Lorsque j’ai regardé les nouvelles de la nuit sur internet, je me suis posé la question de savoir ce que je devais écrire en ce jour de l’Ascension. Il y avait certes l’attaque des milices iraniennes contre les hauts du Golan puis la réponse cinglante d’Israël, qui attaqua à l’aide de missiles des bases militaires en Syrie. Pour l’instant on ne peut pas en dire beaucoup plus, que d’apporter ainsi la preuve, ce que le retrait des États-Unis de l’accord passé avec l’Iran, concernant l’armement nucléaire, pouvait déclencher. Le pyromane Trump a obtenu ce qu’il voulait. Il est à prévoir qu’il y aura une recrudescence des opérations militaires entre l’État hébreux et les soldats iraniens soutenant actuellement le régime du dictateur Bachar al Assad. C’est certes une attaque sans précédant, mais franchement on pouvait s’y attendre. Ce qui me touche en ce matin de fête, est le drame de Strasbourg qui s’est passé le 29 décembre de l’année 2017. Une jeune femme, Naomi Musenga, téléphone au SAMU. Elle a des douleurs insupportables dans sa poitrine. La préposée de garde lui répond d’une manière éhontée, qu’elle n’a qu’a téléphoner à SOS-Médecins, comme s’ils n’avaient pas autre choses à faire que de s’occuper d’hypocondriaques. Naomi a bien réussi à atteindre le SOS, mais le temps perdu à causé sa mort. Elle a eu une infarctus grave, où toutes les minutes comptent pour entamer les soins nécessaires dans un cas pareil. Le médecin urgentiste de grand renom, Patrick Pelloux, a trouvé épouvantable cet intervention manquée du SAMU. Il est étonné qu’il a fallu attendre si longtemps pour que la justice prenne en main, ce manquement très grave d’un service qui devrait être des plus efficaces. Weiterlesen