Drei Jahre hält die Diskussion über Flucht und Asyl schon an. Nun hat Friedrich Merz noch einen Aspekt gefunden, der irgendwie neu und überraschend klingt: Wenn man eine europäische Einwanderungs- und Flüchtlingspolitik wolle, dann müsse man bereit sein, „über dieses Asyl-Grundrecht offen zu reden“. Artikel 16a Grundgesetz – so Merz – stehe einer europäischen Lösung im Weg, weil es „dann immer noch ein Individualgrundrecht auf Asyl“ im EU-Mitgliedsstaat Deutschland gebe. Was letztlich darauf hinausliefe, das Asylgrundrecht einzuschränken oder ganz zu streichen. Steht das deutsche Asylrecht einer europäischen Lösung im Weg?

Nein! Im Gegenteil, mit der Änderung im Jahr 1993 ist das Asylrecht von Deutschland nach Europa ausgelagert worden. Auf den Satz „Politisch Verfolgte genießen Asylrecht“ kann sich seither nicht mehr berufen, wer über einen EU-Mitgliedsstaat eingereist ist, was bei Flüchtlingen in Deutschland praktisch immer der Fall ist. Das deutsche Grundrecht ist dadurch praktisch längst bedeutungslos geworden, weil es von den europäischen Regeln überlagert wird.

Das Asylgrundrecht in unserem Grundgesetz gilt nur für politisch Verfolgte, also für Menschen, die Opfer einer staatlichen oder quasistaatlichen Verfolgung sind. In der EU ist Artikel 18 Grundrechtecharta maßgeblich, der wiederum auf die Europäischen Verträge sowie auf die Genfer Flüchtlingskonvention verweist, die beispielsweise ein Zurückschieben an der Grenze untersagt. Letztlich wird damit auf europäischer Ebene auch Bürgerkriegsflüchtlingen subsidiärer Schutz gewährt. Europa bietet hier also mehr Schutz als das enger gefasste deutsche Asylgrundrecht – allerdings eben nicht zwingend in Deutschland.

Das Asylrecht der Bundesrepublik wird – anders als in vielen anderen Staaten – nicht allein aufgrund der völkerrechtlichen Verpflichtung aus der Genfer Flüchtlingskonvention gewährt, sondern hat Verfassungsrang. Im Grundgesetz steht in Artikel 16a, Absatz eins: „Politisch Verfolgte genießen Asylrecht.“ Damit zieht das Grundgesetz die historischen Lehren aus der nationalsozialistischen Unrechtsherrschaft.

Angesichts der Zahlen ist der Vorschlag von Merz, das Asylrecht in Frage zu stellen, kaum relevant. Artikel 16a Grundgesetz kommt nur sehr selten zur Anwendung. So wurden von Januar bis Oktober 2018 von insgesamt 186.886 Anträgen gerade einmal 2.403 positive Asylentscheidungen auf Basis des Grundgesetzes erteilt (deutschlandradio.de). Das sind 1,3 Prozent. Die meisten erhalten Flüchtlingsschutz nach der Genfer Flüchtlingskonvention oder einen eingeschränkten, will heißen, subsidiären Schutz. Das gilt für Menschen, die nicht als politisch verfolgt gelten, aber trotzdem bleiben dürfen, weil ihnen in der Heimat „ernsthafter Schaden“ droht – wie Folter, Todesstrafe oder willkürliche Gewalt in einem bewaffneten Konflikt (br.de).

Die ursprüngliche Aussage, die Merz missverstanden wissen will, ist eigentlich sehr eindeutig:

„Deutschland ist das einzige Land auf der Welt, in dem ein Individualrecht auf Asyl in der Verfassung verankert ist!“. Ist das so?

