Que ce soit au Capitole ou devant l’assemblée générale de l’ONU, le pape François fait appel à plus d’humanité et de justice sociale. Aussi le réchauffement de la planète est au centre de ses préoccupations. Il en va de la survie du monde, d’un développement plus équitable, qui en fin de compte a aussi des répercussions sur le bien-être des hommes. Il n’a pas hésité à critiquer le capitalisme, qui a ses yeux agit d’une manière égoïste, qui place l’intérêt de certains particuliers plus haut que celui de la collectivité. Des paroles sensées, mais qui ne seront probablement pas suivies dans les faits. Et ceci même lorsque le pape se lance dans une campagne ciblée contre la peine de mort. Il a été certes applaudi, mais qu’en sera-t-il au bout du compte ? Il n’est pas à prévoir que les lois seront changées dans certains états des USA, sans parler de ce qui se passe en Arabie Saoudite par exemple, où les droits de l’homme sont de la maculature. Entre les vœux pieux et la réalité il y a un fossé incontournable. Le souverain pontife le sait parfaitement, mais son rôle n’est-il pas d’élever la voix ? Mais il y a aussi des domaines où son action a eu es retombées concrètes, comme celui du rapprochement entre la Havane et Washington. C’est sous son égide qu’il a été possible d’échanger enfin des ambassadeurs. Weiterlesen