Emmanuel Macron et Guiseppe Conte se sont serrés la main et ont clôt ainsi le chapitre Salvini, qui a précipité les relations entre ces deux pays au plus bas. Il s’est s’agit avant tout des quotas de répartition pour tous les migrants qui atteindraient le territoire italien par voie maritime. Dès que des rescapés auront atteint un port, il seront répartis après un certain temps, nécessaire pour régler des questions administratives dans des pays bénévoles dont la France et l’Allemagne. Il me coule du baume sur le cœur en sachant que tout sera fait pour améliorer les rapports avec Rome. Ce qui s’est passé pendant plusieurs mois ressemblait bien à une douche froide. Passons ! Les deux gouvernements défendront dès maintenant « une position commune pour que tous les pays participent d’une façon ou d’une autre » à l’accueil « ou bien soient pénalisés financièrement », a expliqué M. Macron. Cela ne plaira pas aux pays-membre venant de l’Est, en particulier la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et d’autres. Ces nouveaux membres n’ont pas encore compris, que l’appartenance dans un club n’a pas que des avantages, mais aussi des inconvénients que je préférerais nommer des charges. Dans toutes associations il est tout à fait normal que les membres se partagent les gains et les dépenses. Dans ce cas bien précis il s’agit de la répartition des migrants atteignant l’UE et de leur suivi. Guiseppe Conte a souligné que l’Italie ne « laisserait pas les trafiquants décider des entrées sur le territoire », mais aussi dit « gérer ce phénomène ». C’est l’intransigeance de Bruxelles qui a été à la base de l’expérience néofasciste en Italie. Le peuple ressentait une grande injustice à ce sujet et ne voyait pas la raison pourquoi Rome devait assumer ce problème et ceci en cavalier-seul. Ce manque de solidarité aurait pu être l’amorce d’un phénomène totalitaire en Europe. Weiterlesen