L’élu LREM du département de l’Eure, Bruno Questel, a dénoncé une tentative d’intimidation de la part de 40 Gilets jaunes. Ils ont tiré des coups de feu devant sa maison avant de s’enfuir. À proximité de chez lui, il y avait des écriteaux indiquant, où il habitait. Un cortège de voitures a passé devant son domicile. Des grenades à gaz lacrymogène et des pétards ont été lancés L’avocat a recueilli six cartouches de fusil de chasse. La voiture de la députée LREM de Dordogne, Jacqueline Dubois, a été incendiée. Pour sa part Benoît Potterie du Pas-de-Calais a reçu une balle dans une enveloppe avec le message suivant : « La prochaine fois tu la prends entre les deux yeux ! » Je suis partisan de manifestations à caractère pacifiques, mais je condamne de tels actes, qui remettent en cause l’intégrité de tout un mouvement. Il est inadmissible que de tels faits se passent actuellement en France. Comme les remarques plus qu’agressives contre le président de la République. Lorsqu’une figure emblématique des Gilets jaunes déclare qu’il n’y a pas de fumée sans feu en parlant des casseurs, je considère de telles déclarations comme une atteinte à l’ordre démocratique de la nation toute entière. Je tenais à relater cette nouvelle de la nuit. Mais il y aussi eu l’annonce hier soir à Katowice en Pologne que la COP24 était arrivée à un accord, celui de donner la vie à l’accord de Paris sur l’environnement signé en 2015, pour freiner l’effet de serre à 1,5 – 2 degrés jusqu’à la fin du 21ème siècle. Il s’agit d’enrayer une menace de mort concernant la planète toute entière, mais je crains qu’il ne se passera absolument rien. De beaux discours qui en fin de compte en resteront là. C’est le résultat de la conférence de Katowice qui a eu lieu du deux au quinze décembre. Weiterlesen

Edmond Simeoni, le père du nationalisme corse, est mort hier à l’âge de 84 ans. Dans les années 90 je l’avais interviewé dans sa maison et ai gardé le souvenir d’un homme pondéré. Il avait fait des études de médecine à Marseille et était un des précurseurs de l’écologie et de l’autonomie régionale en Europe. Ce sont ces deux sujets que je veux évoquer dans mon article de la nuit. La Corse a su sauver son environnement, ce qui est rarissime en Méditerranée. Les citoyens de l’Île de beauté ne se sont pas laissés tentés par le tourisme de masse, prenant en compte un grand manque à gagner. C’est tout à leur honneur. Le nationalisme corse ne peut pas se concevoir sans cet amour pour la nature et du patrimoine. Les insulaires ont inventé bien avant l’heure le tourisme vert, qui aujourd’hui entre de plus en plus dans les mœurs. Lorsque j’ai traversé les forêts corses, j’ai eu une idée de ce qu’avait été la nature aux siècles derniers. Le respect apporté par les habitants à son encontre m’ont fait réfléchir. Lorsque je vois à quel point les Alpes ont été souillées par l’appât du gain, j’ai eu l’impression d’y trouver le bon sens. Celui qui devrait nous inciter à ne pas scier la branche sur laquelle nous sommes assis. Je me souviens qu’Edmond Simeoni m’avait parlé de la responsabilité des Corses en ce qui concerne le refus de se laisser acheter par des promoteurs, comme cela a été le cas sur la Côte d’Azur entre Antibes et Nice. Il n’était en aucun cas un homme du passé en prétendant que les hommes ne pouvaient que trouver leur assise dans un cadre de proximité. Weiterlesen

