Vladimir Poutine a été reçu pas Emmanuel Macron dans « la masure » du Roi-soleil. Un lieu symbolique pour tous autocrates. Je suppose que le maître du Kremlin s’est senti honoré par l’attention que le Président lui a porté. Mais trêve de plaisanterie, cette première rencontre a été un pas de plus en direction de l’avenir de l’Europe, même si les tentions n’ont pas eu être écartées. Ce qui a caractérisé cette rencontre, c’est la sincérité des propos d’Emmanuel Macron. Tout en étant amical dans la forme, il a exposé tout ce qui le gênait, ce qui l’avait blessé comme les injures portées à son sujet par Russia today et Sputnik, deux compagnies proches du pouvoir. Aussi l’ingérence informatique dans la bonne marche de la campagne. Il lui a aussi exprimé son étonnement qu’il ait soutenu Marine Le Pen, la figure de proue de l’extrême-droite française. Vladimir Poutine a encaissé tout cela avec une certaine gêne. Il a défendu néanmoins le FN, en disant qu’il œuvrait pour un rapprochement entre les deux pays, qu’il avait rejeté les sanctions économiques provoquées par la crise ukrainienne. Les deux hommes étaient parfaitement conscients qu’il fallait parer à de nouvelles tensions pouvaient éclater à l’avenir. C’est la raison pour laquelle « un forum franco-russe » a été mis sur pied. Son rôle est d’anticiper, d’essayer d’éviter les écueils et d’apaiser toutes situations pouvant dégénérer. Cet organe pourrait être un instrument bienfaiteur en ce qui concerne les relations entre l’UE et la Russie. Depuis le G7 à Taormina, l’ambiance au sein de l’Alliance Atlantique est plus que perturbée. Weiterlesen

La République fédérale d’Allemagne est fermement décidée de lutter contre la cyberguerre. Comme le pays entre en campagne électorale, la Chancelière a averti Vladimir Poutine à Sotchi, en début de semaine, qu’elle n’accepterait pas qu’on lance de fausses nouvelles concernant les politiciens allemands. Le Président a assuré, que c’était plutôt lui qui était victime de telles agressions. Qu’il n’avait en aucune manière l’intention de se mêler des affaires intérieures d’autres pays, une attitude impensable pour le démocrate qu’il est. Je ne vais pas commenter ses dires car je n’ai aucune preuve de sa bonne ou mauvaise foi, mais d’après ce qu’on entend, ce seraient des hackers russes qui s*amusent à fouiller dans les ordinateurs de personnes exposées et qui voleraient des documents, qu’ils manipulent à leur guise. Hillary Clinton et d’autres en sont les victimes. Je pense qu’ils arriveraient à prouver qu’une femme intègre comme Angela Merkel à des comptes clandestins aux Bahamas ou ailleurs, qu’elle a une correspondance amoureuse avec le charmant Kim Jong-un ou quelle est lesbienne et fait le trottoir de temps à autre à Berlin. Toutes ces actions sont lâches, car les personnes concernées sont à la merci de n’importe quel mensonge. Mais ce qui est pire, ce sont ceux qui essaient de tirer avantage de telles fake news. Il est à craindre que l’extrême-droite allemande veuille en tirer profit. Dans ce cas la politique a atteint un niveau des plus bas. Je pense que les internautes ne sont pas dupes et effaceront de telles légendes. Le ministère de la défense va mettre en place une unité « cyberguerre » pour essayer de combattre ce fléau, mais je crois qu’il sera difficile d’y apporter une réponse efficace. Je pense plutôt qu’il faut enfin que le public se méfie plus des nouvelles qu’on veut lui faire ingurgiter. Nous serons de plus en plus à la merci de telles insanités. Weiterlesen

Quelle chance pour Marine Le Pen d’avoir de tels copains. À Washington ce cher Donald, à Moscou frère Vladimir. Ce dernier n’hésite pas de s’impliquer directement dans les élections français en semant de fausses nouvelles. Et puis il y a des gros sous, sous forme de crédits évidemment. La très nationaliste Française de souche ne semble pas hésiter à s’adresser au Kremlin pour obtenir de l’aide dans une affaire strictement partisane. Je suis étonné qu’elle agisse de la sorte. Non, Vladimir Poutine n’a pas à se mêler de nos affaires. Ce qui est déconcertant dans tout cela c’est qu’elle est en opposition complète avec ses prérogatives d’indépendance nationale. Cela voudrait dire que ses déclarations sont des attrapes-nigauds. Puis il y a son action anti-capitaliste.Tout le contraire des intérêts de l’oligarchie chère à la nomenclature russe. Tout cela ressemble à des couacs dans le flonflon tricolore du FN. Il serait bon de dévoiler un temps soit peu cette affaire et de forcer la candidate de donner des réponses. Ne se rend-t-elle pas compte qu’elle se met ainsi à faux ? Donald Trump a de graves ennuis à ce sujet. Les services secrets américains sont sur des pistes qui pourraient mettre le président dans une situation difficile. S’il a des choses à cacher, il est sujet à des chantages. Et ceci en corrélation avec une puissance étrangère. Si j’étais mauvais, je pourrais en dire tout autant de Marine Le Pen, si son parti, dont elle a mis en veilleuse hier sa présidence, est dépendant d’une manière ou d’une autre du bon vouloir de banquiers russes, proches du pouvoir. Weiterlesen

