35 diplomates russes et leurs familles ont été expulsés des USA. Ce sont des fonctionnaires de l’ambassade à Washington et du consulat de San Francisco. Il leur est reproché d’avoir manipulé avec de fausses nouvelles les élections et ceci au détriment d’Hillary Clinton. La candidate démocrate a subi de graves dommages, ce qui a peut-être été la cause de son échec. Vladimir Poutine n’a jamais caché que ses préférences allaient à Donald Trump, le futur président qui l’admire pour sa détermination. Peu de jours avant la relève à la Maison Blanche, les relations mutuelles sont le moins qu’on puisse dire perturbées. Barak Obama ne cache pas ce qu’il pense des Russes, que ce soit en Ukraine, de l’annexion de la Crimée, de son attitude par rapport à Bachar el-Assad et leur obstruction au Conseil de sécurité concernant les victimes d’Alep. Il y a plus que de la grogne. Sur bien des points essentiels il y a un désaccord général qui met Donald Trump dans l’embarra. Il a beau dire que le 20 janvier 2017 tout changera, il est qu’il le veuille ou non, dépendant de faits objectifs. Dans les prochains jours il rencontrera les spécialistes du renseignement et devra, suivant leurs propos, agir. L’argument que le camp démocrate est un mauvais perdant ne suffira pas à dissiper les doutes. Le fait est que les premiers jours après son entrée en fonction ne seront pas de tout repos. D’une part il essaiera de minimiser les accusations, de l’autre il ne pourra pas les rejeter en bloc. La question se pose s’il était pendant sa compagne au courant de ces manipulations. Si c’était le cas, une telle manière de faire pourrait être proche d’une trahison. Ses supporteurs, dans un premier temps, accuseront Barak Obama de vouloir mettre en doute leur idole à des fins politiques. Ils diront que l’ancien président attise la haine pour paralyser la nouvelle administration. Weiterlesen
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Bras de fer nucléaire
Comme deux enfants dans un bac de sable, Vladimir Poutine et Donald Trump se livrent des joutes oratoires afin de savoir qui sera le plus fort. Il s’agit avant tout de développer l’armement nucléaire. De tels discours détonnent avec les propos tenus jusqu’alors qui préconisaient une réduction notable des armes atomiques. La philosophie de la dissuasion est de nouveau d’actualité. Le tweet du futur président des États-Unis ne peut que concerner la Russie ou la Chine. Il paraît inutile d’utiliser de telles armes contre Andorre ou Saint-Marin. Il est assez étrange que c’est justement envers un dirigeant qui a soutenu activement le candidat Trump lors des élections que s’adresse ce message. C’est la démonstration de l’incohérence de la nouvelle administration. Nous ne pouvons que nous mettre sur le qui-vive en ce qui concerne nos futures relations avec l’Amérique. Et son intention d’affaiblir l’Otan ? Où est la logique dans tout cela? Maintes personnes me diront qu’une telle dialectique est une épreuve de force et qu’il ne faut pas la prendre trop au sérieux. C’est bien possible, mais avec un individu aussi volatile que le prochain locataire de la Maison Blanche, cela peut être source de conflits. Il réagit de manière émotive, ce qui n’est pas adéquat lorsqu’il s’agit de gérer une politique étrangère plus que complexe. Nous avons affaire aujourd’hui d’une part à un nombre élevé de guerres locales comme c’est le cas en Irak ou en Syrie, de l’autre au terrorisme islamique ou de l’extrême-droite qui se déroule dans l’ombre. Dans les deux cas l’emploi du nucléaire est inadéquat pour se protéger contre des coups de boutoirs plus ou moins isolés. Weiterlesen
Wiege der Demokratie
Barack Obama glaubt an die Demokratie. Das mag naiv sein. Vielleicht kann man aber zwischen den Zeilen seiner Athener Rede etwas anderes finden.
