La discrimination est avant tout un acte politique incluant la violence. Une manière de se débarrasser de tous ceux qui semblent être hors normes. Fleur Daugey s’attaque dans son livre « Animaux homos » à la thèse que l’homosexualité est contre-nature. Ce n’est aucunement le cas. Il s’est avéré que bien des espèces pratiquaient la « sexodiversité ». Cela rend caduque les arguments erronés, qui partent du principe que les relations sexuelles entre un même sexe sont issues avant tout d’une attitude comportementale. Ce n’est pas le cas, si on prend au sérieux cette étude. Je connais cette thèse anthropologique depuis longtemps, ainsi que ceux qui pratiquent sciemment de telles discriminations. Cela voudrait dire que les êtres humains sont dans une lutte incessante de domination pour se démarquer des autres. Les origines de tels rejets sont instinctives, n’ont donc rien à voir avec la raison. Il en est de même de tous ceux qui subissent encore aujourd’hui la haine sociétale sous toutes ses formes. Je m’explique. Elle s’applique à un groupe de personnes sans tenir compte de l’individualité. On parle encore toujours des juifs, des noirs, des homos, sans se référer à des être en particulier. On les jette sans discernement dans un seul panier. Un non-discernement voulu, pour donner l’impression à une majorité, qu’elle jouit des faveurs divines. C’est de cette manière que le national-socialisme a pu rassembler sous sa bannière une grande majorité du peuple allemand. Un tel réflexe racial a été provoqué par le chômage énorme qui sévissait au temps de Weimar, à l’inflation. Nombre de ménages ne savaient plus comment sortir de leur misère, qui d’après eux avait été provoquée pas le traité de Versailles qui aspirait comme un vampire, les forces vives de la nation en réclamant des « réparations exorbitantes » à un peuple complètement affaibli. Et d’après la propagande nationaliste, les responsables étaient bien définis. c’était évidement l’internationale juive qui voulait ainsi se remplir les poches au détriment de personnes honnêtes, incapables de pratiquer de tels méfaits. Weiterlesen