Die Bundeswehr rüstet sich für die Kriegsführung der Zukunft.

„Bundesministerin der Verteidigung stellt neues Kommando Cyber- und Informationsraum auf“, so die Pressemitteilung. Ursula von der Leyen wird das Kommando im Rahmen eines feierlichen Appells in Bonn in Dienst stellen und Generalleutnant Ludwig Leinhos zum ersten Inspekteur ernennen. Damit ist ein weiterer Meilenstein erreicht, „um die Bundeswehr künftig modern und innovativ gegen Bedrohungen aus dem Cyber- und Informationsraum aufzustellen“.

So die offizielle Verlautbarung. Man kann es allerdings auch anders ausdrücken: Die Bundeswehr stellt sich für die Kriegsführung der Zukunft ein.

Diese Zukunft hat mit ihren Bedrohungen und Risiken bereits begonnen.

Schon jetzt sind die IT-Systeme der Bundeswehr massiven Angriffen ausgesetzt. Laut Bundeswehr wurden ihre Rechner in den ersten neun Wochen des Jahres mehr als 284.000 Mal attackiert. Mit der Cyber-Bedrohung hat man es mit einer sehr ernst zu nehmenden Waffe zu tun. Dies liegt auch daran, dass Cyber-Waffen „kostengünstig“ sind und sich Angreifer schwer zuordnen lassen. Ein modernes Sicherheitsthema!

Die Bundeswehr stellt sich dieser Herausforderung nun mit ihrer neuen Cyber-Truppe, die künftig gleichberechtigt mit Heer, Luftwaffe und Marine agieren soll. Wobei man es sich nicht so vorstellen darf, dass auf einen Schlag Hunderte oder gar Tausende neue IT-Soldaten eingestellt werden. Stattdessen ist die Neuaufstellung vor allem eine Umstrukturierung und Bündelung vorhandener Kapazitäten – die allerdings für die Zukunft ausgebaut werden sollen.

So werden dem neuen Kommando zunächst lediglich 260 Soldaten angehören. Zum 1. Juli 2017 werden ihm dann mehrere Dienststellen und damit 13.500 Soldaten unterstellt. Bis 2021 sollen es rund 15.000 sein.

Es handelt sich hierbei nicht um Hacker in Uniform. Stattdessen wird ein Großteil der Soldaten etwa für Schutz und Betrieb des IT-Systems der Bundeswehr zuständig sein. Doch es gibt auch eine kleine Einheit namens Computer-Netzwerk-Operationen, kurz CNO, die von 60 auf 80 Personen wachsen und „wirken“ soll. In „Bundeswehrsprech“: Netzwerke knacken, sabotieren, ausschalten.

Das Thema ist heikel und hat bereits heftige Debatten ausgelöst. So wie folgt: Es gebe im Cyberraum keinen Unterschied zwischen Offensive und Defensive. Wenn man Systeme verteidigen will, muss man auch wissen, wie ein potenzieller Angreifer agiert. Das Wissen darum, wie Angriffe funktionieren, kann in Krisensituationen zur Analyse von Angriffen und zur Wiederherstellung der Funktionsfähigkeit der IT-Systeme genutzt werden.

Wann dürfte die Bundeswehr überhaupt tätig werden? Schließlich entscheidet hierzulande das Parlament über deren Einsatz. Hierzu Staatssekretärin Katrin Suder im Verteidigungsministerium: Daran solle sich auch angesichts der Bedrohungen im Cyber-Raum nichts ändern. Man agiere ausschließlich im Rahmen der Einsätze und des Mandats. Es gebe keinen rechtsfreier Raum.

Diese Art der Landesverteidigung ist eine Option, Menschenleben zu schonen. Kritiker denken allerdings weiter. Manche fordern schon jetzt die „dringend gebotene internationale Abrüstung im Cyberspace“ (Thomas Reinhold, Informatiker). Auch die Cyber-Rüstung berge „erhebliche Gefahren und ein großes Eskalationspotenzial“, so die Grünen im Bundestag.

