Plus de 300 victimes lors des attentats qui ont eu lieu au Sri-Lanka le 21 avril. Ces attaques auraient pu être en partie évitées, s’il n’y avait pas eu une crise entre le président et le premier-ministre depuis 2018. Les services secrets avaient fait part aux autorités qu’un danger imminent devait être pris en compte. Une situation politique que les cellules de l’EI dans ce pays connaissaient parfaitement bien. Il faut s’attendre que ce type d’attaques prendra de plus en plus d’ampleur. Il est bien plus facile d’exercer de la violence dans des pays peu stables que dans des structures bien huilées, une vérité de la Palice. Une fois de plus ce seront les plus faibles qui seront la cible des fondamentalistes. Le carnage qui a eu lieu dans les églises et dans les hôtels du pays, démontre bien qui est l’ennemi. Par morts interposés, l’EI veut atteindre avant tout l’occident pas ses attaques meurtrières. Le Sri Lanka, qui a connu une guerre civile terrible jusqu’en 2008, est toujours soumis à de fortes tentations intérieures. L’appartenance ethnique et religieuse joue un grand rôle. 70 % de la population sont des bouddhistes, 13 % des hindouistes (les Tamoules), 10 % de musulmans inspirés par le wahhabisme financé par les pays du Golfe, et 7 % de chrétiens. Dans certaines de ces communautés le radicalisme est loin d’être éradiqué. Un terrain propice à des actions terroristes comme celles du 21 avril. Weiterlesen

Les Américains aimeraient selon 51 % des personnes interrogées, que les religions jouent un rôle plus important dans leur pays. Seules 18 % se sont déclarées contre. Pour le président Trump, un proche du mouvement évangélique, dont fait partie Mike Pence, le vice-président, de l’eau-bénite. Si ses adeptes religieux étaient intègres, ils devraient condamner son comportement, que cela soient les femmes ou ses affaire financières. Je me souviens encore parfaitement de l’interview que m’avait accordée le Cardinal Lustiger à Lourdes. J’avais tourné il y a quelques année un film sur la laïcité, où je lui accordais une place de choix. Il me dit concrètement qu’il refusait l’idée que l’État prélève les impôts ecclésiastiques comme c’est le cas en Allemagne. Il ne voulait en aucun cas que l’Église se rendent ainsi dépendante du pouvoir politique. Pour lui il était primordial qu’elle garde sa totale indépendance, pour qu’elle puisse exercer des critiques. Il ne prétendit pas qu’elle soit apolitique, au contraire, mais que si elle voulait convaincre les dirigeants sur tel ou tel thème, elle se devait d’être incorruptible. « Je ne serais pas catholique si l’État prélevait des impôts pour nous en France ! » Il était un fort partisan d’une église pauvre, proche des plus faibles, pouvant faire office d’avocat. L’avidité des ses coreligionnaires en Allemagne, mais aussi des Protestants, le mettait mal à l’aise. Pour souligner ses vues à ce sujet deux pensées. «Il ne faut pas confondre le statut des religions et le maintien de l’ordre public» (2004). Puis l’autre : «Vous voulez remplacer les prêtres par l’ordinateur? La vie chrétienne n’est pas un objet virtuel. Le Christ envoie ses apôtres partager à tous les hommes la vie de Dieu» (2000). Je ne peux que l’approuver. Pour moi le propre des religions est de nager à contre-courant, d’élever la voix lorsqu’il faut, mais de ne pas être mêlées à l’exécutif. Weiterlesen

