Le fidèle mamelouk, intérieurement en mal d’amour, a quitté la Place Beauvau afin de revenir sur ses terres et reprendre la mairie de Lyon. La démarche de l’ancien ministre de l’intérieur ne suscite pas l’enthousiasme de ses futurs administrés, au contraire. Ceux que j’ai eu l’occasion d’entendre auraient souhaité qu’il ne mette plus le pied à l’étrier, mais qu’il jouisse à 71 ans d’une retraite bien méritée. Lui qui avait tout fait pour soutenir son poulain, Emmanuel Macron, se voit de plus en plus mis à l’écart. Il a très mal supporté que ce dernier s’émancipe par rapport à lui. Un réflexe d’un vieil homme qui ressemble à un amant éconduit. Ce départ est fait de points d’interrogations. Il est évident que c’est une crise gouvernementale, même si le président prétend le contraire. Certes l’État fonctionne encore, mais il y a des couacs dans le moteur. Lui qui voulait se démarquer de la politique politicienne, se retrouve dans des situations identiques à celle de François Hollande. Pour l’instant il n’y a plus de ministre d’État. Tout d’abord il y a eu le départ de Nicolas Hulot, accusé de harcèlement par la petite-fille de François Mitterrand et maintenant lui. Deux personnages-phares de la vie politique française ont pris leur chapeau. Édouard Philippe aura, aussi comme ministre de l’intérieur intérimaire, la tâche de trouver un remplaçant de taille. Pas une mince affaire par les temps qui courent. Il devra montrer beaucoup de poigne en ce qui concerne la police, car il y a de la grogne dans ce milieu. On est loin des effectifs nécessaires et de surplus, les salaires de ne sont pas d’or. Il est à craindre qu’en donnant, par clientélisme, plus de poids aux forces de l’ordre, que le message ne soit pas accueilli avec enthousiasme par la population, qui considère la police comme étant encore toujours un corps étranger à la solde du pouvoir. Weiterlesen

Une fois de plus le Brexit est au centre de mes préoccupations. Au congrès du Parti Conservateur, un grand nombre de militants ne trouvent rien de mieux que de démonter Theresa May, sans vouloir pour autant qu’elle lâche les rennes du pouvoir. Qui voudrait se retrouver à la tête d’un gouvernement dans une telle situation ? Ben Johnson, la forte gueule, mais il est peu probable que les délégués soient enclins à faire le forcing. Ils sont bien trop loyaux pour être frondeurs, sachant bien que ce sera au parlement que les comptes se régleront. Dans la situation actuelle cela signifierait le renversement de Teresa May, étant donné qu’elle ne réussira pas à faire passer son plan, qui consiste de maintenir son pays dans les accords passés avec l’UE, dans les domaines économiques et agricoles. Elle irait dans ces domaines-là jusqu’à accepter la mainmise de Bruxelles. C’est justement cela que les tenants du Brexit veulent éviter, considérant que cela serait un acte de traîtrise. À leurs yeux le Royaume Uni serait complètement dépendant de l’UE et soumis à un chantage constant. Seule la libre circulation des personnes serait vraiment entravée, ce que la Conseil européen réuni à Salzbourg a rejeté. Jusqu’au mois de novembre Madame May devra soumettre un autre plan et faire de nouvelles concessions. Elle sera encore plus acculée au mur dans son parti. Les Travaillistes, quant à eux, ne la soutiendront pas. Ils veulent que presque tout reste comme jusqu’à présent tout en quittant l’Union Européenne. J’aurais besoin d’explications. Weiterlesen

Das Chaos rund um den Diesel geht weiter. Nun drohen auch neuen Euro-6-Diesel Fahrverbote, so Umweltministerin Schulze. Damit ist klar: So gut wie kein Diesel ist auf der sicheren Seite. Weitere Wertverluste sind absehbar.

