Une enseignante du Collège Elsa Triolet à Sant-Denis a été braquée par un ado, qui a brandit sur elle un pistolet de pacotille. « Il y en a un qui est entré en criant : c’est un attentat ! Il a braqué une arme factice sur moi, il a tiré en direction de mon visage. J’ai mis ma main et les billes ont atterri sur ma main. J’étais dans la sidération parce que je ne connaissais pas l’individu. » Cette femme est en état de choc. Ses collègues ont décidé hier d’aller manifester. Une telle situation s’est déjà déroulée dans le département. Elle démontre à quel point la situation s’est détériorée. Pour beaucoup d’élèves le seul fait de déclarer, où ils vont à l’école, est un constat d’échec. Cette situation grave ne peut pas excuser une telle action. Est-ce en quelque sorte un cri d’alarme ? Ou est-ce qu’une bravade d’un jeune en déshérence ? Il démontre qu’il y a urgence pour l’État de remettre à plat ce que je nommerais « le mal des banlieues ». Depuis des années il est question de réformes, de projets. Ceci tout particulièrement dans le domaine de l’enseignement. Le but recherché est de rééquilibrer la situation des jeunes de ces cités par rapport à la moyenne nationale en ce qui concerne la qualité des cours et les chances de réussite. Malgré les bonnes intentions on est loin du compte. Le professeur est confronté directement à cette situation, même si lui-même, n’est qu’un pion sur l’échiquier. Il n’a pas d’emprise directe sur les méthodes scolaires, sur le rôle sociologique du collège par rapport à son environnement direct. Même si on le nie parfois, il ne peut être qu’un exécutant. Cela met à mal son autorité par rapport aux élèves, qui attendent de lui bien plus que ce qu’il est en mesure d’offrir. Weiterlesen

Coups de feu à Utrecht

Trois mort et cinq blessés à Utrecht après qu’un forcené ait fait feu sur des passagers d’un tramway. Il s’agit d’un homme originaire de Turquie, Gokmen Tanis, 37 ans, qui a été arrêté hier en fin de journée. Le gouvernement néerlandais privilégie la piste terroriste, sans pour autant exclure des raisons personnelles. Il ne fait aucun doute que ce méfait sera un atout pour les extrémistes de droite de ce pays qui jusqu’alors était plutôt ouvert politiquement. Mais depuis quelques années les Hollandais sont de plus en plus tentés par les inconditionnels du populisme. « Un acte de terrorisme est une attaque contre notre civilisation, contre notre société tolérante et ouverte ». C’est-ce qu’à déclaré Mark Rutte, le premier ministre. Je ne sais pas si sa définition de ce que devrait être les Pays-bas correspond encore à la réalité. Le fait est que le terrorisme islamiste a fait basculé le pays dans une atmosphère bien moins tolérante que cela a été le cas dans le passé. Je prends cet exemple pour démontrer ce que le terrorisme peut provoquer : la destruction de nos valeurs telle que celle de l’ouverture. N’est-ce pas le but que ce sont fixés les fondamentalisme de tous bords, que ce soient ceux issus de l’islamisme ou ceux venant du nazisme. Il est regrettable que la société réagisse exactement comme les stratèges des extrémistes l’ont prévu. Lorsque Donald Trump prétend que l’EI a été vaincu, je ne le crois pas. Tant qu’il y aura des gens prêts « à se sacrifier  pour une grande cause », il ne peut pas être question de défaite, même si sur le terrain au Proche et Moyen-Orient les extrémistes ont perdu les territoires dont ils avaient la mainmise. Cela ne les empêche pas d’exporter la violence et la haine en Europe ou ailleurs. Et tout cela sur la toile de fond des terribles attaques contre des mosquées à Christchurch en Nouvelle Zélande, où un assassin néonazi a tué 50 musulmans. Weiterlesen

