Emmanuel Macron a participé à la réunion des réformistes européens. Un colloque qu’il a organisé en partie et qui marque le lancement de sa campagne des présidentielles, même s’il ne l’a pas dit officiellement. Il s’efforce de recevoir des soutiens de la gauche et du centre. Je ne sais pas trop ce que je dois penser de sa démarche ? Veut-il devenir le nouveau Tony Blair et réformer l’échiquier politique en France ? Au lieu de rassembler, il est en train de diviser. C’est mon impression. Je n’aurais pas d’objections s’il réussissait à redonner de l’élan à une gauche plus ou moins moribonde. Mais est-ce la démarche de cet homme plutôt smart ? A-t-il le charisme de convaincre tous ceux qui sont découragés, qui seraient enclins à jeter l’éponge ? Je ne le crois pas. Mais si mes sentiments s’avéraient être exacts, il y aurait stagnation. Je dois avouer que je suis un peu désemparé et que je ne sais pas trop ce qu’il y aurait lieu de faire. Lorsque j’entends ce qu’il a dit à Lyon au sujet de l’UE, j’ai l’impression de goûter une soupe qu’on a réchauffé. Où sont les idées qui pourraient électriser un certain électorat pour l’instant complètement obnubilé par le populisme, quelle que soit sa couleur ? Il devrait comprendre que nous sommes arrivés dans un temps où les simplificateurs ont le haut du pavé. Ce n’est évidemment pas le cas d’Emmanuel Macron. Mais aurait-il assez d’énergie de contrecarrer des Sarkozy et des Le Pen ? Seul il n’y arrivera pas. Je regrette qu’il n’essaye pas d’apporter des réformes au PS et qu’il ne participe aux primaires. Ce serait plus opportun que la division qui fait les belles heures de la droite musclée et vengeresse. Je pense qu’il surestime ses compétences électorales. Il connaît sûrement parfaitement ses dossiers, sait manier comme énarque l’administration. Weiterlesen
Monat: September 2016
Pile ou face !
Lundi aura lieu le premier débat télévisé entre Hillary Clinton et Donald Trump. Plus de 100 millions de téléspectateurs sont prévus. Il est bien possible que cette joute aura des conséquences irréversibles pour l’issue du scrutin en novembre. Deux caractères complètement opposés s’affronteront. L’un est un novice en ce qui concerne la politique. Son arme est la provocation et la haine. Il espère ainsi toucher l’électorat. Il incarne, qu’on le veuille ou non, le rêve américain. C’est l’ascension d’un homme à priori pas fait pour occuper un tel poste. Une fois de plus la légende du liftier qui de ses propres forces réussi à défier ses adversaires, à atteindre des sommets qui à priori ne lui sont pas dus. De l’autre une femme policée, plutôt froide, ne levant qu’avec réticence le voile qui la recouvre. Une personne très compétente connaissant ses dossiers et pouvant bien juger ce qu’il faut faire ou pas. Au niveau de son savoir, sûrement un bon choix. Mais il y a plus. Les américains aimeraient pouvoir serrer le président ou la présidente dans leurs bras, comme c’est le cas actuellement avec Barak Obama, qui a de très bonnes cotes dans les sondages et ceci à la fin de son mandat. Clinton n’est pas la femme qu’on invite sans autre à sa table, à qui on se confie pour des raisons personnelles. Elle incarne l’establishment politique et économique et donne le sentiment d’être intouchable. Elle doit se rendre parfaitement compte que c’est sa tare principale. Un obstacle des plus difficiles à franchir. Au cours du débat elle devra tout faire pour ne pas se montrer arrogante, pour ne pas donner l’impression d’être une première de classe, qui méprise tous ceux qu’incarne Donald Trump : le citoyen normal qui ne brille pas obligatoirement par son savoir. Des gens qui souvent luttent le dos au mur, qui se sentent mis à l’écart. Weiterlesen
Violence policière