Neueste Medienberichte (u.a. focus.de 28.09.2018) weisen darauf hin, dass auch Euro- 6-Diesel vom Fahrverbot in deutschen Großstädten betroffen sein können. Grund: Viele Euro- 6-Fahrzeuge haben ähnlich schlechte Abgaswerte wie Euro-5-Fahrzeuge. Schließe man Euro-6-Autos vom Fahrverbot aus, dann könnten Besitzer von Euro-5-Kfz gegen das Fahrverbot für ihr Auto klagen – mit dem Hinweis ein ähnlich schlechter Euro-6 dürfe fahren. Damit dürfte nun die Unsicherheit für Diesel-Besitzer ihren Höhepunkt erreichen. So gut wie kein Fahrzeug ist vor Fahrverboten sicher. Dies dürfte auch die Wertverluste für solche Autos weiter erhöhen. Verbraucher müssen somit die Manipulationen und Schlampereien von Politik und Autoherstellern ausbaden. Doch es gibt mehrere Möglichkeiten, sich zu wehren.

  1. Schadensersatzansprüche: Diese Ansprüche können sowohl private als auch gewerbliche Kunden geltend machen, weil ihnen durch den Betrug (beispielsweise dem unerlaubten Einbau einer Abschalteinrichtung) ein Schaden in Form eines Wertverlusts entstanden ist. Auch ein Fahrverbot ist ein solcher Schaden, auch wenn das Fahrzeuge nicht direkt manipuliert wurde. Der Anspruch richtet sich sowohl gegen den Hersteller als auch gegen leitende Mitarbeiter des Autokonzerns, die Manipulationen zugegeben haben oder entsprechend verurteilt wurden. Aussichtsreich scheinen Schadensersatzklagen insbesondere bei Fahrzeugen aus dem VW-Konzern, weil dort die Manipulationen zugegeben worden sind. Aber auch Hersteller anderer Marken können gegen VW klagen, weil sie ebenfalls einen Schaden (Wertverlust, Fahrverbot) erlitten haben.

  1. Gewährleistungsansprüche: Solche Ansprüche richten sich gegen den Händler, bei dem man das Fahrzeug erworben hat. Sie entstehen daraus, dass man Anrecht auf ein mängelfreies Fahrzeug hat. Aufgrund der Abgas-Manipulationen sind die Fahrzeuge aber nicht mängelfrei. Eine sofortige Rückgabe des Fahrzeugs kann man aber nicht durchsetzen, sondern muss dem Verkäufer die Chance zur Nachbesserung geben. Es ist umstritten, ob die derzeit durchgeführten Software-Updates eine Nachbesserung darstellen, weil sie ihrerseits weitere Mängel hervorrufen. Daraus würde dann das Recht entstehen, das Fahrzeug zurückzugeben und sein Geld zurückzufordern. Es gibt allerdings Verjährungsfristen zu beachten, die kurz sind: Die Frist beträgt für Gebrauchtfahrzeuge nur ein Jahr, für Neuwagen zwei Jahre.

  1. Kredit-Widerruf: Hauptanwendungsfälle sind die, bei denen der Kauf des Fahrzeugs mit einem Kredit oder per Leasing finanziert wurde. Man kann den Finanzierungsvertrag widerrufen. Die meisten Leasing- und Kreditverträge weisen Formfehler auf und können daher auch noch längere Zeit nach Abschluss widerrufen werden (focus.de; welt.de). Der Kredit-Widerruf ist nicht auf manipulierte Diesel-Fahrzeuge beschränkt. Demzufolge kann auch die Rückgabe aller Fahrzeuge (alle Hersteller, inklusive Benzin-Motoren) gefordert werden. Mit dem Widerruf des Kredits muss dann auch der Kauf des Fahrzeuges rückabgewickelt werden.

Im Moment ist die Situation so, dass die Kosten für eine Nachrüstung vom Verbraucher zu tragen wären. Die Bauteile für eine Umrüstung von Euro-4- und Euro-5-Dieseln liegen je nach Modell zwischen 1.400,– Euro und 3.300,– Euro (fr.de). Dazu müssen noch die Einbaukosten gerechnet werden. Die Werkstatt benötigt für den Umbau rund einen Arbeitstag. Für alte Fahrzeuge mit sehr hohen Laufleistungen rechnet sich die Nachrüstung nicht mehr. Für neuere Euro-5-Diesel dagegen eher schon.

