Le congrès du parti démocrate a débuté à Philadelphie et ceci pas dans les meilleures conditions pour Hillary Clinton. Cette femme, certes intelligente, n’arrive pas à soulever des émotions. Elle est pour beaucoup trop pragmatique et proche de l’establishment. Ses relations avec la haute finance sont pour beaucoup de délégués suspectes. Et pourtant elle devra réussir l’impossible : recueillir derrière sa bannière le maximum de partisans. Le choix du centriste Time Kain comme candidat à la vice-présidence n’est pas du goût de la gauche du parti. Il est à leurs yeux un trop grand adepte du compromis. Il n’a rien de révolutionnaire et ne fait pas rêver. Par contre il doit être un bon gestionnaire. Sa nomination est due au fait que la candidate désire à tout prix sensibiliser des électeurs du centre-droit. Des personnes modérées dans leurs aspirations et ne voulant pas être des marionnettes du populiste Trump. Bref, des gens issus de milieux honnêtes et pondérés qui sont majoritaires aux USA. Bernie Sanders, qui a rallié Hillary Clinton, a de la peine à mobiliser ses troupes pour la campagne électorale. C’est là qu’Hillary Clinton devra séduire, sauter au dessus de son aura un peu suranné. Oui, il faudra qu’elle montre enfin des émotions et qu’elle accepte sincèrement de mener une politique plus sociale, de se définir comme étant une adepte de la gauche démocratique. Sera-t-elle être en mesure de le faire ou continuera-t-elle d’être une mathématicienne de la prise du pouvoir ? Elle aura beaucoup de mal à contrecarrer Donald Trump dans ses diatribes pleine de haine, car elles correspondent actuellement à l’état d’esprit de bien des frustrés qui sont à la recherche d’un messie. Le phénomène du populisme est aussi virulent aux États-Unis. Le bons sens policé de Clinton n’est pas adéquat pour sensibiliser tous ceux qui ont l’impression de se trouver dans l’impasse. Elle devra sans doute s’ouvrir un peu plus, ce qui pour une personne qui se maîtrise constamment, n’est pas facile. Elle aura sûrement certains scrupules à le faire pour ne pas être à la merci de sentiments qu’elle n’arrive pas contenir. Weiterlesen
Kategorie: Pierre´s Meinungen
L’épidémie
À nouveau un attentat en Bavière. Un réfugié syrien s’est donné la mort à Ansbach en se faisant exploser hier soir. 12 personnes ont été blessées. Le meurtrier était connu des autorités à cause de ses troubles psychiques. Une fois de plus l’action d’un déséquilibré. Mais dans ce cas-là il y a eu probablement un arrière-plan islamiste. Sommes-nous en pleine épidémie meurtrière en Allemagne ? Y aura-t-il des émules du jeune homme qui a tué vendredi soir 9 personnes à Munich ? Je le pense malheureusement. Des actions individuelles ne pouvant pas être combattues efficacement. Il est connu, que lorsque la folie meurtrière est de mise, il se trouve toujours des personnes qui veulent suivre de tels exemples. La mort sera encore au rendez-vous, que l’on veuille ou non. Que faire ? L’Allemagne renforcera encore son dispositif sécuritaire en autorisant son armée à intervenir en cas de danger. Mais ce n’est qu’une goutte d’eau dans une flaque ayant comme but de rassurer les citoyens. Malgré une présence accrue des forces de l’ordre, le crime ne pourra pas être éradiqué. Personne là-bas ne veut d’un État policier. Les exemples du 3ème Reich et de la RDA ne sont pas encore du domaine de l’histoire. Mais même un Stasi n’aurait pas pu stopper cette vague meurtrière. Il en va du maintien de l’ordre démocratique qui veut assurer à tout le monde la liberté. Il est évident que l’EI cherche par tous les moyens à ébranler notre société. Mêmes des actes ne découlant pas de son initiative seront récupérés. Les fous sont les bienvenus, même s’ils ne se sentent pas concernés par cette organisation terroriste. Psychologiquement il est possible d’inciter des malades à commettre des méfaits. Nous sommes plongés un peu partout en Europe dans une hystérie sécuritaire. Chaque fois qu’il y aura des cas identiques à ceux de Munich ou d’Ansbach, il y aura des critiques envers les autorités. Weiterlesen
