Thibaut Pinot a dû abandonner le tour de France hier, car il était blessé. Il était désespéré est ses larmes ont marqué toute l’actualité du jour. « J’ai pris un petit coup à l’arrivée à Nîmes (mardi), mais je ne suis pas sûr que ce soit ça. Je me suis toujours battu, j’y croyais. J’avais toujours espéré avoir cette petite part de chance, je sentais depuis dimanche, après les Pyrénées, que j’étais capable de le faire. Mais on ne le saura jamais. Cela va prendre du temps… » Une étape folle qui a dû être arrêtée au sommet de l’Iseran pour cause de grêle et de coulées de boue sur la route conduisant à Tignes. Le Colombien Egan Bernal est le grand vainqueur et a pu ravir le maillot jaune à Julian Alaphilippe. Pour les participants français au tour, une journée noire. Ce qui s’est passé hier va jusqu’à la limite de ce que peut apporter un être humain dans le cadre de ses efforts physiques et mentaux. On peut se poser la question quel sens il faut donner à une telle torture. Est-ce un exploit ou de la démence ? Je dirai les deux. Il faut peut-être avoir le courage de défier la vie, lui donner ses lettres de noblesse en se surpassant. Mais est-ce légitime dans une grande boucle qui se voue avant tout au commerce ? Où tout n’est que mercantilisme ? Cela fait bien réfléchir, mais malgré mes doutes, la fascination qu’exerce le cyclisme professionnel, malgré tous mes doutes, restera ancrée en moi. Ce qui est demandé aux coureurs est à la limite du possible, ce qui peut être néfaste pour leur santé. Pour moi la torture à laquelle sont soumis les hommes du peloton est une question d’éthique. Il faut qu’ils soient constamment sur le vif, qu’ils profitent de la moindre occasion pour s’échapper. Weiterlesen

Michel Onfray, le philosophe, se conduit comme un amant déçu lorsqu’il s’agit de Greta Thunberg. « Quelle âme habite ce corps sans chair ? On a du mal à savoir… ». Je ne peux pas admettre que dans un débat politique, on s’attaque ainsi à la morphologie d’une jeune fille de 16 ans, malade de l’Asperger, une forme d’autisme. Je ne comprends pas qu’un homme de réflexion puisse en arriver là. Il est permis d’avoir un autre avis, de se fâcher même, mais il ne faut jamais s’en prendre aussi personnellement à son adversaire. J’ai l’impression que Michel Onfray cherche d’une manière vile de détruire Greta par manque d’arguments. « Ce qu’elle lit, à défaut de le dire librement, n’est pas écrit par une jeune fille de son âge. La plume sent trop le techno. Sa voix porte le texte d’autres qui n’apparaissent pas. […] Cette intelligence est vraiment artificielle, au sens étymologique : c’est un artifice, autrement dit, un produit manufacturé. Toute la question est de savoir par qui. […] La réponse se trouve probablement dans l’un des dossiers du Giec – la bible de cette pensée siliconée. » Weiterlesen

Seit mehreren Jahren verhandelt Georg Friedrich, Ururenkel des letzten deutschen Kaisers, mit den Berliner und Brandenburger Institutionen über strittige Eigentums- und Besitzverhältnisse sowie über Entschädigungen. Die Regelung, die das Haus Hohenzollern nach Abdankung Wilhelms II. mit der preußischen Regierung im Jahr 1926 traf, wird von den heutigen Verhandlungsparteien unterschiedlich bewertet. In dem Vertrag zwischen dem Staat und den Hohenzollern wurde 1926 eine Vermögensregelung getroffen, die allerdings viele Lücken aufwies.

Es geht um Rechtspositionen, die sich nach Auffassung der Hohenzollern während der Zeit der sowjetischen Besatzung und der DDR veränderten.

Nach Abdanken von Kaiser Wilhelm II. nach Ende des Ersten Weltkrieges 1918 beschlagnahmte die Regierung den kaiserlichen Besitz. Die sowjetischen Besatzer hatten den Hohenzollern eine Kollaboration mit den Nazis vorgeworfen. Darüber hinaus entzogen sie ihnen unter anderem das Wohnrecht in den Schlössern im Osten Deutschlands. Mitte des Monats wurde bekannt, dass Georg Friedrich neben den Rückgabeforderungen auch ein dauerhaftes unentgeltliches Wohnrecht für die Familie im Potsdamer Schloss Cecilienhof oder in zwei anderen Häusern in Potsdam fordert – dem Schloss Lindstedt oder in der Villa Liegnitz (SPON, tagesspiegel.de).