Je vais essayer de me mettre dans la peau d’un Cherif Chekatt, l’homme qui a pris sur son compte de tuer trois personnes et d’en blesser 13, dont certains grièvement. Quelle a été sa motivation de provoquer un tel massacre  à Strasbourg? Est-ce vraiment au nom d’Allah ou plutôt parce qu’il ne voyait plus aucune issue à sa vie? À 29 ans avoir fait déjà cinq ans de prisions, n’est pas un bilan très glorieux. J’ai toujours du mal à croire que la religion peut mener à se suicider ainsi. Je crois plutôt que c’est du domaine du fanatisme, de croire qu’on pourrait d’un seul coup rayer de son bilan tous les péchés, que la porte du paradis soit ainsi grande ouverte et que le délinquant soit reçu par une « flopée  de vierges ». C’est vraiment une imagerie d’Épinal que de se perdre dans de tels rêves. J’ai de la peine à croire qu’un homme qui est né en France et qui y a passé toute sa vie puisse tomber dans de telles chimères. Cela ne repose vraiment sur rien, d’autant plus que le coran, comme la bible ou la thora, condamnent le meurtre et le suicide. Si Cherif Chekatt avait lu les écritures saintes il n’en serait jamais arrivé là. Cela repose plutôt sur le désire de quitter ce bas-monde en héros. Une fois de plus une attitude néfaste provoquée par les médias, celle de se faire un nom, peu importe comment. Tout cela démontre à quel point la société est malade de croire que le crime peut faire reluire une existence qui a été une longue suite d’échecs. Mais où sont restés les parents et les amis dans tout cela ? N’ont-ils pas vu le désastre dans lequel il s’embourbait ? N’a-t-il pas été manipulé par une interprétation erronée du message du Prophète ? Est-ce son milieu qui a pu le fanatiser à ce point ? Weiterlesen

Nach Artikel 50 des EU-Vertrags kann jeder Mitgliedsstaat im Einklang mit seinem Verfassungsrecht beschließen, aus der EU auszutreten. Diese Absicht muss der Mitgliedsstaat dem EU-Rat mitteilen, was Großbritannien am 29. März 2017 getan hat. Ab diesem Datum läuft eine Zweijahresfrist, während der ein Austrittsabkommen ausgehandelt werden kann.

Wenn diese Frist abgelaufen ist – also am 29. März 2019 – tritt Großbritannien automatisch aus der EU aus; unabhängig davon, ob bis dahin ein Austrittsabkommen abgeschlossen ist oder nicht.

Theoretisch könnten sich die Mitgliedstaaten auf ein früheres Datum für einen Brexit einigen. Sie können die Frist umgekehrt auch verlängern. Dazu braucht es aber Einstimmigkeit.

Großbritannien könnte den für 2019 angekündigten Brexit noch einseitig und ohne Zustimmung der übrigen EU-Länder stoppen. Dies entschied der Europäische Gerichtshof am Montag in Luxemburg.

Die Schwelle für einen Rückzieher von dem in Großbritannien sehr umstrittenen EU-Austritt ist somit niedriger als gedacht (Rechtssache C-621/18).

Das oberste schottische Zivilgericht hatte den EuGH um eine Bewertung gebeten, ob ein einseitiger Rückzieher noch möglich sei. Das Urteil fiel einen Tag vor der Abstimmung des britischen Parlaments über das von Regierungschefin Theresa May mit der Europäischen Union ausgehandelte Austrittsabkommen. Dafür zeichnet sich keine Mehrheit ab.

Die britische Regierung hatte am 29. März 2017 die übrigen EU-Staaten offiziell darüber informiert, dass das Land die EU verlassen will. Damit begann ein zweijähriges Austrittsverfahren nach Artikel 50 der EU-Verträge, das planmäßig mit dem Brexit am 29. März 2019 endet. Die EU-Kommission und der Rat der Mitgliedsländer hatten vor dem EuGH argumentiert, das Verfahren lasse sich nur mit einem einstimmigen Beschluss des Rats stoppen.