Die Rufe nach einer gesetzlichen Regelung für eine Kostenübernahme durch die Hersteller werden lauter.

Charles Aznavour est mort à 94 ans dans sa résidence en Provence. Je ne vais pas parler de sa carrière, qui a été remarquable, pas de son attachement à la terre de ses parents, l’Arménie, mais plutôt de la fin d’un style de vie, qui a marqué la France au 20ème siècle. La chanson reflète pour moi l’empathie, la proximité, des sentiments intimes qui ont fait de la France ce qu’elle devrait être aujourd’hui. Aussi le refus de se soumettre à des schémas qui ne correspondent pas à sa vrai nature. Non, ce n’est pas par esprit de nostalgie que j’écris cela, mais bien plus par amour d’un pays, qui depuis toujours a voulu se démarquer d’un style de vie qui était à la traîne de ce qu’on nomme communément le progrès. Un américanisme qui ne correspond pas à notre nature. Nous n’avons pas affaire à un peuple « fast food , Coca-Cola ou internet ! » Jusqu’à présent je le crois ! Mais ce n’est pas en perdant nos repaires qu’il sera possible de sauvegarder cet acquis. Charles Aznavour incarne pour moi une France chaleureuse, généreuses. Pas celle qui veut à tout prix maintenir le cap de ce qu’on nomme communément l’évolution. Il serait temps de réfléchir au phénomène d’adaptation, dans lequel le monde entier est soumis. Il est en partie dû à la mondialisation qui nous met sous le joug du profit, de l’effectivité. Mais qu’entend-t-on par là ? Avant tout de la soumission. Le monde de la chanson, que ce soit Edith Piaf, Georges Brassens, Juliette Gréco ou Charles Trenet, est une démarche identitaire. Elle se base sur la spécificité française et ceci sans s’édulcorer. Weiterlesen

Ein historisches Referendum: Am heutigen Sonntag stimmen die Bürger Mazedoniens über einen Lösungsvorschlag für den seit 27 Jahren schwelenden Streit über die offizielle Bezeichnung ihres Landes ab. Im Westen erhofft man sich von einer Annahme eine Stabilisierung der noch immer volatilen Region und eine nähere Anbindung an die euroatlantischen Strukturen.

Griechenland und Mazedonien haben ihren jahrzehntelangen Namensstreit beigelegt. Es sei eine gute Lösung gefunden worden, um Mazedonien einen neuen Namen zu geben, sagte der griechische Ministerpräsident Alexis Tsipras nach den Verhandlungen. Seinem mazedonischen Amtskollegen Zoran Zaev zufolge wird das Land künftig Republik Nord-Mazedonien heißen.

Wegen des Streites blockierte die griechische Regierung bislang die Bestrebungen Mazedoniens, der EU und der Nato beizutreten. Die linksgerichteten Regierungen beider Länder hatten sich jedoch vorgenommen, diesen Streit beizulegen. Alle Bedingungen der griechischen Regierung seien nun erfüllt worden, teilte Tsipras mit. Demnach sei beschlossen worden, dass das Land seine Verfassung auf den neuen Namen ändere.

Bevor die getroffene Vereinbarung umgesetzt werden kann, müssen ihr die Mazedonier in dem Referendum zustimmen. Auch die Parlamente beider Länder müssen die Übereinkunft ratifizieren. Tsipras kündigte an, die griechischen Abgeordneten aber erst dazu auffordern, wenn Mazedonien seine Auflagen erfüllt habe.

Der Konflikt begann 1991, als sich die bisherige jugoslawische Teilrepublik für unabhängig erklärte und den Namen Mazedonien gab. Nach Auffassung der Griechen ist das alte Königreich Makedonien mit dem Herrscher Alexander dem Großen ein integraler Bestandteil des eigenen Landes und des kulturellen Erbes. Wenn sich die Republik Mazedonien also so nenne, erhebe sie damit implizit auch Ansprüche auf das griechische Makedonien.

