Le nouveau maire de Londres est le travailliste d’origine pakistanaise Sadiq Khan. Ce qui est positif dans cette élection qu’il a remporté avec 56,8% des voix, est le fait que ce soit un musulman. Son adversaire, Zac Goldsmith, le fils du milliardaire Jimmy Goldsmith, n’a obtenu que 43,2 des voix. Donc un très bon score pour le fils d’un chauffeur de bus pakistanais. Je pense que c’est une réponse impressionnante par rapport au discours populiste, qui comme celui de Donald Trump, voudrait que l’islam soit mis au pilori. Cette religion fait partie, que l’on veuille ou non, au profil européen de 2016. C’est un fait objectif que personne ne devrait ignorer. Au lieu d’approfondir les fossés, il serait plus raisonnable de pratiquer la politique de la main-tendue. Cela représente plus de tolérance des deux côtés. Il faut accepter le particularisme de tous et le considérer comme un fait sociologique. Cela revient à dire que le prosélytisme doit être aboli. Il faut qu’on se dise impérativement que les religions monothéistes prient le même Dieu et que les origines sont les mêmes, soit l’Ancien Testament. Mais aussi les autres communautés de pensée doivent être respectées. Dans le lot de mauvaises nouvelles que nous connaissons actuellement, l’élection de Sadiq Khan fait office d’espoir. Serait-il possible d’éradiquer un peu la haine et l’intolérance ? Il ne faut pas être trop optimiste, mais cela pourrait constituer un premier pas. Puis il y a un autre point important. Le nouveau maire veut mettre en pratique une politique plus sociale, geler les prix des transports pendant trois ans. Parallèlement à cela, il veut soutenir à fond la « City », ne pas lui mettre les bâtons dans les roues, au contraire. Ce qui est aussi à mes yeux positif, c’est qu’il s’oppose à une rupture avec l’UE. Il va dire non au Brexit ! Pour les électeurs travaillistes peut être un coup de fouet. Ne nous faisons pas d’illusions, au sein du Labour il y a une frange importante de politiciens qui voudraient tourner le dos à l’Europe. Jeremy Corbyn, le chef du parti, qui était un peu réticent, sera obligé de s’engager plus en direction de Bruxelles. Weiterlesen
Monat: Mai 2016
Gaza, terre de discorde !
Remet-on cela ? Une fois de plus la bande de Gaza se trouve en lice des terres de discordes. Après la découverte d’un tunnel d’attaque menant tout droit dans une bourgade israélienne, l’armée s’évertue de détruire un système d’attaque du Hamas qui pourrait être efficace. Elle est à la recherche d’autres galeries du même type. La tension monte de plusieurs crans, probablement l’occasion de démarrer une action de plus grande envergure. Une fois de plus les armes parleront dans un contexte, où personne ne peut sortir victorieux. Ce conflit local démontre une fois de plus que la diplomatie a échoué. Il n’y a plus de discussions entres les deux parties en cause. Les faucons gagnent du terrain, malgré le fait que tous les actes militaires n’ont jusqu’à présent que fait des morts. En 2014 près de 2000 du côté palestinien, 73 du côté israélien. Malgré la suprématie de l’État hébreux, le capital qu’il en a pu retirer, est plus que tenu. La preuve qu’un tel engagement ne génère que de la misère. Il serait le plus grand temps, que les responsables à Jérusalem refassent leur copie, que Benjamin Netanjahu montre un peu de grandeur. Il en est malheureusement incapable. Au lieu de chercher un consensus autour d’une table de conférence, il continue à frapper du poing. En construisant une mur du côté de la Palestine et en apportant son soutien à des colons juifs, il attise le feu. Weiterlesen
Goodbye Germany?
Nach der Jahrtausendwende wurde Deutschland weltoffen und entspannt und damit endlich ein normales Land Europas. Die Masseneinwanderung droht dieses Erfolgsmodell nun infrage zu stellen.
Die großen Anstrengungen nach 1990 liegen hinter uns, vieles ist gelungen, manches auch nicht. Die gute Konjunktur und die anhaltende Produktivität lassen vieles vergessen. Das Land ist ein Land der Älteren, Gesetzteren, und das bekommt ihm gut. Keine Militanz, weder außen- noch innenpolitisch, vom rechten und linken Rand abgesehen. Im Vergleich mit den europäischen Nachbarn ist Deutschland fremdenfreundlich und weltoffen, rechte Parteien und Bewegungen sind marginalisiert, und für die Utopie eines geeinten Europa haben wir – wenn auch mit verhaltenem Grummeln – dazumal sogar auf die D-Mark verzichtet. Wir sind hilfsbereit, das Elend anderer rührt uns, Gerechtigkeit geht uns über alles, und Solidarität lassen wir uns was kosten. Deutschland ist im Ausland beliebter geworden, was wir Deutschen selbst kaum glauben wollen.
