Un enterrement de première classe ? Les Anglais risquent bien de voter, d’après les derniers sondages, à 53% pour la sortie de leur pays de l’UE. Est-ce que le glas de l’Europe a sonné ? Il y a de quoi attraper l’urticaire. Les démons du passé nous ricanent au nez et narguent tout ce qui pourrait ressembler à du bon sens. Les populistes peuvent pavoiser ! Personne ne semble remarquer que leur message est celui des tensions, des conflits et de la guerre. Il y a de quoi se frotter les yeux. Le replis sur soi-même est la plus mauvaise des options. Elle incite les citoyens au nationalisme qui est souvent synonyme de bêtise. Nous nous dirigeons vers le niveau zéro. Les grands stratèges des pubs semblent oublier que l’économie ne peut que se développer s’il y a des échanges. C’est un secret de polichinelle de croire que le Royaume Uni a encore une économie qui ronfle. Son outil industriel a été sacrifié au profit des joueurs de roulette de la City. On se repose sur une bulle, qui risque à tout instant d’éclater. C’est une évolution, si on peut la nommer ainsi, qui ne peut qu’aboutir dans l’ornière. Ses artisans ne voient qu’une chose, générer des profits immédiats. Et le peuple ? Ils en ont rien à faire ! En quittant l’UE, il sera encore plus livré à lui-même. Il est à craindre qu’il sombre dans la précarité. Vous me direz : « la fière Albion en a vu d’autres ! ». Exact, mais ce n’est pas une raison de faire toutes les erreurs du passé. Certains ont la nostalgie de l’empire, il s’est évaporé. D’autres croient pouvoir se reposer sur des lauriers qui n’existent plus que dans l’imagination de certains nostalgiques. L’époque des laquais est bien révolue. Quelle arrogance ! Dans un tel contexte, on aura de la peine de s’essuyer une larme. Weiterlesen

Six personnes hospitalisées, dont une dans un état désespéré à Rennes C’est le triste bilan d’un test effectué sur l’être humain pour s’assurer qu’un nouveau médicament ne soit pas nocif. Dans ce cas bien précis il s’agit de « molécules naturelles qui régulent de nombreuses fonctions comme le plaisir, la douleur, l’appétit ou l’anxiété », précise le Pr Reynaud, addictologue à l’hôpital Paul-Brousse, à Villejuif (Val-de-Marne). Ces expériences sont nécessaires afin de faire agréer de nouveaux produits. 108 personnes ont reçu ces pilules et doivent être contrôlées. Des « cobayes » en parfaite santé, qui en porteront des séquelles terribles. Mon but n’est pas de rentrer dans les détails de ce drame. Il est effectivement assez rare que des accidents soient révélés au grand public. Allez savoir ce qui se passe effectivement. Les personnes qui se prêtent à de telles expériences le font souvent à cause de l’argent. On leur fait croire que c’est anodin. Souvent ils ne sont pas mis au courant des vrais visées de certains tests. En ce qui concerne les antidépresseurs, un cas à Munich a fait il y a des années la une de la presse. Dans la clinique universitaire de psychiatrie, des patients ont dû prendre des substances qui déclenchaient des crises d’angoisse terrible. Ceci pour savoir de quelle manière l’être humain réagit dans de tels cas. Il s’agissait de données dont le ministère de la défense avait soi-disant besoin. Était-ce pour améliorer les effets pervers de la torture ? Nous nous trouvions alors en pleine guerre froide. Le fait est que des psychiatres ont ainsi violé les conditions mêmes de l’éthique médicale. Mais comme cet exemple le démontre bien, le but initial peut être détourné. À l’époque tout se déroulait sous le couvert d’une action ayant pour but de mettre sur le marché un médicament nouveau. Je ne vais pas accuser les médecins à Rennes d’avoir agi d’une manière semblable, loin de là, mais je remets en question certaines pratiques. Je sais que chaque médicament nouveau doit passer par des tests draconiens, pratiqués aussi sur des hommes. Weiterlesen