Volodymyr Zelensky, le grand guignol de la politique ukrainienne, a été élus avec une majorité écrasante à la tête du pays. Peut-être parce ce que ce comédien jouait le président dans une série à la télévision, où il incarnait un homme bond, pas corrompu pour deux sous. Le peuple se trouve ainsi campé sur ses deux jambes dans le miroir des alouettes. Que le virtuel puisse avoir un tel ascendant me laisse pantois. Je ne peux guère m’imaginer que des gens puissent se laisser ainsi mener par le bout du nez ! Je ne veux pas prétendre ici que Volodymyr Zelensky n’ait pas la fibre d’un dirigeant, mais je trouve plus que suspect qu’un homme n’ayant jamais dévoilé vraiment ses intentions politiques puisse ainsi être propulsé à la tête d’un État. Cela est une démonstration éclatante dans quel état d’indigence politique se trouve ce pays, comme bien d’autres actuellement. On se fie à des prophètes qui en fait sont des démagogues, qui sont d’excellents manipulateurs. Tout cela est assez déconcertant, d’autant plus qu’il faut mettre en parallèle une élection comme celle de l’Ukraine avec les terribles évènements au Sri Lanka, qui ont fait aussi la une hier. Une journée de Pâques entachée par le sang. Le bilan d’explosions visant d’une part les chrétiens, de l’autre les touristes, ont provoqué la mort de 290 morts et de plus de 500 blessés. Un bilan terrible d’une guerre de religion ! Où est resté la tolérance des Bouddhistes ? Des personnes qui d’après leurs dires, ne feraient pas du mal à une mouche. Il ne suffit pas de dire, que les auteurs de ces crimes, n’ont rien de commun avec la philosophie de Bouddha. C’est probablement pas le cas, mais ce qui s’est passé hier est pour moi la démonstration qu’entre une philosophie que j’apprécie et la nature humaine, il y a un fossé des plus profonds. Weiterlesen

Wladimir Putins Gesicht prangte auf Wahlplakaten von Poroschenko. Die Botschaft: Nur der amtierende Präsident könne das Land vor Putin beschützen. Ukrainische Publizisten, Politikexperten und Journalisten veröffentlichten Analysen, wer von den beiden Kandidaten in der Stichwahl am Ostersonntag für Putin der leichtere Gegner sei. Und wen der Kreml deswegen direkt oder indirekt unterstützen könnte. Beim TV-Duell im Kiewer Olympiastadion warfen sich Poroschenko und Selenskyj gegenseitig vor, insgeheim gute Kontakte nach Moskau zu pflegen.

Akribisch dokumentierten Medien jeden Schritt und jede Äußerung des Amtsinhabers Petro Poroschenko und seines Herausforderers Wolodymyr Selenskyj. Nicht etwa, weil es der Kreml so will, sondern weil die Nachrichten aus der Ukraine Klicks und Zuschauer bringen. Zumal der russische Präsident dieser Tage in der Ukraine allgegenwärtig scheint, wenn auch nicht persönlich.

Die Wahllokale haben um acht Uhr morgens geöffnet und schließen am Abend um 20 Uhr. Wahlberechtigt sind nach Angaben der Behörden 35,6 Millionen Menschen. Auf der von Russland annektierten Krim und im Donbass, den von Moskau unterstützte Kämpfer kontrollieren, wird nicht gewählt. Mit Prognosen wird am Sonntagabend gerechnet, mit ersten Ergebnissen nachts (SPON).

Entscheidend wird sein, wie sich die Wähler der anderen Kandidaten verhalten, die nach dem ersten Wahlgang ausgeschieden sind. 20 Prozent gaben zuletzt an, noch nicht zu wissen, ob und für wen sie wählen wollen. Immerhin traten in der ersten Runde 39 Wettbewerber an, so viel wie noch nie – was insgesamt ein gutes Zeichen für die Demokratie in der Ukraine ist.

Im Ausland ist man sich nicht einig, wer der bessere Kandidat ist, wenn man unterstützen soll. Wie Poroschenko wurde Selenski auch von Frankreichs Präsident Emmanuel Macron empfangen, bekam allerdings keine Einladung zu Angela Merkel. Die Kanzlerin empfing öffentlich nur den Staatschef, was auch der Koalitionspartner SPD als falsche, einseitige Parteinahme Merkels kritisierte (handelsblatt.com).

Am heutigen Sonntag stehen die Ukrainer nun vor einer Richtungsentscheidung. Wem trauen sie die Führung ihres Landes mehr zu, dem Amtsinhaber Poroschenko, der wegen Korruptionsvorwürfen an Beliebtheit eingebüßt hat? Oder doch dem politisch unerfahrenen Satiriker Selenski, der für einen Neuanfang steht – wenngleich ins Ungewisse?

Selenski bezeichnete sich selbst als das „Ergebnis unerfüllter Versprechungen“ und warf dem Amtsinhaber vor, ein „Wolf im Schafspelz“ zu sein, der sich während seiner Amtszeit bereichert habe auf Kosten einer ohnehin schon armen Bevölkerung.

Der amtierende Präsident wiederum warf Selenski Lügen vor und diskreditierte ihn wegen seines vagen Programms und seiner fehlenden politischen Erfahrung. Wie solle denn so einer die Ukraine vor den russischen Aggressionen schützen (welt.de)?