Doch jetzt sieht es so aus, als ob das Land seine besten Jahre hinter sich hätte. Führende Politiker und Meinungsmacher jedenfalls möchten, dass Deutschland sich verändert, ja sie sehnen dies sogar herbei: Bunter soll es werden, jünger, vielfältiger, weltoffener. Ganz anders eben.
«Deutschland wird sich durch die Flüchtlingskrise verändern», so Angela Merkel in Sommer 2015, sekundiert von Innenminister Thomas de Maizière. Verändern soll es sich, natürlich, zum Positiven.
Die, die sich darüber freuen, werden weniger. Warum? Weil sie keine Veränderung wünschen? Oder weil sie nicht glauben können, dass das so ziemlich beste Deutschland, das es je gab, dank überwiegend muslimischen Migranten noch strahlender und schöner wird?
Mit Veränderung kennen wir uns aus. Kaum ein Land hat so viel Übung damit – auch Abschied von Deutschland hat seine Bevölkerung mehr als einmal genommen. Vielleicht haben wir sogar eine Art Abschieds-Tick? Mit jeder Veränderung ist irgendwo auch eine Änderung der Kultur verbunden.
Wir haben das Kaiserreich von 1871 hinter uns, die Monarchie, das kurze Aufblühen der Demokratie in der Weimarer Republik, in einem Land, das noch nicht reif dafür war. Danach kam die Nazi-Zeit, gefolgt von der Zeit der Teilung in Bundesrepublik-West und DDR.
1989 brachte den Abschied von Bundesrepublik und DDR. Auf beiden Seiten gab es welche, die damit nicht einverstanden waren, es war doch nicht alles schlecht gewesen vorher, oder? Die europäischen Nachbarn fürchteten sich mal mehr, mal weniger vor der neuen deutschen Großmacht und bemühten sich, sie einzuhegen – mit dem Ersatz der D-Mark durch den Euro, womit man Deutschland, so hieß es damals im Elyséepalast, seine „Atombombe“ genommen habe.
Vielleicht kriegen wir ja auch noch die Sache mit der Selbstabschaffung hin. Wenn man dem britischen Historiker Brendan Simms folgt, tun wir dem Rest der Welt damit einen Gefallen: Noch immer und schon wieder gehe es in Europa um die „deutsche Frage“. Also weg damit, auf welche Weise auch immer? Nun, Simms bevorzugt die Lösung fortschreitender europäischer Vereinigung. Doch die wird wohl daran scheitern, dass keiner der Nachbarn Deutschlands seine nationalstaatliche Souveränität aufgeben will. Dann bliebe, sofern seine These stimmt, wirklich nur eines: weg mit Deutschland.
Sind wir damit nicht bereits auf bestem Weg?
Ein weitgehend entspanntes Land, in dem mehrheitlich Menschen wohnen, die schon aus Altersgründen friedlich sind, hat neuerdings mit einem Problem zu tun, das Gesellschaften seit Menschengedenken zerreißt. Die Mehrheit der Zugewnserten besteht aus jungen Männern ohne Familie und ohne Arbeit und deren Religion oder Nationalgefühl nicht zu einem säkularen und wenig national gestimmten Deutschland passt. Mit ihrer Frustration ist zu rechnen, wenn die Versprechen, die sie aus der deutschen Willkommensseligkeit herausgelesen haben, nicht eingelöst werden. Die wenigsten bringen zudem die Voraussetzungen mit, die ihre baldige Integration in den Arbeitsmarkt wahrscheinlich machen – einmal abgesehen davon, dass noch lange unklar sein wird, wer bleiben darf und wer gehen muss, was alle Integrationsbemühungen voreilig oder sinnlos macht. Jung sein allein ist keine hinreichende Qualifikation.
Die Push-Faktoren, also das, was Menschen aus ihrer Heimat vertreibt, bleiben bestehen, und der größte Pull-Faktor, das vergleichsweise bestens ausgestattete soziale Netz Deutschlands, wird dem Ansturm nicht standhalten, sollte es so weitergehen. Radikalliberalen Reformern dürfte diese Veränderung noch am ehesten gefallen: der Abschied vom Sozialstaat.