Wenn ein Mitglied der Europäischen Union entschieden habe, diese zu verlassen, „ist das Mitgliedsland frei, diese Mitteilung einseitig zu widerrufen“, urteilte das Gericht. Das sei so lange möglich, wie das Austrittsabkommen noch nicht in Kraft getreten sei. Falls man sich noch nicht auf ein Abkommen verständigt habe, sei der Schritt noch zwei Jahre nach der Austrittserklärung möglich, also bis 29. März 2019 – und sogar später noch, falls diese Frist verlängert werde. Einzige Voraussetzung sei, dass dem Rücktritt vom Austritt ein „demokratischer Prozess“ gemäß britischen Verfassungsgrundsätzen vorangehe. Ein entsprechender Beschluss beende die Austrittsprozedur und setze den Mitgliedstaat wieder in seinen bisherigen Status ein. Im Falle Großbritanniens bedeutet das: Das Land dürfte weiterhin weniger als andere in den EU-Haushalt einzahlen und bräuchte sich weder an der Währungsunion noch am grenzfreien Schengen-Raum beteiligen.

Im Kern geht es um eine Klärung des interpretationsbedürftigen Artikel 50 des EU-Vertrags. Er enthält keine Vorgabe für den Rücktritt vom Austritt. Man könne aber analog die Regelung zum Austritt anwenden, urteilten die Luxemburger Richter. Es handle sich demnach um eine „souveräne Entscheidung, den Status als Mitglied der Europäischen Union zu behalten“. Einen einmal erklärten Austritt auf alle Fälle durchzuziehen, dieser Gedanke vertrage sich nicht mit dem Ziel der EU-Verträge, „den Prozess der Schaffung einer immer engeren Union der Völker Europas (…) weiterzuführen“. Das allerdings ist eine pikante Begründung, denn genau diese Formel aus der Präambel des EU-Vertrags ist besonders verhasst auf der Insel. Nach Ansicht vieler Briten verweist sie auf das Fernziel eines europäischen Staats und stellt die nationale Souveränität dadurch auf eine grundsätzlich inakzeptable Weise infrage.

Fazit: Der Brexit wird nicht von Gerichten entschieden, er war immer eine genuin politische Frage und wird es bleiben. Das Urteil des EuGH ist kein Grund zum Jubeln für die britischen Remainer, es nimmt ihnen nur nicht die Hoffnung. Dass es tatsächlich zu einer zweiten Abstimmung kommt, ist nach jetzigem Stand eher unwahrscheinlich. Aber ausschließen sollte man beim Brexit gar nichts.

Theresa May ne peut pas parler de victoire. Plus d’un tiers des députés de son groupe parlementaire ont voté contre elle, soit 117 voix contre 200, qui lui étaient favorables. Dans d’autres conditions elle aurait dû prendre son chapeau. Mais le Brexit a une marche à suivre hors normes. Elle a perdu ainsi tout espoir d’avoir une majorité aux Communes dans l’état actuel des choses. La raison pour laquelle elle s’est décidée de reporter la votation du texte, qu’elle avait négocié avec l’UE, au 21 janvier. C’est à dire à la dernière minute. C’est un coup de poker qui peut mettre tout son pays dans l’embarra, ce qui est peu dire. Elle espère jusque-là pouvoir infléchir Bruxelles sur certains point, mais jusqu’à présent elle a reçu une fin de non-recevoir. Les 27 refusent de nouvelles négociations, mais seraient prêts à accepter quelques éclaircissements sur des points bien précis comme la question irlandaise. Ni moins, ni plus. Theresa May ne peut pas espérer une ouverture de ce coté.là. Elle espère pouvoir convaincre les députés qu’un Brexit dur, serait une catastrophe, qu’il entraînerait le pays dans la précarité. Des milliers sinon des millions d’emplois seraient en jeu, la bourse plongerait dans un précipice. La Grande-Bretagne mettrait des années pour retrouver une santé, ce qui ne présage rien de bon pour les jeunes. Une des raisons pour laquelle ils sont résolument contre le divorce, car ils savent très bien que ce sont eux qui paieraient la facture. Un prix horriblement dur à avaler. Ils voudraient que le gouvernement accepte d’appeler à nouveau les citoyens aux urnes, pour leur demander si dans les conditions actuelles, ils trouvent encore bien de quitter l’UE. D’après les sondages, les opposants au Brexit n’ont qu’une courte majorité. Rien n’est moins sûr que le oui à l’UE l’emporte. Une fois de plus je trouve incroyable qu’une nation entière plonge ainsi dans le malheur. C’est une attitude suicidaire, qui ne présage rien de bon, pour le Royaume Uni et pour l’UE. Mais il est inutile de revenir en arrière. Weiterlesen