À Charlotte, en Caroline du Nord, l’état d’urgence a été déclaré après deux jours d’émeutes. Elles ont été déclenchées après qu’un noir de 43 ans a été abattu par un policier. Celui-ci était un afro-américain et a été suspendu en attendant les résultats de l’enquête. Une fois de plus une bévue des forces de l’ordre américaines. Décidément elles ont la gâchette facile. Les autorités prétendent que les agents ont été menacés, que l’homme en question braquait sur eux un revolver. C’est bien possible, mais fait-il pour autant tuer ? N’aurait-on pas pu lui tirer dans les jambes ? Il est indéniable que ce fait tragique vient encore mettre de l’eau au moulin de tous ceux qui réclament plus de détermination en ce qui concerne la délinquance. Je pense que bien des citoyens partent du principe que cette action était justifiée. Mais est-ce le résultat escompté ? Faut-il absolument abattre des personnes comme du gibier ? Ce qui se passe actuellement aux USA est nauséabond, car les victimes sont pour la plus part du temps des gens de couleur. Est-ce un hasard ou est-ce l’expression d’un mouvement malgré tout raciste ? Mais cette fois-ci le tireur était lui aussi noir. Cela me met encore plus mal à l’aise mais m’oblige peut-être aussi à réfléchir sans parti-pris au rôle joué par la police un peu partout dans le monde. Malgré mon désarroi contre tant de violence, je veux essayer d’analyser ce qui se passe vraiment. Un fait est évident : les disparités sociales amènent la criminalité. C’est souvent le seul moyen de s’en tirer matériellement. Tant que les injustices sociales seront aussi flagrantes, il ne faut pas s’attendre à des progrès. Sans une réforme sociale il sera impossible, aussi dans l’avenir, de garantir une quelconque sécurité. La colère qui anime beaucoup de laissés pour compte est compréhensible, pas pour autant le crime. La police est le dernier rempart pour neutraliser cette situation. Il est évident qu’elle est complètement dépassée et ne peut pas corriger les erreurs politiques. Il y a aussi la peur qui joue un rôle important. C’est elle qui est le moteur de ces drames. Weiterlesen
Dollars
So viel Verwirrung am Markt gab es die letzten dreißig Jahre nicht. Die Marktteilnehmer wollen nicht noch mehr „vom Gleichen“ – das spürt auch die Federal Reserve. Die globalen Märkte weisen seit längerem eine ungesunde Konstellation auf: Die Verschuldung, die Arbeitslosigkeit und die Aktienmärkte steigen, während die Produktivität sinkt. Das ist in der Finanzbranche nicht neu.
Der Fed geht es momentan darum, die Glaubwürdigkeit und die Handlungsfähigkeit zurückzuerhalten. Im letzten Sitzungsprotokoll war gar zu lesen, dass in der Fed Befürchtungen wegen einer Bewertungs-Blase aufgekommen sind. Die schärfste Waffe, die eine Notenbank hat, ist die Überraschung. Die Federal Reserve will und soll stets vermeiden, politischen Einfluss zu nehmen.
Doch die Zinsen vor den Präsidentschaftswahlen nicht zu erhöhen, wäre diesmal ein deutliches Signal dafür, dass die Politik es nicht geschafft hat, die Wirtschaft anzukurbeln.
Zudem wäre eine Erhöhung ein Paradigmenwechsel. Seit der Ära Greenspan hatte die Fed bei Entscheidungen immer auch den Aktienmarkt im Blick. Die Präsidentin des Federal Reserve Board, Janet Yellen, hat noch einen externen Fokus eingebaut und berücksichtigt zudem globale Umstände, wie unter anderem den Brexit bzw. das Wachstum in China. Solcher Rücksichtnahme würde mit einem heutigen Drehen an der Zinsschraube eine Absage erteilt.
Janet Yellen kämpft um ihre Zukunft. Im Jahr 2018 muss sie sich der Wiederwahl stellen. Unter einem Präsident Trump hätte sie keine Chance. Nicht wenige Ökonomen rechnen damit, dass Trump die Wahlen gewinnen wird, Die Amerikaner wollen Veränderung und Clinton sei hier „more of the same“. Auch wenn die Börse steigt und die Teuerung angeblich tief ist, sieht der US-Durchschnittsbürger vor allem, dass beispielsweise Gesundheitswesen und Schulen massiv teurer werden, das verfügbare Einkommen aber seit Jahren schrumpft.
Doch je näher die Zinssitzungen an die Präsidentschaftswahl heranrücken, desto schwieriger wird der Plan der Fed, die Zinsen zu erhöhen. Der republikanische Präsidentschaftskandidat Donald Trump hat die Federal Reserve vergangene Woche lautstark beschuldigt, in die Politik einzugreifen, indem die Zinssätze niedrig blieben. Sie sollten die Wirtschaft ankurbeln und die Chancen für die Demokratin Hillary Clinton verbessern, die starke Verbindungen zur Regierung von Barack Obama hat. Die Fed sei „sehr politisch“.