Nein, ist es nicht. Die Präambel der Französischen Verfassung beispielsweise gewährt ein Recht auf Asyl, anerkannt vom Verfassungsrat im Jahr 1980. Auch die italienische Verfassung gewährt ein Asylrecht, ähnlich die portugiesische, und zwar für Ausländer und Staatenlose, die etwa wegen ihres Eintretens für Demokratie und Frieden „in schwerwiegender Weise bedroht und verfolgt werden“ (sueddeutsche.de).

Merz meinte ausschließlich den Artikel 16a des Grundgesetzes. Er sei seit langem der Meinung, dass offen darüber geredet werden müsse, ob dieses Asylgrundrecht „in dieser Form fortbestehen“ könne, wenn eine europäische Einwanderungs- und Flüchtlingspolitik ernsthaft gewollt sei.

Die Aussage ist Unsinn (Thomas Oberhäuser, Asylrechtsexperte gegenüber watson). Die Diskussion, die Friedrich Merz da anzustoßen versucht, würde am Ergebnis nichts ändern. Selbst, wenn es so wäre, das Deutschland das einzige Land auf der Welt ist, in dem ein Individualrecht auf Asyl in der Verfassung verankert ist, würde eine Streichung dessen die Situation von Schutzberechtigten nicht verändern. Auch ohne Artikel 16a Grundgesetz stünde all diesen Menschen ein Recht auf Schutz zu. Es gilt die Genfer Flüchtlingskonvention, die das nahezu identische Individualrecht auf Schutz verbürgt.

En 2016, 123 femmes ont été tuées par leur mari ou ex-conjoint en France, c’est à dire une tous les trois jours. Chaque année 220 000 épouses ou compagnes subissent des violences de la part des hommes, ceci en 2017. 250 d’entre-elles sont violées chaque jour. Voilà pour les faits. Sans oublier le harcèlement au travail. Un tiers des salariées est concerné. Voilà pour les chiffres. Pour ne pas devoir livrer leurs enfants à la violence de leur père, bon nombre de mères essaient de minimiser la situation dans laquelle elles se trouvent. « Je suis tombée dans les escaliers ! », c’est une excuse fréquente lorsque des amies ou des collègues lui demandent la raison de ses hématomes. Elles ont beaucoup de pudeur, malgré ce qui leur est arrivé. Il est rare qu’elles déposent plainte. En plus il y a la mauvaise conscience. Ne sont-elles pas en partie responsables de ce qui leur arrive ? Pourquoi ne se sont-elles pas aperçues à qui elles avaient affaire ? « Il était doux, prévenant lorsque nous nous sommes connus ! » Il est vrai qu’il y a des métamorphoses dues en partie aux soucis. L’argent joue un rôle de taille. Lorsqu’il n’y a pas d’enfants les conjoints peuvent aller travailler à plein temps. Avec deux salaires ils peuvent se payer du bon temps. Cela commence à se détériorer avec la venue du premier enfant. Il faudra couper la poire en deux, ce qui représente moins de revenus, tout au moins dans un premier temps. Puis l’homme qui ne pourra plus revendiquer pour lui seul l’amour de sa femme. Il sera obligé de partager. Vient s’ajouter le stress dû au bébé, qui pleure souvent la nuit. Un manque de sommeil pour les deux, des récriminations au sujet du rôle de chacun. « Tu ferais bien de me prêter main-forte ! » Peux-tu le langer ! » Ceci au nom de l’égalité des sexes. « Tu oublies que je dois aller au boulot, pendant que tu la traînes douce ! » Weiterlesen