Brauchen wir Veränderungen, die an die Substanz gehen?
Es gibt sie, die Deutschen mit dem notorischen Selbsthass, die das begrüßen würden. Soll sich Deutschland doch abschaffen – dann gibt es ein Problem weniger.
Sei es, wie es sei! Es ist ein Missverständnis, unser Land auf das dreckige Dutzend Jahre von 1933 bis 1945 zu reduzieren. Wir können mehr, unser „Ländle“ ist zäh.
Auch bunt und weltoffen? Mal sehen, wohin die Reise geht …
Sommes-nous des mollusques ?
Bon vent pour le Titanic. Dans la salle des fêtes du navire, le beau monde danse sans pour autant s’apercevoir que le bateau coule. C’est ce qui se passe tout aussi bien aux USA qu’en Europe, où de fortes gueules populistes tirent la couverture à eux. Et que font les personnes qui ont un peu de matière grise ? Elles consomment comme si de rien n’était. C’est pour moi non seulement un sentiment désagréable, c’est une paralyse de l’esprit qui pourrait avoir des conséquences fatales. Cela démontre le manque total de jugement de la part du peuple qui semble avoir abdiqué. Et ceux qui « positives » le font pour dissiper la réalité. Le bon-sens ne fait décidément plus partie des qualités qu’un homme devrait avoir. Je ne demande pas l’impossible, mais au moins un réflexe d’autodéfense. Il devrait être dans l’intérêt de tous de ne pas être poussé comme des moutons dans le précipice. En restant amorphe et en s’abrutissant d’une manière incongrue, il est impossible d’avoir un regard clair sur ce que devrait être l’avenir. Ne venez surtout pas avec l’argument que des politiciens plus ou moins ineptes, n’en font qu’à leur guise. Si c’est le cas actuellement, c’est parce que nous ne résistons pas contre la bêtise. Un Donald Trump, un Viktor Orbán ou les cléricaux-fascistes de Pologne sont la preuve que rien ne peut plus arrêter ce mouvement rétrograde, qui se démarque par son manque de tolérance, par son racisme et par son totalitarisme. Sans oublier les Poutines, les Erdoğans et consorts. Je reviens de promenade avec un jeune ami, qui m’a posé la question de savoir comment agir. Il se rend bien compte qu’il est impuissant pour arrêter ce ras-de-marée qui menace de tout balayer sur son passage. Son discours est assez fataliste, parce ce qu’il est parfaitement lucide. Mais moi, le vieux barbon de 70 ans, lui ai répliqué, que si tout le monde suivait sa manière de penser, la chute en enfer serait irrémédiable. Non, je ne veux pas qu’on m’emmène à l’abattoir comme un grand nombre de juifs pendant le nazisme. Même si nous avons l’impression de ne pas pouvoir arrêter un tel mouvement dévastateur, nous devons le faire. Weiterlesen
Ted Cruz jette l’éponge !
Il y a de quoi jubiler ! Donald Trump a remporté l’Indiana à coups d’injures contre son adversaire Ted Cruz, qui a jeté l’éponge. Il est à prévoir que plus rien n’arrêtera ce requin de l’immobilier. Ce sera probablement un duel entre lui et Hillary Clinton qui se dessine, même si cette dernière n’a pas été victorieuse cette nuit. Il est déconcertant que des franges importantes des Républicains avalent ce que leur favori dit. C’est un discours d’une rare violence, où tous les coups bas semblent être permis. Pas digne d’un potentiel président. Cela démontre que la dignité est au point le plus bas. Je n’ai aucune sympathie pour Ted Cruz, mais je le comprends. Lorsque sa femme et son père sont ainsi mis au pilori, l’une avec des propos sexistes, l’autre parce qu’il a été photographié en compagnie de Lee Harwey Oswald, le meurtrier de John Kennedy, il ne pouvait pas avoir d’autre issue après sa défaite dans l’État de l’Indiana. Même si Donald Trump devait se rouler dans de la farine, son image peu flatteuse ne s’estompera pas. Que se passera-t-il en novembre lors des présidentielles ? Personne ne peut mettre sa main au feu. Dans la situation actuelle, tous les mécontents risquent de se rassembler sous sa barrière, même si son attitude ne correspond pas aux valeurs américaines, avec le fair-play en tête. Se livrer des duels est une chose, traîner ses adversaires dans la boue une autre. De même pour tous ceux qui ne correspondent pas à ses vues. Tout cela est nauséabond. Je pense que lors du congrès il sera impossible de lui faire barrage. C’est d’une part la mort du parti d’Abraham Lincoln qui a aboli l’esclavage, de l’autre la déchéance de ses partisans, qui sont nombreux. Weiterlesen