Trump attackierte auch die Fed-Chefin persönlich. Janet Yellen solle sich für das schämen, was sie dem Land angetan habe. Schon vor Monaten hatte er angekündigt, Yellen abzulösen, sobald er Präsident sei. Er will einen Schuldenschnitt für die USA, Ausgaben erhöhen und Steuern senken. Für eine widerborstige unabhängige Notenbank ist da kein Platz.
„Die Fed hat sich in den vergangenen anderthalb Jahren in eine schwierige Lage gebracht. Sie hat immer wieder angekündigt, in Kürze die Zinsen erhöhen zu wollen, um dann im letzten Moment doch davor zurückzuschrecken. Das macht sie angreifbar, auch für Tiraden eines Donald Trump“, sagt Holger Schmiedring, Chefvolkswirt der Berenberg Bank gegenüber einem Nachrichtensender.
Die US-Notenbank ist sozusagen in den Wahlkampf geraten. Was immer sie nun tut, wird kritisiert werden. Die nächsten Termine für eine mögliche Zinserhöhung werden nicht weniger heikel sein, als in dieser Woche. Im Gegenteil: Die nächste Gelegenheit hätte die Fed am 2. November. Nur knapp eine Woche später ist Präsidentschaftswahl. Das letzte Mal in diesem Jahr werden die Geldpolitiker Mitte Dezember tagen. Dann sollte das Wahlergebnis feststehen.
Es wird also nicht leichter!
Zwei Szenarien zeigen die Zwickmühle, in der sich die Fed befindet: Wird Trump zum nächsten US-Präsidenten gewählt und Yellen hebt die Zinsen an, wird es heißen, sie wolle ihm schaden. Heißt die nächste Präsidentin Hillary Clinton und die Fed tut nichts, wird es heißen: typisch, es sei ja auch nicht anders zu erwarten gewesen.
Die Fed muss jetzt ihre Unabhängigkeit beweisen. Sie darf sich nicht in die politische Ecke drängen und lähmen lassen.
Niedrige Zinssätze sind zwar schön zu haben, aber irgendwann nehmen die Finanzmarkteilnehmer der Fed einfach nicht mehr ab, dass es mit Amerika vorangeht.
Die US-Notenbank muss jetzt entscheiden!
Monsieur Nicolas Trump
Nicolas Sarkozy, un homme d’origine hongroise, a de nouveau craché du venin sur les migrants et les étrangers. Lui, le gaulois de pure souche, n’a pas mâché ses mots à Calais considérant les migrants comme des dégâts. Il se croit obligé de jouer les Trump, ce qui est parfaitement ridicule. Comme le FN il croit que la haine sera le seul moyen de gagner les présidentielles. Il mise sur les plus bas instincts des citoyens, qui vivent dans la peur de se voir mis au défi par des étrangers. Son populisme me dégoûte au plus au haut point. Je ne le trouve pas digne pour un ancien chef d’État. Bien sûr, le problème des migrants ne peut pas être ignoré. Je peux en parler, habitant en Allemagne. Il est clair que tout doit être tenté pour que la paix reprenne ses droits. Ce n’est pas en fustigeant des victimes de ces horribles conflits que sont les événements en Syrie par exemple, qu’on contribuera à ramener le calme. Il faut beaucoup de doigté et d’humanité pour pouvoir exercer une certaine influence. Le candidat Nicolas Sarkozy-Trump en est complètement dépourvu. À tout prendre je préfère une Marine Le Pen à ce pantin désarticulé. Le PR ferait bien de se démarquer de lui et de donner ses voix à Alain Juppé, qui incarne à mes yeux la pondération nécessaire pour occuper un tel poste de responsabilités. Je ne comprends pas que l’ancien locataire du Palais de l’Élysée puisse à ce point déraper. N’a-t-il rien appris lors de son quinquennat ? Il aurait dû savoir que la diplomatie est le seul atout pour régler les problèmes qui nous asseyent, pas des paroles incendiaires qui ne servent strictement à rien. Je crains qu’il soit trop tard pour l’appeler à la raison. C’est regrettable que le virus Donald Trump puisse à ce point infester la vie politique en France. Weiterlesen
Zorro est-il arrivé ?
