Viele Irre verderben den Brei und was viele tun, muss selbstverständlich nicht der beste Weg sein. Es mag vielleicht ein leichter Weg sein oder aber ein Weg, bei dem die Massen bewusst in die Irre geleitet wurden. Ich rede heute von der E-Mobilität – eine echte Augenwischerei, die zunächst nur vordergründig eine Emissions-Einsparung suggeriert. Tatsache ist, dass bei der Herstellung mehr CO2 verbraucht wird, als wenn Dieselfahrzeuge weiterhin unterwegs wären. Abgesehen von dem irren Abbau des Rohstoffes Lithium, auch als das neue „weiße Gold“ bezeichnet und das hauptsächlich in Südamerika vorkommt und abgebaut wird. Etwa zehn Kilo Lithium brauchen die Hersteller für eine einzige Elektro-Auto-Batterie für ein E-Auto. Welche Konsequenzen der Abbau und das Umwühlen der Böden nach sich zieht, kann jeder allgemein nachlesen (Grundwasser-Kontaminierung inklusive). Die Automobilindustrie reibt sich derweil die Hände, ebenso die Energiewirtschaft, die davon richtig profitiert. Der Energiepreis schraubt sich kontinuierlich in die Höhe und jeder einzelne Verbraucher wird letztendlich zur Kasse gebeten bei steigenden Energiekosten (fängt ja schon an). Anfang aufgestellte Ladesäulen in den Städten, die zunächst kostenfrei waren (Lockangebote zum Einstieg), funktionieren nun nicht mehr ohne Ladekarte und App. Angenehmer Nebeneffekt der aufladenden Fahrzeuge in den Innenstadtbereichen wäre der kostenloste Parkplatz, da man sich die Parkhausgebühren sparen kann. E-Mobilität ist das Pferd, auf das heute fast jedermann setzt – allem voran die Automobilkonzerne. Stellen wir uns vor, jeder würde ab sofort nun auf Elektro/ Hybrid umsteigen, das wäre das absolute Chaos und zweifellos der Totalzusammenbruch des Energienetzes. Tolle Vorstellung, nicht wahr?

Mit der Produktion fängt also bereits an, was wir Raubbau an die Naturreserven nennen und bewusstes Ausbeuten der Länder mit großem Lithium-Vorkommen, wie Chile, Argentinien oder Bolivien. Danach folgt der Hype auf die Energie-Zufuhr mittels „Tanken“, der die Strompreise deutlich in die Höhe schnellen lässt und bei der späteren Entsorgung kommt es noch dicker. Die Wahrheit ist, dass es bisher noch kein wirklich geeignetes und akzeptables Recycling-System  für die Akkus gibt und wir das Problem dringend umweltfreundlich lösen müssen. Und letztendlich ist beim Strom auch nicht immer Öko drin, wenn Öko draufsteht.

Zu allerletzt kommt noch das Nachteil der Reichweite, der Verfügbarkeit von Ladesäulen und die Ladezeit hinzu und auch, wenn das Schnell-Laden möglich ist, sind wir noch lange nicht bei einer vernünftigen Lösung was die ursprüngliche Nutzung eines Fahrzeuges ausmachen sollte – Beweglichkeit und Schnelligkeit. Dafür sind die Energieanbieter so frei, dass sie nun Ladesäulen für die heimischen Garagen anbieten (die muss der Nutzer bezahlen, damit der den Strom zapfen darf, den er ebenfalls bezahlen muss) oder gar ganze Wohnanlagen, sogenannte Smart-Home-Parks mit Ladesäulen ausstatten, damit gewährleistet ist, dass bei den Energiekonzernen stets die Kasse klingelt.