Tout d’abord le bilan actuel concernant les barrages organisés par les Gilets jaunes. Une information émise par le Ministère de l’intérieur le 22 novembre : deux personnes sont décédées, 620 civils et 136 membres des forces de l’ordre ont été blessés, 879 personnes interpellées et 693 placées en garde à vue. Cela ne présage bien de bon pour ce samedi, pour les manifestations qui auront lieu à Paris. La préfecture de police a donné le feu vert afin que les protestataires se regroupent sur le Champ de Mars, aux abords de la Tour Eiffel. De nombreuses voix s’élèvent contre ce choix, arguant qu’on ne peut pas les parquer comme des moutons sur un pré. Il veulent prendre en otage la Concorde, les Champs Élysées et la Madeleine ou aura lieu un grand rassemblement ayant pour thème les droits des femmes. Cela promet de la casse, car ces lieux ont été déclarés zone interdite par les autorités compétentes. Ce qui est inquiétant dans tout cela c’est l’anarchie qui règne chez les Gilets jaunes. Il n’y a pas d’organisation fiable, pas de service de sécurité. 35 000 personnes se sont annoncées sur Internet pour se retrouver à la Concorde, quelques centaines de mètres du Palais de l’Élysée. D’autres ont décidé de se rendre à la Présidence de la République malgré les interdits. Un appel à la désobéissance civique a été lancé, ce que je trouve des plus inquiétants. Le gouvernement se trouve dans une situation équivoque. D’une part il doit respecter le droit de manifester, un élément central de l’ordre démocratique ; de l’autre il ne peut pas se laisser provoquer. Weiterlesen

La récupération est une pratique connue en politique. Ceux qui aspirent au pouvoir, dans le cas qui nous concerne les populistes, s’attellent à un problème qui est ressenti par une majorité de la population comme une injustice pour l’étendre à d’autres domaines comme l’immigration, l’exclusion ou le racisme. C’est ce qui s’est passé avec les Gilets jaunes. La majorité d’entre-eux n’ont que des revendications sociales et ne remarquent pas qu’ils ont été manipulés. C’est ce qui s’est passé en Italie. Je pense que la grande manifestation de demain à Paris donnera aux adeptes de l’extrême-droite l’occasion de dévoiler leurs cartes en criant haut et fort « La France aux Français ! » Une manière de jeter l’anathème sur « les vrais responsables » que sont les Juifs qui dominent les marchés internationaux et les arabes qui exercent sur nous un chantage en ayant augmenté le prix du baril, ce qui n’est plus le cas maintenant, au contraire. « Ne voyez-vous pas qu’ils veulent nous détruire ? » Ils diront qu’Emmanuel Macron est un suppôt de ces milieux, car il a travaillé à la banque Rothschild. Pour l’instant les adeptes de Marine Le Pen et les autres semblent avoir gagné leur pari. Ce qui est déconcertant, c’est le fait qu’un grand nombre de ceux qui protestent, n’ont pas remarqué qu’ils étaient tombé dans un piège. L’amalgame du social et du national a démontré au cours de l’histoire, où cela pouvait mener. En droite ligne vers Auschwitz. Ce n’est pas sans raison que les dirigeants du Reich ont tablé sur cette recette, qui a dans un premier temps a réussi. Je ne vais pas allé jusqu’à prêter de telles intentions aux dirigeants du mouvement national, mais ils ne devraient pas jouer aux apprentis-sorciers. Il est évident que des éléments néonazis ont sauté sur le train en marche et exercent de la violence verbale et physique. La remise de migrants réfugiés dans un camion citerne par des Gilets jaunes aux douanes, va dans ce sens. Ceci au lieu de se soucier avant tout de leur état de santé. Les attaques contre les homosexuels comme à Bourg en Bresse ou les injectives antisémites font partie de leur stratégie.

Comme Nicolas Hulot l’a déclaré hier soir à France 2, il est évident que la décision d’augmenter la taxe carbone aurait dû être accompagnée de mesures sociales. C’est le grand reproche que je fais aussi à Emmanuel Macron. Une mesure nécessaire a été ainsi mise à mal, car il n’y avait pas d’amortisseurs. Le tout est entrain de dégénérer et risque bien de mettre à mal l’intégrité de la nation. Deux camps ennemis se dessinent, un peu comme aux USA, qui se combattront sans merci. C’est ce qu’il fallait à tout prix éviter. Le président n’a probablement pas tenu compte de ce phénomène qui se dessine un peu partout autour de la planète. Il est tombé dans un piège, parce que probablement il s’était isolé derrière les murs du Palais de l’Élysée. Il a manqué de doigté, c’est indéniable, malgré le bien-fondé de ses mesures économiques. Je pense qu’il sera très difficile de réparer les fissures qui se dessinent actuellement. Vouloir jouer le rôle du pénitent serait la dernière chose à faire. Le bras-de-fer qui s’annonce entre le pouvoir et le peuple pourrait faire des ravages. Il faut absolument appliquer du baume sur les blessure, sans faire marche-arrière. Cela ressemble bien à l’œuf de Colomb !