Le Pen contre le Pen
Pauvre Jeanne d’Arc ! Chaque année au premier mai, Jean-Marie Le Pen manipule sa fête à ses propres fins : celui de rassembler nombre d’anciens pétainistes, des néonazis de tous calibres, évidemment des royalistes en quête d’un roi – il est trop vieux !– et des rats de bénitiers, les fondamentalistes. Ces détenteurs de la vérité se considèrent comme étant le seul rempart contre les bronzés, les musulmans, les juifs et tous ceux qui s’opposent à eux. Des saboteurs, des mécréants, des parasites. Sa fille Marine, qui en a eu marre de tout ce flonflon hyper-nationaliste, a fichu papa hors du parti. Une tragédie qui pourrait être antique, si les protagonistes étaient plus ambigus. Ils ne le sont pas ! Tout à été dévoilé au sujet de ce beau monde, qui récolte malheureusement pas mal de voix parmi tous ceux qui se sentent de souche ! Il faut bien qu’on se sacrifie pour une Europe chrétienne, dont fait aussi partie leur parrain : ce cher Vladimir Poutine. La présidente du FN a lancé parmi ses troupes un interdit. Personne n’était autorisé à se retrouver à la Place de la Pyramide pour acclamer papa. Marie-Christine Arnautu et à Bruno Gollnisch, membres des instances dirigeantes, ont passé outre, avec une autre collègue, l’ukase de Marine Le Pen et se retrouvent au pilori. On peur demande d’abandonner leurs fonctions au sein du FN. Cette guerre-guerre prend des aspects absurdes, d’autant plus que les deux idéologies concordent. L’un déclame des horreurs dans le style de « Je suis partout ! », l’autre s’est enrobé de farine, comme le loup du petit chaperon rouge. Cela lui a indéniablement servi. Une partie du peuple est tombé dans le panneau et croit à la respectabilité de ce parti, qui dans son essence est d’extrême-droite, avec toute la dialectique qu’on lui connaît. Comme démocrate je suis forcé de le combattre par des faits et des paroles, non pas par des lois. Je veux parler d’un combat politique. Ce débat doit s’instaurer, pas seulement en France. Weiterlesen
re:publica
Die Internet-Konferenz re:publica in Berlin ruft nach Privatsphäre im Netz und schaltet Whistleblower Edward Snowden aus Moskau zu. Das offene Internet „verschließt sich gerade“, konstatiert re:publica-Mitgründer Markus Beckedahl.
8.000 Gäste, 400 Stunden Programm, 770 Sprecherinnen und Sprecher aus 60 Ländern und 17 Bühnen. Am Montag ist in Berlin die zehnte re:publica eröffnet worden, die größte Digitalkonferenz Europas, die dieses Jahr unter dem Motto Selbstreflexion steht, aber auch einen Blick in die digitale Zukunft werfen soll. Was vor einem Jahrzehnt noch Nischenveranstaltung, ist sie inzwischen nicht mehr wegzudenken: Drei Tage wird daher in der Station in Kreuzberg zwischen Robotern, Kaffeeinseln und 3-D-Druckern über Netzpolitik, Social Media, Hate Speech oder Virtual Reality geredet, gelernt, gewundert, getwittert und gestreamt.
„Seit zehn re:publicas feiern wir das offene Internet, doch das verschließt sich gerade. Unsere Kommunikation wird zunehmend überwacht. Und wir machen uns immer mehr abhängig von immer weniger Plattformen, die uns ihre Regeln vorschreiben“, sagte Markus Beckedahl, Chefredakteur von Netzpolitik.org. Eine offene Gesellschaft braucht ein offenes Netz!
Immer wiederkehrend die Themen Vorratsdatenspeicherung, Zensur, Überwachung, Netzsperren, Geheimdienste, Urheberrecht, Netzneutralität. Gleichzeitig kommen immer weitere netzpolitische Themen hinzu: Algorithmen treffen Entscheidungen über unser Leben, ohne dass wir dies nachvollziehen können. Wir haben aber ein Recht darauf! Jeder will die neuen Technologien nutzen, aber sie sollten nicht gegen einen verwendet werden.