Es geht in dem Rechtsstreit um bedeutende Kunstwerke, um die fürstlichen Bibliotheken und das Königliche Hausarchiv. Auf der Liste steht etwa Antonie Watteaus Gemälde „Einschiffung nach Kythera“ (t-online.de).

Begehrlichkeiten wurden für Hunderte Gemälde und Skulpturen sowie Möbel angemeldet. Sie gehörten einst zu den „privaten“ Wohnräumen der Kaiserfamilie. Gefordert werde auch ein dauerhaftes, unentgeltliches Wohnrecht entweder im Schloss Cecilienhof, Schloss Lindstedt oder in der Villa Liegnitz in Potsdam.

Hinzu kommt die Rückforderung zehntausender Gemälde, Grafiken, Skulpturen, Porzellane, Medaillen, Möbel, Bücher und Fotografien – Gegenstände von hohem Wert und historischer Bedeutung. Darunter das „Neuwieder Kabinett“ von David Roentgen, eines der prächtigsten Möbelstücke, die je in Europa hergestellt wurden; außerdem Werke von Künstlern wie dem Maler Friedrich Tischbein, Vater und Sohn Lucas von Cranach, Kleidung von Kaiser Wilhelm I. oder der berühmte Sterbesessel Friedrichs II (dw.com).

Die meisten Objekte befinden sich im Bestand der Stiftung Preußische Schlösser und Gärten Berlin-Brandenburg, der Stiftung Preußischer Kulturbesitz und beim Deutschen Historischen Museum. Gut ein Dutzend Museen, Archive und Bibliotheken fürchten damit um Teile ihre Bestände.

Das Berliner Jagdschloss Grunewald und der Neue Pavillon im Park von Schloss Charlottenburg müssten schließen, wenn die Hohenzollern das bekämen, was sie verlangen (Samuel Wittwer, Direktor in der Stiftung Preußischer Schlösser und Gärten, SPON).

Über eines lässt sich nicht verhandeln, und das ist das Geschichtsbild, das in staatlichen deutschen Museen vermittelt wird. Hier verlangen die Hohenzollern nicht nur ein vom Bund betriebenes Familienmuseum im Theaterbau des Schlosses Charlottenburg, sie fordern auch „Mitsprache und Einbringung eigener Vorstellungen“ bei allen Ausstellungen, Publikationen und „sonstigen Maßnahmen“ zur preußischen Geschichte. Damit ist die „republikanische Schmerzgrenze“ (faz.net) erreicht. Es hat seinen Grund, dass das Haus Hohenzollern bei der offiziellen Darstellung deutscher Geschichte nicht mitreden darf. Sein letzter gekrönter Vertreter Wilhelm II. hat – nicht aus Blutdurst, sondern aus Fahrlässigkeit und Inkompetenz – das Deutsche Reich in den Ersten Weltkrieg getrieben und dafür mit dem Verlust seines Throns bezahlt. Und mehrere seiner Nachfahren haben mindestens zeitweise mit dem Nationalsozialismus paktiert.

Die Hohenzollern haben bereits um 1990 versucht, an verschiedenen Stellen Rückgaben zu erreichen, vor allem die Rücknahme der Enteignung 1945 durch die sowjetische Besatzungsmacht. Das ist ihnen vollständig misslungen. Bis hin dazu, dass kürzlich der Prozess um die Rückgabe von Schloss Rheinfels durch das Land Rheinland-Pfalz vom Landgericht einfach abgelehnt wurde und sie gesagt haben, es gibt keinerlei Gründe, dass dieses Schloss an die Familie Hohenzollern zurückgegeben wird.

Die Sache ist juristisch sehr kompliziert. Das geht darum, dass das Vermögen in Preußen zwischen dem Staat und dem Haus Hohenzollern zwar seit 1820 formalrechtlich geteilt war. Es gab eine Zivilliste, aus der wurde das königliche Haus weitgehend finanziert. Das hat ein sehr großes Vermögen aufgebaut. Kaiser Wilhelm II. war ein erfolgreicher Investor auf dem Aktienmarkt. Aber es gab nie eine saubere Trennung.