pm

https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/11/22/gilets-jaunes-la-grande-defiance-des-francais-face-a-l-impot_5387052_823448.html

Premierministerin Theresa May konterte den Vorwurf der Brexit-Hardliner, sie sei bei den Verhandlungen mit der EU eingeknickt, mit dem Argument: Die Personenfreizügigkeit nehme ein Ende. Dass Europäer einfach nach London reisen, eine Wohnung mieten, arbeiten und sich beim nationalen Gesundheitsdienst (NHS) anmelden könnten, sei bald Vergangenheit, sagte sie vergangene Woche vor dem Parlament. Großbritannien werde die Kontrolle über Ausgaben, Landwirtschaft, Fischerei und vor allem die eigenen Grenzen zurückgewinnen.

Der umstrittene Brexit-Vertrag muss die Hürde im Unterhaus noch nehmen, May redet beschwörend auf die Kritiker ein.

Die Ablehnung der ungezügelten Einwanderung aus der EU war ein entscheidendes Element bei der Brexit-Abstimmung vor zwei Jahren. Sie ist es heute weniger – sowohl an den nackten Zahlen gemessen wie nach der Wahrnehmung der Briten. Laut nationaler Statistikbehörde ging die Netto-Einwanderung aus der EU in zwei Jahren von 189.000 im Juni 2016 auf 87.000 zum gleichen Zeitpunkt dieses Jahr zurück, ein Rückgang um mehr als die Hälfte. Netto-Einwanderung setzt sich zusammen aus EU-Einwanderern minus Rückkehrern und britischen Auswanderern in die EU (nzz.ch).

Auffällig ist die Abnahme bei den neuen ostmitteleuropäischen EU-Staaten, die Netto-Einwanderung liegt hier bei etwa null. „Die Zahlen sind abgestürzt!“ (Robert McNeil, Migration Observatory/Oxford).

Seit Monaten gibt es in London Gerüchte, May stehe kurz vor dem Sturz durch die „Brexiteers“, die sich parteiintern in der „European Research Group“ organisiert haben. Zum Schwur kam es bislang noch nicht; doch nun, da die Premierministerin ihren mit der EU ausgehandelten Austritts-Deal vorgelegt hat und in den nächsten Tagen nach Brüssel fliegt, um mit EU-Unterhändler Michel Barnier und Kommissionspräsident Jean-Claude Juncker weiter an der politischen Erklärung über die künftige Zusammenarbeit zu arbeiten, läuft den Meuterern die Zeit davon.

May komme Brüssel viel zu sehr entgegen, die britische Insel werde auf ewig in einer Zollunion an Europa gekettet sein, London müsse endlich andere Saiten gegenüber den „arroganten und erpresserischen Europäern“ (sueddeutsche.de) aufziehen – solche Töne sind seit Langem zu hören. Doch um den Vertrag zu kippen und zu verhindern, dass er, aus Mangel an tragfähigen Alternativen, doch noch in wenigen Wochen das britische Parlament passiert, müssten unter anderen empörte Kabinettsmitglieder, die das Ergebnis nicht mittragen wollen, den Moment jetzt nutzen.