Die Frage ist, welche Qualität die Angriffe haben. Um Artikel 5 des NATO-Vertrages auszulösen – den Bündnisfall – muss eine Schwelle überschritten werden, die bewusst nicht abschließend definiert ist. Ob die Voraussetzungen erfüllt sind, kann nur im Einzelfall entschieden werden.

Die Grenzen zwischen innerer und äußerer Sicherheit verschwimmen angesichts der Cyber-Bedrohung – entsprechend wird es zu Kompetenzgerangel zwischen Verteidigungs- und Innenministerium kommen.

Woher kommt der Nachwuchs? An der Bundeswehr-Universität München entsteht derzeit ein Studiengang „Cybersicherheit“ samt einem Forschungszentrum. Es soll auch eine „Cyber-Reserve“ geben, um auf Experten aus der Industrie zurückgreifen zu können.

Nicht vermieden werden kann, dass Geheimdienste und Bundeswehr künftig verschärft um geeignete Bewerber konkurrieren.

Die Schlachten der großen Armeen auf weiten Ebenen sind ein für allemal geschlagen.

 

Monsieur,

Cette nuit il serait tout à fait légitime que vous souffriez d’insomnie. Votre poulain aux USA est en train de se fourvoyer complètement dans sa politique populiste. Avec le revers que Donald Trump a subi au congrès, où son projet d’éliminer l’Obamacare au profit d’une version excluant les plus pauvres d’une assurance-maladie a été retiré. Il n’avait aucune chance de passer car nombre de Républicains ont déclaré voter non. Vous avez fait l’erreur de croire qu’un régime plus autocratique correspondrait plus aisément à vos aspirations. Nous ne sommes pas en Russie, où vous avez un pouvoir de décisions plus élargi. Le président américain ne vous servira pas à grand chose. S’il s’avérait que vous lui ayez donné coup de pouce lors de la campagne électorale, il se serait dans une situation encore plus tendue, que celle dans laquelle il se trouve actuellement. Mais venons-en à votre emploi du temps hier. Vous avez reçu Marine Le Pen au Kremlin, ce qui correspond à un soutien du FN. Si vous croyez qu’elle représente vraiment la France, vous vous trompez. Le projet qu’elle soumet au peuple ne trouve que l’assentiment d’un quart de la population. Je sais, il vous arrangerait car il serait synonyme d’un affaiblissement considérable de l’influence de ce pays au sein de la communauté internationale. Une victoire de Marine Le Pen le pousserait dans une position de faiblesse telle, qu’il ne pourrait plus guère avoir de l’influence en Europe. Je pense que votre soutien aux leaders populistes au sein de l’UE sera à long terme un échec pour votre nation. Je suis étonné, qu’en temps que bon tacticien, vous n’ayez pas compris que votre politique pouvait s’enliser. D’une part Madame Le Pen n’est pas Monsieur Trump, même si aujourd’hui elle devrait avoir des doutes de suivre son chemin. Croyez-moi, ses options seraient vouées tout aussi bien que celles du président américain au rejet, car elles ne se basent pas sur la volonté populaire. Weiterlesen

Martin Schulz , l’ancien président du Parlement Européen, est dorénavant le candidat du SPD pour la chancellerie. En peu de jours il a réussi à hisser son parti en première place dans les sondages. Il a réussi à enthousiasmer les Allemands par son franc-parlé et par l’optimisme qu’il propage. Il ne se complet pas dans la morosité ambiante déclenchée par l’élection de Donald Trump. Au contraire il dit tout simplement ce qu’il pense de lui sans faire mille détours diplomatiques. L’opinion publique pense qu’il pourrait prendre la relève d’Angela Merkel pour redonner à son pays et à l’Europe l’envie de se battre. C’est un battant, qui n’a pas hésité de dévoiler ce qu’il l’anime personnellement. Sa vie n’a pas toujours été facile. Il a sombré dans l’alcoolisme lorsqu’il a dû ranger ses chaussures à crampons. Tout le destinait à devenir un footballeur. Un accident a mis un terme à la carrière qu’il aurait bien voulu faire. Après une thérapie il a fait un apprentissage de libraire et a ouvert avec sa sœur une boutique. Puis il a été pendant dix ans le maire d’une petite ville de Westphalie, avant de devenir député européen. Pendant 20 ans il a tenu tête à des attaques verbales, notamment de la part de Silvio Berlusconi, qui l’a traité de capo des camps de concentration. Martin Schulz a démontré que ce n’était pas un homme à se faire abattre. Ce qui plaît beaucoup en Allemagne c’est son optimisme. Il voit certes un grand défi en ce qui concerne notre avenir. Il sait que notre continent sera bousculé par le gouvernement américain et par les Russes. On nous fera pas de cadeaux, au contraire. Il a conscience que Poutine et Trump feront tout pour nous diviser. Le Brexit est à l’origine d’un processus destructeur si nous nous laissons entraîner dans la dépression. Mais il peut aussi être une chance à condition que nous nous rapprochions. Dans cette tourmente il se pourrait bien qu’il soit un rempart. Weiterlesen

