Après la fusillade perpétrée par un Afghan contre des migrants de l’Érythrée, la piste de rixes commises par des passeurs semble se confirmer. Il en va du business, qui consiste à raconter des sornettes aux réfugiés voulant passer en Grande-Bretagne. Ces criminels n’ont qu’un but, celui de soutirer de l’argent à ceux qui ont encore des réserves. Un des commerces les plus vils, que la police n’est pas en mesure de stopper. Ce n’est pas en détruisant les squats de ces pauvres ères qu’il se passera quelque chose. À Calais il y a saturation, car dans les conditions actuelles, cette ville côtière peut être comparée à un cul-de-sac. Ce n’est que l’espoir de pouvoir malgré tout traverser la Manche, qui amène les migrants à cet exode désespéré. Comment demander à des personnes se sentant pourchassées de tous côtés raison ? N’ont-elles pas fait des efforts surhumains pour rejoindre le Pas-de-Calais ? Des milliers de kilomètres passés dans des conditions à peine imaginables. Parmi eux des mineurs sans familles, sans repères, guidés seulement par des chimères. D’y penser me donne la chaire de poule. Le gouvernement a édicté des règles dures, afin que la situation ne se détériore pas plus, comme c’était le cas lorsqu’il y avait des milliers de migrants, vivant dans des camps improvisés en périphérie de Calais. Le nombre de personne a augmenté depuis le début de l’année de 300 personnes. Ils sont 800 en tout, tendance ascendante. Weiterlesen

Même le dictionnaire connaît ce nom de famille. Nicolas Sarkozy l’a rendu immortel. Il s’agit d’un appareil qui crache à haute pression un jet d’eau afin de nettoyer tout ce qui ne peut pas être éliminé avec une éponge. Monsieur Propre considérait certains jeunes des banlieues comme étant très récalcitrants à toutes tentatives de mesures de salubrité publique. Pour lui c’était le seul moyen de s’en défaire. Donald Trump a aussi l’air de vouloir employer la méthode forte dans son intention d’expulser tous les clandestins, même ceux qui n’ont pas commis de méfaits. On chiffre à 11 millions leur nombre. L’administration Obama ne leur était pas non plus favorable, mais essaya de les traiter avec plus d’humanité. Ces réfugiés ne se sont pas rendus aux USA parce qu’ils adoraient ce pays, mais à cause de la disette. L’ancien président était au courant des abus perpétrés par les multinationales américaines quant à l’exploitation des ouvriers agricoles par exemple ou des ressources minières et montra plus de compréhension. Pas pour ceux qui commettaient des délits, mais ceux qui voulaient se refaire une existence digne de ce nom. Ce qui se passe ici me gêne beaucoup. Comme partisan de l’action d’Angela Merkel, qui a montré une grande humanité envers les migrants, je ne peux pas ignorer les lois. Un immigré illégal est un clandestin, qu’on le veuille ou non. Donald Trump a rapidement remarqué qu’une telle initiative n’était pas du goût de tout le monde et s’est empressé de déclarer, qu’il n’y aurait pas de déportations de masse. Weiterlesen