Le 8 mai 1945, le jour de la capitulation allemande. Peu de temps auparavant le Führer s’est suicidé dans son bunker, situé dans le parc de la chancellerie d’État. Joseph Goebbels s’est aussi donné la mort dans le même endroit après avoir empoisonné ses enfants et sa femme. Est-ce pour autant la fin des apprentis-sorciers ? Je ne le pense malheureusement pas ! Est-ce qu’Emmanuel Macron y a pensé en déposant avec le Président Hollande une gerbe sur la tombe du soldat inconnu à l’Arc de triomphe ? Personne ne le saura jamais ! Lorsqu’on sait que le NSDAP d’Adolf Hitler a commencé dans les années 20 avec sept membres, je suis sidéré que ces fanatiques aient pu ainsi embraser leur pays puis l’Europe toute entière. Ils se disaient amoureux de leur patrie, étaient d’ardents nationalistes. Ils n’avaient qu’une chose en tête, glorifier la supériorité de la race blanche et des valeurs nordiques. Tous ceux qui n’en faisaient pas partie étaient de la vermine. Des sous-hommes qu’il fallait anéantir. Des millions de juifs, de tziganes et d’homosexuels sont morts dans les camps. Peut-être pour certains un détail de l’histoire. Le 8 mai nous rappelle quelles dérives peuvent découler du racisme. Cela commence par des paroles désobligeantes contre des personnes qui nous sont étrangères pour aboutir à la violence. Ceux qui profèrent encore aujourd’hui de telles paroles devraient se dire qu’un jour l’apocalypse s’abattra sur eux. Weiterlesen

L’Europe de démantèle, le chômage touche de plus en plus de jeunes et Monsieur Sarkozy ne trouve rien de mieux de se faire du mauvais sang au sujet du cumule des mandats. Il veut lors d’un référendum que le peuple se prononce à ce sujet. La peur du ridicule ne semble pas le toucher. Et ceci au lendemain du brexit, de l’attentat en Turquie, de la montée inexorable du populisme, que cela soit chez nous ou aux USA. Une fois de plus il a n’a qu’une chose en tête : s’occuper de ses petits copains au lieu de mener un combat pour la France. Ce propos démontre une pauvreté évidente du monde politique. Dans un tel cas de figure il n’est pas étonnant que des populistes comme Marine Le Pen trouvent de l’appui au sein de la population. Une fois de plus c’est de la récupération que pratique notre ex-président. Je pense qu’ici réside tout le dilemme dans lequel nous nous trouvons en Europe. Le choix des grosses têtes en politique est plus que restreint. Une fois de plus les intellectuels restent campés dans leur bulle, préférant observer ce qui se passe au lieu d’intervenir. On en aurait cruellement besoin ! Le profil des chefs des États doit être redoré. Il serait cruellement nécessaire de reprendre à zéro certaines de nos options en ce qui concerne l’UE et notre nation. Avoir le courage de dénoncer ce qui ne va pas et de forger en même temps des idées pour le futur. Pas des idéaux non-palpables mais des projets qui puissent être réalisés dans un délai acceptable. C’est de cela que Sarko et ses acolytes, qu’ils soient de gauche ou de droite, devraient s’occuper en une totale priorité. C’est vraiment là que le bât blesse ! Weiterlesen