1926 wurde dann der erwähnte Vertrag geschlossen, mit dem die Nutzungsrechte geklärt wurden – unter anderem für Häuser oder für den Bestand des Hohenzollernmuseums – in welchem auch Eigentumsrechte direkt übertragen wurden. Und dieser Vertrag ist aber möglicherweise seit 1945 für die Bestände und die Immobilien, die sich in der sowjetischen Besatzungszone befanden, nicht mehr gültig.

Les faits : Au tour de France l’Australien Rohan Dennis a abandonné sans qu’il y ait des raisons concrètes de le faire. Ceci au 93 kilomètre de l’étape entre Toulouse et Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées). Le lendemain eut lieu le contre-la-montre à Pau, qu’il aurait pu gagner. « Je suis très déçu de quitter la course, mais étant donné mon sentiment actuel, c’était la bonne décision. » a-t-il ajouté par la suite. C’est un cas de burn-out qui n’est pas dû à un quelconque échec, au contraire. Lorsque un homme comme lui fait le vide autour de lui, il s’agit d’en savoir les raisons. Rohan Dennis, 29 ans, a donné au Podcast Stanley Street social, l’explication suivante : « Je me demande parfois : “Mais qu’est-ce que je suis en train de faire” ? En 2018, je crois que je me suis dit une demi-douzaine de fois : “Je pourrais tout laisser tomber maintenant.” En janvier dernier, je n’avais plus envie de remonter sur mon vélo, j’étais lassé de ce sport. » Ce n’était pas une marotte d’un acteur qui est las de tout le cirque que le vélo engendre, mais d’un coureur qui en a fait son gagne-pain. Il était bien au courant de ce que cela allait provoquer dans sa vie. Un changement radical d’activités, peut-être l’effondrement d’un rêve. Je prends ce cas, car il est pour moi d’un grand intérêt lorsque je vois ce qui se passe au sein des entreprises. Nous avons souvent affaire à des hommes et des femmes ayant du succès, mais pour y arriver devant s’investir totalement. Cela représente une course incessante contre tout ralentissement. Weiterlesen

Vous avez deviné, ils s’agit bien de Boris Johnson. Après une entrevue avec la queen, il occupera Downing Street 10, comme premier-ministre. « C’est un responsable politique qui a incarné des positions, des valeurs et une vision de la société très différentes au cours de sa carrière. Il a changé son fusil d’épaule plusieurs fois et parfois rapidement », juge Alexandre Holroyd, député (La République en marche) des Français établis au Royaume-Uni et dans le nord de l’Europe. Telle est sa remarque qu’il a donné au Monde. Un bon résumé de son caractère. J’ai déjà à maintes reprises écrit des articles sur lui, mais en ce jour d’investiture, je ne peux vraiment pas faire comme si de rien n’était. Vouloir clore le Brexit au 31 octobre 2019, peu importe qu’il y ait accord ou pas avec l’UE, me semble le moins qu’on puisse dire, téméraire. Je ne peux que déplorer que le peuple en fin de compte n’ait pas son mot à dire. Si j’en crois les Européennes, le nombre des électeurs des Tories s’est réduit comme une peau de chagrin. Ce parti représente qu’une infime minorité de la population. Il se pose la question se savoir si Boris Johnson a dans de telles conditions la légitimité de reprendre les rennes de Madame May, qui a complètement échoué. Légalement oui, moralement non. Comme on le sait , le parlement s’était prononcé pour une sortie ordonnée, pas dans le désordre comme cela risque d’arriver. Ce n’est pas en proférant des propos optimistes du genre «Mec, on va énergiser le pays, on va assurer le Brexit au 31 octobre […] et on va à nouveau croire en nous-même !» Je ne vois pas comment il pourra réaliser cela rapidement. Sans l’aide des USA ce ne sera pas possible. Weiterlesen

