oder der Regierung missfallen. Während störende Meinungsäußerungen in autokratischen Gesellschaften oft gewaltsam von der Regierung unterbunden werden, gehen die Einschränkungen der Meinungsfreiheit in demokratischen Gesellschaften eher vom konformistischen Druck durch die Meinung der Mehrheit aus. Wer mit der Äußerung abweichender Gedanken auf Empörung stößt, wird sie lieber für sich behalten.
Nun mag man sich fragen, wozu es gut sein sollte, dass jemand Meinungen äußern kann, die andere gar nicht hören wollen. Menschen fühlen sich von anderen Wertvorstellungen und politischen Haltungen oft angewidert. Mill plädiert in seiner berühmten Schrift Über die Freiheit gleichwohl, das Unbehagen und die Verletzbarkeit durch empörende Meinungen auszuhalten, zum einen, weil sie den eigenen Horizont erweitern, zum anderen, weil sie einen nötigen, die eigene Meinung zu begründen – und einen merken lassen, wo solche Gründe fehlen. Meinungsfreiheit ist der Preis, den Menschen für die Fähigkeit zum kritischen Denken zahlen müssen.
Früher, vor dem Internet, waren diese Sub-Gesellschaften weitgehend voneinander abgegrenzt. Ein bayerischer Stammtischbesucher verirrt sich selten in ein autonomes Frauenzentrum. Unterschiedliche subkulturelle „Wahrheiten“ waren daher lediglich über die „öffentliche Meinung“ vermittelt. Doch heute haben im Internet alle die Möglichkeit, zu publizieren. Und deshalb sind die jeweils anderen „Gesellschaften“ immer nur einen Mausklick entfernt, und auf vielen Seiten und in Diskussionssträngen stoßen ihre Mitglieder oft sehr unbarmherzig aufeinander.
Das ist einerseits eine gute Sache, denn kein Mensch kann ständig mit allen über alles diskutieren. Die Auseinandersetzung mit Ähnlichdenkenden ist oft inhaltlich ergiebiger, als mit allen Themen immer wieder bei Adam und Eva zu beginnen, und es gibt es ja auch innerhalb jeder Community noch unendlich viele offene Fragen, also einen riesengroßen Bereich des „Diskutablen“.
Andererseits besteht natürlich auch die Gefahr, dass dadurch so genannte „Filterbubbles“ entstehen, also Blasen, in denen sich nur noch Gleichgesinnte miteinander austauschen und man das Sensorium für „die anderen“ verliert. Es ist zwar normal und unvermeidbar, dass Grenzen zwischen dem Diskutablen und dem Indiskutablen gezogen werden. Trotzdem gibt es natürlich einen Spielraum für mehr oder weniger Offenheit. Gesellschaften, die die Grenzen sehr eng und undurchlässig ziehen, geraten in Gefahr, zu versteinern. Gesellschaften, die überhaupt keine Grenzen ziehen, lösen sich hingegen tendenziell auf – was allerdings auch nicht immer etwas Schlimmes sein muss.
Seit einigen Jahren grassiert die aus den USA kommende Political Correctness, die im Duden definiert ist als „die von einer bestimmten Öffentlichkeit als richtig angesehene Gesinnung“. Selbsternannte Hüter der Political Correctness wachen über eine vorgeblich richtige Gesinnung. Alle relevanten Bereiche des gesellschaftlichen Lebens geraten so unter die Herrschaft einer Denk- und Sprachpolizei. Der britische Historiker und Träger des Karlspreises Timothy Garton Ash sieht in diesem Zusammenhang „eine Tyrannei des Gruppenveto“ und einen „drastischen Verlust an Freiheit“ (antaios.de).
Das Grundgesetz garantiert in Art. 5 Abs. 1 die Meinungsfreiheit – primär nur gegen den Staat, doch es bildet auch die Zielvorstellung einer freiheitlichen Demokratie ab. Wenn diese in Gefahr ist, kann das dem Staat nicht egal sein. Wenn aber in Rede steht, dass Bürgern ihr Recht auf freie Meinungsäußerung abgesprochen wird, dann muss zuvor festgelegt werden, was gesagt werden darf und was nicht. Wo also endet die schützenswerte Meinung? Was macht die Meinungsfreiheit so wichtig für eine funktionierende Demokratie? „Meinungsfreiheit ist für die Demokratie deshalb lebensnotwendig, weil keine Demokratie auf Dauer bestehen kann, wenn es ihr an Bürgerinnen und Bürgern fehlt, die sich am geistigen Meinungskampf beteiligen“ (Dr. Mathias Hong, Privatdozent für Öffentliches Recht an der Goethe-Universität Frankfurt/M., lto.de 19.05.2019).