Même si Donald Trump se prend pour Zorro, cela ne veut pas dire que le peuple prend ses déclarations pour de l’argent comptant. Les sondages aux États-Unis démontrent que les électeurs ont plus confiance en Hilllary Clinton en ce qui concerne la sécurité. Un résultat étonnant. J’avais jusqu’à présent l’impression que le candidat républicain pouvait marquer des points en ce qui concerne le terrorisme islamique. Après les attentats de New-York et du New-Jersey, les gens sont restés étonnement calmes. Au lieu de semer la panique, ces événements ont plutôt contribué à la réflexion. Il est vrai qu’il n’y a pas eu de morts et que l’impact provoquée par eux était de ce fait limitée. Mais il ne faut pas non plus trop se fier à de telles réactions. Nicolas Sarkozy, le Zorro français, devrait en prendre note. Mais ce dernier croit encore toujours qu’il pourra contrecarrer le terrorisme par des actions musclées de la police. Elle procède déjà ainsi, mais est au bout de ses possibilités. Le budget qui lui est imparti à certes été augmenté, mais il ne suffit pas pour éradiquer complètement les risques d’attentats. Même s’il devait être doublé, il ne serait pas possible de le faire. C’est là qu’on voit que les promesses faites par les populistes sont du pipeau. Transformer un pays en un camp retranché ne sert à rien d’autre que d’attiser la haine. Et cette dernière est génératrice de plus de violence. Le peuple est en train de le remarquer. Ce n’est pas en se dissimulant derrière des murs qu’il sera possible de se préserver. L’EI le sait parfaitement. Il est plus efficace de créer de nouvelles conditions sociales qui n’amènent pas les jeunes à se transformer en des rebelles. Il serait plus efficace de combattre le racisme et l’exclusion sous toutes ses formes. Mais une telle options n’entre pas dans les cordes de Nicolas Sarkozy, Il espère qu’en jetant l’anathème sur l’islam de France il pourra glaner des voix. Weiterlesen
A Helping Hand
Im globalen Kampf gegen die tödlichen Krankheiten Malaria, Tuberkulose und Aids stehen für die kommenden drei Jahre 12,9 Milliarden Dollar zur Verfügung, umgerechnet etwa 11,6 Milliarden Euro. Diese Summe versprachen die Geberländer des Globalen Fonds letzten Samstag im kanadischen Montreal. Bis 2019 sollen mit dem Geld acht Millionen Menschenleben gerettet und 300 Millionen Neuinfektionen verhindert werden.
Deutschland sagte 800 Millionen Euro zu. Die USA kündigten an, die Spenden anderer bis zu einer Summe von umgerechnet 3,6 Milliarden Euro zu verdoppeln.
Kein Geringerer als Microsoft-Mitgründer Bill Gates, dessen Stiftung einen besonderen Fokus auf den Kampf gegen Malaria, HIV und Tuberkulose legt, lobte den finanziellen Beitrag Deutschlands. Er mache „die Welt ein Stück weit gesünder, gerechter und stabiler“, sagte Gates. Die „Bill and Melinda Gates Stiftung“ kündigte an, in den kommenden drei Jahren bis zu 538 Millionen Euro zu spenden. „Ich glaube, dass der Globale Fonds als eine der größten Errungenschaften der Menschheit in die Geschichte eingehen wird“, so Gates.
Neben Dutzenden Vertretern aus Afrika und Südasien nahmen auch U2-Sänger Bono und UN-Generalsekretär Ban Ki Moon teil. Der Globale Fonds, den es seit 15 Jahren gibt, habe im Kampf gegen Aids, Malaria und Tuberkulose geholfen, rund 20 Millionen Menschenleben zu retten, bestätigte der Ende 2016 aus dem Amt scheidende Ban.
Der Sprecher des Globalen Fonds, Seth Faison, drängte die Länder dazu, den Fokus trotz anderer Infektionskrankheiten wie Zika und Ebola weiter auch auf die in Montreal thematisierten Leiden zu richten. „Aids, Tuberkulose und Malaria sind nicht so sehr in den Nachrichten, weil sie uns schon bekannt sind“, so Faison. Sie träfen aber jedes Jahr Millionen Menschen. Zika und Ebola seien furchteinflößend, aber die Zahl derjenigen, die betroffen seien, liege noch in den Tausenden.
