« Il faut manger ce qu’il y a sur ton assiette ! ». Je ne sais pas combien de fois j’ai entendu cette remarque de ma mère. C’était peu de temps après la fin de la seconde guerre mondiale, une époque où les gens n’avaient pas à manger à leur faim. Donc un réflexe compréhensible pour une personne qui avait connu la disette, comme c’était le cas de maman. Aujourd’hui les nutritionnistes disent avec raison qu’il ne faut jamais exiger des enfants qu’ils mangent lorsqu’ils n’ont plus faim. Cela peut les rendre obèses, comme cela a été un peu le cas pour moi. C’est aussi une incitation au gaspillage. Comme c’est moi qui suit aujourd’hui le préposé aux repas, il faut que je me force de ne pas acheter trop. Les enfants prématurés, dont je fais partie, ont la tendance de manger trop, comme s’ils avaient peur de ne pas avoir assez de nourriture pour grandir. Ce phénomène est connu, la raison pour laquelle les pédiatres font très attention aux quantités qu’on leur donne. La première règle que je m’impose encore aujourd’hui, est d’aller faire mes emplettes chaque jour et d’acheter strictement ce dont Monique et moi avons besoin. Mais je n’arrive pas, malgré mon âge, à jauger les bonnes quantités. En règle générale cela aboutit au gaspillage. Pas plus tard qu’aujourd’hui j’ai dû jeter du lard, ce qui au point du vue déontologique ne m’a pas plu. J’ai beau me dire que des milliers d’enfants vont à l’école sans avoir pu prendre un petit-déjeuner, par manque de moyens, je n’arrive pas à me freiner lorsque je suis devant un étalage. Pour un homme qui s’élève contre les injustices, pas une attitude très glorieuse. Weiterlesen

Allez les gars, il ne faut pas se laisser entraîner par le blues ! Si mes jambes ne faisaient pas la grève je pense que j’irais danser la java. Il y aurait de quoi jouer aux pleureuses, se lamenter près de la tombe, où doit être enterré la démocratie. L’Autriche et ses valses de Vienne, ses gâteaux à la crème, ses baises-mains et son côté suranné, un peu doucereux, a voté pour « sa nostalgie », celle des chemises brunes, qui sont passées au bleu. Du « blues » bon chic, bon genre ! Cette république, qui s’est empressée de déclarer après la guerre, qu’elle avait été victime des nazis. De bons citoyens, parmi eux Adolf Hitler, un bon nombre de bourreaux des camps d’extermination… Mais on n’aime pas trop en parler, parce que beaucoup les considèrent comme des gens respectables et que cela ne passe pas bien à l’étranger. Non plus qu’en 1938 des juifs viennois devaient nettoyer les trottoirs avec des brosses à dents, sous les quolibets de la population « occupée » par les SS, les SA et d’autres bons patriotes. Vous m’avez bien compris, bon nombre de familles autrichiennes n’ont jamais accepté la chute des nazis et les vénèrent encore aujourd’hui. Ce sont elles qui ont aussi apporté leurs voix au FPÖ. Ce parti qui sème la haine contre les étrangers, contre tous qu’ils nomment des vermines ! Et voilà que le jeune homme de 31 ans, qui a gagné les élections, Sebastian Kurz, s’apprête à s’allier avec ces populistes, qui prétendent vouloir sauver leur patrie. Un conservateur, qui n’a vraisemblablement pas eu connaissance de leur idéologie dévastatrice. Lui aussi croit pouvoir faire le poids contre l’arbitraire, comme à l’époque Fanz von Papen, le vice-chancelier d’Hitler. Un homme bon sous tous rapports. Je pourrais avoir le blues, mais ce serait du temps perdu. Weiterlesen

Von Gewerkschaften sind wir gewöhnt, dass sie lautstark höhere Löhne fordern. Mindestens zwei Umstände allerdings kosten die Gewerkschaften seit einiger Zeit Mitglieder. Zum einen setzen sie von ihren Lohnforderungen häufig weniger durch, als die wirtschaftliche Lage Deutschlands ermöglichen würde. Zum anderen versteifen sie sich auf die bessere Bezahlung, weshalb sich Arbeitnehmer mit anderen Anliegen teils schlecht vertreten fühlten.