Meinungsfreiheit endet da, so schon Mill, wo es zu Aufrufen zur Gewalt kommt. Die körperliche Unversehrtheit anderer ist schützenswerter als irgendjemandens Meinung.
Treffen unterschiedliche Meinungen aufeinander, ist man gezwungen, zu argumentieren, seine Meinung zu überdenken. Wir lernen, „kritisch zu denken“.
Political correctness kann ein Leitfaden sein, nimmt einem im Einzelnen aber die Arbeit zu denken nicht ab. Wer sich sklavisch der political correctness verschreibt, wird faul und zugänglich für Propaganda. Und da geht es nicht mehr um die Sache.
Johnson forcé à la démocratie !
La cour suprême britannique a une autre idée de la démocratie, que celle de Boris Johnson. Elle trouve la décision du premier-ministre non advenue d’envoyer les députés en vacances pendant cinq semaines, en espérant qu’ils puissent tenir ainsi « leur gueule » et surtout ne pas mettre les bâtons dans les roues de Boris Johnson en ce qui concerne la sortie du Royaume-Uni de l’UE le 31 octobre de cette année. Ce dernier persiste vouloir la mettre en pratique, même sans un accord. Et ceci malgré la directive de Westminster qu’une sortie dure ne peut être pratiquée. Il fera certes semblant de vouloir négocier avec Bruxelles, mais fera tout pour que toutes les démarches échouent. Il espère que son attitude intransigeante puisse en fin de compte avoir le succès qu’il escompte auprès des électeurs, s’il y avait des législatives. Mais il se pourrait bien, qu’un nouveau référendum puisse aussi avoir lieu. Le premier-ministre a plongé le pays dans un désastre sans égal, il a aussi mis la queen dans l’embarras en lui faisant signer un décret illégal, qui avait pour seul objectif, celui de museler la démocratie. Il est même question d’une destitution de Boris Johnson, mais pour que cela réussisse, il faudrait que le labour sorte aussi du flou, où son leader Jeremy Corbyn l’a placé. Nous verrons aujourd’hui quelle position les délégués travaillistes à Brighton auront pris face au Brexit. Mais il faut prendre une décision, qu’elle soit agréable ou non. Tout cela démontre qu’il est nécessaire d‘avoir à nouveau de la suite dans les idées. Il ne s’agit pas de l’avenir d’un gouvernement, de son chef en l’occurrence, mais de la survie du Royaume Uni. Weiterlesen
Wut
Die schwedische Aktivistin Greta Thunberg hat nach den weltweiten Klimaprotesten vor den Vereinten Nationen den Kampf gegen die Klimakrise beschworen. „Gestern sind Millionen Menschen rund um den Globus marschiert und haben wirkliche Klimamaßnahmen verlangt, vor allem junge Leute“, sagte die 16-Jährige am Samstag in einer kurzen Ansprache beim UN-Jugendklimagipfel in New York. „Wir haben gezeigt, dass wir geeint sind und dass uns junge Leute niemand stoppen kann“ (zeit.de).
Mehr als 60 Länder haben beim UN-Klimagipfel in New York zusätzliche Anstrengungen im Kampf gegen die gefährlich schnell zunehmende Erderwärmung versprochen. Große Wirtschaftsmächte wie Deutschland, Frankreich und China präsentierten ihre Pläne am Montag ebenso wie Tonga, die Seychellen und andere kleine Inselstaaten, die vom Klimawandel besonders stark betroffen sind. Die Aktivistin Greta Thunberg hatte die Staats- und Regierungschefs zuvor in einer emotionalen Wutrede beschuldigt, zu wenig zu tun.
Im Publikum saß auch Bundeskanzlerin Angela Merkel, die in ihrer späteren Rede sagte: „Wir alle haben den Weckruf der Jugend gehört.“ Die CDU-Politikerin stellte in New York das Klimapaket der Bundesregierung vor, das von Aktivisten und Wissenschaftlern als zu unentschlossen kritisiert wird. Sie hatte Thunberg schon vor Gipfelbeginn zu einem kurzen Gespräch getroffen.