La folie meurtrière
Un jour après le meurtre de neuf jeunes à Munich, la question de la folie meurtrière est passée au premier plan dans les discussions. In est indéniable que ce phénomène a tendance à s’amplifier. Est-il dû à un sentiment d’insécurité générale ? À la dérive que nous vivons actuellement ? Il est vrai que la situation pour la génération montante n’est pas mirifique. D’anciens démons reviennent à la surface, comme les tensions en Europe. Des spectres qu’on croyait disparus, hantent à nouveau la société. Je veux parler avant tout des tentations que le populisme propage d’une manière irresponsable. Donner l’impression qu’un groupe de personnes puisse régler tous les problèmes, est malsain. Pourquoi ? Parce qu’il induit à la passivité individuelle. La réflexion est mise au point zéro, parce qu’elle pourrait entraver les objectifs de ces apprentis-sorciers dont la prise du pouvoir. Il suffit de suivre le discours de Ronald Trump au congrès républicain à Détroit pour jauger où on en est. : dans l’ineptie générale. Même s’il n’y a pas de programme, ses supporteurs n’en prennent pas compte. Seuls le culte de la personnalité joue un rôle. Dans un tel contexte il n’est pas étonnant que des déséquilibrés mentaux se trouvent encore plus à la dérive. Quels sont les références auxquelles ils pourraient avoir recours ? Il est partout question que de violence. Les infos sont devenues un cabinet des horreurs. Il n’y est plus que question de crimes contre l’humanité, de situations où la loi de l’intolérance joue le rôle essentiel. Le meurtre est devenu ce qu’on pourrait nommer la normalité. Pas étonnant qu’un jeune comme David S. se mette en guerre et veuille, comme dans un jeu vidéo, jouer au justicier. Weiterlesen
Munich
Habitant à Munich, j’ai vécu pratiquement viscéralement ce qui s’est passé hier soir dans la métropole bavaroise. Un jeune allemand d’origine iranienne a tiré sur des passants dans un « fast food » d’un centre commercial. Ce jeune homme de 18 ans a tué 9 personnes et s’est donné ensuite la mort. Au moment où j’écris ces lignes, je ne connais pas encore le motif qui l’a amené à faire ce massacre. Pendant des heures la ville a été paniquée. Des milliers de policiers et des membres des services spéciaux ont pris d’assaut Munich, où la peur régnait. Il était question d’autres terroristes qui se seraient rendus, comme à Paris, dans d’autres lieux névralgiques. Des centaines de SMS, de mails ont alerté les autorités que d’autres fusillades avaient eu lieu, Cela s’est déclaré comme étant faux. Le fait est que la crainte d’autres attentats a paralysé la ville. Plus de métros, plus de trains régionaux, plus de bus et de taxis. Le fait que les forces de l’ordre réagissent ainsi n’est pas à critiquer. Il fallait avant tout éviter tous risques. Mais ce qui s’est passé, parallèlement à la tristesse que je ressens, est significatif dans sa portée, Même si le criminel avait agi pour d’autres raison que l’islamisme, je dois malheureusement constater que l’EI est en train de gagner son pari. Il incite à la violence, lui donne un aspect militant. Pour nombre de personnes pouvant être qualifiées de déséquilibrée, l’incitation à prendre les armes et d’agir. Cette organisation terroriste a réussi à sensibiliser les populations en leurs donnant un sentiment de profonde insécurité et de peur individuelle. Et ceci peu importe quel soit le commanditaire de telles actions ou non. L’EI a réussi à déstabiliser notre système, ce qui est plus qu’inquiétant. Le fait divers, aussi grave qu’il puisse être comme dans le cas qui nous préoccupe, est assimilé à une action politique. C’est inquiétant car cela démontre à quel point nous sommes ébranlés. Weiterlesen
Traueranzeige
In der Türkei gilt nach dem Putschversuch für drei Monate der Ausnahmezustand.