L’enseignant juif attaqué à coups de machette à Marseille se pose la question de ce qui a pu amener un gosse de 15 ans à vouloir le tuer ? Une question fondamentale pour tous ceux qui veulent lutter contre le terrorisme. Plus j’y pense, plus je me dis qu’il y a manipulation. Il est possible de transformer en bombes à retardement tout individu un peu labile, qui a un sentiment de mal-être. À force de lui bourrer le crâne qu’il a une mission à remplir, il se met à y croire. Mais l’idéologie, même si elle joue un rôle important, n’est pas le seul facteur pour transformer des personnes en des meurtriers. Il y a un grave problème d’identité. Mais aussi le sentiment qu’on ne sert à rien. Dès le plus jeune âge il est possible d’intervenir. La psychologie est essentielle pour que ce soit efficace. C’est donc le fait d’individus qui doivent s’y connaître. C’est à ce niveau que la lutte anti-terroriste doit avoir lieu. Qui a influencé cet adolescent ? Les parents ? Pour l’instant je ne sais pas de quel milieu il est issu, mais la mise en route d’actions dévastatrices sont souvent identiques. On se retrouve dans des milieux frappés par le chômage, où l’autorité du père est profondément entamée. La raison ? Sans travail il est guère en mesure de pourvoir aux besoins de sa famille. Dans bien des cas un financement occulte des ménages a lieu. Des jeunes dealent et volent, rapportant ainsi des sommes inespérées. De l’argent que les familles acceptent par nécessité. C’est là que le bât blesse. Toutes valeurs dictées par la morale sont ainsi bafouées. Lorsque un jeune m’a dit, il y a quelques années dans les quartiers nord de la cité phocéenne, qu’il se considérait comme un travailleur social, qui aide ses proches à subsister grâce au trafic de drogue, il y a un certain pragmatisme dans ses propos. Weiterlesen

Vor wenigen Monaten feierte Deutschland den fünfundzwanzigsten Jahrestag der Wiedervereinigung, währenddessen in Zeitungen und Fernsehen an den Fall der Berliner Mauer erinnert wurde. Nebenbei wuchs in der Bevölkerung die Angst vor den Flüchtlingsströmen. In Ungarn wurden Grenzbarrieren errichtet, fatale Assoziationen mit dem Eisernen Vorhang. Gegen alle Argumente der historiografischen Migrationsforschung werden neue Mauern und verschärfte Grenzkontrollen reklamiert. Dabei wird auf den Grenzzaun zwischen Mexiko und den USA, die „Tortilla Wall“, verwiesen, den mit Nato-Draht bewehrten Zaun an der Grenze zwischen Spanien und Marokko oder auf die 759 Kilometer langen Sperranlagen zwischen Israel und dem Westjordanland. Eine Wiederkehr der Mauern, mehr als ein Vierteljahrhundert nach ihrer erfolgreichen Schleifung?

Ohne Wasser keine Stadt! Vermutlich waren die legendären Mauern von Jericho – aus dem achten vorchristlichen Jahrtausend – gar keine Wehrmauern gegen kriegerische Nomaden, sondern Schutzwälle vor Überschwemmungen, die zugleich, wie am Nil, erwünscht waren. Schwemmland ist fruchtbarer Boden. Diese Vermutung zwingt sich bei Betrachtung der Mauern auf: Diese Mauern haben nach außen angelegte Treppen. Auch der 1952 freigelegte Rundturm von Jericho, über acht Meter hoch und mit einem Basisdurchmesser von ebenfalls über acht Metern, diente wohl nicht als Wachturm gegen Nomadenstämme, die mit Hörnerklängen den Einsturz der Stadtmauern bewirkt haben wollten (Josua 6, 1–25), sondern einerseits als Schutz gegen Fluten, andererseits vielleicht auch als Anzeige des Sommerbeginns, wie Archäologen der Universität Tel Aviv jüngst herausfanden. Der Schatten eines benachbarten Gipfels fällt nämlich just zur Sommersonnenwende auf den Turm.

Die ältesten Wehrmauern stammen aus dem sechsten vorchristlichen Jahrtausend. Besonders imposant waren die Stadtmauern von Uruk, errichtet im ersten Viertel des dritten Jahrtausends: Die Anlage der Mauern – mit etwa neunhundert halbkreisförmigen Türmen – erreichte eine Länge von nahezu zehn Kilometern. Zu den Weltwundern des Altertums zählten auch die Mauern Babylons, die in der Regierungszeit Nebukadnezars um 600 v. Chr. durch einen zweiten Wall ergänzt wurden. Seither wurden immer wieder Doppelmauern errichtet: Sie trennten die Funktionen der Inklusion und der Exklusion, als wollten sie der Maxime architektonische Gestalt verleihen, dass mit Feinden nicht einmal Grenzen geteilt werden dürfen.