UN-Generalsekretär António Guterres hatte den Gipfel einberufen, um die Dringlichkeit eines verstärkten Kampfes gegen den Klimawandel zu verdeutlichen. 70 Ankündigungen neuer Maßnahmen kamen zusammen. Unter anderem verpflichteten sich 77 von 193 Mitgliedern der Vereinten Nationen, bis 2050 klimaneutral zu werden, also unter dem Strich keine Treibhausgase mehr zu produzieren. Auch Deutschland zählt zu diesen Ländern. 102 Städte, 10 Regionen und 93 Konzerne schlossen sich diesem Ziel an. 70 Länder versprachen, ihren nationalen Beitrag zum Kampf gegen die Klimakrise ab 2020 zu erhöhen.
Schon knapp einen Monat reist die 16-jährige Klimaschutzaktivistin durch Amerika und trifft dabei das Who’s who der amerikanischen Linken. Ähnlich wie die Demokraten nutzt auch Trump den Klimawandel zur Selbstinszenierung – nur im umgekehrten Sinne: Immer wieder hat er betont, dass er diesen für eine „hoax“ halte, also für ein Märchen.
Für Trump ist die Umweltschutzbewegung eine Lüge Chinas, um der amerikanischen Wirtschaft zu schaden. Ein ideales Feindbild findet das Team Trump auch im Green New Deal, dem radikalen Umweltschutzplan der demokratischen Abgeordneten Alexandria Ocasio-Cortez. Unter diesem würden sich die USA in einen Einsiedler-Staat verwandeln, behauptete Trump etwa jüngst bei einem Wahlkampfauftritt in New Mexico. Aller Wohlstand würde zerstört, „keine Kühe mehr, keine Flugzeuge, keine Reisen“ (nzz.ch).
Die Frage ist jedoch, ob sich Trump mit seiner abwehrenden Haltung nicht verkalkuliert. Auch an der republikanischen Basis findet allmählich ein Umdenken statt, vor allem unter den Jungen: Für diese ist der Klimawandel zzunehmend ein wichtiges Thema. Mehr als ein Drittel von Trumps Anhängern unter 40 Jahren lehne seine Haltung beim Klimawandel ab (politico.com). Auch die unentschlossenen Wähler, die sogenannten „swing voters“, erfüllt der Klimawandel zunehmend mit Sorge.
Thunberg und 15 weitere Jugendliche aus verschiedenen Ländern reichten sogar bei der UNO eine Menschenrechtsbeschwerde zum Klimawandel ein. Die Mädchen und Jungen im Alter zwischen 8 und 17 Jahren richteten ihre Beschwerde an den UNO-Kinderrechtsausschuss (unicef.org). Sie werfen den Staaten vor, zu wenig gegen den Klimawandel zu tun und damit gegen die weltweit gültigen Kinderrechte zu verstoßen.
Kaum eine Bewegung hat sich jemals so rasant um den Globus verbreitet, wie „Fridays for Future“. Vor ihr war die Klimapolitik zur Nische verkommen, mittlerweile versuchen sich in Deutschland alle Parteien ökologisch zu präsentieren.
Derweil sieht es nicht so aus, als würde die Bewegung „Fridays for Future“ abebben. Der weltweite Klimastreik am vergangenen Freitag war der größte in der Geschichte. Millionen Menschen nahmen an den Demonstrationen teil.
Die wissenschaftlichen Vorhersagen zum Klimawandel sind seit Jahrzehnten mehr als deutlich.
„Ihr seid immer noch nicht reif genug zu sagen, wie es wirklich ist. Ihr lasst uns im Stich. Alle kommenden Generationen haben euch im Blick und wenn Ihr Euch dazu entscheidet, uns im Stich zu lassen, dann entscheide ich mich zu sagen: Wir werden Euch nie vergeben! Wir werden Euch das nicht durchgehen lassen!“ (Greta Thunberg beim UN-Klimagipfel).
So beginnen Revolutionen …
Greta s’en va en guerre !
