Emmanuel Macron a donné un coup de téléphone au Président iranien Hassan Rohani et lui a dit que la France ferait tout afin que l’accord sur la non-prolifération de l’armement nucléaire ne soit pas caduque du fait de la réaction insensée de Donald Trump. Ce dernier prétend que c’est le plus mauvais papier qui soit et que les USA en pâtiraient. Une fois de plus des propos incendiaires pour calmer les esprits de ses électeurs, des blancs modestes et souvent incultes comme lui, habitant à proximité des grands lacs et au Middle West. Des coups de gueule dont on se passerait volontiers. Le vase n’est-il pas en train de déborder, d’autant plus que bien des Républicains siégeant au Congrès sont d’avis que ce traité est le moindre mal et qu’ils feront probablement obstruction aux visées du Président Trump. Dans ce contexte très tendu, je trouve bon qu’Emmanuel Macron ait accepté l’invitation de se rendre à Téhéran. On ne peut pas en temps qu’Européen dire Amen à toutes les insanités provenant de Washington. Aussi regrettable que cela puisse être, il faut que la communauté internationale ne se soumette pas aux caprices d’un chef d’État sorti de ses gonds. Il serait temps que l’UE, la Russie, la Chine, les Indes et j’en passe fassent enfin leur propre politique, quitte a prendre leurs distances pas rapport aux États-Unis. Un isolation imposée de l’extérieur risquerait de mettre dans l’embarra l’économie américaine, peut-être une occasion pour les citoyens de réfléchir. Il ne sert à rien de répéter que ce président est un désastre pour son pays. Il faudrait que les citoyens n’ayant pas perdu leur raison – peut-être actuellement une majorité – fasse tout pour faire pression afin « que ce brave homme » prenne une retraite prématurée « bien méritée. » Mais je ne pense pas qu’il faille s’attendre à une bonne nouvelle provenant de l’autre côté de l’Atlantique, car les Américains sont légalistes. Pendant les trois ans qui restent, nous vivront sur une poudrière, car nous avons affaire à un individu primitif. Weiterlesen

Que de ferraille, que de puanteur, que de bruit… Des automobilistes stressés… La ville est en passe de devenir un cauchemar. Puis le diesel, avec ses particules qui détruisent les poumons et qui peuvent provoquer le cancer ! Pauvre Paris, tu n’as pas mérité cela ! Je trouve bon qu’Anne Hildago continue ce que Jacques Chirac a commencé en 1970, doter la capitale de pistes cyclables. Je ne comprends pas le tollé général en ce qui concerne la réduction de la circulation. L’urbanisme d’une vieille ville n’est pas adapté à un réseau d’autoroutes urbaines comme c’est la cas de Los Angeles par exemple. Il faut qu’elle respire et qu’elle donne la priorité à la vie, non pas aux moteurs polluants. Puis l’illusion de parvenir plus rapidement de A à Z. Du pipeau. Et le problème du stationnement ! Je ne vois pas quel plaisir on peut avoir de tourner des heures et des heures en rond ou de payer à prix d’or le droit de laisser sa voiture dans un parking ! Sans parler des embouteillages ! Les amis, je conduis depuis l’âge de 18 ans, j’en ai 71 et j’ai encore bien du plaisir d’être au volant, mais pas dans de telles conditions. Peut-être qu’il nous faut reprendre conscience de ce que peut être la proximité. Tout d’abord il faut prendre le temps d’en jouir. De vouloir considérer l’agitation comme une preuve d’efficacité, est une des plus grandes erreurs de ce début de siècle. Lorsqu’on s’aperçoit du temps perdu lors de conférences absolument inutiles, où il en va seulement de l’ego de certains responsables autoproclamés, il est difficile d’admettre tout ce stress. Il en va en ville comme dans le métier, il faut réfléchir avant d’agir. C’est aussi valable pour les déplacements. Je pars du principe que je dois prendre les moyens de transports publics, lorsque c’est possible. Et si j’habite en banlieue, je peux laisser mon véhicule à l’extérieur. Mais les municipalités doivent tout faire pour faciliter de telles démarches. En règle générale le prix des tickets est trop élevé. Lorsqu’on calcule les coûts dus à la pollution, une baisse du prix des transports serait justifiée. Weiterlesen