Nach fünf Jahren unter Poroschenko sind die meisten Ukrainer unzufrieden mit der Bilanz ihres Präsidenten. Und das obwohl er für sie die visafreie Einreise in die Europäische Union erkämpft hat. Doch steigende Lebenshaltungskosten und sein wenig entschlossener Kampf gegen Korruption kosteten Poroschenko Sympathien bei den Wählern.

Die Zeichen in der Ukraine stehen also auf Erneuerung. Die Frage bleibt nur – wohin will Selenski das Land führen? Tatsächlich entbehren die harten Vorwürfe Poroschenkos nicht jeder Grundlage.

Allen Umfragen zufolge liegt Selenski in der Wählergunst weit vor Amtsinhaber Petro Poroschenko. Und das hat aus Sicht des Politologen Wladimir Fessenko mehr als einen Grund: „In der Stichwahl stimmt bei uns eine Mehrheit der Wähler nicht für, sondern gegen einen Kandidaten“ (tagesschau.de), sagt er.

Selenskyj könnte also all jene Protestwähler hinter sich scharen, die grundsätzlich mit der politischen Elite brechen wollen, die seit Jahren die Geschicke des Landes bestimmt. Und diejenigen, die vom früheren Hoffnungsträger Poroschenko und seiner Politik enttäuscht sind.

Eine organisierte politische Kraft aus der Zivilgesellschaft, die fähig wäre, die alte, diskreditierte Politikerkaste abzulösen, ist weiterhin nicht in Sicht.

So angebracht Misstrauen gegenüber der aktuellen Regierung in Kiew ist – bis auf Weiteres dürfte sie mangels besserer Alternativen das kleinste Übel sein. Zumal im Vorfeld der Wahlen massive Desinformationskampagnen und Destabilisierungsaktionen vonseiten des Kremls stattfanden, der in Kiew nur zu gerne eine ihm hörige Führung installieren würde.

En ce jour de Pâques, j’aimerais plutôt brandir le rameau d’olivier, flirter avec la colombe de la paix, chercher des œufs au parc ou tout simplement reprendre mon souffle. Après l’incendie de Notre-Dame, qui a laissé chez moi des traces indélébiles, je veux croire à la solidarité de tout un peuple, qui a été déchiré plus qu’on aurait pu les supposer. J’aurais espéré que les Gilets Jaunes fassent une trêve. Il n’en a pas été question hier, lors de l’Acte 23 du mouvement. Même si il y eut moins de personnes dans la rue, que ce soit à Paris ou ailleurs, la violence et la haine furent à nouveau au rendez-vous. Suicidez-vous ont lancé certains manifestants aux forces de l’ordre. Comme je l’avais déjà écrit, 28 agents se sont donnés la mort depuis le début de l’année, tout dernièrement à Nancy et à Montpellier. Christophe Castener, le ministre de l’intérieur a twitter : « Honte à ceux qui se sont livrés à une telle ignominie ! Soutien total à nos forces mobilisées, et à leurs familles. L’immense majorité des Français sait ce qu’elle leur doit. „ Le maire de Nice, Christian Estrosi a pour sa part écrit : « Entendre « suicidez-vous » scandé contre les policiers est ignoble alors qu’on déplore 28 suicides de policiers nationaux depuis le 1er janvier. A cette situation dramatique pour nos forces de l’ordre s’ajoute l’abject de ces voyous. » De telles injectives rendent ce mouvement protestataire incrédule. Même si certains ont des raisons objectives d’être montés contre la police, il y a des limites à ne pas dépasser. Je me souviendrais toujours de la remarque d’un proviseur à un élève, lorsqu’il lui a dit : « Il y a des mots qui tuent ! » Se laisser aller ainsi à la haine, comme d’incendier des véhicules, lancer des pavés sur des hommes et des femmes chargés de faire respecter de l’ordre, n’est pas un signe de souveraineté. Et tout ceci entre compatriotes ! Vous me direz que cela n’a rien à voir avec un mouvement revendicatif. Que l’appartenance à une même société ne veut rien dire lorsqu’il s’agit de la lutte des classes. Weiterlesen