Mazedonische Vertreter argumentieren hingegen, ihr Land sei seit langer Zeit als Mazedonien bekannt. Offiziell wird der Staat bislang als „Ehemalige Jugoslawische Republik Mazedonien“ bezeichnet.

Die UNO erkannte das Land unter dem provisorischen Namen „The Former Yugoslav Republic of Macedonia“ (F.Y.R.O.M) an, deutsch: „Ehemalige Jugoslawische Republik Mazedonien“ (E.J.R.M.). Als Lösung forderte die UNO Griechenland und Mazedonien auf, eine friedliche Einigung im Namenskonflikt zu finden, und half bei den Vermittlungen.

Geographisch gesehen haben die Mazedonier durchaus das Recht, sich Nord-Mazedonien zu nennen. Denn das historische Mazedonien, das oft auch Makedonien genannt wird, erstreckt sich heutzutage auf mehrere Länder und nicht nur auf das griechische Gebiet Makedonien.

Es gibt einen Teil Mazedoniens in Bulgarien. Dann einen Teil Mazedoniens in Griechenland und letztlich den Teil Mazedoniens in der „Ehemaligen Jugoslawische Republik Mazedonien“, insofern wird kein Name hergegeben. Vor allem, wenn es jetzt heißen wird: „Nord-Mazedonien“, eine präzise geografische Zuordnung.

Die griechische Zwängerei hat ihr Maximalziel zwar verfehlt, aber sie drängt dem Nachbarn dennoch einen Namen auf. Das Argument, von der kleinen und militärisch schwachen Republik Mazedonien gehe eine irredentistische Bedrohung der gleichnamigen griechischen Provinz aus, war immer schon lächerlich. Es gibt weltweit viele Beispiele, wo derselbe Name problemlos für unterschiedliche Entitäten benutzt wird: Der Kanton Jura und das französischen Département gleichen Namens sind nur das naheliegendste.

Auch das behauptete griechische Monopol auf die Geschichte des antiken Makedonierreiches ist historisch unhaltbar. Es gibt nirgends – auch nicht in Griechenland – eine direkte historische Verbindung aus der Antike in die Gegenwart. Schließlich ist der gefundene Kompromiss nicht ohne Haken. Wenn es ein Nord-Mazedonien gibt, wo liegt dann Süd-Mazedonien? Kann sich Griechenland jetzt sicherer fühlen? Fakt ist: Im Namensstreit ging es nie nur um den Namen. Die griechischen Nationalisten wird man mit dem Kompromiss nicht überzeugen – und die andern hätten auch mit der benachbarten Republik Mazedonien weiterleben können.

Trouver du boulot ou un appartement en ayant un nom et prénom arabe n’est pas une partie de plaisir. « Désolé, nous avons pas pu prendre compte de votre candidature. » Et ceci malgré de très bonnes références, des études brillantes, un casier judiciaire vierge et un passeport français. Aussi le lieu d’habitation joue un rôle essentiel. Qui habite à Neuilly-sur-Seine a de meilleures cartes. Il va sans dire que je trouve une telle ségrégation inhumaine et totalement injuste. Si le fait de se nommer Isidore au lieu de Hakim est un critère, la bêtise ne connaît plus de limites. C’est la preuve que le racisme est encore de mise dans la vie quotidienne. Je trouve illégitime d’obliger des personnes, peu importe d’où elles viennent, de renier leurs origines, de couper leurs racines à cause de certains imbéciles – des Européens de souche – pour avoir droit au même traitement que ceux dont les familles vivent depuis des générations en France ou ailleurs. Peu importe le pays, l’exclusion ne connaît pas de frontières. L’intégration n’est pas égale à l’assimilation. Il ne peut pas être question de renier son histoire pour des raisons pratiques. Je suis un partisan de la sauvegarde de l’identité. Cela n’est pas toujours simple. Pour ma part je ne sais pas trop à quel monde j’appartiens ? Est-ce le monde de mes ancêtres ou celui du milieu, où j’ai été élevé ? Pour ma part la deuxième option est de loin en tête. Mes parents ont quitté l’Allemagne en 1936. Ils étaient de culture germanique. En 1944 ils ont changé de religion. J’ai été baptisé. Weiterlesen