Gates sei zuversichtlich, dass es ein Erfolg werde. Man werde für die Jahre 2017 bis 2019 mehr Geld eintreiben als beim letzten Mal. Damals waren es 11,7 Milliarden Dollar. Nach den USA hat ein Drittel der beteiligten Länder angekündigt, seine Beiträge zu erhöhen; und das bei angespannten Haushalten. Nur wenige wollen ihr Engagement herunterfahren, die meisten wollen mindestens den Status Quo halten. Wenn man am Ende zwischen zwölf und 13 Milliarden Dollar erhalte, sei das ein schöner Fortschritt. Als größter Privatgeber werde man selbstverständlich nennenswert aufstocken. Die Summe wird die Tage in Montreal bekanntgegeben.
Was wird von Deutschland erwartet? Deutschland hat bisher 2,15 Milliarden Euro in den Fonds eingezahlt. Berlin hat neulich die Summe von 800 Millionen Euro in Aussicht gestellt.
Die Hoffnung trägt, dass Deutschland signifikant erhöht. Zuletzt kamen für die Jahre 2014 bis 2016 rund 665 Millionen Euro aus Berlin. Bundeskanzlerin Merkel hatte 2015 schon eine sehr erfolgreiche Konferenz für den Impfstoffe-Fonds geleitet. Die Ankündigung von Entwicklungsminister Gerd Müller gestern hat das Projekt einen wichtigen Schritt vorangebracht. Es ist ein Signal, dass Deutschland einen so bedeutenden Beitrag leisten will, um den Gesundheitszustand der Menschen weltweit zu verbessern. Die Bundesrepublik gilt in dieser Hinsicht als Zugpferd.
Ausreichende Ernährung, Gesundheitsschutz, Bildung und ökonomische Entfaltungsmöglichkeiten sind am Ende entscheidend. Der „Global Fund“ ist in diesem Zusammenhang eine Erfolgsstory. Es gibt viele Helden. Länder haben klug zusammengearbeitet. Aber das Ganze bleibt eine Herausforderung. Die Aufgabe der Initiatoren ist es, das Projekt im öffentlichen Diskurs zu halten. Terroristische Aktivitäten dürfen nicht ablenken. Steuerzahler und Wähler müssen immer wieder davon erfahren, welche Fortschritte der „Global Fund“ macht.
Der Schlüssel zum Erfolg ist die Großzügigkeit!
« Les enfants-soldats »
La fausse alerte de l’église de Sain-Leu dans le quartier des Halles a été un canular stupide d’un gosse de 15 ans. Pas de quoi pavoiser. Mais il y a un fait objectif que nous ne pouvons pas ignorer. Les organisations terroristes embauchent des militants de plus en plus jeunes. S’ils sont attrapés avant un attentat, ils sont traités juridiquement comme des mineurs. C’est un moyen de passer inaperçu. Il va sans dire que je réprouve violemment ce genre de méthode car je sais à quel point des adolescents sont manipulables. C’est un mépris complet des personnalités. Il est évident que de plus en plus de « martyres » subissent un lavage de cerveau. On leur fait croire que les portes du paradis leurs sont grandes ouvertes. Il y a aussi les filles qui veulent s’affirmer au combat en espérant pouvoir récolter ainsi un peu plus d’estime. Ce genre de procédés a toujours existé. Au Moyen-âge des enfants-soldats étaient engagés dans toutes les batailles. De même en Afrique comme cela a été le cas au Sierra-Leone par exemple. Les professeurs des écoles qui reçoivent de tels réfugiés peuvent en dire quelque chose. Des enfants traumatisés à tout jamais qui ne retrouveront plus un équilibre. J’ai en souvenir des photos des enfants que le Führer félicitait lors de la bataille de Berlin. Ils sont de la chaire à canon efficace car ils agissent sans trop se poser des questions. Je me demande comment il est possible d’envoyer des filles et des garçons se faire sauter au milieu d’une foule ? Quels sont les paroles qui peuvent les inciter à agir de la sorte. C’est plus que pervers car c’est la démonstration flagrante d’un cynisme ambiant. Tout ce que j’écris ici on le connaît, mais ce qui me semble bien plus ardu c’est de savoir s’il y moyen d’éviter de tels drames ? Une chose est sûre, la fascination de la mort n’est pas une question d’âge. Les peurs existentielles peuvent en être une raison, mais cela n’est pas tout. Weiterlesen