Doppelmauern erzeugten „Niemandsländer“, Zonen zwischen den Befestigungsanlagen, die im römischen Recht als „terra nullius“ bezeichnet wurden. Auch die Berliner Mauer war eine Doppelmauer: das Niemandsland zwischen beiden Mauern hieß „Todesstreifen“.

Die Erfindung der Stadtmauern wurde, im Gilgamesch-Epos, als eine bedeutende Innovation gepriesen. Denn gewöhnlich hatten es die Angreifer schwerer als die Verteidiger. Sie mussten ihre Versorgung logistisch organisieren, durch Nachschub oder Plünderungen, während die Stadtbevölkerung gefüllte Vorratsspeicher nutzen konnte. Die Fähigkeit, Hunger zu ertragen, entschied über Sieg oder Niederlage. Auch musste das Heerlager der Angreifer befestigt werden. Im siebenten Gesang der homerischen Ilias wird erzählt, wie die Griechen eine Mauer mit Türmen und Gräben um ihre Schiffe und Zelte errichteten, als sie schon zehn Jahre vor der uneinnehmbaren Stadt lagen, die zuletzt nur durch List erobert werden konnte. Vermutlich wurden nicht wenige Belagerungen abgebrochen. Und schlussendlich manifestierte sich der Zorn der erfolgreichen Angreifer in grausamen Massakern, was den langen Belagerungszeiten entsprang.

Die ersten Mauern, die nicht der Verteidigung, sondern der Evakuierung einer belagerten Stadt dienen sollten, ließen übrigens Themistokles und Perikles während des Peloponnesischen Bürgerkriegs errichten: Auf einer Strecke von fünf Kilometern verbanden die langen Mauern die Stadt Athen mit dem Hafen in Piräus.

Die Frage stellt sich, ob wir in unserer Zeit neue Mauern brauchen. Eigentlich nicht! Würde wir das Recht der Menschen auf Heimat respektieren, wäre niemand gehalten, zu flüchten. Offene Türen und Grenzen lassen uns uns frei bewegen. Wer kommt, geht wieder; und: nur wer geht, kann wieder kommen!

 

L’attaque d’un lycéen d’origine kurde contre un homme portant la kippa à Marseille, nous replonge dans le passé sinistre de l’Occupation. Un gosse de 15 ans attaque un juif, parce qu’il a le tort d’appartenir à une communauté religieuse ne correspondant pas aux vues des islamistes. Après le drame du super-casher à Paris, il y a une année, les délits antisémites se multiplient. Ils ont pour l’instant une origine avant tout politique, celle du Proche-Orient. Mais ne nous faisons pas d’illusions. Dans la société française il y a encore toujours dans certains milieux un rejet en ce qui concerne les juifs. Le tollé général que devrait déclencher de tels méfaits, n’a pas eu lieu. Où sont les rassemblement de masses dans les villes ? Y a-t-il eu une levée de boucliers de la part des intellectuels ? Mêmes les partis, qu’ils soient de droite ou de gauche, sont restés plus ou moins sur leur réserve. Ils ont certes condamné ce qui s’est passé à Marseille, mais pas plus. Il y a un problème de fond concernant le racisme et ceci sous toutes ses facettes. Je suis outré lorsque des mosquées sont profanées et que les croyants sont bafoués. L’énorme majorité des musulmans ne portent pas la responsabilité des actes inadmissibles commis par l’EI. De même les membres de la communauté mosaïque lorsqu’il s’agit des crimes commis dans les territoires occupés par certains israéliens orthodoxes. Il est terrible lorsqu’un tel amalgame se fait. Vouloir mettre au pilori un grand nombre de personnes que parce qu’elles portent la kippa ou parce qu’elles se tournent vers la Mecque pour les prières quotidiennes, me choque au plus profond de moi-même. Peut-être ai-je la naïveté de croire à la bonté de l’homme. Tant qu’il peut en tirer des avantages, il l’est Mais gare s’il se sent menacé. Je suis toujours sidéré lorsque j’entends de bons chrétiens dire que la mort du Christ est due à la perfidie des juifs ! Comme si les catholiques ou les protestants étaient des enfants de chœurs ayant à leur actif que la miséricorde. On en est loin ! Weiterlesen