« Je ne devrais pas être là, je devrais être à l’école, de l’autre côté de l’océan. (…) Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses. Les gens souffrent, les gens meurent. Des écosystèmes entiers s’effondrent, nous sommes au début d’une extinction de masse et tout ce dont vous pouvez parler, c’est de l’argent et du conte de fée d’une croissance économique éternelle. Comment osez-vous ? Depuis plus de quarante ans, la science est claire comme du cristal. Comment osez-vous regarder ailleurs et venir ici en prétendant que vous en faites assez ? (…) Vous dites que vous nous entendez et que vous comprenez l’urgence mais je ne veux pas le croire. » Voilà les mots qu’a exprimé Greta Thunberg à l’ONU à New-York hier. Ceci devant environ 60 dirigeants du monde entier. Elle a démontré qu’elle était avec ses 16 ans une battante, une jeune fille qui a de la suite dans les idées. Elle a su utiliser le bon forum pour que son discours ait de l’impact. C’est la réaction que j’appelle depuis longtemps de mes vœux, que les jeunes se fassent enfin entendre, qu’ils manifestent d’une part leur mécontentement, et ils ont des raisons de l’être, et de l’autre qu’ils cherchent eux aussi des solutions à nos problèmes de société, non seulement dans le domaine climatique. Le rôle de la jeunesse est d’être constamment en mouvement, de ne pas se laisser entraîner dans l’impasse par le matérialisme. Au contraire ! « Vous nous avez laissés tomber. Mais les jeunes commencent à comprendre votre trahison. Si vous décidez de nous laisser tomber, je vous le dis : nous ne vous pardonnerons jamais. Nous ne vous laisserons pas vous en sortir comme ça. » Il s’agit de montrer du courage en montant sur les créneaux pour exprimer sa colère. Greta n’a pas manqué de le faire. Je suis de ceux qui admirent cette constante chez cette jeune fille atteinte du syndrome d’Asperger, une forme d’autisme. Weiterlesen
Thomas Cook à la trappe !
Le voyagiste britannique Thomas Cook vient d’annoncer sa faillite. 600 000 touristes dans le monde, dont 150 000 pour la Grande Bretagne devront être rapatriés. 22 000 employés du groupe vont perdre leur emploi, dont 9000 au Royaume Uni. Ce dépôt de bilan est de mauvais augure pour le gouvernement Johnson. C’est une des premières grande faillite dont la cause est en partie aussi due au Brexit. Bien des gens se sentent menacés par le divorce prévu entre leur pays et l’UE. Qui peut dire ce matin, ce qui se passera à partir du premier novembre ? Je suis persuadé que le voyagiste ne sera pas le seul à devoir jeter l’éponge. Les dirigeants de Thomas Cook ont essayé de trouver de nouveaux investisseurs, mais en vain. « Malgré des efforts considérables, les discussions entre les différentes parties prenantes du groupe et de nouvelles sources de financements possibles n’ont pas débouché sur un accord. Le conseil d’administration a donc conclu qu’il n’avait d’autre choix que de prendre les mesures pour entrer en liquidation judiciaire avec effet immédiat », tel le communiqué de la compagnie. Pour le premier semestre la perte fut de 1,7 milliards d’euros pour un chiffre d’affaire annuel de 10 milliards. Les actionnaires avaient demandé de trouver 200 millions, afin d’augmenter les garanties d’un prêt déjà accordé de 900 millions. Celui-là avait été engendré par le groupe chinois de Fosun. Boris Johnson aurait pu apporter des garanties, afin que cette entreprise traditionnelle existant depuis 1841, ait encore une chance, mais il ne l’a pas fait, car vu le nombre de sociétés menacées, cela mènerait à une banqueroute de l’État. L’effet psychologique est désastreux pour le gouvernement, parce qu’il démontre, où tout cela mènera. Le Brexit, plus les mutations économiques, dues à l’internet, où de plus en plus de personnes ont recours pour faire leurs réservations, ont provoqué la chute du tour opérateur. Weiterlesen
Les fauteurs de merde !
Que ce soit la marche pour le climat et l’opposition au remaniement des retraites hier à Paris, je ne peux qu’approuver que les citoyens manifestent pacifiquement. Où j’ai beaucoup plus de mal à accepter de telles démarches, c’est lorsque des voyous comme ceux appartenant au bloc noir, se mettent en tête de faire de la casse, pour le plaisir d’en faire. Ils se réclament faire partie des gilets jaunes et se battre pour leurs idéaux. Hier ils se sont introduits dans les rangs des écologistes et ont pu, sous leur couvert, s’en donner à cœur-joie. Les exactions ont pu être limitées, car le mouvement des gilets est en chute-libre. La raison en est qu’il n’y a pas de programme bien précis, qu’il y a certes un vent de colère, mais que ce dernier ne se traduit pas dans une politique bien précise. Cela fait plutôt désordre. En voulant faire de la surenchère, certaines personnes ne voient pas qu’elles sont en train de saborder les armes dont la politique dispose, comme le droit de manifester ouvertement son opinion. Pour moi une loi fondamentale de la politique. Mais il est faux de vouloir en faire que de la polémique sans but bien précis comme ce n’était pas le cas au début du mouvement des gilets jaunes. Il fallait faire capoter la nouvelle loi carbone, ce qui s’est effectivement passé. Le deuxième succès a été les pressions exercées contre le président de la république et son gouvernement. 17 milliards ont été accordés pour que plus de justice sociale règne en France. Bravo ! Weiterlesen