Voici un extrait du communiqué de « Reporteurs sans frontières : « L’hostilité à l’encontre des journalistes, voire la haine, relayée dans nombre de pays par des dirigeants politiques, a fini par susciter des passages à l’acte plus graves et plus fréquents font désormais partie des risques du métier ». La situation en Europe s’est détériorée l’année dernière avec le meurtre de journalistes à Malte, en Slovaquie et en Bulgarie. La France est placée en 32ème place dans le classement des nations, en ce qui concerne la liberté de la presse, ce qui est un mauvais résultat. Il est aussi dû à l’hostilité des Gilets Jaunes qui se présentent pourtant comme apôtres de la liberté. RSF souligne qu’il y a« un niveau inédit de violences lors des manifestants des gilets jaunes au point que nombre d’équipes de télévision n’osent plus afficher leur logo ni couvrir les manifestations sans être accompagnées de gardes du corps ». Il y a de quoi jubiler. Pour analyser les causes de cette haine des manifestants contre les reporteurs, j’ai essayé de me mettre à la place de certains Gilets Jaunes et ai constaté, qu’elle était due en particulier à la faiblesse de leurs arguments. Tous ceux qui ne trouvent pas les mots adéquats se laissent aller à la violence. C’est la démonstration flagrante d’un manque de souveraineté ! Pas étonnant dans un mouvement, où les auto-leaders sont souvent très primaires dans leurs manière de s’exprimer. Et quand cela ne va pas, on fait recours aux poings ou aux pavés. C’est un aspect des méthodes d’intimidation employées par les Gilets Jaunes. L’autre ce sont les menaces de tous genre, s’ils venaient à s’emparer du pouvoir. Du Erdogan tous crins ! Weiterlesen

Ostern … Ein zentrales Ereignis in der Christenwelt. Woher kommt das Wort Ostern, wie wird der Zeitpunkt festgelegt und was hat es mit dem Hasen und den Eiern auf sich?

Jesu Tod nach der Kreuzigung wird nicht als Ende, sondern als Neubeginn des Lebens gesehen. Das Leben siegt über Tod, die Wahrheit über die Lüge, die Gerechtigkeit über das Unrecht und die Liebe über den Hass. Der Osterhase kam erst sehr spät, um 1680, als volkstümlicher Brauch hinzu. 1682 wurde der Osterhase zum ersten Mal als Brauch erwähnt, in einer Dissertation eines Heidelberger Medizinprofessors (n-tv.de).

Die Osterzeit dauert 50 Tage bis Pfingsten. Nach Einführung des gregorianischen Kalenders (1582 durch Papst Gregor VIII.) einigte sich die westliche Kirche, Ostern am ersten Sonntag zu feiern, der dem ersten Vollmond nach Frühlingsbeginn folgt.

Der Hase gilt als Sinnbild der Fruchtbarkeit (bis zu 20 Junge im Jahr) und wurde einst, vor allem auf österlichen Bildbroten (Spekulatius), zuweilen neben einem Ei abgebildet, weil auch dieses Zeichen der Fruchtbarkeit und Lebensfülle war. Hinzu kommt: In Byzanz war der Hase in der Tiersymbolik ein Symbol für Christus. Auch in der Mythologie existiert der Hase als Zeichen der Fruchtbarkeit: Sowohl der griechischen Liebesgöttin Aphrodite als auch der germanischen Frühlings- und Fruchtbarkeitsgöttin Ostara ist ein Hase als heiliges Tier zugeordnet.

Aus weltlicher Sicht galt der Gründonnerstag als Abgabe- und Zinstermin für Schuldner an die Gläubiger. Überliefert ist, dass die Schuldner mit Eiern und Hasen zahlten und dass der Schuldner bei Begleichung der Schulden ein freier Mann ist, der mit einem Hasen verglichen wurde, der nicht vom Hund gehetzt wird (ulrich-goepfert.de).

Die Menschheitsgeschichte ist sehr früh mit dem Ei verknüpft. Schon im alten Rom wurden Eier Verstorbenen ins Grab gelegt. Im Mittelalter – wie oben erwähnt – wurden dem Pachtherrn Eier als Sachleistung für gepachtetes Land überreicht („Zinsei“). Der Brauch, Eier zu bemalen und zu verschenken, kam wohl auf, weil es schon im Urchristentum ein Symbol für das Leben war. Seit dem 13. Jahrhundert gilt Rot als die Ostereifarbe im Westen. Rot steht für das Blut Jesu. In Osteuropa ist Gold die vorherrschende Farbe, die Kostbarkeit ausdrücken soll.