Lieber Pierre,

Chekatt ist tot. Er nahm unschuldige Menschen mit in seinen psychisch kranken Wahn des großen Gottes, der Fanatismus hat wieder einmal bitterböse zugeschlagen. Ein gefundenes Futter für die Rechtspopulisten, zumal dies auf einem weltbekannten Weihnachtsmarkt stattgefunden hat. Berlin, Straßburg, Nizza und so weiter. Und immer sind es terroristische Akte, die niemals – mit keiner Präventionsmaßnahme und durch nichts – vorhergesagt  oder verhindert werden können. Umso schlimmer, wenn es in die christlich-besinnliche Weihnachtszeit trifft, in der diese Familien ihre Liebsten verloren haben. Doch, was bleibt mir übrig, zu sagen? Es wird wieder geschehen, vielleicht an einem anderen Ort, zu einer anderen Zeit. Es macht es nicht einfacher, unsere muslimischen Mitbürger zu akzeptieren und zu mögen, obwohl wir denen gegenüber sehr ungerecht sind, die damit nichts zu tun haben und tatsächlich hilfesuchende Menschen sind, die unsere gesellschaftlichen Regeln anerkennen und mitnichten radikalisiert sind. Wir sprechen hier im Falle der Attentäter immer – und zwar ohne Ausnahme – um psychisch gestörte Menschen, die ihre Religion grundsätzlich missverstehen, denn das hat nichts mit Allah zu tun und auch nichts mit irgendeinem Gott oder dämlichen Jungfrauen, die man im Himmel vögeln kann. Es sind kranke, hasserfüllte Menschen, die anderen Menschen Leid zufügen. Leider führen solche Taten eben tatsächlich zu einer Pauschalierung bezüglich der Ausländerfeindlichkeit in unserem Land und in Europa generell. Wir sind ein starkes Land und das Feindbild im Westen, das – in Augen der radikalisierten Islamisten – auszurotten gilt. Da haben wir es wieder, lieber Pierre… Hass und Feindseligkeit, Unwissen und Gier, wir drehen uns im Kreis. Wundert es uns, wenn wir vor unserer Haustüre den Arbeiter sagen hören: „Die sollen alle gehen, wir wollen die nicht. Sie vergreifen sich an unseren Frauen, an unserer Gesellschaft… sind alle Dreck.“ Das hört man tatsächlich, erschreckend und trotzdem präsent, denn es geht um Angst. Die Menschen haben Angst um ihre Sicherheit, sie haben Angst, dass es nicht so bleibt, wie es ist und wir den Feind in unser Land geholt haben. Dabei vergessen sie natürlich, dass nur ein sehr geringer Teil wirklich straffällig wird und tatsächlich nur ein sehr geringes Ansteigen der Kriminalitätsstatistik zu verzeichnen ist. Die Medien tun übrigens ihr Übriges, das mal am Rande. Anstatt eine positive Stimmung aufkommen zu lassen, schüren sie noch mehr Angst und zeigen vermehrt negative Ereignisse als positive.

Weihnachtszeit, heilige Zeit, heile Zeit? Es wird Zeit, dass wir grundsätzlich Regeln für ein Miteinander der Völkervielfalt setzen und zwar nach unseren Regeln. Es wird Zeit, dass wir scharf gegen Verbrecher vorgehen, die Stimmen unseres Volkes aufnehmen und dennoch dem Rechtspopulismus und dem damit aufkeimenden Verfall der demokratischen Ordnung die rote Karte zeigen. Neonazis braucht niemand, fundamentalistische Gedanken auch nicht – aber eine klare Strategie, wie wir gegen Attentäter und Gewaltakte wider unseres Volkes, umgehen. Genau das taten sie in Frankreich und fassten den Täter, der dieses Unheil anrichtete. DAS sollte den Leuten klar sein, dass niemand in Europa ungestraft davon kommt und genau DAS sollten die Menschen erkennen, bevor sie pauschal auf alle Moslems losgehen und rassistisches Gedankengut streuen. Dennoch liegt eine große Aufgabe vor uns, es wird uns allen noch viel abverlangt werden und das Ende von Terroranschlägen oder Attentaten ist nicht in Sicht. Das liegt schlicht und einfach daran, dass Menschen auf der ganzen Welt generell auch das Böse in sich tragen und wir diesen Hass niemals wirklich überall stoppen können. Damit müssen wir leben und uns darüber im Klaren sein, dass es niemals und nirgendwo eine wirklich sichere Situation geben wird. So sind Menschen eben.