So ist es bemerkenswert, was die IG Metall für die kommende Tarifrunde vorschlägt. Klar, sie fordert auch sechs Prozent mehr Lohn, wovon sie wegen des wirtschaftlichen Booms diesmal einen größeren Teil durchsetzen sollte. Vor allem aber sollen die vier Millionen Beschäftigten der Branche ihre Arbeitszeit befristet auf 28 Stunden verringern – und später wieder erhöhen können. Das trifft den Nerv einer Gesellschaft, die sich davon verabschiedet, dass Väter im Beruf aufgehen und Mütter auf Teilzeit-Jobs ohne Aussicht auf Karriere und anständige Rente reduziert werden. Für die Gewerkschaften könnte mit solchen Ideen eine Modernisierung beginnen, die sie als Arbeitnehmervertretung stärkt. Dafür muss die Flexibilisierung aber richtig umgesetzt werden.

Umfragen vermitteln klar, was die Deutschen wünschen. Die meisten Vollzeitbeschäftigten wollen zumindest eine Weile kürzer arbeiten als die heute im Schnitt über 40 Stunden. Die Gründe sind vielfältig. Die einen wollen sich mehr um die Kinder kümmern, andere um zunehmend betreuungsbedürftige Eltern. Manche wollen für die sich rasant digitalisierende Berufswelt neue Kenntnisse erwerben. Und andere fühlen sich schlicht ausgelaugt von der Arbeit, die sich seit einigen Jahren verdichtet.

Keines dieser Motive lässt sich als persönlicher Luxus abtun. Werden sie ignoriert, droht nicht nur dem Einzelnen Schaden, sondern auch der Gesellschaft. Doch wer vorübergehend kürzertreten will, stößt in der Firma oft auf Probleme. Entweder wird Teilzeit bei bestimmten Stellen ausgeschlossen. Oder der Betreffende muss sich auf Dauer für Teilzeit entscheiden – und riskiert das berufliche und finanzielle Abseits. Das System ist zu starr. Das zeigt sich daran, dass nicht nur die meisten Vollzeitbeschäftigten kürzer tätig sein wollen, sondern auch jeder dritte Teilzeitler länger arbeiten möchte – aber nicht darf.

Die Beschäftigten verdienen mehr Flexibilität. Dieses Prinzip verlangen ihnen die Firmen im Übrigen längst ab, wo es ihren Interessen dient. Schon 40 Prozent der Beschäftigten arbeiten am Wochenende. Von ebenso vielen wird erwartet, dass sie nach Feierabend erreichbar sind. Moderne Technik verstärkt diesen Trend. Arbeitgeber sollten die Flexibilität, die sie einfordern, auch ihren Beschäftigten einräumen.

Für so einen Deal gibt es in der globalen Konkurrenzwelt allerdings Voraussetzungen. Die Firmen brauchen Planbarkeit, damit der Betrieb nicht leidet. Arbeitnehmer müssten sich rechtzeitig im Voraus und auf längere Zeit festlegen, wie viele Stunden sie tätig sind. Handhabbarer wird es für die Firma zudem, wenn Beschäftigte beim Wechsel zwischen Voll- und Teilzeit für neue Aufgaben offen sind. Außerdem darf es nicht zu teuer werden. Die IG Metall liegt falsch, falls sie von den Firmen erwartet, den Großteil des Lohnausfalls zu kompensieren, den 28 Stunden bedeuten.

Es stimmt zwar, dass Arbeitnehmer eine gesellschaftliche Aufgabe erfüllen, wenn sie etwa wegen ihrer Kinder kürzertreten. Die Kosten sollte dann aber vorrangig die ganze Gesellschaft tragen, wie beim 30-Stunden-Arbeitsmodell der SPD. Ohnehin steht die Politik insgesamt in der Verantwortung: Damit auch Beschäftigte in jenen Sektoren flexibler arbeiten können, in denen deutlich weniger Arbeitnehmer organisiert sind als in der Metallbranche.

Der aktuelle Streit in der Metallbranche erinnert auf den ersten Blick an lange vergangene Zeiten: Mehr als 30 Jahre ist es her, dass Arbeitnehmer wochenlang in den Streik traten, um für die Einführung der 35-Stunden-Woche zu kämpfen. Am Ende mit Erfolg, auch wenn es noch ein Jahrzehnt dauerte, bis diese endgültig kam.

Eine neue Epoche steht vor der Tür!

