Admettons le cas suivant. Un exploitant de houblon a depuis peu le Parkinson. Dans les exploitions voisines, il y a eu des cas d’Alzheimer, de démence précoce et des attaques cérébrales. Une statistique plus élevée que la normale. Le houblon doit être giclé régulièrement d’insecticides, pour qu’il y ait le moins de dommage possible. Le propre de cette plante, est de pousser en hauteur. Lorsque l’agriculteur emploie des insecticides, cela le touche de plein fouet, lorsqu’il ne prend pas les mesures nécessaires. Des produits destinés à tuer des insectes, ne peuvent pas être bons pour notre santé. Les méfaits ne font pas haltes entre les hommes et les plantes traitées. C’est à dire que notre système neurologique qui est très vulnérable, prendra un coup de massue, si l’exploitant ne se masque pas en répandant les produits chimiques dans sa plantation. Il en est de même, pour le blé, au Sud des grands Lacs aux USA. C’est par avions que les champs sont traités. Bien des agriculteurs sont tombés malades, d’après les statistiques faites ailleurs en Amérique. Il est bien clair que l’industrie qui développe de telles massues chimiques, ne veut rien savoir de tout cela. Elle fait des pieds et des mains, qu’on laisse le temps nécessaire avant de prendre des décisions, pouvant lui causer des problèmes financiers. Elle s’appuie sur la thèse qu’en effectuant souvent des contrôles pathologiques, il n’est pas possible de dire exactement si la chimie employée pouvait avoir une incidence sur l’état de santé. Même en effectuant des prélèvements sur des cadavres, on ne peut pas prétendre avec assez de sûreté quelle aurait pu être l’influence des produits synthétiques, concernant l’état de santé du décédé. Tant qu’il n’y aura pas une cause précise, il est peu probable que les choses changent. Il existe bien des produits non nocifs pour éliminer les hôtes non désirables des cultures, mais leur manipulation est des plus ardues. Les moyens pour obtenir du bio sont plus que compliquées et demandent beaucoup de connaissances et obligent les exploitants d’engager plus de personnel, même si cela pouvait amoindrir les profits. Il faut se dire tout cela avant de prendre une décision fondamentale.

Malgré toutes ces résistances, je ne peux qu’appeler le peuple de France, à accepter au bout de la chaîne alimentaire, de payer plus ses aliments afin de sauvegarder les exploitations biologiques. Je ne pense que l’heure est passée de tricher plus. Je suis convaincu après avoir consulté l’atlas des nuisances au sujet d’un nombre plus élevé de cas neurologique dans certaines région, qu’il faille au plus vite sonner le hallali et prendre les mesures nécessaires pour baisser le taux des maladies évoquées. Il faut dire haut et fort, que la santé passe avant toutes considérations économiques. Il faudra dans un premier temps réduire considérablement le volume des insecticides, des pesticides et j’en passe et ceci immédiatement. Il est évident que les paysans veulent repousser une telle échéance au plus loin, même si ces derniers peuvent être les victimes de leur manque de prévoyance. Pour être vraiment efficace, il devrait être procédé d’une manière totalitaire, ce qui ne corresponds pas aux articles de la constitution. Tant que la personne interpellée ne sentira pas les effets pervers de sa manière de faire, rien ne bougera.

pm

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