Je ne suis pas tout jeune (73), mais je trouve que les vieux feraient parfois mieux de fermer leur claque-merde. Je veux parler des fossiles, tout en moins en pensées, qui refusent de recevoir Greta Thunberg comme Julien Aubert (41 ans), le député LR du Vaucluse qui écrit : « Je respecte la liberté de penser…, mais ne comptez pas sur moi pour applaudir une prophétesse en culottes courtes » Puis il qualifie Greta de « Prix Nobel de la peur ». Et pour clore il dit : « La planète, oui. Le greenbusiness, non. » Cet homme est un énarque bien arrogant. Passons… Un autre grabataire, le député LR Guillaume Larrivé, né en 1977, a aussi mis son grain de sable dans ce discours discourtois. Il a appelé ses collègues « à boycotter Greta Thunberg à l’Assemblée nationale ». « Pour lutter intelligemment contre le réchauffement climatique, nous n’avons pas besoin de gourous apocalyptiques, mais de progrès scientifique et de courage politique » Lui aussi un énarque. Tout ce beau monde si intelligent, si au courant de tout me fait honte. Qui connaît Monsieur Larrivé ailleurs qu’en France et encore ? On peut être pour ou contre l’action de la jeune Suédoise, mais ce manque de curiosité est désolant. J’avais tourné un film à l’ENA et j’étais tombé sur des gens ouverts au monde, à l’analyse sociétale. Comment faire confiance à des gens aussi obtus. Des nombrilistes qui n’ont rien mis en place au sujet de l’écologie. Jean-Louis Thierot, lui aussi un député de Seine et Marne, un vieillard de 50 ans, n’a pas pu s’empêcher de dire : « Non à l’infantilisation obscurantiste, la moraline et la terreur par la peur. Greta Thunberg invitée d’honneur [des questions au gouvernement] : l’Assemblée se couvre de ridicule » Cet avocat se couvre aussi de ridicule en s’exprimant de la sorte. Weiterlesen

Zum dritten Mal binnen vier Monaten haben gestern in der Ukraine Wahlen stattgefunden. Diesmal waren die Ukrainer dazu aufgerufen, das Parlament, die Werchowna Rada, neu zu wählen. Erneut triumphierte Wolodimir Selenski, der im Frühjahr neu gewählte Präsident und politische Aussenseiter. Seine in Windeseile entstandene Partei Diener des Volkes (Sluha Narodu) gewann die Wahl überlegen, wie erste Auszählungen zeigten. Demnach entfielen auf ihre Parteiliste gut 42 Prozent der Stimmen. Alle anderen Parteien mussten sich, wie erwartet, mit weitaus bescheideneren Ergebnissen begnügen. Die nach Russland ausgerichtete Oppositionsplattform Für das Leben erhielt danach 11 bis 12 Prozent und wurde damit zweitstärkste Partei. Es folgen die Partei Europäische Solidarität des früheren Präsidenten Petro Poroschenko und die Partei Vaterland (Batkiwschtschina) von Julia Timoschenko. Auch die Partei Stimme (Holos) des Rocksängers Swjatoslaw Wakartschuk überwand die Fünf-Prozent-Hürde (nzz.ch).

Es ist das erste Mal seit der Unabhängigkeit der früheren Sowjetrepublik, dass eine Partei eine absolute Mehrheit innehat. Beobachtern zufolge wurde eine ganze Generation von Abgeordneten abgewählt, die in den vergangenen 20 Jahren das politische Geschehen bestimmte.

Erste Reaktionen aus dem Nachbarland Russland waren verhalten. Selenskyj müsse noch politische Reife zeigen, schrieb der Außenpolitiker Konstantin Kossatschow. „Die politische Kindheit und Jugend ist für Präsident Selenskyj somit beendet. Jetzt kommt die Zeit der echten Verantwortung“, so der Vorsitzende des Auswärtigen Ausschusses im russischen Oberhaus (zeit.de).

Seit der Wende 1991 hatte noch kein Präsident und keine Partei in der Ukraine ein solches Mandat bekommen wie Wolodimir Selenski und seine gerade erst aus dem Boden gestampfte Partei Sluha Narodu, zu Deutsch: „Diener des Volkes“. Die Politik hat verstanden, dass die Ukrainer einen Neuanfang wollen. Die Mehrheit allerdings hat nicht die Nachahmer gewählt, sondern das Original: Selenskis Protestpartei.

Viele Wähler der „Diener des Volkes“ haben für einen Wechsel gestimmt, da sie sich eine Wiederannäherung an Russland wünschen. Viele Ukrainer sind zudem des Krieges im Osten des Landes überdrüssig.