Mon but n’est pas de faire un portrait de Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement, mais plutôt de parler des qualités et des aléas de la communication. Il est vrai qu’en politique elle a pris une place essentielle qui parfois à un rôle simplificateur, qui a pour but d’escamoter des informations importantes des sujets présentés, ce qui est néfaste. Je comprends parfaitement le Président Macron, lorsqu’il dit ne pas être un amateur de ce genre de joutes, mais elles sont essentielles si on doit faire passer des messages. Pour moi, dont c’est mon métier depuis des décennies, je me suis fixé une règle absolue, c’est de respecter tous ceux à qui je m’adresse, ceci en tant que journaliste et de rédacteur. L’expérience m’a démontré que le public est bien plus averti, que ce qu’on veut nous faire gober. Rien est plus déshonorant de croire qu’il n’est possible d’atteindre le peuple qu’en ayant un discours simpliste dans le fond et dans la forme. Vouloir adopter un langage bancal, parce que l’auditoire n’a peut-être qu’un certificat d’études en poche, est pour moi la forme absolue du mépris. J’ai été souvent surpris du bagage intellectuel qu’avaient des ouvriers et des paysans. Il ne me serait jamais venu en tête de les mépriser, au contraire. J’ai toujours demandé aux collègues dont j’avais la responsabilité de peaufiner leurs textes, pour des journalistes de la télévision pas une évidence, car ils font tout d’abord parler – avec raison – l’image. Je suis d’avis, comme vous pouvez vous en apercevoir dans mes articles que je publie sur Facebook, de ne pas ménager mes lecteurs en leur donnant une version « Reader’s Digest » des sujets que j’expose. Comme je ne peux pas approfondir en une seule fois ce que je veux exposer, une lecture suivie de mes textes donnera un aperçu assez profond d’une situation politique ou d’un problème de société. C’est ma ligne éditoriale. Et ce qui est essentiel dans cet exercice, c’est de parler à la première personne, de donner un avis. Il n’en est pas différemment dans la communication d’un gouvernement. Weiterlesen

Emmanuel Macron a donné un coup de téléphone au Président iranien Hassan Rohani et lui a dit que la France ferait tout afin que l’accord sur la non-prolifération de l’armement nucléaire ne soit pas caduque du fait de la réaction insensée de Donald Trump. Ce dernier prétend que c’est le plus mauvais papier qui soit et que les USA en pâtiraient. Une fois de plus des propos incendiaires pour calmer les esprits de ses électeurs, des blancs modestes et souvent incultes comme lui, habitant à proximité des grands lacs et au Middle West. Des coups de gueule dont on se passerait volontiers. Le vase n’est-il pas en train de déborder, d’autant plus que bien des Républicains siégeant au Congrès sont d’avis que ce traité est le moindre mal et qu’ils feront probablement obstruction aux visées du Président Trump. Dans ce contexte très tendu, je trouve bon qu’Emmanuel Macron ait accepté l’invitation de se rendre à Téhéran. On ne peut pas en temps qu’Européen dire Amen à toutes les insanités provenant de Washington. Aussi regrettable que cela puisse être, il faut que la communauté internationale ne se soumette pas aux caprices d’un chef d’État sorti de ses gonds. Il serait temps que l’UE, la Russie, la Chine, les Indes et j’en passe fassent enfin leur propre politique, quitte a prendre leurs distances pas rapport aux États-Unis. Un isolation imposée de l’extérieur risquerait de mettre dans l’embarra l’économie américaine, peut-être une occasion pour les citoyens de réfléchir. Il ne sert à rien de répéter que ce président est un désastre pour son pays. Il faudrait que les citoyens n’ayant pas perdu leur raison – peut-être actuellement une majorité – fasse tout pour faire pression afin « que ce brave homme » prenne une retraite prématurée « bien méritée. » Mais je ne pense pas qu’il faille s’attendre à une bonne nouvelle provenant de l’autre côté de l’Atlantique, car les Américains sont légalistes. Pendant les trois ans qui restent, nous vivront sur une poudrière, car nous avons affaire à un individu primitif. Weiterlesen