Le président Obama a prononcé il y a quelques heures son dernier discours sur l’état de l’union. Pour lui l’occasion de faire un bilan. En repassant les sept ans sous son égide, il a tiré un bilan assez positif. De l’assurance-maladie à la sauvegarde de l’industrie automobile, du redressement financier des banques aux initiatives concernant le climat, le bilan est loin d’être négatif. En ce qui concerne l’étranger, il y a des lacunes qu’il n’a pas pu corriger. Le Proche et Moyen-Orients restent toujours des terres, où la haine et la guerre font subir aux populations une situation intolérable. Mais là aussi il y a eu des points intéressants comme l’accord nucléaire avec l’Iran. Sans oublier la reconnaissance de Cuba après des décennies de rupture. Tout en reconnaissant ses mérites, il y a des points qui ne se sont pas améliorés, comme la montée du racisme. Donald Tramp en est le porte-parole et préconise de plus en plus le rejet. C’est absolument inconcevable, mais malheureusement une réalité qui fait mal. Dans un tel contexte une prise de position concernant les élections présidentielles ne pouvait pas manquer. Il a déploré que le dialogue politique se soit à un tel point détérioré. Il accuse le Parti Républicain à s’être engagé de soutenir un projet populiste, qui ne peut que raviver les haines. Au lieu de se concerter avec ses adversaires, il jette de l’huile dans le feu, ce qui n’est pas digne d’une formation qui a construit, comme les démocrates, les États-Unis. Cela peut être considéré comme un soufflet à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté. Peut-être bien que ce genre d’attitude correspond aux mentalités, mais ce serait le devoir des dirigeants, que ce soit de la majorité ou de l’opposition, de montrer une volonté de dialoguer. Weiterlesen

Wer kennt ihn noch, den Brockhaus? Schwer, klobig und tonangebend, was das Nachschlagen von Wissen angeht. Selbst die Bundesgerichte, wie der Bundesgerichtshof, benutzen ihn, wenn es um Definitionen geht. Heute spricht man von WIKIPEDIA!

Die Online-Enzyklopädie ist das Highlight der Internetwelt.

Die schweren Nachschlagewerke wirken wie aus einer anderen Zeit. Die alten Schwarten, gerade wie der Brockhaus, stehen dutzendfach als dicke Bände im Regal des Berliner Deutschland-Büros von Wikimedia, dem Verein hinter Wikipedia.

Schließlich ist die Online-Enzyklopädie nicht unbeteiligt daran, dass traditionelle Lexika heute kaum mehr eine Rolle spielen. Das digitale Nachschlagewerk steht 15 Jahre nach seiner Gründung immer noch vor Herausforderungen.

Am 15. Januar 2001 rief der US-Amerikaner Jimmy Wales gemeinsam mit dem Programmierer Larry Sanger Wikipedia als Folgeprojekt seines Vorgängers Nupedia ins Leben. Die Vision lautete damals wie heute ganz unbescheiden: das gesammelte Wissen der Menschheit jedem frei zugänglich machen. Die Besonderheit war die Wiki-Software: Ein frei verfügbares System, mit dem jeder Nutzer ganz einfach Websites anlegen und bearbeiten kann.

Einen Monat später standen 600 Artikel online, nach einem Jahr waren es schon 20.000. Die Gründer hatten sich mittlerweile überworfen, Sanger zog sich aus dem Projekt zurück. Inzwischen gibt es mehr als 37 Millionen Beiträge in knapp 300 Sprachen, verfasst von unzähligen Freiwilligen. Kurz nach der englischen Version, im März 2001, ging auch die deutschsprachige Wikipedia an den Start. Allein sie wird eine Milliarde Mal im Monat aufgerufen.

Mit rund 1,9 Millionen Artikeln steht sie auf Platz drei – nach der englischen und der schwedischen Ausgabe. Die Deutschen haben traditionell ein Interesse an Enzyklopädien.