Demokratien beinhalten viel Demütigungen. Dazu gehört, dem Mann die Hand geben zu müssen, der angetreten war, das eigene politische Erbe zu zerstören – und jetzt US-Präsident wird. Ebenso niederschmetternd ist es, just nach dieser epochalen Wende ein letztes Mal als amtierender Hoffnungsträger nach Europa zu reisen. Eine gefühlige Abschiedstournee am Ende einer erfolgreichen Ära, deren Fortschreibung gesichert ist: Aber Barack Obama bringt nicht mehr den Glanz mit, den er einst hatte. Der ist ohnehin blasser geworden, seit sich die Erkenntnis durchsetzt, dass auch er ein normaler Politiker ist.
In diesen Tagen der Unsicherheit ist die Sehnsucht wieder da, dass da einer kommt, der mit fester Stimme sagt: Alles wird gut. Der die Angst beschwichtigt, die Donald Trump in sein Land und in die Welt gebracht hat. Der die Kraft zur Versöhnung aufbringt, wenn es bei vielen nur für Verachtung und Kampfparolen langt, egal auf welcher Seite sie stehen. Einer, der Vertrauen schafft, für das sein Nachfolger keinen Anlass bietet.
Die Akropolis in Athen lässt sich Obama allein von einer Archäologin zeigen – bedeckter Himmel hinter dunklen Gläsern seiner Sonnenbrille. An der „Geburtsstätte der westlichen Demokratien“ ist er ein nachdenklicher Gast. Die Rede in Athen war schon vor Trumps Sieg mit großen Erwartungen aufgeladen worden: Vom Vermächtnis ging das Wort. Die Melancholie, die darin mitschwingt, verleiht den Worten noch mehr Gewicht.
Im Athener Kulturzentrum wird Obama schon mit Standing Ovations begrüßt. „Demokratie setzt voraus, dass man nicht hundert Prozent von dem bekommt, was man will.“ Sein Glaube an demokratische Ideale und universelle Werte sei nicht geringer geworden, auch wenn „der nächste US-Präsident und ich unterschiedlicher nicht sein könnten“. Solange die Menschen an die Demokratie glaubten, nicht in ihren Prinzipien schwankten und es eine lebendige offene Debatte gebe, „wird unsere Zukunft okay sein“. Der wichtigste Titel sei „Bürger“.
Obama bezieht seine Hoffnung aus der Geschichte. Sie habe gezeigt, dass demokratisch regierte Länder tendenziell gerechter, stabiler und erfolgreicher seien als andere. Und sie beginnt für ihn mit den Stimmen der Jugend und ihrem Willen zur Veränderung: „Fortschritt muss sich jede Generation verdienen.“
Der kommende Präsident Trump – Obama spricht dessen Namen Obama nicht ein einziges Mal aus. Dieser Mann ist nur ein Ausrutscher, die Welt wird über ihn hinwegkommen. Obama sagt: „Jedes Handeln eines Präsidenten, jedes Wahlergebnis, jedes mangelhafte Gesetz kann korrigiert werden durch demokratische Prozesse.“
Der Demagoge Trump, dem alles recht war, um den Beifall eines pöbelnden Mobs zu gewinnen, wird an seinem Amt wachsen. Die Institutionen werden ihn mäßigen. Er wird pragmatisch handeln, nicht ideologisch. Er wird verstehen, was Demokratie bedeutet – und er verdient Unterstützung.
Trump selbst nennt Obama einen „guten Mann“, dessen Rat ihm wichtig sei. Er wolle dann doch nicht gleich das ganze Krankenversicherungssystem zerschlagen. Wie schrecklich die Gewalt sei gegen Minderheiten. Alles anständige Leute, plötzlich, auf die er zuvor den Hass richtete.