Ce ne sont souvent pas les salariés qui sont les plus « laissés pour compte » de notre société, mais bien les travailleurs indépendants. Pour trouver des commandes il faut faire des pieds et des mains. C’est un investissement considérable qui ne repose sur aucune garantie. Il s’agit de faire des appels d’offre, ce qui demande beaucoup d’imagination. Pour que le dossier soit pris au sérieux, il doit être conçu d’une manière assez précise, ce qui est parfois assez risqué, car bien des idées sont volées. Il n’y a pas de droit d’auteur dans sa forme traditionnelle, bien plus un blanc-seing qui part du principe qu’on a affaire à des personnes correctes. Mais allez savoir… J’ai été l’auteur de bien des offres ces dernières années et dans bien des cas, les commanditaires n’ont même pas eu la décence de nous avertir ce qu’il en était. Tous projets doivent être accompagnés d’un relevé des coûts assez détaillé, d’un plan de financement et d’un business plan donnant une idée comment amortir les frais. Le tout présenté sur un plateau et bien sûr à l‘œil. Le tout pour dire qu’avant même l’amorce d’une commande, des jours de labeur doivent être envisagés et des frais considérables engagés. Les banques ne sautent pas de joie pour fournir une aide financières aux indépendants, considérant que toutes ces activités sont moins sûres que la roulette. Et si par miracle il y avait feu vert, il faut tirer les oreilles des investisseurs afin qu’ils vous paient dans les délais. Tout cela pour étayer l’initiative d’Emmanuel Macron de donner une meilleure assise sociale aux indépendants. Il est à mon avis normal, qu’ils jouissent de l’assurance-chômage. C’est un encouragement pour des jeunes de se lancer dans la création d’une entreprise. Il faudrait aussi tout faire pour que les établissements financiers soient plus flexibles à leur encontre. Il ne fait aucun doute que le dynamisme d’une nation toute entière se mesure aussi dans de telles initiatives. Je désire que le courage soit récompensé. Weiterlesen

Nach ihrem Austritt aus der AfD hat Frauke Petry angekündigt, eine neue Partei gründen zu wollen. Seitdem mehren sich die Spekulationen – nicht zuletzt durch Petry selbst und ihrem Ehemann, der ebenfalls der AfD den Rücken kehrte.

„Man braucht die CSU bundesweit. Ein Modell auf Bundesebene erscheint mir sehr interessant“, sagte der damals noch amtierende nordrhein-westfälische Landeschef und Fraktionsvorsitzende recht schwammig zum Kölner-Stadt Anzeiger. In einem Interview mit der Welt am Sonntag sprach Petry sogar nur von einem „politischen Projekt auf Zeit“, das für einen realpolitischen Kurs mit marktwirtschaftlicher Ausrichtung stehen solle. Nun scheint ein Parteiname für das politische Projekt gefunden.

Wie die Bild-Zeitung berichtet, soll Petrys neue Partei „Die Blaue Partei“ heißen. Der Bundeswahlleiter habe der Boulevardzeitung bestätigt, dass ihm am 17. September 2017 eine entsprechende Gründung der Partei angezeigt wurde. Die formale Prüfung dauere noch an.

Allerdings sei nicht Petry selbst beim Bundeswahlleiter vorstellig geworden, sondern ihr Vertrauter Michael Muster. Muster ist mit der sächsischen Landtagsabgeordneten Kirsten Muster verheiratet, die ebenfalls die AfD-Landtagsfraktion und AfD verlassen hat. Petry soll jedoch am Vorgang der Anmeldung beteiligt gewesen sein, wie die Bild aus gesicherten Informationen wissen will.

Auch eine Art Slogan scheint bereits festzustehen. „Frei und konservativ“ – das Motto prangt in weißer Schrift auf blauem Hintergrund bereits auf Frauke Petrys Twitter-Account. Wie Bild berichtet, soll Kirsten Muster das Logo sogar schon in E-Mails anhängen.

Zuvor mehrten sich die Spekulationen, dass Petrys neue Partei „Die Blauen“ heißen könnte – bereits im Juli 2017 ließ sich die damals noch amtierende AfD-Bundesvorsitzende die entsprechende Web-Adresse (www.dieblauen.de) sichern, wie der stern berichtet. Im Interview mit Welt am Sonntag dementierte sie die Gerüchte.

Rechtsradikalen Kräften aus der AfD wolle Petry keine politische Heimat bieten, „unter anderem durch unsere außenpolitischen Überzeugungen, mit einem klaren Bekenntnis zu Israel“. Das sei ein Stoppschild. Anders als offenbar für den AfD-Fraktionschef Alexander Gauland sei die Sicherheit Israels für sie Teil der deutschen Staatsräson.