Il faut l’avoir vu ! J’ai tourné il y a des années des films sur les enfants des rues à Berlin. Des gosses entre 10 et 14 ans qui n’ont pas de domicile fixe, qui sont livrés à eux-mêmes. Ils ne venaient pas, comme il semble être actuellement le cas à Paris, du Maroc ou d’autres pays lointains. C’étaient souvent de jeunes allemands issus d’un milieu bourgeois qui avaient fugué. Et les parents ? Souvent ils ne réagissaient même pas, d’après les dires des cellules chargées de la protection de l’enfance. Il va sans dire que tous ceux que j’avais rencontré prenaient de la drogue, souvent pour masquer leur angoisse. Ce n’était pas par plaisir, par esprit de contradiction. Et pour se payer les stupéfiants, ils se prostituaient. Il y avait alors une clientèle avide de chaire fraîche. Je suis sûr que cela n’a pas changé depuis. Et comble d’ironie, si on peut décrire ainsi l’attitude des autorités, les clients n’avaient rien à craindre, car ils étaient issus de la bonne société. La loi qui aurait dû s’appliquer aussi à eux, les épargnait, car ils jouissaient en haut lieu de protections. Inutile de dire que cela me choquait lorsque des représentants de l’ordre me demandaient de ne pas faire des prises de vue de ces respectables personnes, au nom de la sauvegarde de leur personnalité. Et les enfants ? Ils s’en fichaient, les considérant comme étant du gibier lâché pour une chasse à courre. Comme personne ne s’occupait d’eux, peu importe qu’ils soient violés, torturés ou tués. Je sais qu’il en est toujours ainsi. Et la société? Elle se voile évidemment la face. Pour les mafias ces gosses sont des pépites d’or. Ils sont manipulables à souhait. Et lorsqu’il y a pénurie, on les importe d’un peu partout. Weiterlesen

Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate (LR) dans le 2e circonscription de Paris, a été agressée par un passant sur un marché. Elle a eu un malaise et est tombée évanouie pendant quelques minutes. Il va sans dire que je trouve un tel acte scandaleux. Cet incident me donne à réfléchir. Il n’est pas étonnant que dans la polarisation politique que nous avons connue ces derniers mois, les esprits s’agitent. Avec tout le lot d’injures qu’on a pu lire sur internet, on ne peut qu’être étonné qu’il n’y ait pas eu plus d’attaques physiques. Les politiciens n’ont pas été tendres non plus. C’est la logique d’une campagne électorale, mais il faudrait se dire que les adversaires ne sont pas des ennemis, mais des gens ayant une autre opinion. Se jeter des noms d’oiseaux à la face ne sert strictement pas la cause de la démocratie. Dans certains cas les limites ont été dépassées, ce qui provoque de tels méfaits.

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Anne Hildago, la maire de Paris, veut bannir de plus en plus les autos de Paris. Les pics de pollution sont de plus en plus fréquents, les embouteillages étouffants. Il est clair qu’elle ne se fait pas que des amis en prenant de telles mesures. Mais elles s’avèrent comme étant nécessaires pour redonner à la capitale un peu plus d’oxygène, que ce soit dans l’air ou l’impression de pouvoir se mouvoir plus librement comme piéton. Il est évident que l’assaut des villes par l’automobile a atteint son point culminant. Mais il est difficile comme adepte de la voiture de changer ses habitudes. Prendre tout simplement d’autres moyens de locomotion implique des efforts supplémentaires. Prendre le RER ou le métro est lié avec la promiscuité ce qui n’est pas la tasse de thé pour tout le monde. Puis comme Paris le démontre, il y a les effets collatéraux. La circulation en banlieue s’intensifie. Les bouchons sont quotidiens. Que faudrait-il faire afin de rendre plus supportable une initiative tout à fait sensée ? Tout d’abord aménager de nouveaux parkings. Pour beaucoup de pendulaires la voiture est indispensable pour le trajet entre chez eux et les gares de RER. Dans certains cas il faudra construire de nouvelles lignes de raccordement. Comme on le voit il faudra développer encore plus l’infrastructure dans la grande couronne. Certains se demandent s’il n’aurait pas été plus opportun de régler ces problèmes avant de désengorger Paris ? Mais soyons honnêtes : sans ce coup de semonce rien ne se passerait. Vu sous cet angle, la décision de l’Hôtel de ville est parfaitement sensée. Mais Paris n’est pas une exception. Weiterlesen