Ganze Familien, Bekannte und Verwandte werden froh sein, dass ihre Lieben nicht mehr vor Ort in der Türkei weilen. Fast muss man konstatieren, dass man sich glücklich schätzen muss, nicht mehr in der Türkei zu leben.
Die Türkei könnte ein lebensfrohes, buntes Land sein, mit seiner kulturellen Vielfalt, seinen schönen Städten, den herrlichen Küsten, den weiten Landschaften mit den Olivenhainen und Bergen und, vor allem, mit seinen vielen liebenswürdigen Menschen. Sie könnte ein prosperierendes Land sein. Mit den Gezi-Protesten im Sommer 2013, wo Menschen aus allen Schichten gegen den Autoritarismus von Präsident Erdogan protestierten und dafür beschossen, weggeprügelt und ins Gefängnis gesteckt wurden, wurde die Gefahr für die türkische Demokratie erstmals offenbar.
Jetzt der gescheiterte Putschversuch und in der Folge ein drei Monate geltender Ausnahmezustand, was nichts anderes ist, als das schamlose Aus-dem-Weg-Räumen aller Kritiker und Gegner von Erdogan. Bislang hat der Staatspräsident, der unbedingt eine Präsidialdemokratie einführen will und deshalb eine Verfassungsänderung fordert, autoritär geherrscht. Jetzt nimmt er diktatorische Züge an. Man werde sich, natürlich, an rechtsstaatliche Maßstäbe halten und die Demokratie stärken.
Die Realität sieht anders aus: Denunziantentum ist Bestandteil türkischer Regierungspolitik. Eine Diktatur lebt von der Denunziation politisch Andersdenkender. Das war schon immer so.
Macht: ohne Widerspruch, ohne Diskurs, ohne Kompromisse!
Die türkische Regierung hat bewiesen, dass es immer noch schlimmer kommt, als man denkt: die immer weitere Einschränkung des Alkoholkonsums; das Verbot roten Lippenstifts für Stewardessen bei Turkish Airlines; die räumliche Trennung von Studentinnen und Studenten in Wohnheimen; und so weiter, und so weiter.
Die Aneinanderreihung von Tiefpunkten ist so durchschaubar, so billig, so traurig: Erdogan glaubt, weil er mit knapp 52 Prozent zum Präsidenten gewählt wurde, habe er nun die hundertprozentige Macht und müsse auf niemanden mehr Rücksicht nehmen. Dass Demokratie sich nicht auf das Abhalten von Wahlen beschränkt, sondern auch eine Vielzahl von Prinzipien wie Gewaltenteilung, Presse- und Meinungsfreiheit, Unabhängigkeit der Justiz und vieles mehr beinhaltet, hat Erdogan nie verinnerlicht.
Erdogan giert nach kultischer Verehrung. Er will, dass die Menschen ihn feiern, ihm zujubeln, ihm zu Füßen liegen. Das haben schon die Pharaonen in Ägypten getan, nach ihnen viele Usurpatoren. Erdogan hat keine Vorstellung von Respekt. Er verwechselt dies mit Unterwürfigkeit, er will ein Volk von Speichelleckern. Das versteht er unter Respekt: Wenn seine Fans ihm zurufen: „Ein Wort von dir, und wir töten! Ein Wort von dir, und wir sterben!“ Eine Gesellschaft wie diese hat weniger ein politisches Problem, sondern vielmehr ein psychologisches. Ein auf diese Art dressiertes Volk lässt sich lenken – wie ein Schafherde. Dass das gefährlich ist, hat die Geschichte mehrfach bewiesen …
In der Türkei herrscht ein Klima der Angst. Niemand traut sich, Erdogan zu kritisieren. Viele denken darüber nach, das Land zu verlassen. Deutsche Freunde, die in Istanbul leben und derzeit Urlaub in Deutschland machen, haben ihre Rückreise auf unbestimmte Zeit verschoben. Türkische Freunde fragen nach Jobperspektiven im Ausland und wie man an ein Visum und eine Arbeitserlaubnis kommt. Hotels, Restaurants, Läden sind leer. Die Macht des einen kostet die wirtschaftliche Existenz vieler.