In einer wissenschaftlichen Untersuchung hat sich ein Team von der Indiana University in Bloomington erstmals systematisch mit der Frage beschäftigt, wie Fake News auf Twitter verbreitet werden. Eines der Ergebnisse ist, dass insbesondere in der Anfangsphase soziale Bots eine entscheidende Rolle dabei spielen: Sie werden nach der Veröffentlichung von Fake News auf einschlägigen Seiten rasch aktiv und sprechen dabei gezielt einflussreiche Nutzer an (Technology Review).

Bei Fake News geht es um die Veröffentlichung von Nachrichten, die falsch oder irreführend sind. Das Phänomen ist inzwischen so weit verbreitet, dass eine Reihe von unabhängigen Factchecking-Organisationen aktiv sind, um die Korrektheit von Informationen im Internet zu überprüfen. Zu ihnen zählen snopes.com, politifact.com und factcheck.org.

In der Debatte um den UN-Migrationspakt haben einer Untersuchung zufolge außergewöhnlich viele sogenannte Social Bots im Internet Stimmung gegen die internationale Übereinkunft gemacht (welt.de).

Demnach sind mit 28 Prozent mehr als ein Viertel aller Tweets zum Migrationspakt auf Social Bots zurückzuführen, also auf programmierte Teilnehmer in sozialen Netzwerken, die sich als reale Menschen ausgeben. Den Analysten zufolge liegt der Durchschnitt bei politischen Diskussionen sonst etwa bei der Hälfte (10 bis 15 Prozent).

Der beim Migrationspakt beobachtete Anteil von Social Bots an einer Diskussion ist so hoch wie seit der Bundestagswahl nicht mehr (Botswatch). Gestreut wurden demnach zum Beispiel Behauptungen, wonach die Bundesregierung versuche, die Öffentlichkeit beim Migrationspakt bewusst zu täuschen. Für die Studie untersuchte Botswatch rund 800.000 Tweets, die zwischen dem 24. November und dem 2. Dezember veröffentlicht wurden.

Bei den untersuchten Netzwerken gab es der Analyse zufolge Verbindungen zu den Protesten der „Gelbwesten-Bewegung“ in Frankreich (welt.de). Laut den Autoren der Studie soll so der Eindruck einer grenzüberschreitenden Bewegung hergestellt werden. Dieselben Netzwerke, die gegen den Migrationspakt aktiv sind, sind demnach zudem auch beim Thema Dieselfahrverbote aktiv. Auf mögliche Hintermänner der Social Bots geht die Analyse nicht ein.

Es ging um die Annahme des UN-Migrationspaktes bei der an diesem Montag stattfindenden Konferenz in Marrakesch angenommen werden. Der Pakt umfasst eine Reihe von Leitlinien und Maßnahmen, deren Umsetzung rechtlich nicht bindend ist. Im Kern geht es um eine bessere Zusammenarbeit in der Migrationspolitik und um Standards im Umgang mit Flüchtlingen. Um den Migrationspakt gab es in den vergangenen Wochen teils heftige Debatten. Eine Reihe von Staaten ist vom Pakt abgerückt.

Darüber hinaus ist auch völlig unklar, wie groß die Auswirkungen der möglichen Social Bots auf die Meinungsbildung im Netz und damit möglicherweise auch die politischen Entscheidungen waren. Die Autoren der Studie bilden nicht den kompletten Zeitraum der Debatte ab. Schon fünf Tage nach Beginn der Auswertung stimmte der Bundestag über den Migrationspakt ab. Dabei stand das Thema schon Tage vorher auf der Agenda.

Obwohl also die Kriterien für die Auswahl der Bots nicht offenliegen, die Auswirkungen völlig unklar sind und abseits des Beitrages in der Welt – der auch nur auf Auszügen der Studie basiert – kein weiteres Material zur Verfügung steht, sorgte die Bots-Studie im Netz und den Medien für Aufmerksamkeit. Die Studie, bzw. das, was von ihr bekannt ist, bildet nach journalistischen Standards keine ausreichende Grundlage für eine solche Berichterstattung.

