L’eau est pour nous, les êtres vivants, un bien incontournable. C’est peut-être une vérité à la Palisse, mais je me dois de la répéter. Au cours de ma vie professionnelles, j’ai toujours à nouveau tourné des films sur sa pollution et sur le commerce qu’on en fait. D’après un nouveau rapport, près de 3 millions de ménages n’ont pas accès à de l’eau pure. Elle est souvent polluée par les insecticides et les herbicides, les nitrates et des bactéries de tous genres, provenant souvent du lisier que les paysans giclent sur leurs terres. C’est ici que deux facteurs se retrouvent nez-à-nez. Le problème de la santé publique et les besoins de l’agriculture. Pour préserver les nappes, des mesures draconiennes doivent être prises, que seules les élus peuvent décider. C’est une question de finances et d’économie locale. Imposer aux paysans des contraintes ne peut que résulter du législateur. C’est une des raisons pour lesquelles je réclame sa nationalisation. Et voici d’autres raisons pour que cela soit ainsi : Comme elle est vitale, l’accès pour nous tous devrait être libre. Je condamne sans rémission, que par les directives européennes il soit possible de remettre des concessions à des compagnies privées. Sa propagation devrait être à mon avis que du domaine public. Bien sûr il faut couvrir les frais que représentent son captage, sa transformation en eau potable pour nous tous et évidement aussi son traitement en aval lorsqu’elle a été utilisée. C’est normal, bien moins les profits qu’empochent certains trusts. Le consommateur n’a pas d’autre choix de l’utiliser, car ces compagnie en possèdent le monopole. Je trouve ceci complètement néfaste et serait prêt à revendiquer un retour à une gestion des communes en particulier. Weiterlesen