 

Frohe Weihnachten aus Frankfurt,

Petra

 

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Huit personnes tuées, 11 blessées hier à Manhattan à 15 h 05. Beaucoup de gens dans les rues qui s’apprêtaient à fêter le Halloween. Un jeune homme de 29 ans emprunte à contresens une piste cyclable dans le Sud du quartier et commet un carnage sur près d’un kilomètre, percute un car scolaire et renverse un nombre élevé de personnes. Finalement il sort de son véhicule en criant : Allah Akbar (Dieu est grand). La police lui tire dessus. Blessé à l’abdomen il est emmené à l’hôpital. Une fois de plus il semble que l’EI soit le commanditaire de cet attentat, tout au moins son inspirateur. Que dire ? Même si mon commentaire ressemble à celui de Nice, Berlin ou Londres, je ne peux pas ignorer ce qui semble devenir monnaie-courante dans la guerre que nous livre les islamistes. Cette fois-ci l’arrière-plan politique semble être de taille. Il a pour but de provoquer les autorités américaines et les amener à prendre des mesures de plus en plus discriminatoires. Donald Trump a maintenant à sa disposition des arguments concrets pour augmenter la répression dans les milieux musulmans et d’imposer aux frontières des mesures encore plus draconiennes. Dans des cas pareils il se voit confirmé dans sa manière d’agir. On ne peut que regretter que des faits aussi terribles provoquent une vague d’exclusion. Je serais très étonné que la réponse du gouvernement fédéral soit marquée de pondération. Mais qui sait ? Et pourtant il serait souhaitable de ne pas réagir dans le sens de l’EI, qui attend à coup sûr de la répression. Comme on le sait, sur le terrain cette organisation terroriste essuie un échec après l’autre. Elle a dû se retirer de ses fiefs en Irak et en Syrie. Probablement ce sera aussi le cas en rase-campagne. Weiterlesen

Lorsque j’habitais à Marseille, j’arrivais souvent par le train à la Gare Saint-Charles. Avant d’y parvenir le voyageur avait une vue splendide sur le port. Au loin Notre-Dame-de-la Garde. Sur l’esplanade, on sentait les odeurs des épices orientaux. Au bas des escaliers s’étendait le quartier arabe avec ses échoppes, ses cafés où les habitués buvaient du thé de menthe, comme on en sert en Afrique du Nord. Les rues étaient bondée de monde, des gens venant d’un peu partout. Des blanc, des noirs, des Berbères, des Touaregs, des Comoriens, toute une population bariolée qui faisait bon ménage, malgré les tensions dues à l’époque à la fin du colonialisme. Il y avait relativement peu de femmes voilées. Pas de traces d’islamisme. C’était dans les années soixante. Depuis cela a bien changé. Il aurait été inimaginable que deux jeunes femmes soient poignardées, que parce qu’elles se trouvaient là au mauvais moment et au mauvais endroit. Un tunisien, qui avait été arrêté à Lyon puis relâché pour un quelconque délit, a tué soit disant à cause de sa religion deux innocentes qu’il ne connaissait pas. Qu’il ait été téléguidé ou pas par Daech, peu importe. C’est l’horrible drame qui me bouleverse. Mais aussi la souillure qu’il a propagée sur nos amis musulmans, qui se trouvent fragilisés. Je parle de tous ceux qui ne sont pas fanatisés par des imams politiques, qui rejettent de tels actes. Il est malheureusement évident qu’on les met dans le même panier que ces criminels. Cela ne peut qu’encourager l’exclusion, le racisme. Je ressens évidemment un profond deuil. Je ne vais pas dans ce cas-là chercher des circonstances atténuantes. Weiterlesen