Das türkische Volk war mehrheitlich gegen den Militärputsch. Es hat demokratisches Verständnis bewiesen. Aber nun haben Erdogan und die Islamisten diese Entwicklung für sich besetzt. „Allahu akbar“-Rufe sind der allgegenwärtige Schlachtruf, die Muezzins liefern die Begleitmusik. Der politische Islam ist in der Türkei dabei, Atatürks bewährten Laizismus vom Sockel zu stoßen. Vor unseren Augen stirbt in der Türkei die Demokratie. Oder was davon noch übrig ist. Die Welt schaut zu. Nicht zuletzt hat die Türkei mit dem Braindrain zu kämpfen. Intellekt und Diktaturen vertragen sich nicht, Akademiker und Intellektuelle wandern frühzeitig ab. Anders ausgedrückt: Diktaturen schaffen eine Atmosphäre der Verblödung. Und wie heißt es schon in der Bibel: „Denn sie wissen nicht, was sie tun …“.
Trump et le vide !
Un candidat qui n’a que l’injure en tête, n’est pas très convainquant. Donald Trump, lors de son premier discours de candidat officiel des Républicains, n’a pas évoqué son programme. De dire que les USA retrouveraient leur lustre grâce à lui, est mince, plus que mince. Il n’a pas parlé précisément de son programme mais de la haine qu’il ressentait contre Hillary Clinton qu’il aimerait voir en prison. Pauvre Amérique ! En être arrivé là est un signe évident de déchéance. Les citoyens ont les dirigeants qu’ils méritent ! On en n’est pas encore là, mais je crains que le pyromane qu’est Trump, puisse mettre le feu aux poudres. C’est la raison pour laquelle son ignorance est un danger. Il reste à mes yeux un guignol. On pourrait en rire si l’enjeu n’était pas si important. Il est à craindre que les électeurs, qui on en ras-le-bol, aient recours à lui et se disent « après moi le déluge ! » Si c’est cela la démocratie, elle se trouve en mauvais état. L’oral qu’il a passé était totalement insuffisant pour un future locataire de la Maison Blanche. Il est tout à fait incapable de dire ce que sera sa politique étrangère, quel rôle les USA devraient jouer dans le monde. Construire un mur à la frontière avec le Mexique est une ineptie. Il aura beau vouloir discriminer tous ceux qui ont l’intention de s’installer aux États-Unis, comme les musulmans par exemple, il échouera. Tout ce qu’il dit est négatif. On ne peut pas gouverner un pays ainsi. J’en appelle au bon sens, mais je crains fort que les gens sont plus ou moins aveugles. Trump représente pour eux la colère contre l’establishment. Le système politique classique. Hitler en a fait de même pour installer ensuite un régime de terreur. Même si on faisait de la pédagogie, ses supporteurs continueraient à le soutenir. Et en ce qui concerne la politique intérieure, il est à craindre que les pauvres deviennent plus pauvres et que les riches amassent de plus en plus de ressources. Et il y a la question du racisme. Il risque de devenir virulent, tout particulièrement chez les blancs au revenus modestes. Il faut absolument trouver des responsables! C’est le seul moyen des démagogues, celui de discriminer tous ceux qui pourraient s’attaquer à lui. Weiterlesen
État d’urgence en Turquie