Sie haben sich alle in Paris getroffen. Es scheint ihnen diesmal ernst zu sein. 190 Regierungen haben gemeinsam Geschichte geschrieben. Der Weltklimagipfel 2015 von Paris wird auch noch zukünftigen Generationen in Erinnerung bleiben. Was wurde beschlossen?

1. Das Fernziel: „Deutlich unter“ zwei Grad Celsius

In der zweiten Hälfte des Jahrhunderts soll die Welt ihre Treibhausgas-Emissionen auf null senken. Sie kann Emissionen auch kompensieren, etwa durch Aufforstung oder die Abscheidung und Speicherung von Kohlendioxid. Zielmarke ist eine Erderwärmung „deutlich unter“ zwei Grad Celsius, mit dem Ziel, noch 1,5 Grad zu erreichen. „Das läge auf der Linie wissenschaftlicher Empfehlungen“, sagt der Chef des Potsdam Instituts für Klimafolgenforschung. Selbst Greenpeace spricht von einem“Wendepunkt“.

2. Verpflichtungen: Alle fünf Jahre ein neuer Plan

Alle Staaten sollen Pläne vorlegen, wie sie das Ziel erreichen, und zwar alle fünf Jahre. Industrieländer sollen dabei die Führung übernehmen und sich feste Ziele für die Minderung ihrer Emissionen setzen. Nach Möglichkeit sollen das auch Schwellenländer tun, sie werden aber nur dazu „ermutigt“.

3. Mechanismus: Was passiert bis 2020?

Erstmals 2018 soll überprüft werden, ob die Staaten mit ihren Plänen das Fernziel erreichen können, danach alle fünf Jahre. So sieht es der so genannte Entscheidungstext vor, der neben dem neuen Abkommen steht. Er regelt vor allem, was schon vor dem Jahr 2020 geschehen soll, wenn das neue Abkommen in Kraft tritt. Darin lässt sich auch nachlesen, dass die bisher eingereichten Klimapläne bei weitem nicht reichen, also nachgebessert werden müssen.

4. Geld: Wer muss blechen – wer darf zahlen?

Die reichen Staaten sollen Finanzen bereitstellen, um den armen zu helfen im Kampf gegen die Erderwärmung. Schon 2009 in Kopenhagen hatten sie dafür von 2020 an 100 Milliarden Dollar jährlich zugesagt. Die konkrete Summe wird, wohl aus Rücksicht auf die USA, im Abkommen nicht erwähnt, dafür aber im Entscheidungstext. Bis 2025 soll ein neues Ziel entstehen. Andere Länder, etwa China, können auch Geld beitragen, müssen aber nicht.

5. Entschädigung für Klimaschäden: Keine Haftung, aber Anerkennung

Entwicklungsländer hatten sich hier eine Art Haftung gewünscht, für Schäden, die jetzt bereits auftreten. Sie konnten sich damit nicht durchsetzen. Stattdessen werden die Schäden nun anerkannt – was für sich aber auch schon ein Fortschritt ist. Auf eine „kooperative und fördernde Art und Weise“ sollen die Staaten nun an die Schäden herangehen. „Kooperation allein sollte Verpflichtungen nicht ersetzen“, kritisiert die Hilfsorganisation Action Aid. Dennoch sei das Abkommen ein „Haken“, mit dem sich arbeiten lasse. „Paris ist erst der Beginn der Reise.“

Bei aller Euphorie, vergessen wir eines nicht: Schon die Bibel spricht von einer Sintflut. Und davor hat es mit Sicherheit auch eine bzw. mehrere gegeben. Die Erderwärmung geht weiter. Wir haben sie nicht verursacht. Gut möglich aber, dass wir sie beschleunigt haben. Wir können die Tatsache nicht ändern, dass sich die Erde momentan erwärmt. Aber wir können sicherlich die Geschwindigkeit des Prozesses verlangsamen.