Der Vertragsentwurf sieht unter anderem vor, die Grenze zwischen Irland und dem britischen Nordirland vorerst offen zu lassen. Diese Frage war besonders umstritten. Sie soll in einer Übergangsphase bis Ende 2020 endgültig geklärt werden. Zudem solle Großbritannien in der Übergangsphase weiterhin Teil des EU-Binnenmarktes, sowie der Zollunion bleiben, ohne jedoch über Stimmrechte zu verfügen. Theresa Mays Kabinett hat dem Entwurf zugestimmt, nun muss das britische Parlament darüber entscheiden. Auch alle EU-Mitgliedsstaaten und das Europaparlament müssen zustimmen.

Aus Sicht der spanischen Regierung sind die Formulierungen im Brexit-Abkommen zum künftigen Status Gibraltars unklar. Ministerpräsident Pedro Sánchez fordert, dass Spanien und Großbritannien über Gibraltar gesondert verhandeln – das müsse in den Brexit-Dokumenten klar festgeschrieben werden. Sollte das bis zum EU-Gipfel am Sonntag nicht passieren, wird Spanien mit Nein stimmen.

Seit 1713 ist Gibraltar ein Teil von Großbritannien (wikipedia.de), wird von Spanien aber immer wieder beansprucht.

Tausende Südspanier arbeiten in Gibraltar und pendeln jeden Tag über die Grenze. Spanien will, dass das auch in Zukunft unkompliziert möglich ist, wenn Großbritannien nicht mehr zur EU gehört.

Die Brexit-Verhandlungen sind auf der Zielgeraden – wenn es nach den meisten der verbleibenden EU-Staaten geht. Auf dem Ministertreffen am Sonntag lehnte man Änderungen des Vertragsentwurfs ab. Man will jetzt ein Ergebnis.

Nun liegt es an Theresa May, die britische Zustimmung für das Verhandlungsergebnis zu sichern.

Le chef de la cour suprême des États-Unis, le conservateur John Roberts, est en conflit avec Donald Trump, qui prétend que les juges sont partiaux. Le Président parle de magistrats pro-Obama qui n’auraient qu’un but, celui de saboter sa politique. Il se réfère à la décision du juge californien fédéral de San Francisco, Jon Tigar, qui a mis un frein à la politique migratoire de la Maison Blanche.« Tout étranger qui arrive aux États-Unis, indépendamment de son statut », n’est redevable qu’à la justice. Le juge estime que le président ne doit pas «  réécrire la loi ». Donald Trump lui a répondu : « Ce n’est pas la loi, c’est une honte !  C’est un juge pro-Obama et cela n’arrivera plus ». Il part du principe que la Cour suprême lui donnera raison. John Roberts trouve de telles diatribes complètement déplacées. Il prend fait et cause pour les juges, qui agissent comme leur conscience le leur dicte et trouve l’accusation de partialité complètement déplacée. Il lui a fait comprendre que la justice était indépendante et que son devoir était de continuer à l’être. Il n’y a rien de pire que l’ingérence de la politique dans la justice. « Nous n’avons pas de juges pro-Obama, ou Trump, ou Bush, ou Clinton,  Nous avons un ensemble extraordinaire de juges dévoués qui font de leur mieux pour juger équitablement ceux qui comparaissent devant eux Nous devrions tous être reconnaissants de pouvoir bénéficier d’une justice indépendante », a dit le juge, nommé en 2005 par George W. Bush. Les juges des treize « cours de circuits » sont également proposés par le président. John Tigar avait été nommé en 2012 par Barak Obama. Il s’était fait entendre lors de la nomination du juge Brett Kavanaugh, qui avait été accusé de harcèlement sexuel, et avait fait remarquer que cette nomination avait jeté une ombre sur la cour suprême des USA. Probablement l’ingérence de la présidence prévue par la loi provoque de tels conflits d’intérêts. Il serait effectivement mieux que la Maison Blanche et le Sénat n’aient pas les moyens de nommer un juge. Dans ce cas de figure, l’indépendance du tribunal peut être chaque fois remise en question. Un peu de retenue serait de mise, mais ce mot ne figure pas dans le dictionnaire de Donald Trump. Il a repris ses attaque de sa résidence de Floride. « Je suis désolé, M. le président John Roberts, mais il existe effectivement des juges pro-Obama et ils ont des positions très différentes de celle des gens chargés de la sécurité de notre pays. Ce serait fantastique si le 9e circuit [le tribunal de Californie] était effectivement une instance indépendante ». Pour lui l’indépendance d’une instance judiciaire est synonyme d‘approbation aveugle de ses directives. Je trouve pour ma part qu’il était temps que John Roberts se manifeste comme il l’a fait. Il est tout à fait déplacé de mettre ainsi des magistrats honnêtes au pilori. C’est méconnaître leurs prérogatives. Je considère cette passe d’arme comme étant essentielle pour la défense de la démocratie. Ce n’est pas sans raison que les pères de notre système ont bien voulu séparer l’exécutif du judiciaire. L’exemple de la cour spéciale du 3ème Reich devrait nous faire réfléchir. Roland Freisler, son président, a démontré ce qui pouvait arriver quand la justice se met à la botte d’un Führer. Que du sang !