Le marché de Noël de Strasbourg. Un homme tire dans la foule. Il y a trois morts et onze blessés. Le meurtrier, bien qu’atteint par un tir des gendarmes, réussit à s’enfuir. À l’heure où je vous écris, il n’a pas été arrêté. Le suspect, qui a été identifié, est un Strasbourgeois né en 1989 et est connu des services de police. Il a été jugé pour des faits commis tant en France qu’en Allemagne. Voilà pour les faits. Jusqu’à présent le voile n’a pas pu être levé quant aux raisons de cet attentat. Après les troubles qui ont eu lieu en France, c’est un réveil brutal qui devrait nous faire réfléchir. Je veux parler de la violence sous toutes ses formes. Nous sommes de plus en plus vulnérables en ce qui concerne de tels actes imprévisibles. Il est un fait que les hommes deviennent de plus en plus désaxés par ces temps de crise, qu’ils remettent en question la puissance de l’État, lorsque tout semble vaciller. Pour l’instant rien ne permet de dire si cette attaque à main armée, avait des raisons politiques, religieuses ou si ce n’était qu’un acte de folie. Mais le fait est, qu’il y beaucoup d’exaspération dans l’attitude des citoyens. Un ras-le-bol qui peut mener à de tels drames. Il y a en ce moment dans l’hexagone un sentiment d’insécurité générale, qui incite à la violence. Il est indispensable que l’État reprenne les choses en main et empêche tout débordement en ce qui concerne les manifestations du samedi des Gilets jaunes. Le mouvement serait bien conseillé de mettre en veilleuse sa colère et de commencer à négocier au lieu d’attiser encore le feu. Il est évident que les casseurs seront à nouveau présents, si le mouvement ne revient pas sur sa décision de manifester en fin de semaine. Je ne pense qu’il ne se rend pas service, s’il s’entêtait à vouloir faire le forcing. Weiterlesen

Emmanuel Macron aurait pu se présenter à la télévision comme un flagellant, un homme rampant devant le peuple, se frappant la poitrine pour montrer son repentir, rien n’y ferait, il y aurait encore un grand nombre de Gilets jaunes qui lui reprocheraient de jouer la comédie. Il se passe exactement ce que j’avais prévu : Les manifestants ayant vu qu’ils pouvaient en fin de compte obtenir plus en maintenant la révolte, sont loin de lâcher du lest. Si j’étais de leur bord, je ferais de même. Mais la plupart d’entre-eux ne veulent pas s’apercevoir qu’ils risquent de pousser la France au bord du précipice, ce qui aurait des conséquences pour l’avenir du pays. Pour ma part je trouve que c’est un bon début. Mais il est évident que le chef d’État ne pourra pas en rester-là, qu’il faudra mettre sur pied une république participative, de faire appel à des états-généraux. Il serait temps qu’on se mette à négocier. Ce n’est que dans le dialogue qu’il sera possible d’obtenir un nouveau modèle de démocratie. C’est de cela qu’il sera question. Ce qui peut paraître comme une utopie, est un concept qui marche bien depuis la nuit de temps en Suisse. Il serait temps de faire confiance au peuple et de concevoir qu’il est tout à fait à même de prendre des décisions raisonnables. Mais pour ce faire, il faudrait que les Gilets jaunes rentrent le plus rapidement dans un modus de négociations et d’arrêter de bloquer la France. Mais pour y arriver, il faudra tout d’abord qu’ils établissent une structure à leur mouvement et qu’ils élisent des représentants crédibles pour se retrouver autour de la table des négociations. Il ne s’agira pas de s’ancrer seulement dans l’opposition, mais bel et bien de parler, en respectant les autres interlocuteurs. Il faudra qu’ils apprennent à écouter et de sortir de leur rejet fondamental. Il s’agira de faire des propositions pour trouver un terrain d’entente. Weiterlesen