Obama bewegt sich auf einem schmalen Grat. Auf der einen Seite droht er in die Verharmlosung abzurutschen, weil er an das Gute in der Welt glaubt. Ob das naiv ist? Seine Griechenlandrede liefert den entscheidenden Hinweis: Die Geschichte wird es zeigen, irgendwann. Obama zitiert Martin Luther King: „Der Bogen des moralischen Universums ist lang, aber er neigt sich zur Gerechtigkeit.“
Auf der anderen Seite ist das Gute keine geschenkte Macht. Der Bogen neige sich nicht, weil dies unausweichlich sei, sondern weil wir ihn zur Gerechtigkeit biegen. Es ist ein Appell an jeden einzelnen, die Demokratie nicht aufzugeben, den Willen und die Kraft aufzubringen, die Zukunft verändern zu wollen.
Thomas Dietsch
Trump-réalité
Après des joutes où les injures de toutes sortes ont été lancées à la tête de ses adversaires, le moment est venu de mettre de l’eau dans son vin. 73 jours de transition à la Maison Blanche permettront à Donald Trump de le faire. Le président sortant doit remettre tous les documents nécessaires à son successeur, le mettre personnellement au courant de tous les tenants et aboutissants de la politique intérieure et internationale. Une campagne électorale est une chose, la gouvernance une autre. Même un taureau comme Donald Trump sera forcé de de reconnaître. Il le fait d’ores et déjà. Barak Obama a l’intention de s’en tenir à toutes les règles et veut que pendant ce temps si crucial pour l’avenir du pays tout se déroule dans l’harmonie. Il en va de l’Amérique, non de l’ego d’une seule personne. Il est légitime qu’il essaie d’appeler à la raison le nouveau chef de l’État en lui présentant les raisons de son action. Cela va de l’assurance-maladie aux rapports entretenus avec ses partenaires à l’échelle mondiale. C’est ce que je veux aborder ici. Il est évident que le nouveau président pourra exercer une grande influence bien au-delà des frontières de son pays. Il devra se mettre à l’évidence que l’équilibre international est un garant de paix. En Europe il sera déterminant de quelle manière il concevra ses rapports avec Vladimir Poutine. En acceptant sans résistance l’annexion de la Crimée, il légitimerait une intervention qui blesse les conventions édictées par l’ONU. Il sera bien obligé de reconnaître qu’il ne peut pas jeter tout simplement pas dessus bord, des principes que ses alliés sur le vieux continent considèrent comme étant la base même de la démocratie et de la liberté de chaque peuple à décider de son destin. Weiterlesen
Obama monte au créneau
Barak Obama a dit que Donald Trump ferait mieux de défendre ses visées politiques au lieu de pleurnicher comme il le fait en parlant d’élections truquées. Il le ferait probablement bien, s’il n’était pas ignorant à ce point. Lors d’une conférence de presse donnée hier, Obama a en particulier parlé de l’attitude du candidat mal-aimé des Républicains en ce qui concerne son admiration pour Vladimir Poutine. Il est vrai que la manière d’agir du maître du Kremlin ne correspond en aucune manière avec les buts démocratiques des USA. Que l’on veuille ou pas, ils sont encore considérés comme étant la base de toutes actions, peu importe où dans le monde. Ce que nous vivons actuellement dans les débats électoraux va dans le mauvais sens. Donald Trump est entrain de faire tourner en dérision tout un système qui jusqu’à ce jour a bien fonctionné. Bien sûr, il y a des bévues. Si cela n’était pas le cas, il y aurait de quoi être surpris. Mais à côté que ce qu’une Amérique à la Trump pourrait être,c’est bien dérisoire. Si son exemple est Poutine, il y a de quoi être des plus inquiets. Cela reviendrait à dire qu’un certain totalitarisme s’instaurerait sur les rives du Potomac. Cela ne doit en aucun cas arriver. J’attends avec une certaine impatience le débat télévisé qui aura lieu cette nuit entre les deux candidats. Reprendra-t-il position au sujet de Moscou ? Y aura-t-il plus de cohérence dans son discours ? Il est vrai que les rapports américano-russes sont des plus complexes. Ils ne doivent en aucun cas rester dans l’état actuel, qui entérinerait une amorce d’une nouvelle guerre froide. Tout en condamnant une attitude hégémonique de la part de Poutine, il faudra bien se rapprocher un temps soit peu. C’est la réalpolitik qui le commande. Il est à prévoir que le président russe ne fera aucunes concessions au sujet de la Crimée ou de l’Est ukrainien. Weiterlesen