pm

https://www.lemonde.fr/donald-trump/article/2018/11/22/passe-d-armes-inedite-entre-trump-et-le-president-de-la-cour-supreme_5386730_4853715.html

Apple a vu trop gros. La vente de ses nouveaux smartphones ne marche pas comme il était prévu, ce qui a obligé le géant de Silicon-Valley de revoir à la baisse sa production. La réaction ne s’est pas fait attendre : une montée de fièvre à la bourse de New-York. Du coup Amazon, Google, Netflix y ont laissé des plumes. Parallèlement il y a une baisse du baril de pétrole à 67 dollars, car la production a augmenté. Soit 23 % de baisse. Il y a une incertitude totale sur le marché. Ne nous ne faisons pas d’illusions, nous sommes confrontés à des bulles de savons qui risquent à tous moment d’éclater. L’industrie du numérique se base le virtuel. Le facteur travail semble perdre de plus en plus de valeur. L’argent se gagne sur des coups de têtes psychologiques, reposant souvent sur rien de vraiment palpable. Une machine, si elle s’enraye, qui risque de plonger la planète toute entière dans une crise sans précédent. C’est un peu comme si on mettait toute sa fortune en jeu à la roulette. Ce qui est inquiétant, c’est que les marchés financiers ont spéculé ces dernières années à la hausse, sans vraiment se poser la question ce qu’il pourrait se passer en cas de ralentissement. Du court terme plus qu’inquiétant, car il n’y a pas de stratégie. La politique a suivi cet exemple et n’a pas prévu de plan b. Je pense que la baisse de Wall-street, même si elle ne devait qu’être momentanée, risque de nous plonger dans un très grand embarras. Weiterlesen

Die UN-Sonderbeauftragte für Migration, Louise Arbour, sagte, die Kritik am Pakt sei lächerlich: „Der Vertrag fördert Migration nicht, und er verhindert sie nicht. Er anerkennt, dass sie eine Realität ist“ (web.de).

Tatsächlich ist Migration ein globales Phänomen, von dem alle Länder der Welt betroffen sind. Zum Teil folgen die Wanderungsbewegungen den weltweiten Arbeitsmärkten – ein großer Teil der Menschen befindet sich aber auch auf der Flucht vor Kriegen und Verfolgung.

Laut dem „Migrationsreport der UN“ lebten im Jahr 2017 rund 258 Millionen Menschen (78 Millionen davon in Europa) nicht in dem Land, in dem sie geboren wurden. Im Jahr 2000 waren es 173 Millionen. Laut UNHCR sind insgesamt 68,5 Millionen Menschen auf der Flucht.

Die USA lehnten den Pakt von vornherein ab und nahmen gar nicht erst an den Verhandlungen teil. Somit blieben 192 von den 193 in der UN organisierten Staaten übrig.