L’EI a envoyé des kamikazes à Téhéran. Ils ont attaqué le parlement et le mausolée de l’ayatollah Khomeyni. Le bilan : au moins 13 morts et des dizaines de blessés. C’est la première fois que cette organisation terroriste s’attaque directement à son plus grand ennemi qu’est l’Iran. D’une part il y a la haine des chiites qu’ils ne reconnaissent pas théologiquement, d’autre part un de leur plus grand adversaire, qui soutient le régime de Bachar al Assad en Syrie et prend part aux combats sur le terrain. D’un point de vue logique cette attaque aurait dû se passer il y a longtemps. La raison pour laquelle cela n’a pas été le cas jusqu’à présent est assez inexplicable. Et ils ont frappé gros ! Au centre même du pouvoir civil et religieux. Peut-être que la presse va considérer cet attentat comme la suite logique des meurtres de Londres, Manchester, Paris, Nice et Berlin, mais je ne peux pas en tirer la même conclusion. Je pense qu’il y a une autre dimension dans ce cas bien précis. Je la situe dans le cadre de la visite du président Trump à Riyad et de la rupture diplomatique de l’Arabie Saoudite et de ses alliés avec le Qatar. J’attribue une certaine responsabilité de cet acte odieux aussi à ceux qui versent de l’huile dans le feu. Le Moyen-Orient est en train de s’embraser. Les conséquences seront plus graves que le conflit israélo-palestinien. Weiterlesen

Je voulais écrire un article sur la finale de la Champion League entre la Juventus et le Real Madrid, mais il n’en sera rien, car la nouvelle qu’un attentat a eu à nouveau lieu en Angleterre me rappelle à nouveau à la réalité. Cette fois-ci il a eu lieu à Londres, à 22 heures 08, où une camionnette est entrée dans la foule à la London Bridge et a fait au moins 6 morts. Pas loin de là, au Borough market, des hommes ont essayé de poignarder des passants. Ils ont été abattus. La police pense que c’étaient les mêmes individus qui se trouvaient dans le véhicule. Une fois de plus nous sommes impuissants face au terrorisme. Il est à craindre que le crime de Manchester ait redonné de la vigueur à tous ceux qui ont pour but de détruire notre société. Et ceci au cours du Ramadan qui devrait être une période de paix. Il est évident que Teresa May est visée. La preuve qu’elle n’est pas en mesure d’assurer la sécurité, malgré des mesures draconiennes. Partout des caméras vidéos ont été apposées. Peu de places ou de rues qui ne peuvent pas être observées. Une présence accrue de policiers. Mais rien n’y fait. Lorsque quelqu’un s’est mis en tête de tenter un attentat, personne ne pourra l’arrêter. En Grande Bretagne il y a de grandes disparités sociales qui amènent certains peu privilégiés à agir de manière violente. Probablement l’État fait trop peu, ce qui amène des tensions. Il y a en plus une grande défiance par rapport à la communauté musulmane, ce qui ne facilite pas les choses. Le Brexit n’a-t-il pas été le fait de citoyens ayant peur des étrangers ? De certains racistes qui ne voient que l’avenir des îles dans une espèce d’apartheid ? Il est évidant que la situation du Royaume Uni face aux négociations de divorce n’arrange guère les choses. Weiterlesen

Letzten Samstag verließen wir spät in Frankfurt die Konzerthalle. Es war schön, gut besucht. Von solchen Erlebnissen zehrt man monate-, ja zuweilen jahrelang. So etwas bleibt in Erinnerung! Was passiert, wenn sich solche Erinnerungen mit Angst mischen, war mir in diesem Moment nicht richtig klar. Wie es ist, wenn das Schicksal Schönheit und Horror nur für runde 48 Stunden und 850 Kilometer Luftlinie trennt. Wie schmal ist die Linie, die Lebensfreude und Tod trennt?!

Am Montag dieser Woche waren bei einem Anschlag am Ende des Konzerts der Sängerin Ariana Grande 22 Menschen getötet und mehr als 60 Personen zum Teil schwer verletzt worden. Der „Islamische Staat“ (IS) hatte behauptet, hinter dem Anschlag zu stecken.

Aber vielleicht weil es das Ziel des Massenmörders war, möglichst viele junge Konzertbesucher, das weichste der weichen Ziele, in den Tod zu reißen, ist dieser Anschlag so abscheulich. Möglicherweise sind die Bekundungen der Bestürzung und der Betroffenheit auch deshalb so eindringlich und mitfühlend. Ja, Großbritannien steht nicht allein. In diesem Kampf gegen einen menschenverachtenden Extremismus stehen seine Partner in Europa und anderswo fest an seiner Seite!