Nach wie vor kommt Wikipedia ganz ohne Werbung aus, was laut Wales auch so bleiben soll. Die Plattform trägt sich alleine durch Spenden – und das ziemlich gut. Bei der jüngsten Spendenaktion der Wikimedia Deutschland kamen Ende vergangenen Jahres 8,6 Millionen Euro zusammen.

Aber auch bei Wikipedia kommt es zu Problemen, die nichts von ihrer Aktualität verloren haben. Eine sinkende Zahl der Schreiber, eine überholte Technik, ein harscher Ton in der Community oder der niedrige Frauenanteil, um einige Beispiele zu nennen.

„Der Pioniergeist der Anfangszeit ist verschwunden“, sagt Martin Haase, selbst lange Jahre als Autor auf Wikipedia aktiv. Der Romanistikprofessor der Universität Bamberg veröffentlichte auch mehrere wissenschaftliche Arbeiten über die Online-Enzyklopädie. Ihre Qualität sei ziemlich gut. „Da meist viele Augen auf die Artikel schauen, gerade bei strittigen Fragen, kann man schon von einer hohen Verlässlichkeit ausgehen.“ Dass die Wikipedia-Idee gut funktioniere, zeige sich in den enormen Nutzerzahlen.

Die renommierten Lexika hat Wikipedia längst hinter sich gelassen. Nach 244 Jahren gab der Verlag der Britannica 2012 bekannt, dass die Enzyklopädie nur noch digital erscheint. Zwei Jahre später zog der Brockhaus – hierzulande 200 Jahre lang als Nachschlagewerk tonangebend – nach. Die Welt ändert sich, die Technologie schreitet voran. Auch die Ansichten in Sachen Bildung haben sich geändert: Man muss heute nicht mehr alles wissen, sondern nur, wo man es nachschlägt.

Um zukunftsfähig zu bleiben, muss sich Wikipedia fortlaufend der sprunghaften Entwicklung der Technik anpassen. Derzeit geht es um die wachsende mobile Nutzung, Wikipedia muss globaler werden. Kritiker bemängeln eine Einseitigkeit, da die meisten Artikel in der westlichen Welt verfasst würden.

Dank der besseren technischen Ausstattung können sich immer mehr Menschen in der Dritten Welt vernetzen. Wir sind in einer Phase, in der die Zahl der Internetnutzer in den Entwicklungsländern explodiert, womit die Nutzung von Wikipedia und die Mitwirkung in den jeweiligen Sprachen sich exponentiell erweitert. Weiter so!

Auf die nächsten hundert Jahre!

www.happy-birthday.de

 

 

Une fois n’est pas commune, l’article de ce jour ne concerne pas l’actualité, Tout tourne autour de l’importance de l’environnement écologique de nos campagnes. Les marais ont pour beaucoup de personnes un relent plus ou moins positifs. Ils sont considérés souvent comme des pièges, où on peut s’enliser. Des endroits qu’il vaudrait mieux éviter. D’un autre côté nombre d’agriculteurs les ont considéré comme des surfaces qui ne rapportaient rien et qu’il fallait assécher. Aujourd’hui on se rend compte que c’est une grave erreur d’agir ainsi. Les zones marécageuses avides de Co2 pourraient ralentir l’échauffement de la planète ce qui est d’une importance vitale pour l’avenir. De ce point de vue, l’université de Greifswald en ex-RDA propose d’humidifier certaines régions qui ont été asséchées. Les scientifiques ont constaté que l’agriculture intensive avait déséquilibré l’environnement et qu’à long terme cela avait des effets nocifs pour toutes nos régions. Le but qu’ils s’assignent est de faire comprendre aux habitants, qu’un marais peut aussi être une source de revenus économiques. Avec une plantation de roseaux il est possible de produire des carburants bios. Une source d’énergie qui peut compenser le manque à gagner. Les universitaires cherchent aussi à prouver, que certaines plantes peuvent être utilisées comme engrais. Les agriculteurs ont par le passé et encore aujourd’hui utilisé la tourbe et ont ainsi contribué à la destruction des zones marécageuses. L’idée consiste à éviter une exploitation nocive de ces terres. Il est clair que leur but n’est pas simple. Mais n’oublions pas que ces endroits sont des refuges pour la flore, celle ne pouvant que ce reproduire dans un contexte humide. Il en va aussi des insectes qui nous protègent contre les parasites. Weiterlesen