Die Niete hat der Endverbraucher gezogen, in jedem Fall. Erst wird er auf die Fährte der E-Autos gelockt und wenn nun fast alle umgestiegen sind, die Strompreise utopische Höhen erreicht haben, wir die Lithium-Reserven ausgebeutet haben und bei der Entsorgung irgendwie schon noch eine Lösung finden werden…und die Automobilindustrie ihren Absatz halten bzw. gar steigern konnte…. dann endlich, aber erst dann… öffnet sich die Schublade für das bereits fix und fertig vorliegende Wasserstoff-Hybrid-Auto, das jetzt alternativ gefordert wäre. Eine durchaus sinnvolle Alternative in meinen Augen. Warum sich das bisher nicht durgesetzt hat, ist klar. Mangelnde Nachfrage, wenig Augenmerk auf diese Möglichkeit seitens der Autobauer und Politik, so gut wie keine aufgebaute Infrastruktur (wäre alles eine Frage der Priorität, denn was bei E-Autos geht, ginge auch bei Wasserstoff). Hoffen wir also nur weiterhin, dass der Strom der E-Mobilität 100% ökologisch/ solar bzw. nachhaltig erzeugt wird – denn die Entsorgung der Lithium-Massen später ist es mit Sicherheit noch nicht. Gute Fahrt!

 

© Petra M. Jansen

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Emmanuel Macron a demandé hier de faire preuve de plus d’humanité, après le rejet par la majorité de faire passer la durée de congé pour les parents, en cas du décès de leur enfant, de cinq à douze jours. Quelle mesquinerie qu’on en vienne-là. Que ce soient des députés de gauche ou de droite, des représentants des syndicats ou même du patronat, l’indignation est à son apogée et démontre de quoi sont fait certains représentants du peuple ! Une dénomination qu’ils ne méritent pas ! Muriel Pénicaud, la Ministre du travail a reconnu que le gouvernement avait fait « une erreur » en s’opposant à cette proposition. « Face au deuil, il faut du soutien psychologique et nous allons le renforcer. Mais il faut aussi un temps de répit ». Elle s’est engagée « à trouver dans les tout prochains jours les solutions » pour un allongement à douze jours. Adrien Taquet le Secrétaire d’État chargé de la protection de l’enfance a ajouté : Il faut « déterminer les mesures pertinentes de soutien aux parents en cas de perte d’un enfant, y compris une meilleure organisation des congés ». Parler d’erreur dans ce cas-là me semble être une excuse bien faible. Il est pénible de voir, comment la majorité essaie de réparer les pots-cassés. Je trouve que « cet incident » mériterait que le gouvernement démissionne. Je m’explique : Lorsque des dirigeants perdent à ce point l’empathie qu’ils devraient avoir à l’égard des citoyens, ils démontrent qu’ils sont à leur fausse place, d’autant plus lorsqu’il sont à la tête du pays. Des personnes qui n’arrivent pas éprouver le deuil des parents, lorsque ces derniers perdent leur enfant, devraient quitter au plus vite la politique. Il leur manque la qualité essentielle, celle d’être au service de la collectivité, de ressentir la détresse des gens lorsqu’ils sont soumis aux coups de destin. Personnellement je ne veux pas avoir affaire à de tels individus ! Je n’arrive pas à comprendre que des députés, qui devraient être proches de ceux qui les élisent, puissent se désavouer ainsi. Comme vous pouvez le constater, je suis outré, moi qui avait soutenu la candidature d’Emmanuel Macron. Heureusement qu’il a réagi après coup, mais c’est en amont qu’il aurait dû intervenir. Je suis un passionné de politique, plus encore de justice et d’amour du prochain. Je pense que c’est le devoir des élus d’être les avocats de leurs administrés. Je ne sais pas quel démon les a poussé à se jeter dans le piège qu’on leur a tendu ? Ceux qui ont apposé leur refus, sont cruels et méchants et ce qui de surcroît est encore plus grave, ils sont bêtes. Ils n’ont pas hésité à bafouer les idéaux de la République, honte à eux ! À cause de leur manque de lucidité, de savoir faire – on ne peut pas exiger que chacun ait du cœur – il faudrait les chasser au plus vite « du temple » Pour pouvoir construire quelque chose de grand, ce la France mérite, il ne faut pas avoir la mentalité d’un épicier tatillon qui ne voit que le bout de son nez. Ce qui s’est passé ici me rend songeur, quant à l’ambiance dans laquelle nous plonge la politique ces derniers temps. Est-elle devenue à ce point cruelle en ce qui concerne nos angoisses, nos deuils, nos espérances ? Ce sera le sujet de mes pensées que je veux vous transmettre aujourd’hui.