Diese Tat ist Ausdruck einer nihilistischen Gesinnung, die sich gegen die Jugendkultur richtet. Es ist schwer zu sagen, wie viele radikalisierte Islamisten, die britische Staatsbürger sind und/oder der Terrormiliz „Islamischer Staat“ nahestehen, diese Gesinnung teilen und an der Schwelle stehen, potenzielle Massenmörder zu werden.

Wie viele werden über die Tat jubeln, die Manchesters Bürgermeister einen Akt des Bösen nannte? Werden einige darüber erschrocken sein, weil die Grenze der Ruchlosigkeit überschritten wurde? Auch das ist schwer zu sagen. Aber eines steht felsenfest und ist nicht nur eine Floskel für solche Anlässe: Britannien wird nicht vor den Terroristen in die Knie gehen. Es wird noch mehr für Belange der Sicherheit tun, aber es wird sich nicht vorschreiben lassen, wie es zu leben hat und welche Politik es verfolgt.

Können wir Bürger mit noch größerer Dringlichkeit fragen, wie das sein kann: islamistischer Terror im Herzen ihrer Städte, ob von Einzelgängern oder von Auftragsmördern verübt?

Ich weiß zuweilen nicht, was mir besser erscheint?! Soll über Attentate öffentlich berichtet werden? Oder sollen wir einfach nur schweigen? Müssten die Tageblätter und die Nachrichtenseiten im Internet und im Fernsehen nicht einfach weiß sein? Genauso nihilistisch wie die Gesinnung der Täter?! Was wollen diese Mörder eigentlich? Sie wollen Aufmerksamkeit! Kleine quengelnde Kinder, die andere mit in den Tod reißen, um einmal in den Gazetten zu stehen. Und wir berichten über sie! Darin liegt wohl der große Fehler. Man müsste diese Selbstmordattentäter über den Tod hinaus eigentlich mit Nichtachtung strafen. Einfach buchstäblich „totschweigen“. 22 Menschen starben bei dieser grausamen Mordtat, Jugendliche, Kinder. Wie es immer heißt: „Sie sind tot!“. Und in fünf oder sechs Wochen sind sie aus den Schlagzeilen verschwunden. Tot ist schlimm genug, aber das ist beileibe nicht alles, was diese Verbrecher anrichten. Hier wurden 22x Jahrzehnte von Leben genommen, 22x die Chance, Glück zu finden, hier wurden 22x Mütter und Väter, Töchter und Söhne, Nichten, Neffen, Enkel und irgendwann einmal Großeltern ausgelöscht. Das ist das, was entscheidend ist, der große Verlust!

Der Terror soll es wieder gewesen sein, der IS beansprucht wieder diesen feigen Massenmord für sich. Ich frage mich manchmal, ob unsere Regierungen nicht kapituliert haben. Wird wohl wieder der Terror gewesen sein, „wir ermitteln!“. Was kommt eigentlich nach Monaten aus diesen „Ermittlungen“ raus? Weiß das jemand? Oder sind die Akten da schon im Häcksler?! Ich behaupte deshalb: Es ist bequem, wenn es „wieder einmal der Terror“ war. Lässt sich eh wenig machen … Das ist eigentlich eine gute Ausrede für Machtlosigkeit. Und dann ein bisschen IS dazu. Einer muss ja schuld sein. Ich bezweifle, dass die Mehrheit der IS-Mitglieder überhaupt weiß, wo Manchester liegt. Geschweige denn, dass der dortige Anschlag auf das Konto des IS geht.

Wir reden hier über feigen Mord. Schweigen wir für die Opfer, gedenken wir ihrer und ihrer Familien.

Und verschweigen wir den Namen des Täters. Auf dass sein Name in Vergessenheit gerät. Ein Mensch mit einer solchen Gesinnung ist es nicht wert, erinnert zu werden.

Die Tat von Manchester hat nichts Menschliches in sich, verstößt gegen alles, was Humanität ausmacht. Hierfür fehlen uns die Worte …