18,5 millions de foyers fortuné détiennent 47% de la richesse en revenus. Donc 1% de la population mondiale se partage près de la moitié des avoirs bancaires et autres. Dans un tel cas de figure il ne faut pas s’étonner que la colère gronde chez les laissés pour compte. Lorsque je lis de tels chiffres, je suis étonné qu’il n’y ait pas révolution. Au contraire. Aux USA où le nombre de millionnaires est le plus élevé, bon nombre de ses habitants sont prêts à voter pour un magnat de l’immobilier, qui est connu pour sa dureté en affaires. Un individu qui ne recule pas contre les injustices sociales. C’est lui qui devrait prendre en charge les intérêts des citoyens vivant à deux pas du gouffre économique ! Il y a de quoi attraper de l’urticaire lorsqu’on entend que ce dernier a les qualités requises pour être président, par le seul fait qu’il amasse de l’argent sur le dos des autres. L’exploitation est-elle un signe d’efficacité ? Laissons Trump aux américains pour nous tourner vers les affres de la mondialisation. C’est une excellente machine pour mettre les pays tiers au diapason, pour leur imposer des conditions qui mènent directement à la précarité. Un système qui ne recule pas devant la corruption. D’un côté des montagnes d’argent, de l’autre la sécheresse. Et là aussi force est de constater que la complaisance jour un rôle de taille. Les pays riches n’y vont pas de main-morte. Ils imposent leurs produits, en particulier dans l’agriculture, acculant ainsi les paysans à jeter l’éponge. Weiterlesen