Unterstellungen, Selenskyj selbst sei für eine Wiederannäherung an Russland, sind falsch (handelsblatt.com). Das haben seine ersten politischen Schritte seit der Amtseinführung Ende Mai deutlich gemacht. Er will sein Land in die EU und in die NATO führen. Doch ob die Ukraine jemals dort ankommt, hängt nicht nur von Europa ab. In Brüssel ist die Lust auf Neuaufnahmen gering. Doch ebenso fraglich ist, ob die Ukraine jemals die Auflagen Voraussetzungen erfüllt, um EU-Mitglied zu werden.

Selenskyj hat angekündigt, nicht mit den „alten Kräften“ zusammenarbeiten zu wollen.

Nicht nur Regierung und Fraktion müssen sich künftig koordinieren – auch Selenskyj wird sich eine neue Rolle suchen müssen. Vor laufenden Kameras weiter Beamte abzukanzeln wie zuletzt, wird nicht reichen. Er muss Ergebnisse liefern, vor allem gegen die Korruption im Land vorgehen, die Wirtschaftslage verbessern, für Frieden im Donbass sorgen, in dem seit über fünf Jahren gekämpft wird und fast jeden Tag Menschen sterben. Der Präsident kann diese Fragen nicht alleine entscheiden, er muss sich abstimmen – mit Geldgebern wie dem Internationalen Währungsfonds, mit Russland. Auch, um die gefangenen Landsleute, darunter die Seeleute von Kertsch, nach Hause zu holen, wie er es versprochen hat.

Die Rolle des Premierministers sei die eines „professionellen Ökonomen“, sagt Selenskyj, er hat genaue Vorstellungen von seinem Ministerpräsidenten: Er müsse ein unabhängiger Mensch sein, jemand, der nie Premier, Parlamentspräsident oder Fraktionsführer im Parlament war. Wakartschuk sehe er in dieser Rolle eher nicht. Als mögliche Kandidaten werden unter anderem Olexander Danyljuk gehandelt, der wirtschaftsliberale Reformer und frühere Finanzminister war ins Selenskyj-Lager gewechselt, oder der Chef des Gasunternehmens Naftogaz, Andrij Kobolew (SPON).

Russland käme es sehr gelegen, wenn sich die Ukraine in eigenen Widersprüchen verheddern würde. Was Kremlchef Putin gar nicht brauchen kann für seine Herrschaft, die unter wirtschaftlicher Stagnation und politischer Depression leidet, ist eine freie, prosperierende, demokratische und agile Ukraine. Die aber muss das Land werden, wenn Europa ihretwegen weiterhin Russland die Stirn bieten soll mit Sanktionen gegen Moskau und Milliarden-Hilfen für Kiew.

Météo-France nous annonce pour cette semaine des pics de chaleur dépassant de loin la moyenne normale. « La masse d’air chaude et sèche à l’origine de cette hausse spectaculaire gagnera peu à peu vers le Nord. La vigilance orange canicule s’étendra donc rapidement à de nombreuses régions. Il faudra attendre vendredi pour que les températures commencent à fléchir par la façade Atlantique. » Pour beaucoup d’entre-nous une nuisance qui donne lieu à de l’inquiétude. Il est recommandé de limiter ses activités à un minimum. Pour ma part je supporte assez bien de telles températures, mais je suis malgré tout très inquiet pour notre environnement qui n’est pas adapté à de telles épreuves. Au lieu de vouloir interdire à Greta Thunberg l’accès à l’Assemblée nationale, comme certains représentants du peuple le voudraient, ils feraient bien de l’écouter au lieu de prétendre que sa levée de bouclier n’est que du pessimisme. Elle a été invitée par plus d’une centaine de députés pour leur dire ce qu’elle attendait de la politique. De les inciter à ne plus faire du bla-bla-bla. Il est évident que si cela continue ainsi, nous passerons de la sécheresse à des pluies diluviennes, que le climat deviendra pour nous de plus en plus une contrainte. Les éleveurs devront faucher les jachères, car sur les pâturages il n’y a plus assez d’herbe pour nourrir le bétail. Faudra-t-il que nous soyons soumis à la faim, afin que nous arrêtions de galvauder nos ressources ? Weiterlesen