Doch dann stiegen Australien und Ungarn aus; später folgten Österreich und Bulgarien. Estland und Tschechien haben bereits Nein gesagt.

Aus Polen, Kroatien und der Schweiz sind ebenfalls überwiegend kritische Stimmen zu hören – die Zustimmung aus diesen Ländern ist ungewiss.

Der Migrationspakt soll, laut den Vereinten Nationen, für eine sichere, geordnete und reguläre Migration sorgen. Damit sollen Menschen legal und gefahrlos in aufnahmebereite Staaten gelangen.

23 Ziele gibt der Migrationspakt der Vereinten Nationen vor. Die vereinbarten Schritte reichen von der Ausstellung gültiger Papiere über Grundleistungen wie medizinische Nothilfe bis hin zur gemeinsamen Sicherung der Grenzen.

Allerdings ist der Pakt völkerrechtlich nicht bindend. Das Abkommen verpflichtet also an keiner Stelle Staaten zur Aufnahme von Migranten. Auch werden keine Quoten oder Kontingente festgelegt.

Vielmehr wird ausdrücklich das Recht anerkannt, dass jeder Staat selbst seine nationale Migrationspolitik bestimmt. Experten sprechen von einem „Katalog“, aus dem sich jeder Staat aussuchen kann, was er umsetzen will.

Wohl mehr als 180 von ihnen werden am 10. Dezember dem UN-Migrationspakt beitreten, auf einer Konferenz in Marokko. Auch Deutschland wird dabei sein, die Regierungskoalition aus Union und SPD unterstützt den Pakt, genauso wie grüne, linke und liberale Oppositionsparteien (welt.de).

Das tiefe Misstrauen vieler Bürger gegen den Pakt und seinem Zustandekommen speist sich aus der Erfahrung, dass über die großen Migrantenzuwanderungen weder direkt abgestimmt, noch die langfristigen Folgen kommuniziert wurden. Von der Gastarbeiteranwerbung bis zur aktuellen Asylzuwanderung vermittelten die jeweiligen Bundesregierungen, dass es sich um eine zeitlich befristete Aufnahme handele. Doch ein kompliziertes Zusammenspiel verschiedener Regelwerke – vom Grundgesetz über die Dublin-Verträge bis zur Genfer Flüchtlingskonvention – sorgt meist dafür, dass sich der Aufenthalt verstetigt.

Der Pakt ist 32 Seiten lang. Seine wesentlichen Ziele sind zwei: Als erstes nennt er Information. Die Migranten sollten über alles aufgeklärt sein, was ihren Weg betrifft, einschließlich der Risiken, die sie dabei eingehen. Die Bevölkerung der Transit- und Aufnahmeländer brauche „objektive, faktengestützte und klare Informationen“ über Vorzüge wie Nachteile der Migration, „um irreführende Narrative, die zu einer negativen Wahrnehmung von Migranten führen, auszuräumen.“

Ein weiteres Ziel ist es erklärtermaßen, „die nachteiligen Triebkräfte und strukturellen Faktoren zu minimieren, die Menschen daran hindern, in ihren Herkunftsländern eine nachhaltige Existenzgrundlage aufzubauen und aufrechtzuerhalten, und die sie dazu veranlassen, anderswo nach einer besseren Zukunft zu suchen“. Dazu schlägt er einerseits vor, die Lage dort zu bessern, also das, was in der deutschen Diskussion „Bekämpfung von Fluchtursachen“ heißt. Andererseits verlangt er Standards zugunsten derer, die trotzdem gehen. Ihre Menschenrechte sollen geachtet werden, sie sollen „Fürsorge und Unterstützung“ erhalten und Zugang zur Justiz, um ihre Rechte notfalls zu erstreiten (tagesschau.de).

Es kann uns also nicht schaden, wenn man alle Aspekte abwägt, diesem Pakt beizutreten. Deutschland und die Flüchtlinge können nur gewinnen. Eine Win-Win-Situation!