Als österlicher Eierbringer ist der Osterhase erst seit rund 300 Jahren bekannt. Der Brauch entstand im Elsaß, in der Pfalz und am Oberrhein. Erste Belege sind aus dem Jahr 1678 überliefert. Noch im 19. Jahrhundert war der Osterhase in vielen Gegenden unbekannt, vor allem auf dem Land.

Alles in allem: Weder im Deutschen, noch im Englischen ist die Herkunft des Wortes Ostern oder Easter eindeutig. Einige vermuten einen Zusammenhang zum Osten, der Himmelsrichtung des Sonnenaufgangs. Die Bibel erzählt beispielsweise, dass das leere Grab Jesu „früh am Morgen, als eben die Sonne aufging“ (Markus 16,2) entdeckt wurde. Deshalb wurde die Morgenröte im frühen Christentum zum Symbol der Auferstehung und des Neuanfangs. Viele neue Christen ließen sich „bei Sonnenaufgang“ am Ostermorgen – althochdeutsch: „ostarun“ – taufen. Dieser Brauch hat sich bis heute erhalten: In der Osternacht und in den Gottesdiensten am Ostermorgen finden auch heute noch regelmäßig Taufen statt.

Letzten Endes ist es heidnischen Ursprüngen zu verdanken, dass Christen die Kreuzigung, den Tod und die Auferstehung Jesu, des Sohnes ihres Gottes, mit Schokoladenhasen, Osterküken und der Suche nach bemalten Hühnereiern feiern. Das hat mit Überlieferungen zu tun, die viel älter sind als unsere Religion. Schon lange vor Christus hat es um diese Zeit Feste gegeben. Das Frühlings-Äquinoktium, bei der Tag und Nacht genau 12 Stunden lang sind (wikipedia.de), war für fast alle alten Kulturen sehr wichtig, denn sie bezeichnet das Ende des Winters, der für die Menschen früher sehr hart und oft lebensbedrohlich war. Nun konnte man die Saat ausbringen, der Hunger hatte ein Ende. Und das wurde gefeiert.

Das alles bedeutet nicht, dass Ostern ein heidnisches Fest ist, aber es deutet darauf hin, dass das Osterfest einen historischen Hintergrund hat, der viel älter ist als der christliche Glaube. Als das Christentum die alten Religionen zu ersetzen begann (spin.de), wurden viele alte Traditionen zum Teil ganz bewusst übernommen, um den Menschen die neue Religion näher zu bringen. So sind viele alte Kirchen auf uralten Kultplätzen erbaut worden und so mancher kirchliche Festtag findet zeitgleich mit den Festen der alten Religionen statt.

Frohe Ostern!

Une journaliste de 29 ans a été abattue cette nuit au cours d’une fusillade dans le quartier de Creggan. La police part de la thèse d’un crime terroriste. « Je me tenais à côté de cette jeune femme quand elle est tombée à côté d’une Land Rover . J’ai appelé une ambulance pour elle mais la police l’a mise à l’arrière du véhicule et l’a emmenée à l’hôpital où elle est décédée. » a tweeté une collègue de la victime. Ce qui s’est passé est là, est à mettre sur le compte de la lutte sans merci que se sont livrés pendant trois décennies les républicains nationalistes, les catholiques partisans d’une réunification avec l’Irlande et les loyalistes unionistes, les protestants, qui veulent que leur province reste rattachée au Royaume Uni. Arlene Foster, la cheffe du parti unioniste nord-irlandais DUP a condamné ces faits et a dit : « Cela reste toujours aussi mal en 2019. Personne ne veut retourner [aux Troubles]. Mes pensées vont également aux officiers courageux qui ont défendu leur communauté. » De même que le parti nationaliste irlandais Sinn Fein, qui a signé en 1998 l’accord avec le DUP pour mettre fin aux hostilités. Michelle O’Neill, sa cheffe, a elle aussi exprimé son rejet au sujet des troubles qui ont enflammé cette nuit Londonderry. « Nous restons unis dans notre détermination à bâtir un avenir meilleur et pacifique pour tous ». Et c’est là que le bât blesse. Le Brexit ne peut qu’accentuer la violence et remettre en question la paix qui régnait depuis des années entre les deux communautés. Weiterlesen