Zur Media Convention: Einer der wichtigsten Medienkongresse in Europa. Da sie aber seit drei Jahren als Subkonferenz der re:publica stattfindet, ist festzustellen, dass ihre Panels oft einfach als bloßer Teil der re:publica wahrgenommen werden. In diesem Jahr war der Regierende Bürgermeister von Berlin, Michael Müller (SPD), selbst bei der Media Convention anwesend, um größtmögliche Aufmerksamkeit zu sichern.
Jede Menge Prominenz im Saal. Der italienische Philosophie-Professor Luciano Floridi hielt einen Vortrag darüber, warum es ein Gebot der Menschenrechte ist, die Privatheit im Netz zu verteidigen. Aufgrund der Ankündigung, dass Whistleblower Edward Snowden live zugeschaltet würde, standen die Zuhörer in langen Schlangen vor dem Saal. Snowden forderte die Zuhörer auf, sich bei ihren Regierungen dafür einzusetzen, dass Whistleblower bei ihnen Asyl finden könnten. Den Anspruch auf Privatheit im Netz verglich er mit dem Recht auf freie Meinungsäußerung. Zitat: „Wer sagt, er habe keine Geheimnisse und brauche daher keine Privatsphäre im Internet, kann genauso gut sagen, er brauche keine Freiheit der Rede, weil er nichts zu sagen hat“.
Ein Jurastudent ist aus Hamburg angereist, um sich auf der re-publica weiterzubilden. Sensibilisiert durch seine Ausbildung nutzt er social networks nur passiv, nicht aktiv. Der „normale“ Nutzer wisse oft gar nicht, was er alles von sich preisgebe und wie seine Daten ausgewertet werden würden. Private Fotos bei Facebook? Ein No-Go! Die Bildrechte liegen hiernach bei Facebook, was kaum einer wisse, sich aber aus den Allgemeinen Bedingungen des Netzwerks ergebe.
Private Bloggerinnen und Blogger gab es vor Ort en masse. Für sie spielt der Schutz im Netz ebenfalls eine große Rolle: Als Autoren, die online viel Privates auch über ihre Kinder preisgeben, sehen sie sich immer wieder der Kritik ausgesetzt. Was im Netz sei, bleibe auch dort. Private Fotos von Kindern sind immer ein heikles Thema. Und Echtnamen werden heiß diskutiert. Viele Blogger arbeiten unter einem Pseudonym.
Die nächste re:publica wird nicht lange auf sich warten lassen. Sie findet bereits am 20. Oktober 2016 in Dublin statt. „Wir wollen ein neues Projekt im Ausland probieren“, sagte Andreas Gebhard, Mitbegründer der re:publica.
Dérives pédophiliques
Les autorités de l’église ne voient pas le bout du tunnel en ce qui concerne le problème de la pédophilie. La France devra, comme l’Allemagne ou l’Irlande, prendre à bras-le-corps ce qui s’est déroulé dans le passé et qui reste évidemment d’actualité, tant que les racines de ce mal n’ont pas été extirpées. On en revient au célibat des prêtres, mais il serait erroné d’imputer ces méfaits uniquement à cause de cela. Tout d’abord un point d’interrogation subsiste. Probablement le taux des délits est environ le même que dans les autres couches de la population. Mais la grande différence réside dans le fait, qu’une religion a le devoir d’être moralement irréprochable. Les croyants doivent se conformer aux dix commandements, qu’on retrouve sous une autre forme dans tous les cultes. Même Bouddha émet de mêmes règles. Il est vain d’imposer une structure éthique sans la respecter. La pédophilie n’a pas toujours été mise au pilori. La culture grecque en est la preuve. Mais depuis la psychologie a démontré quels ravages elle pouvait provoquer. Elle doit être combattue sous toutes ses formes et sans circonstances atténuantes. Non, il n’y pas d’excuses. Il est tout à fait essentiel de choisir des personnes tout à fait irréprochables avant de leur demander de s’occuper de jeunes. Ces critères doivent être respectés. Mais il n’y aura jamais de garanties. Un premier pas pourrait être fait en adaptant la vie des ecclésiastiques aux conditions actuelles. Exiger la chasteté de qui que ce soit, est une hérésie. Elle est contre-nature. Je ne vois pas en quoi elle pourrait propager plus de croyance. Les pasteurs remplissent bien, tout en pouvant se marier, leur sacerdote. Un tel pas pourrait décrisper un statut quo qui pose de plus en plus de problèmes. Je sais, le mariage ne peut pas éradiquer la pédophilie, mais il pourrait l’atténuer. Weiterlesen