Viele Muslime hierzulande könnten Deutschland als ihre Heimat betrachten. Solange sie vollständig akzeptierten, dass ihre Religiosität reine Privatsache sei und sich daraus keine politischen Ansprüche ableiten ließen, würden sie Deutschland, wie viele andere Zuwanderer auch, zu ihrer Heimat machen können, so Petry. Der „politische Islam“ dagegen sei „kulturell inkompatibel mit unserer Gesellschaft“. In Deutschland leben aktuell geschätzt 4,5 Millionen Muslime.

Für den Fall, dass die neue Partei doch den Namen „Die Blauen“ tragen sollte, könnte Petry ein Rechtsstreit drohen. Hintergrund ist, dass der in Baden-Baden ansässige Nomos-Verlag unter dieser Bezeichnung bereits seit längerem juristische Studienbücher herausgibt (Focus). Auch die von Petry registrierte Internetadresse sei den eigenen Domains „dieblauen.info“ und „die-blauen.info“ sehr ähnlich, sagt eine Sprecherin des Verlages. Es bestehe Verwechslungsgefahr.

Petry sagte vor Tagen: „Ich brauche Glaubwürdigkeit, wenn ich weiterhin Politik machen will, und deshalb konnte ich nicht länger zusehen, wie ich aus der AfD heraus beschädigt werde“ (Welt). Als Beispiel für gegen sie gerichtete Intrigen führte sie an, dass von ihren Gegnern kolportiert worden sei, sie habe die alleinige Spitzenkandidatur haben wollen. Dieses Gerücht sei gestreut worden, um sie zu diskreditieren – in Wahrheit habe der stellvertretende Parteichef Alexander Gauland von Anfang an Spitzenkandidat werden wollen.

Die Farbe wird wohl wenig Änderung bringen. Wir hatten schon „die Grauen“ und andere. Entweder verschwindet Petry mit ihrer Partei gänzlich in der Versenkung oder es gibt das gleiche „Gericht“ unter anderem Namen. Auch das kennen wir: aus SED wurde PDS und dann DIE LINKE. Ein Schokoriegel hatte auch schon seinen Namen gewechselt, gleichsam ein Mineralöl-unternehmen; das mutierte zur lateinischen Göttin und verschwand dann vom Markt.

Heute empört sich keiner mehr.

 

Que de ferraille, que de puanteur, que de bruit… Des automobilistes stressés… La ville est en passe de devenir un cauchemar. Puis le diesel, avec ses particules qui détruisent les poumons et qui peuvent provoquer le cancer ! Pauvre Paris, tu n’as pas mérité cela ! Je trouve bon qu’Anne Hildago continue ce que Jacques Chirac a commencé en 1970, doter la capitale de pistes cyclables. Je ne comprends pas le tollé général en ce qui concerne la réduction de la circulation. L’urbanisme d’une vieille ville n’est pas adapté à un réseau d’autoroutes urbaines comme c’est la cas de Los Angeles par exemple. Il faut qu’elle respire et qu’elle donne la priorité à la vie, non pas aux moteurs polluants. Puis l’illusion de parvenir plus rapidement de A à Z. Du pipeau. Et le problème du stationnement ! Je ne vois pas quel plaisir on peut avoir de tourner des heures et des heures en rond ou de payer à prix d’or le droit de laisser sa voiture dans un parking ! Sans parler des embouteillages ! Les amis, je conduis depuis l’âge de 18 ans, j’en ai 71 et j’ai encore bien du plaisir d’être au volant, mais pas dans de telles conditions. Peut-être qu’il nous faut reprendre conscience de ce que peut être la proximité. Tout d’abord il faut prendre le temps d’en jouir. De vouloir considérer l’agitation comme une preuve d’efficacité, est une des plus grandes erreurs de ce début de siècle. Lorsqu’on s’aperçoit du temps perdu lors de conférences absolument inutiles, où il en va seulement de l’ego de certains responsables autoproclamés, il est difficile d’admettre tout ce stress. Il en va en ville comme dans le métier, il faut réfléchir avant d’agir. C’est aussi valable pour les déplacements. Je pars du principe que je dois prendre les moyens de transports publics, lorsque c’est possible. Et si j’habite en banlieue, je peux laisser mon véhicule à l’extérieur. Mais les municipalités doivent tout faire pour faciliter de telles démarches. En règle générale le prix des tickets est trop élevé. Lorsqu’on calcule les coûts dus à la pollution, une baisse du prix des transports serait justifiée. Weiterlesen