pm

https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/02/01/le-refus-des-deputes-lrm-de-voter-l-allongement-du-conge-suivant-la-perte-d-un-enfant-provoque-un-tolle-de-l-extreme-gauche-au-patronat_6028101_823448.html

Adrien Bottollier, un jeune bon chic, bon genre, de Chambéry, a poignardé de 28 coups de couteau un SDF, qui a eu le malheur de passer sur son chemin. Il a été condamné à 25 ans de prison. Il a été également mis en demeure de participer à un suivi socio-judiciaire de 15 ans à sa sortie de détention. En quelques lignes se résume ce drame, qui a été perpétré pour « voir ce que ça faisait de tuer quelqu’un ». Le meurtre a eu lieu 21 mai 2015 à 4 heures du matin. C’est après une nuit d’insomnie que ce jeune homme affable, bien élevé s’est trouvé en présence de Mostapha Hamadou, un petit homme de 51 ans, bipolaire, alcoolique. Tout le contraire d*Adrien Bottolier, le premier de classe. Sept mois plus tard il a commis une tentative de meurtre à Thonon, dans la nuit du 25 au 26 décembre de la même année. Il a écrit à une amie au Canada  sur Facebook : „Je comptais attendre l’année prochaine pour recommencer mais pour te prouver ma sincérité, ça arrivera plus tôt.“ Pour apporter la preuve de son acte, il lui a fait parvenir la photo du couteau ensanglanté Je m’intéresse aux affaires judiciaires, car elles représentent bien ce que peut être l’humanité dans toutes ses contradictions. Il y a souvent pas de logique dans les affaires que je lis dans le faits divers ou que je vois comme fiction à la télévision. Et dire que quelques minutes, sinon quelques secondes peuvent changer brutalement des destinées, comme cela été le cas de ce meurtre jugé pas les assises de Savoie le 27 janvier de cette année. Cet étudiant en psychologie de première année s’est en fait suicidé mentalement en tuant sans raisons Mostapha Hamadou. Je pourrais clore ici cet article, car tout ce que je peux écrire à ce sujet est de l’interprétation. Certains pourraient parler du délabrement de la société, d’autre de perversité, mais où se trouve la vérité. Probablement le condamné lui-même ne peut pas expliquer son acte. De telles réactions démontrent la complexité du cerveau, une banque de données, qui peut, à l’égal d’un ordinateur, se dérégler. C’est bien qui a dû se passer, mais probablement les psychiatres n’ont pas trouvé une pathologie qui aurait permis d’éviter les assises. Il a été normalement condamné, la preuve que son comportement n’a pas été du domaine de la folie. Pour ma part je ne peux que m’expliquer qu’il a dû être confronté à des démons, qui ont déconnecté sa raison. Dans l’argumentaire que j’ai lu, il n’a pas été question de haine raciale ou sociale. D’une normalité que je ne veux pas accepter, car je n’y crois pas. Que faut-il faire pour passer pour un déséquilibré mental ? Aussi son comportement à la fin du procès, où il est allé de au devant des frères et sœurs de la victime, pour leur demander pardon, est un comportement hors-normes. Je ne me suis pas assez plongé dans cette affaire pour affirmer qu’il s’agit-là d’une erreur judiciaire, mais vu les informations que j’ai peu recueillir, je pense que cela a dû être le cas. Ne faudrait-il pas mettre un tel individu directement en psychiatrie. Le suivi socio-judiciaire de 15 ans après sa sortie de prison, prouve à mon avis que le tribunal se contredit. Je suis sûr que vu son comportement il y aura remise de peine. Je pense qu’il y a danger de récidive et ne suis pas rassuré, qu’il puisse se retrouver en liberté !

pm

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/01/31/aux-assises-de-chambery-l-autopsie-d-un-assassinat-incomprehensible_6027885_3224.html