Je suis, une fois n’est pas coutume, très en colère. Maintenant des médias russes s’en prennent à Emmanuel Macron afin de le souiller. Et comble de traîtrise, l’informateur est un député du PR. Ce n’est pas seulement infâme, cela n’est pas digne d’un représentant de la France. Jamais il ne me viendrait à l’idée de traiter quelqu’un ainsi, même un adversaire mal aimé. Et ceci par le biais d’une nation étrangère ! Je ne peux que manifester mon grand mépris pour tous ceux qui s’évertuent à salir une personne, que ce soit dans sa vie privée ou professionnelle. Il faut vraiment être lâche pour passer par là. Je suis d’avis qu’il faut condamner de telles pratiques. Elles sont nauséabondes et reflètent bien dans quelle chienlit nous nous trouvons. Si l’argumentaire politique est de salir son adversaire, on ne peut que montrer son plus grand mépris. Il est certain que Vladimir Poutine et Donald Trump ont un certain intérêt à nous voir faillir. Je pense qu’il est le plus grand temps de lutter contre ce genre de diffamations et de sortir enfin de notre réserve. Ce qui se passe ici est une déclaration de guerre, pas dans le sens classique, mais dans ses effets pervers. Lorsque des attaques telles que celles-ci se déroulent, les citoyens ont le devoir de les ignorer. Malheureusement à l’époque du net, il est difficile de se défendre. On peut reprocher à tous politiciens d’avoir peut-être failli à un moment ou l’autre de leur existence. C’est humain ! La question à poser à tous ces faux moralisateurs, c’est de savoir s’ils ont eu un parcours sans failles ? Il est tout à fait légitime d’aimer ou de ne pas aimer un candidat, mais ce qui compte se sont ses propositions, son savoir-faire. Le respect d’autrui devrait être placé au premier plan. Weiterlesen

Donald Trump a téléphoné à plusieurs chefs d’États, dont Vladimir Poutine, Angela Merkel, François Hollande. Après avoir déclaré à Theresa May que le Brexit était une excellente chose, il a été plutôt reçu froidement pas les dirigeants européens qui n’ont pas accepté de telles remarques. Veut-il détruire l’Europe ? Tourner le dos à la stratégie américaine qui considérait jusqu’alors l’UE comme un élément de stabilité ? Je ne comprends pas sa démarche, qui au bout du compte pourrait être désastreuse pour les USA. Ce qui a été péniblement construit à partir de 1945 serait à ses yeux obsolète. De telles remarques démontrent bien à quel point il ne comprend rien à la politique internationale. Moins encore à l’économie planétaire, où tout s’enchaîne qu’il le veuille ou non. J’ai l’impression d’être en face d’un gosse qui s’amuse à détruire des châteaux de sables sans pour autant se poser la question de savoir que mettre à leur place. Les gens avertis, aussi des Républicains, ne peuvent que secouer la tête et essayer de restreindre les dégâts occasionnés. Il semble prendre un malin plaisir à signer des décrets comme celui de l’interdiction pour des ressortissants de sept pays arabes de rentrer pour une période de trois mois sur le territoire américain. Un peu comme un héro de western qui aime jouer avec son colt. Tous cela ne peut que plaire à son nouvel ami Vladimir Poutine. Comme ce dernier à un compte à régler avec les membres de l’UE, il ne verrait aucun inconvénient de voir s’écrouler tout ce que nous avons construit depuis des décennies. Les tensions ne peuvent que favoriser la mainmise de la Russie sur ce qui a été il n’y a pas si longtemps encore son empire. Il se pourrait que les pays soumis aux Soviétiques se retrouvent en pleine instabilité. C’est sûrement la raison pour laquelle la Chancelière a insisté que l’OTAN se renforce, ce qui n’a pas été à l’origine des revendications du candidat Trump à la présidence. Si comme il l’a déclaré hier, il reste fidèle à l’Alliance Atlantique, il sera bien forcé de soutenir les pays baltes, la Pologne et j’en passe. C’est à partir de là qu’il sera forcé de constater, que les engagements pris par les États Unis ne peuvent pas simplement être foulés des pieds. Weiterlesen