Lorsque des autocrates veulent renforcer leur pouvoir, ils essaient souvent de mettre l’esprit sous cloche. C’est exactement ce qu’essaye de faire Recep Tayyip Erdoğan. En interdisant aux universitaires tout départ à l’étranger, il se ridiculise. On pourrait en rire si les faits n’étaient pas aussi tragiques. Un être imbu de soi, ne peut pas accepter que de grands esprits se posent des questions à son sujet et l’attaquent de front. Après de multiples arrestations, la volonté de réintroduire la peine de mort, voilà l’état d’urgence qui lui donnera la possibilité d’étendre encore plus la répression. Ne mâchons pas les mots, nous allons tout droit dans ce je nommerais la dictature. Pour le président, seuls tous ceux qui le soutiennent sont des démocrates. Les autres feraient mieux de se calfeutrer chez eux, car il est par les temps qui courent très malsain d’être d’un autre avis. Et la foule ? Elle suit aveuglément les directives et ne se pose guère de questions. Je trouve cette évolution tragique. Le putsch est venu à point donné pour agir ainsi. Je condamne toute prise de pouvoir comme celle que l’armée a tenté de faire. La voix du peuple est la seule qui compte dans une démocratie, pas celle des militaires. Mais j’aurais souhaité un peu plus de souveraineté de la part d’Erdoğan, mais il serait naïf de croire qu’un homme de ce gabarit puisse agir ainsi. Et nous ? Nous sommes dans une situation de totale impuissance. La seule chose que nous puissions faire c’est de rompre les négociations entre la Turquie et l’UE. Qu’aurait-on à dire dans un tel imbroglio ? Il s’agirait de montrer plus de force, mais nous aussi sommes dépendants. Le gouvernement d’Ankara peut à tous moments chasser les migrants qui se trouve sur le territoire et rendre caduque le traité mis-en-place concernant cette question. Le président le sait et est en mesure de nous faire chanter. Une position de départ totalement inconfortable pour l’occident. Malgré les menaces, j’attends une réponse claire et nette de la part des chancelleries européennes. Weiterlesen
L’EI et l’Allemagne
Depuis l’attaque d’un Afghan dans un train régional en Bavière, la crainte que de jeunes loups suivent son exemple est remontée à la surface. Cela voudrait-il dire que la République Fédérale est aussi dans le collimateur de l’EI ? Bien que la situation outre-Rhin n’est pas comparable avec celle de la France, il fait de moins en moins de doutes que là-bas aussi la sécurité est bancale. Les responsables des services concernés par la sécurité, ne manquent pas une interview pour déclarer à quel point ils sont démunis contre des actes de terreur individuels. Comme Nice l’a prouver, les auteurs passent souvent inaperçus. Ce ne sont pas forcément à première vue des fanatiques religieux ou politiques. Ils se tiennent en retrait, ce qui complique au maximum toutes investigations. Même un État policier comme la Turquie est démuni contre ce genre d’attentats. Ils peuvent se passer partout, à toutes heures. Même si on interdisait tous rassemblements, c’est une mesure impossible à assurer. Lorsque les gens se rendent au travail, ils y vont en masse. Il y a encore un point non négligeable : celui de l’intimidation. Ceux qui tirent les fils en Irak ou en Syrie, n’ont qu’un intérêt : déstabiliser notre société en propageant la peur. Ils voient que la société occidentale réagit d’une manière très sensible à cette stratégie et que les citoyens se radicalisent de plus en plus en adhérant à des formations d’extrême-droite. Cela entraîne la destruction de la démocratie. C’est exactement où ils veulent en arriver. Lorsque les gens agissent viscéralement ils oublient souvent de raisonner. Au lieu de se dire que le terrorisme est un danger omniprésent qu’il est impossible d’éliminer seulement par la répression, ils réitèrent leurs attaques verbales sur les responsables politiques. Weiterlesen