Attendre la Californie
Il est 5 heures 40. J’attends avec impatience les résultats des primaires américaines en Californie. Même si Hillary Clinton a une majorité de voix au congrès des Démocrates qui nommera le candidat officiel, il semble être nécessaire pour elle qu’elle remporte l’État le plus peuplé des USA. Dans la bataille qui l’attend, toutes victoires ont leur poids. Je ne sais pas trop si Bernie Sanders est conscient de cet enjeu. Il n’en va plus d’un défi personnel. Il faut absolument resserrer les rangs. C’est la raison pour laquelle Barak Obama se lance dans la mêlée. Il veut soutenir de tout son poids Madame Clinton. Il est indispensable de le faire afin qu’elle puisse garder ses chances par rapport à Donald Trump. Il est évident que ce dernier veut glaner des voix auprès de tous ceux qui ont soutenu Sanders. Il a déclaré qu’il les accueillerait les bras ouverts. Aussi absurde que cela puisse paraître, il n’est pas dit qu’il n’ait pas un certain succès. Croit-il que le fait de se rouler dans de la farine puisse le rendre plus crédible ? 5 heures 51. Pas de nouvelles de Californie. Les deux candidats se trouvent d’après les sondages tête-à-tête. Personne ne peut pour l’instant prédire le verdict des urnes. Cet État connu pour son libéralisme pourrait bien être tenté de plébisciter un système de société social-démocrate. Il en va d’une répartition plus juste des ressources. Peut-être un réflexe humaniste venant d’une gauche-caviar, qui ne connaît pas personnellement les affres de la précarité ? Comme je l’ai déjà écrit à maintes reprises, je préfère les options politiques de Bernie Sanders, mais me déclare avant tout partisan de l’épouse de l’ex-président. Cela pour des raisons stratégiques. Je pense que les américains ne sont pas prêts à cautionner des idées gauchistes venant de l’Europe. Weiterlesen
Hiroshima
On May 27th this year Barack Obama had been the first sitting U.S. president to visit Hiroshima. Accompanied by Japanese Prime Minister Shinzo Abe, Obama laid a wreath at the Hiroshima Peace Memorial. We didn’t know what to say, but the White House had emphasized that he will not apologize for the U.S. decision to drop atomic bombs on Hiroshima and Nagasaki in the closing days of World War II. Nor should he.
On August 6th 1945, Hiroshima was a city of 350.000 well-braced for U.S. bombing raids. Makeshift fire lanes snaked through neighborhoods. Locals built concrete tanks alongside houses and filled them with water — to extinguish fires but also to leap into as lifesaving refuge. That morning, two or three B-29 bombers were spotted, but no one ran for shelters — big bombing raids almost always meant a sky filled with attacking bombers.
Then, at 8:14 a.m., „Little Boy“ fell from the Enola Gay flying at 31.000 feet.
Witness accounts run the gamut, but everyone remembers the blinding flash of light. Schoolgirls saw it through their classroom windows moments before the ceiling crashed down on top of them. In Gerard DeGroot’s book „The Bomb“, middle school student Michiko Yamaoka remembers „a very strong light, a flash“, just as her face ballooned and her body flew into the air.
The Enola Gay’s pilot, Colonel Paul Tibbetts, remembers how „the bright light filled the plane … the whole plane cracked and crinkled from the blast. We turned back to look at Hiroshima. The city was hidden by that awful cloud … mushrooming, terrible and incredibly tall“.
In the inferno that Hiroshima became, scorched, disfigured bodies lay everywhere. Railroad ties caught fire. Thousands died instantly. By December 1945, the death toll reached 140.000, about 40 percent of the city’s population. In the years that followed, radiation took its toll: intestinal bleeding, stillbirths, cataracts, leukemia and other kinds of cancers.
There is hope among Hiroshima’s Japanese that Obama´s visit will revive talk of nuclear disarmament. That’s a reasonable expectation:
Less than three months after taking office in 2009, Obama appeared on a hilltop plaza in Prague and called for „a world without nuclear weapons. … The world must stand together to stop the spread of these weapons“. When it comes to today’s most worrisome nuclear threats, however — nuclear arsenals vulnerable to terrorists or in the hands of rogue states — there is still a good deal of work to do. There are serious questions about whether the West’s nuclear pact with Iran will keep that nation from developing nukes. Another danger: Pakistan’s military continues to beef up its nuclear weapons stockpile in a country ceaselessly grappling with Islamic militancy. And the bizarre regime in North Korea continues to threaten nuclear strikes against its enemies.
The harrowing legacy of Hiroshima and Nagasaki reminds us that blocking nuclear proliferation needs to be a relentlessly urgent priority. That legacy is mankind’s only window into the hell that a nuclear explosion inflicts on innocents. Books on Hiroshima describe the blackened wasteland after the blast: a woman’s charred body, frozen in a running pose, holding tight her baby; bloated corpses floating down the Ota River; other bodies with the floral patterns from their kimonos burned into their skin.
Obama encountered Hiroshima’s grim images when he toured the grounds of the Hiroshima Peace Memorial. The director of the memorial’s museum, Kenji Shiga, recently told the Japan Times that he won’t seek an apology from Obama. He just wanted the president „to face our displays not as someone in power, but as a human being, or a father“.
We whom we are born after this disaster are held to carry the legacy in the future. It cannot be so difficult to abolish nuclear weapons and to clear conflicts verbally or by plebiscite in future. These proposals are not new, they were already made by Woodrow Wilson (14-point rule) after the catastrophe of the beginning last century – World War I. Hundred years later we stay in the same old groove. We should have been more openminded after the twentieth century. In the background a threat: total distruction!
Obama à Riad
La rencontre entre Obama et le roi Salmane à Riyad ne sera pas de tout repos, ceci en particulier depuis l’initiative de certains députés démocrates et républicains voulant rendre possible des poursuites judiciaires en Arabie Saoudite après les attentats du 11 septembre 2001. La plupart des terroristes venaient effectivement de ce pays riche en pétrole. Malgré les atteintes aux droits de l’homme, les USA ont toujours été des alliés exemplaires. Depuis le début le business était la cause de cet aveuglement. Ne surtout pas mettre dans l’embarras un des plus gros producteurs de la planète explique cette attitude qui devrait être répréhensible aux yeux de citoyens épris de libertés. Ce qui se passe actuellement avec Deach n’est pas non plus si clair. Sans l’argent venant de la péninsule arabique, les émirats inclus, je pense que ce mouvement fondamentaliste n’aurait jamais pu avoir l’essor que nous connaissons aujourd’hui. Une guerre sans précédent contre l’occident s’en est résultée. Il en a été de même avec al Quaïda. Il y aussi le Wahhabisme, une faction particulièrement dure de l’islam, ainsi que les salafistes. Ceux-ci jouissent du soutien officiel de la famille royale saoudienne. Ce que ces groupes déclarent n’est pas un message de paix, de tolérance, au contraire. Ce sont des propos qui incitent au fanatisme. Je peux parfaitement comprendre qu’ils ne sont pas du goût de tous ceux qui se sentent attaqués. Il est regrettable qu’une religion monothéiste, qui de par ces racines nous est très proche, attise à ce point le feu. Va-t-on dans les sens du Coran en fustigeant ainsi les frères et les sœurs des autres religions ? Je ne le crois pas. Tout aussi bien Moïse ou Jésus y sont évoqués comme étant eux-aussi des prophètes. Il y a donc contradiction entre l’écriture et les faits objectifs que nous connaissons aujourd’hui. Weiterlesen